je veux ma dose!!!
Moi c'est des jeux video qu'il faut qu'on m'injecte
Après tout, toi, tu était déjà nés quand ils sont sortis
Dis-moi, pourquoi coummunistounet viendrait-il faire un striptease intégrale au musée du Louvre? *tente de s'imaginer la scène* nan il vaut mieux pas...
injecte Pacman, Sonic et SuperMario dans les veines de Ganon*
Après tout, toi, tu était déjà nés quand ils sont sortis
c'est pas faux ^^
Je me demandais: qui es Communistounet?
Et d'où lui vient ce surnom surtout?
C'est juste un mec dérangé mentalement qui envisage de tuer les dictateurs et qui est communiste... Banale quoi...
[Chapitre 7]
http://www.youtube.com/watch?v=X3yJFtFFmzs
Octobre 1956
"-Eleanor, où es-tu? Viens ici, il ne faut pas que tu t’éloigne de maman quand on n’est pas à la maison!
-Attends, maman, j’arrive! Regarde, on dirait que les enveloppes s’envolent!
-Je n’en ai rien à faire, viens ici!"
Effectivement, Eleanor voyait des enveloppes s’envoler. Et effectivement, elle était de moins en moins obéissante. Elle restait plantée là, assise devant les tubes de plexiglas alignés sur le mur dans lesquelles passait le courrier, pour arriver de leur expéditeur à leur destinataire. Plutôt que de payer des gens pour distribuer le courrier, ces tubes ventilés suffisaient bien.
Sofia, exaspérée, marcha vers sa fille dans un bruit de claquements de talons et l’arracha à ses pensées en la tirant par la main. Sofia ne supportait pas qu’on lui désobéisse. Si même sa fille, son miracle ne l’écoutait plus, comment allait-elle changer le monde ?
Il fallait la remettre dans le droit chemin. Elle ne la gronderait pas. Si elle la réprimandait dès la première incartade, Eleanor aurait envie de tout sauf de l’écouter. Après tout, c’est une enfant, il lui faut bien un peu de liberté.
Sofia traversa donc l’atelier de construction de rame de métro, sa fille la suivant tant bien que mal tant elle marchait vite, puis elles revinrent dans la cafétéria de l’atelier rejoindre les Dames. Oui, maintenant, les revenus que lui avaient apportés ses actions lui permettaient de louer sa propre salle dans les sous-sols de la gare de l’Atlantic Express. Mais guère plus. Alors elle et les rares femmes du Club des Dames qui avait décidées de la suivre dans sa lutte contre Ryan en était réduites à se retrouver cet endroit aussi sordide que crasseux. Un très faible éclairage, de la poussière à n’en plus reconnaître l’exacte couleur des meubles, et certaines des dames suspectait les cuisines de cette cafétéria d’abriter des hordes de cafards, blattes, et autres insectes au moins aussi charmants.
Sofia indiqua à Eleanor une chaise avec la consigne de ne pas en bouger. La petite balança ses jambes, regarda autour d’elle un moment pour s’occuper, mais rien à faire, il n’y avait rien d’amusant ici pour une enfant. Sa mère est les autres parlaient, parlaient, tantôt s’appuyant sur la table à deux mains comme pour marquer la conviction, tantôt approuvant des idées. En bref, rien de très important, mais pour Sofia, convaincre ces femmes étaient déjà un début, et malgré la place qu’occupe une femme dans son foyer, chacune d’entres elles reviendrait chez elle changée, pensante à un meilleur avenir que celui tracé par quelqu’un qui repousse les fossés.
Eleanor, ne comprenant pas grand-chose de ce que disaient les dames, attendit que sa mère ait finie pour prendre la parole, mais toujours quelqu’un d’autre la prenait.
Au bout de quelques minutes de concentration pour détecter une faiblesse dans la discussion, Eleanor ne chercha même plus à comprendre et lança :
"-Mamaaan, je m’ennuiiie!
-Eleanor, la dame était en train de parler! Qu’est-ce que je t’ai déjà dis sur le fait de couper la parole?
-Que c’est très mal élevé, mais… Eleanor en put finir que sa phrase que sa mère continua.
-Pas de mais! Présente tes excuses à Mme Holloway!
-Il n’y a pas de mal, repris cette dernière, ce n’est pas si grave. Puis elle sourit en regardant Eleanor.
-Maman, je m’ennuie, je ne sais pas quoi faire…
-Je suis désolé, Grace, dit alors Sofia en se tournant vers celle qui fut quelques secondes interrompue. Eleanor, tiens, prends ce magnétophone et va jouer à côté. Mais attention, je veux pouvoir te voir d’ici!"
Sur ce, elle tendit à sa fille son vieux magnétophone qu’elle avait gardé depuis des années pour la psychanalyse de ses patients et plus récemment quelques leçons à Eleanor.
"-Tiens, il y a une cassette à l’intérieur, mais tu n’y touches pas, d’accord? Tiens, je te donne celle-ci à la place: tu peux t’enregistrer dessus, en appuyant sur le bouton avec un rond rouge, et après pour t’écouter tu dois appuyer sur le triangle. Pour l’arrêter, il faut appuyer sur le carré, d’accord?
-Oui oui maman, merci, mais je peux m’en sortir toute seule, dit-elle dans un sourire."
Elle s’élança avec le gros magnétophone dans la pièce à côté, laissant sa mère et toutes les autres reprendre leur discussion, restant quelques minutes près de la salle à ne rien faire, mais après réflexion, elle s’ennuyait toujours autant.
Elle voulait découvrir ce qui l’entourait, peu importe les instructions de sa mère. Elle se rassit donc devant les ‘lettres qui s’envolent’ quelques instants, mais vite lassée, et finalement, elle prit la cassette du magnétophone, la mis dans la poche de sa robe, et mis la cassette que sa mère lui avait donné et l’installa dans l’imposant appareil.
Comme sa mère lui avait dit, elle appuyant sur le bouton rouge et commença à parler, inventer des histoires, mais ce qui la fascinait réellement, c’était le fonctionnement de cet appareil. Il répète tout ce qu’on lui dit, c’est un peu comme un jouet, se disait-elle. Elle s’amusait à lui parler, comme à un ami, son meilleur ami, car à vrai dire, il était bien le seul. Eleanor parlait avec le nouvellement baptisé Monsieur Magnétophone! Elle n’était pas très inspirée sur le nom, mais ça lui convenait, car ce n’était pas de la plus grande importance, en fin de compte. Elle voulait absolument le démonter, comprendre comment et pourquoi ça marche, en enfant très curieuse qu’elle était.
Il allait accepter, il était son ami, après tout, non?
Tout de même, elle se dit qu’elle aurait la conscience tranquille si elle demandait la permission. Elle appuya sur le bouton rouge, et dis:
"Bonjour, monsieur Magnétophone. Tu veux jouer avec moi?"
Elle prit une grosse voix pour faire parler son ami et reprit:
"Et bien, je suis un peu occupé, Madame Eleanor. Plus tard, peut-être.
-Bon, bon, d'accord. Ca te dérange pas si je te démonte pendant que j't'attends? Je te remonterai après! Eleanor commença à l’ouvrir, tira sur la bande, la trifouilla, la tritura et la tortura puis fit répondre son ami:
-Hein? Quoi? Noooon, ne fais paaaaaaas çaaaaaa! Nooooon! Eleanoooor!"
La bande était bien abîmée, et du coup, le son aussi. La voix allait du très aigu au très grave, Eleanor essayant toujours de le démonter, mais n’y arrivant pas, elle le prit dans ses mains, le brandit le plus haut possible et le fracassa sur le sol.
Tout était démonté, maintenant. Elle trouva son bonheur dans les différentes pièces, leurs formes, leur couleurs, leurs possibles utilité dans le système.
Eleanor apprit à le remonter, démonter, remonter, elle n’en finissait plus. Elle avait trouvé un vrai jeu!
En espérant que ça vous a plu
(désolé, mais j'ai fait pas mal de recherches pour pas dire n'importe quoi, et les très nombreux remaniements et relecture de moi et misstina, d'où les deux heures)
Mais liseeeez
Je m'y atèle.
C'est juste un mec dérangé mentalement qui envisage de tuer les dictateurs et qui est communiste... Banale quoi...
ah oui, hyper banal c'est sur Misstina
Hold-em, je suis désolé, j'espère que tu m'excusera, mais avec les news du PS3M, j'ai pas eu le temps de lire ton nouveau chapitre, et la, faut que j'aille au lit, je me lève tôt pour aller bosser, mais promis, je la lirais tranquillement le matin au taf, histoire de commencer la journée en beauté
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-16590-41257-1-0-1-0-jeu-atelier-de-creations-des-lieux.htm
pour que tu te rappele avoir un lieu dantesque à créer
Oh, probablement demain
pauvre monsieur Magnétophone
J'adore
Toujours aussi juste, prenant et inventif.
Octobre 1956
"-Eleanor, où es-tu? Viens ici, il ne faut pas que tu t’éloigne de maman quand on n’est pas à la maison!
-Attends, maman, j’arrive! Regarde, on dirait que les enveloppes s’envolent!
-Je n’en ai rien à faire, viens ici!"
Effectivement, Eleanor voyait des enveloppes s’envoler. Et effectivement, elle était de moins en moins obéissante. Elle restait plantée là, assise devant les tubes de plexiglas alignés sur le mur dans lesquelles passait le courrier, pour arriver de leur expéditeur à leur destinataire. Plutôt que de payer des gens pour distribuer le courrier, ces tubes ventilés suffisaient bien.
j'adore ce souci du détail, j'ai bien aimé ce passage narrant le mode de fonctionnement du service courrier!
Sofia, exaspérée, marcha vers sa fille dans un bruit de claquements de talons et l’arracha à ses pensées en la tirant par la main. Sofia ne supportait pas qu’on lui désobéisse. Si même sa fille, son miracle ne l’écoutait plus, comment allait-elle changer le monde ?
Il fallait la remettre dans le droit chemin. Elle ne la gronderait pas. Si elle la réprimandait dès la première incartade, Eleanor aurait envie de tout sauf de l’écouter. Après tout, c’est une enfant, il lui faut bien un peu de liberté.
Tu cernes très bien le caractère de Sofia et Eleanor Lamb je trouve, et tu le raconte si bien que ça en est vraiment passionant, et je n'abuse pas sur mes mots.
Sofia traversa donc l’atelier de construction de rame de métro, sa fille la suivant tant bien que mal tant elle marchait vite, puis elles revinrent dans la cafétéria de l’atelier rejoindre les Dames. Oui, maintenant, les revenus que lui avaient apportés ses actions lui permettaient de louer sa propre salle dans les sous-sols de la gare de l’Atlantic Express. Mais guère plus. Alors elle et les rares femmes du Club des Dames qui avait décidées de la suivre dans sa lutte contre Ryan en était réduites à se retrouver cet endroit aussi sordide que crasseux. Un très faible éclairage, de la poussière à n’en plus reconnaître l’exacte couleur des meubles, et certaines des dames suspectait les cuisines de cette cafétéria d’abriter des hordes de cafards, blattes, et autres insectes au moins aussi charmants.
Rien qu'à sa façon de marcher, on reconnais bien la Sofia.
Encore une fois, le niveau de détails est terrible!
De plus j'ai particulièrement aimé ce passage qui raconte le vrai début, en quelque sorte, de la lutte contre Ryan.
Sofia indiqua à Eleanor une chaise avec la consigne de ne pas en bouger. La petite balança ses jambes, regarda autour d’elle un moment pour s’occuper, mais rien à faire, il n’y avait rien d’amusant ici pour une enfant. Sa mère est les autres parlaient, parlaient, tantôt s’appuyant sur la table à deux mains comme pour marquer la conviction, tantôt approuvant des idées. En bref, rien de très important, mais pour Sofia, convaincre ces femmes étaient déjà un début, et malgré la place qu’occupe une femme dans son foyer, chacune d’entres elles reviendrait chez elle changée, pensante à un meilleur avenir que celui tracé par quelqu’un qui repousse les fossés.
On comprend bien le message que veut faire passer Lamb afin d'endoctriner le plus de monde.
A ce niveau, je suis d'autant plus préssé de voir le prochain chapitre ^^
Même si je sais que celui ci vient à peine d'arriver
Mais ne te presse pas, et cherche tout le temps à te surpasser, ça marche bien chez toi.
Eleanor, ne comprenant pas grand-chose de ce que disaient les dames, attendit que sa mère ait finie pour prendre la parole, mais toujours quelqu’un d’autre la prenait.
Au bout de quelques minutes de concentration pour détecter une faiblesse dans la discussion, Eleanor ne chercha même plus à comprendre et lança :
"-Mamaaan, je m’ennuiiie!
-Eleanor, la dame était en train de parler! Qu’est-ce que je t’ai déjà dis sur le fait de couper la parole?
-Que c’est très mal élevé, mais… Eleanor en put finir que sa phrase que sa mère continua.
-Pas de mais! Présente tes excuses à Mme Holloway!
-Il n’y a pas de mal, repris cette dernière, ce n’est pas si grave. Puis elle sourit en regardant Eleanor.
-Maman, je m’ennuie, je ne sais pas quoi faire…
-Je suis désolé, Grace, dit alors Sofia en se tournant vers celle qui fut quelques secondes interrompue. Eleanor, tiens, prends ce magnétophone et va jouer à côté. Mais attention, je veux pouvoir te voir d’ici!"
On ressent bien l'ennui d'Eléanor dans ton texte, j'appréci d'autant plus que tu as vraiment bien respecté l'univers de Rapture...contrairement à certains
Ca colle parfaitement à l'univers, à l'ambiance
C'est excellent
Sur ce, elle tendit à sa fille son vieux magnétophone qu’elle avait gardé depuis des années pour la psychanalyse de ses patients et plus récemment quelques leçons à Eleanor.
"-Tiens, il y a une cassette à l’intérieur, mais tu n’y touches pas, d’accord? Tiens, je te donne celle-ci à la place: tu peux t’enregistrer dessus, en appuyant sur le bouton avec un rond rouge, et après pour t’écouter tu dois appuyer sur le triangle. Pour l’arrêter, il faut appuyer sur le carré, d’accord?
-Oui oui maman, merci, mais je peux m’en sortir toute seule, dit-elle dans un sourire."
Elle s’élança avec le gros magnétophone dans la pièce à côté, laissant sa mère et toutes les autres reprendre leur discussion, restant quelques minutes près de la salle à ne rien faire, mais après réflexion, elle s’ennuyait toujours autant.
maintenant on commence à mieux cerner Eléanor, cool, vraiment cool.
Le souci des détails dans les explications de Lamb, j'aime assez.
Elle voulait découvrir ce qui l’entourait, peu importe les instructions de sa mère. Elle se rassit donc devant les ‘lettres qui s’envolent’ quelques instants, mais vite lassée, et finalement, elle prit la cassette du magnétophone, la mis dans la poche de sa robe, et mis la cassette que sa mère lui avait donné et l’installa dans l’imposant appareil.
Comme sa mère lui avait dit, elle appuyant sur le bouton rouge et commença à parler, inventer des histoires, mais ce qui la fascinait réellement, c’était le fonctionnement de cet appareil. Il répète tout ce qu’on lui dit, c’est un peu comme un jouet, se disait-elle. Elle s’amusait à lui parler, comme à un ami, son meilleur ami, car à vrai dire, il était bien le seul. Eleanor parlait avec le nouvellement baptisé Monsieur Magnétophone! Elle n’était pas très inspirée sur le nom, mais ça lui convenait, car ce n’était pas de la plus grande importance, en fin de compte. Elle voulait absolument le démonter, comprendre comment et pourquoi ça marche, en enfant très curieuse qu’elle était.
Ahh, le fameux Mr Magnétophone...
Il allait accepter, il était son ami, après tout, non?
Tout de même, elle se dit qu’elle aurait la conscience tranquille si elle demandait la permission. Elle appuya sur le bouton rouge, et dis:
"Bonjour, monsieur Magnétophone. Tu veux jouer avec moi?"
Elle prit une grosse voix pour faire parler son ami et reprit:
"Et bien, je suis un peu occupé, Madame Eleanor. Plus tard, peut-être.
-Bon, bon, d'accord. Ca te dérange pas si je te démonte pendant que j't'attends? Je te remonterai après! Eleanor commença à l’ouvrir, tira sur la bande, la trifouilla, la tritura et la tortura puis fit répondre son ami:
-Hein? Quoi? Noooon, ne fais paaaaaaas çaaaaaa! Nooooon! Eleanoooor!"
La bande était bien abîmée, et du coup, le son aussi. La voix allait du très aigu au très grave, Eleanor essayant toujours de le démonter, mais n’y arrivant pas, elle le prit dans ses mains, le brandit le plus haut possible et le fracassa sur le sol.
Tout était démonté, maintenant. Elle trouva son bonheur dans les différentes pièces, leurs formes, leur couleurs, leurs possibles utilité dans le système.
Eleanor apprit à le remonter, démonter, remonter, elle n’en finissait plus. Elle avait trouvé un vrai jeu!
ce passage la est le meilleur pour moi!
T'as carrèment réussi à me faire sourire face au comportement d'Eléanor, magnifique ce passage
Toujours avec un souci du détail, certains devraient en prendre de la graine...
J'ai relevé une faute cependant: mais je l'ai perdue de vue
Je vais la retrouver ^^
Eleanor en put finir que sa phrase que sa mère continua.
voila, c'est celle là Hold-em
Majin > ouais, la vie est cruelle
Mais j'ai adoré ce passage final, emplie d'une certaines tendresse.
Il faudrait avoir un coeur de pierre pour rester insensible à ça!
Ton texte Hold-em éveille des sentiments, il arrive à les faire véhiculer chez moi, pas comme les autres fic sur Bioshock que j'ai lu (ormis tes autres fics évidemment).
C'est hallucinant d'arriver à faire passer des émotions comme ça, j'en ai des frissons, en plus le chapitre n'est ni trop court, ni trop long, juste ce qu'il faut, et il donne furieusement envie d'en lire la prochaine partie
En gros, j'adore, d'autant plus que je t'appréci bien.
Quelque chose me dit que tu vas aussi devenir le spécialiste d'Infinite
Je suis déjà un peu le spécialiste, je sais des choses sur Columbia que probablement même toi sais pas.
Saltonstall est un imposteur communiste, Columbia se pique d'être le "Père Patrie" (FatherLand en VO, en opposition à la "mère patrie" communiste), Columbia a été lancée en 1893 à l'occasion de l'exposition universelle -expo qui a fait construire à un certain Gustave une bien jolie tour-, les vandales du bar de la vidéo sont appelés les "Vox Populi", le peuple anarchiste qui se rebelle (je soupçonne Saltonstall d'en être le chef à ce propos), Elizabeth a été emprisonnée il y a quelques années et Him était devenu son seul ami et quand elle s'est échappée il a voulu a tout prix la retrouver pour la faire sienne.
Elizabeth est née en 1892, l'année suivante Columbia est lancée dans les airs, en 1895 commence à se vendre les bouteilles de "meurtres au corbeau" (1$/bouteille et 5$/6bouteille).
1897 Elizabeth est emprisonnée et "protégée" par Him, en 1905 sont créées les skylines et en 1912 Booker DeWitt arrive à Columbia
Sinon: Oui, bien sûr que je fais passer des émotions, c'est évidemment le but de chaque écrivain (je ne me prétends pas écrivain mais j'écris). Et on a bel et bien finis de parler de la philosophie chiante de Sofia, c'était juste pour planter les bases (bourrage de crâne de Eleanor, opposition à Ryan, idéologie expliquée etc etc), mais maintenant, c'est d'Eleanor que mes prochains chapitres vont parler.
D'ailleurs, mon dessinateur (un professionnel) a peut-être bientôt finis son dessin.
Et au fait, je suis désolé de pas avoir parlé de Ryan Amusements, mais je voulais bien expliquer, faire passer cette émotion, et sans m'en rendre compte, j'avais fait plus de 1000 mots.
Car oui, même si cette été j'ai faits des chapitres de 2000 mots -et pas aérés mais osef-, 1000 ça me semble mieux.
Et moi aussi j'ai trouvé une faute, après relecture.
(sachant que j'ai relu, puis Rebecca puis encore moi pour être sûr).
Pour ceux qui n'ont pas compris: La "conversation" à la fin du chapitre fais référence à l'enregistrement audio "Mr. Magnétophone", qu'on trouve à l'Atlantic Express, juste après avoir rencontré Sofia Lamb, quand on sort de l'eau, y'a un ventilateur, et faut revenir avec le plasmide télékinésie, le plasmide est derrière le ventilateur.
Je l'ai pas trouvé en VF, donc je vous le passe en VO (sachant qu'il est bien mieux à mon sens en VO): http://www.youtube.com/watch?v=H-P9QevD9Wk
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Saloperie d'ordi