Vil floodeur
Peut être suite demain, voire ce soir.
Bon, par contre, désolé, mais le rythme va baisser, reprise des cours oblige.
Mais la rentrée est plutôt light niveau boulot, ça devrait aller.
J'aime beaucoup !
Je savais que ça te plairait la baston
Bon, suite bientôt.
Chapitre 27 : Télescopage
Quelque part en Morrowind, 25 vifazur
Les rayons du soleil chatouillèrent la joue d’Andrean. La Lame ouvrit péniblement les yeux. La dureté de la lumière le fit tressaillir. Ses pensées s’embrouillaient dans son esprit, et ses muscles semblaient avoir été remués dans tous les sens. Il se rappela vaguement les récents évènements. La traque, la découverte de l’ascenseur, et son face-à-face avec ce qui les traquait depuis plusieurs jours…
Il tâta le sol dur sous son corps. Après quelques instants, il bascula sur le ventre, et se mit péniblement sur ses deux genoux. Ses yeux s’habituèrent à la forte lumière qui régnait là où il se trouvait. Visiblement, l’ascenseur les avait conduits à la surface, dans une sorte de petite bâtisse d’architecture Dwemer, comportant pour seule et unique pièce la cage d’ascenseur où Andrean se trouvait.
Titus et Barenziah était étendus au sol, encore inconscient. La Reine-mère avait perdu le teint verdâtre qu’elle possédait en bas. Preuve que la paralysie dont elle avait été frappée avec Titus semblait se dissiper. Laissant là ses compagnons, il s’aventura au dehors, passant la large porte ouverte qui permettait à la salle d’être autant éclairée. Il porta sa main à son front pour occulter la lumière, et regarda le paysage.
La sortie de l’ascenseur dwemer se trouvait au milieu de terre ravinés et aride, et était placé dans le renfoncement d’une montagne. En contrebas se trouvait une route empierrée, visiblement assez fréquenté à en juger son apparence entretenu et large. Le soleil frappait sévèrement la région, et peu de végétation était visible, excepté quelques arbustes effeuillés çà et là.
-Je reconnais cette route. Nous somme prêt de Veranis, s’éleva une voix derrière Andrean.
La Lame reconnut le timbre de Barenziah. Celle-ci s’approcha à ses côtés. L’Impérial, stupéfait, s’exclama :
-Mais… c’est tout près de la frontière avec Cyrodiil !
-Qui doit être surveillée à l’heure qu’il est.
Derrière eux, un grognement leur révéla que Titus venait de se réveiller. Andrean s’approcha de son compagnon, et l’aida à se relever, tout en veillant à ce qu’il ne prenne pas de face la violente lumière des lieux. Aucun des trois survivants ne portait de blessures graves, si ce n’est quelques plaies et contusions provoquées par l’attaque de la créature. Ils avaient conservé l’intégralité du maigre équipement qu’ils avaient emporté avec eux à travers les ruines.
Préférant ne pas s’appesantir sur l’expérience traumatisante qu’ils avaient vécue, Andrean proposa de descendre sur la route, malgré le fort risque de croiser des gens hostiles, arguant que leur environnement n’était pas favorable à se risquer hors des sentiers battus. Barenziah contra :
-Mieux vaut attendre la tombée de la nuit. Ce n’est pas prudent de voyager de jours pour un Régicide.
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Kalaïn savourait avec délice l’instant. Dranis pestait silencieusement à ses côtés, et le général Dunmer ne pouvait s’empêcher d’éprouver une once de satisfaction à l’idée de l’agacer. L’ancien porte-parole des Hlaalus avait souhaité s’arrêter une fois le jour tomber, mais Kalaïn avait répliqué qu’il fallait se hâter d’arriver à Longsanglot, et éviter de camper si tôt. Si lui-même était habitué à ce genre de situation, son aristocrate compagnon de voyage ne l’était pas, et devait lutter contre sa fatigue pour ne pas perdre la face. Ou ses nerfs.
Flanqué de deux gardes Hlaalus, mais aussi Indorils, Kalaïn n’était pas tranquille pour autant. Il regardait toujours avec méfiance la maison rivale du défunt roi Helseth, dont le rôle dans le meurtre lui semblait trop obscur pour être sans taches. Il avait hésité à mettre en garde ses hommes, avant de se raviser. Dranis était capable d’introduire des espions dans sa propre armée, et le général savait que tout signe d’une méfiance ou de soupçon trop important lui vaudrait de perdre son rôle actuel à Longsanglot. Rôle qu’il devait garder s’il voulait faire la lumière sur cette affaire.
Un mouvement sur la route attira son attention. Trois individus avançaient dans la même direction qu’eux. Fait étrange, aucun d’eux ne portait de torche pour éclairer le groupe. Kalaïn les scruta d’un œil méfiant. Il fit un signe aux deux soldats Hlaalus, et fit trotter son cheval jusqu’au trois voyageurs, suivis de ses deux hommes. Les individus s’arrêtèrent net en l’entendant arriver, et se retournèrent pour lui faire face. Deux d’entre eux portaient une armure. Kalaïn fit ralentir son cheval, se plaçant juste assez près d’eux pour pouvoir les détailler. Son sang se glaça…
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-Où espérez-vous trouvez un navire ?
-Sur l’un des villages côtiers. Mais nous devons d’abord quitter cette région, et pour cela partir vers le Nord.
Andrean acquiesça, une fois renseigné, et reprit sa marche silencieuse. Avec la fin de l’ensoleillement était apparu un froid extrême dans la région, qui semblait posséder un microclimat à l’intérieur de Morrowind. Le vent se faufilait dans les gorges de la région, et harcelait le voyageur qui avait la mauvaise idée de venir par ici. Mais le groupe étant obligé de voyager de nuit, il supportait en silence le froid et les conditions de son voyage.
Titus s’agita à ses côtés. Andrean ne comprit d’abord pas l’inquiétude de son compagnon, avant de comprendre. Un cavalier s’approchait d’eux, par derrière. Immédiatement, il fit volte-face, portant la main à son katana. Un homme en armure, à en juger les éclats de la lune les plaques de métal, caracolait vers eux. Deux autres cavaliers le talonnaient, tandis que trois autres se tenaient à la limite du champ de vision de l’Impérial. L’homme les rejoint sans difficulté, puis s’arrêta à quelques mètres d’eux. Andrean le reconnut aisément.
Kalaïn Velnor, général de forces Hlaalus de Morrowind.
Je remarque maintenant que cette suite est un poil plus courte que les autres.
Chapitre de transition oblige.
Bon, suite mercredi ou mardi, si j'ai pas trop de boulot.
Voilà.
Histoire de me faire pardonner pour le temps d'attente, un screen de l'Elfe qui vient de faire son apparition
J'aime bien.
Le chap 27 m'a plu avec son parallélisme entre persos entre Kalaïn et Aedran. Ca me rappelle un peu le style de Follett, quand il confronte deux persos dont on partage le point de vue différent sur chacun d'entre eux.
Le chap 28 est plutot auréolé de mystère. Le passage flou avec l'Altmer magique est bien décrit, avec un mélange de crainte et d'enchantement. Ensuite, le truc de la première légion qui disparait sans laisser de traces, je m'y attendais un peu.
Sinon, ça illustre bien l'hésistation du traitre, je trouve.
"Ensuite, le truc de la première légion qui disparait sans laisser de traces, je m'y attendais un peu"
Hé, j'étais obligé sur ce coup. Donc je vous y ait préparé depuis le chap sur Aerin traversant la forêt.
Suite bientôt.
Le screen sort d'un mod ?
Ouais, le décor surtout.
Mais pourquoi un tel décor ? Pourquoi un tel Altmer ? Pourquoi un tel regard de pedobear ? Pourquoi, Ol ? \ /
Parce que, jeune pomme
Décor: bah, c'est une grotte. J'avais pas de feu à proximité.
Pourquoi un tel Altmer: parce que c'est celui que j'avais fait.
Pourquoi un tel regard: parce que.
Voilà
jerry de l'enfant de dragons qui rejoin l'empire
et du " après l’échec du Pénitus Occulatus dans sa mission de protection de l’Empereur, assassiné sur son navire personnel dans la baie de Solitude en 4E201. "
enfant de dragons
Pardon
Fail, j'ai oublié le "?" après "Pardon.
Du coup, c'est
Pardon ?
dadidouu, est-ce que t'as lu au moins ?
Encore un bon chap mais je sens que Barenziah va quand meme crever.
Et puis, je suis quand meme assez surpris que l'officier Dunmer ne kidnappe pas la vieille au lieu de la laisser avec deux inconnus armés et recherchés. Le gouvernement va le décapiter s'il apprend.
Bah ouais, SI il l'apprend.
C'est le but. Faut bien qu'il ait un peu la pression. Et si la kidnappe, il l'a met où ?