salut tout le monde,
je post car j'aurais surement des réponses + completes ici, bref.
Je voudrais savoir quel genre de jeu (même si je m'en doute) est bioshock ?
Enfin fps ok, mais, je flippe un peu pour des choses qui n'en valent pas la peine, et ayant regardé des vidéos de bioshock 1 et 2, je dois dire que l'atmosphere générale n'est pas rassurante pour un mec comme moi
Donc je voudrais savoir si ce nouvel opus sera un peu différent ? Même si les musiques des trailers me font penser l'inverse
Car même si je suis un trouillard ce jeu me semble fort intéressant
Qu'entend tu par "mec comme toi" ?
Sinon, la série des Bioshock est bien plus qu'une simple série de jeu, c'est un concept.
C'est difficile à définir, et bien plus à expliquer car chacun aura sa propre version avec ses variantes.
Ce nouvel opus sera différent dans la mesure ou il ne se passera plus au même endroit premièrement.
Deuxièmement parce que l'histoire n'aura plus aucun rapport avec celle de Rapture narrée dans Bioshock 1 et 2.
Hormis quelques clins d'oeils et easter eggs qui échapperont aux non initiés.
Pour les grosses lignes, il est toujours question d'une utopie dans une ville à l'architecture hors norme, au level-design de génie.
Il est toujours question d'une idée qui foire et tourne à la folie.
À ce sujet on a toujours affaire à des personnages principaux comme secondaires hyper charismatique et à l'histoire travaillé, mais généralement un peu dérangé.
Il y a toujours un aspect laissant chacun réfléchir sur le patriotisme américain et ses rapports face aux autres pays.
Le redneck en gros !
Un côté contestataire à la société parfaite.
Sinon, niveau gameplay il comportera des similitudes avec les 2 premiers opus, et pas mal de nouveautés bien sur.
S'il me vient d'autres ajouts complémentaires à apporter, je te les donneraient
le boss sort un mot qu'il a appris aujourd’hui pour faire classe^^"redneck" xd^^
Ouais, autant que je l'utilise
je vous rassure je connaissais pas ce terme non plus avant tout a l'heure^^
Rien d'autre à dire. Ganon l'a très bien fait !
Sinon, je te conseille d'aller sur BioshockWays.com si tu veux n'importe quelle info sur le jeu. (ou bien entendu le topic des news officielles sur le forum)
Bises
Strawberryapple
Posté le 10 mai 2012 à 22:42:19
je vous rassure je connaissais pas ce terme non plus avant tout a l'heure^^
tu voit ^^
par un mec comme moi j'entends un mec qui flippe sur des jeux vidéos prévus à cet effet et même parfois pour des choses minables xD
Mais merci beaucoup pour la réponse :p
J'avoue que bioshoc infinite m'interesse plus qu'un peu
honnetement jacky,a par de moment max ou t va peut etre faire un bon,tu devrais vite t’imprégner de l’atmosphère et pouvoir profiter du jeu sans avoir trop peur^^
apres comme il n'est pas sorti je parle jsute de mon expérience des deux premiers
bioshock fait pas spécialement peur^^
Je vois apparaître dans ces quelques messages quelques choses qui m'horripilent.
La première :
"Bioshock ne fait pas spécialement peur"
Vrai et faux.
Faux parce qu'il s'agit du premier jeu "sanctifié" PEGI 18 auquel j'ai joué (quelques années maintenant), et bien j'avais tellement la trouille de rentrer dans ce phare que j'ai arrêté la partie après en avoir passé les portes... Si si, pour une première fois, ça impressionne.
Et quand on y réfléchit : il y a beaucoup de choses au fil de Bioshock (les 2 opus) qui légitiment de la peur. Peur que l'on n'éprouve pas. Et c'est bien dommage. On s'imprègne de l'histoire, on se laisse bercer dans le design de la ville enchanteresse, on se laisse jouir à bourriner du chrôsome, mais la folie qui règne dans la ville, la solitude, le désespoir ne nous atteignent nullement. Et c'est la faute à l'interface et au gameplay volontairement "joyeux". Bioshock est une grosse borne d'arcade avec une histoire dedans.
Mais je tenais à développer pour ne pas partir du principe que Bioshock et la peur sont deux notions à proscrire, mais bien pour voir quels mécanismes se cachent derrière. Ils sont trois :
-L'immersion active, équivalente du bourrinage joyeux et de la gâchette facile. Elle est commune à tous les FPS : un joueur "heureux" de tomber sur des ennemis à trouer n'en a nullement peur.
-La dérision volontaire de la part des game designer. Le gameplay jouissif au possible détourne le joueur de ses sentiments, qu'ils soient positifs (oh, c'est bô !) ou négatifs (euh, c'est moche !). La folie des chrôsomes est vecteur d'humour, les petites soeurs sont des pompes à Adam, les protecteurs sont des puching-balls et la magnificence de Rapture ne vous atteint pleinement que lorsque que vous vous arrêtez pour admirer, ce qui équivaut à sortir de l'action, soit sortir momentanément du jeu en lui-même.
-L'habitude. Malheureusement le pire de tous les vices, parce qu'on ne s'y oppose qu'avec labeur. Lorsque je refais "l'évènement du phare", je dois me concentrer pour retrouver l'inquiétude qui m'avait assailli au départ. L'avantage est que l'objet de peur est devenu plus facilement sujet d'extase : après tout, il est beau ce phare...
La deuxième :
"Un level-design de génie" ???
Tu dois vouloir parler uniquement de Bioshock Infinite, parce qu'il n'y a rien de génial dans le level-design des deux premiers, sinon le génie de la linéarité. Soient des niveaux très simples dont l'exploration soit intuitive et attrayante et dont, chaque recoin étant à forte probabilité exploré par le joueur, les mises en scène existent en tout lieu du jeu, ce qui fait qu'on a un peu de l'hisoire de Rapture dans chaque pièce. Restons modestes : un level-design intelligent.
Alors quoi : la diversité des lieux, permettant un approche très différente pour chaque niveau ? Les recoins et petites attentions de relief permettant des passages très variés ? Mouais. L'expression convient vraiment mieux aux niveaux aériens du futur opus, où les combats s'inscriront dans la troisième dimension (verticale). Sinon, je ne vois pas. S'ils avaient vraiment fait de l'extraordinaire dans le level-design, il y aurait eu beaucoup moins de place pour la mise en scène théâtrale chère à Ken Levine. (et moins bien respectée dans le 2).
Sinon, pour comparer, les "jeux qui font peur"...
joue à Dead Space au casque, dans le noir complet, la nuit.
Tu verra ce que c'est, la peur... Wouloulouhlouhhlouhlhhhh !!! hum...
Evidemment, j'approuve tout le reste :
Bioshock est :
-Un concept. A travers les utopies déchues par l'ambition qui a mené la folie. Les villes extraordinaires étant à la fois support et allégorie de cette utopie déchue.
-Un FPS à mise en scène, ayant la particularité de privilégier autant le scénario que l'action, la jouissance du jeu et la beauté de l'environnement. Tout cela baignant dans l'idée du concept décrit plus haut.
-Un jeu anorthophotographique. Soit caricatural. Les personnages et les créatures sont volontairement déformées pour qu'elles servent l'histoire et le jeu tout en personnifiant un sentiment ou une idée.
-Un jeu extrêmement plaisant, qui a deux vies : la première est l'immersion active, la seconde, une fois la fureur du "jeu" en tant que tel partie, est la redécouverte des environnements, l'approfondissement de l'histoire et une meilleure immersion dans le thème de fond.
Vous aurez bien sûr remarqué que ce qui partait comme un coup de sang m'a surtout servi à étaler mon opinion sur la franchise ;) ...
cool ton analyse,je suis loin d’être d'accord avec tout mais c'est cool,moi j'aurais jamais la patience d’écrire un telle pavée sur ce forum et encore moins d'expliquer longuement^^
Je vois apparaître dans ces quelques messages quelques choses qui m'horripilent.
ne trouve tu pas que tu te noie dans une exagération qui décrédibilise d’office tes propos ?
La première :
"Bioshock ne fait pas spécialement peur"
Vrai et faux.
Faux parce qu'il s'agit du premier jeu "sanctifié" PEGI 18 auquel j'ai joué (quelques années maintenant), et bien j'avais tellement la trouille de rentrer dans ce phare que j'ai arrêté la partie après en avoir passé les portes... Si si, pour une première fois, ça impressionne.
Ceci est ton point de vue, pas celui de tout un chacun.
Chaque personne y va de sa propre interprétation personnelle en rapport avec différents facteurs plus ou moins déterminant, tel l’âge, la maturité, l’expérience de jeux passés, l’habitude des films d’horreur ou a tendance horrifique, ou tout simplement une réactivité naturelle plus ou moins forte en adéquation avec la personnalité.
De plus il est à prendre en compte qu’un jeu estampillé PEGI 18 n’est pas forcément à tendance horrifique.
Il peut verser dans la bizarrerie extrême et subjectif, la violence ou encore contenir des rapports plus ou moins prononcés et nombreux à la dr****, au se**, à l’alcool etc…
Ou contenir tout cela à la fois !
Bien sûr, il s’agit ici d’exemples simples, il peut y en avoir d’autres, et de plus complexes.
Là où l’on peut qualifier Bioshock de FPS de par les armes du jeu (même si je ne me rabaisserais pas à une telle bassesse), l’on peut également le qualifier de survival horror dans le sens ou le but est de progresser et de survivre.
Mais la série des Bioshock va bien plus loin, elle transgresse les lois et règles établis, les emprunte pour mieux se les réapproprier, les modèles à travers un moule difforme : les Chrosômes, un exemple de bizarrerie subjectif ET suggestif.
Et ici, l’horreur est majoritairement suggérée, susurrer au cerveau des patients que sont les joueurs.
Car oui, il existe différentes sorte de peur, et ici la peur suggestive, bien que non appropriée par l’intégralité du titre, est prédominante.
Une des preuves tangibles et facilement compréhensible réside dans les enregistrements audio, mais l’ensemble se veut bien plus subtile.
Et cette peur réfléchie perturbe le joueur selon son degré réceptivité à cette dernière, et lors des joutes l’opposant aux adversaires, rajoute une peur sanglante, malsaine et gore qui ne fait qu’amplifier le tout, un amalgame créant un plat des plus digestes.
Mais ne nous fourvoyons pas, on n’éprouve pas forcément cette peur, qui d’ailleurs n’est nullement l’apanage de la série, même si elle en fait partie et contribue à son mythe !
Et quand on y réfléchit : il y a beaucoup de choses au fil de Bioshock (les 2 opus) qui légitiment de la peur. Peur que l'on n'éprouve pas. Et c'est bien dommage.
la encore, cela n’engage que toi, et dois-je rappeler que Bioshock n’a pas été conçu comme un jeu d’horreur ?
Même s’il en reprend certains éléments, l’effet voulu n’est pas de véritablement instaurer la peur, mais bien plus de la suggérer légèrement, tel un assaisonnement léger et subtil que l’on décèle à peine mais qui prouve le génie.
Donc non, ce n’est aucunement dommageable, car au risque de me répéter, la n’est pas le but.
Si les développeurs avaient voulus verser totalement dans le jeu d’horreur, au vu de leur talent synonyme de génie créatif (Ken Levine en tête), ils auraient pu le faire bien facilement.
Mais cela aurait été contraire à la façon de penser de Ken Levine, génie créatif au servie des jeux vidéo.
Ainsi ont-ils volontairement inclus d’autres mécanismes de jeux.
Et, tient, c’est bizarre, tu les cites plus bas, c’est tout à ton honneur, mais tu n’as pas l’air d’avoir réalisé le potentiel qui se cache la derrière ni le réel but ?
Si tu veux un vrai jeu d’horreur, joue à Dead Space avec un casque la nuit comme tu le dit si bien toi-même, ou au premiers Resident Evil et Silent Hill !
Alors bien sûr, la liberté d’expression est légitime et fondée, et chacun a le droit de penser comme il le souhaite.
C’est ce qui fait ce monde, la différence de tout un chacun.
Si tout le monde pensait pareil, le monde serait alors d’un monotone et d’un monocorde.
Cependant, ceci n’empêche en rien de prendre en compte les avis des autres.
Je pense que tu n’as pas réalisé le bien fondé de tout ceci, mais je ne puis me permettre de juger une personne qui soutient aussi assidument une thèse quelconque, ici je parle en général, et qui la défend avec autant de ferveur.
On s'imprègne de l'histoire, on se laisse bercer dans le design de la ville enchanteresse, on se laisse jouir à bourriner du chrôsome, mais la folie qui règne dans la ville, la solitude, le désespoir ne nous atteignent nullement.
Et c'est la faute à l'interface et au gameplay volontairement "joyeux". Bioshock est une grosse borne d'arcade avec une histoire dedans.
Je sais, je vais me répéter, mais là encore cela n’impute qu’à toi, tout simplement !
Je pense juste m’être assez exprimé pour ne pas avoir à le faire encore ici.
Mais je tenais à développer pour ne pas partir du principe que Bioshock et la peur sont deux notions à proscrire, mais bien pour voir quels mécanismes se cachent derrière.
Ils sont trois :
-L'immersion active, équivalente du bourrinage joyeux et de la gâchette facile. Elle est commune à tous les FPS : un joueur "heureux" de tomber sur des ennemis à trouer n'en a nullement peur.
-La dérision volontaire de la part des game designer. Le gameplay jouissif au possible détourne le joueur de ses sentiments, qu'ils soient positifs (oh, c'est bô !) ou négatifs (euh, c'est moche !). La folie des chrôsomes est vecteur d'humour, les petites soeurs sont des pompes à Adam, les protecteurs sont des puching-balls et la magnificence de Rapture ne vous atteint pleinement que lorsque que vous vous arrêtez pour admirer, ce qui équivaut à sortir de l'action, soit sortir momentanément du jeu en lui-même.
-L'habitude. Malheureusement le pire de tous les vices, parce qu'on ne s'y oppose qu'avec labeur. Lorsque je refais "l'évènement du phare", je dois me concentrer pour retrouver l'inquiétude qui m'avait assailli au départ. L'avantage est que l'objet de peur est devenu plus facilement sujet d'extase : après tout, il est beau ce phare...
comme j’ai dit plus haut, ceci est volontaire, même si je rejoins parfaitement tes dires.
Car en effet, les 3 mécanismes que tu décries sont justifiés.
Je me permets juste de clarifier certains points.
Tu évoques dans ton premier point le « bourrinage joyeux », cependant, celui-ci est logiquement bien plus présent dans le 2ème opus, une évolution cohérente dû au fait que l’univers de Rapture et donc l’aspect découverte de son architecture qui en résulte est évincé.
Dans le 1er opus les ennemis sont moindres et clairsemé, une seule preuve atteste de la véracité de mes propos : les séances avec les « anges » dans Bioshock 2, mais là encore, le génie des développeurs contrebalance un aspect qui aurait pu s’avérer bourrin et répétitif.
Comment me demanderiez-vous ?
En incluant un fort aspect tactique nécessaire, notamment dans les strates les plus élevés de la difficulté.
Ce qui ici aussi est vecteur d’insécurité, de stress et d’angoisse, car s’en sortir vivant est une gageure, facteur des jeux d’horreur !
Un autre point fort démontrant le côté bien plus orienté action, mais toujours incluant un aspect angoissant (tout le monde se souviendra du cri glaçant qui annonce son arrivée) réside en la personne d’un seul ennemi, qui vient contrebalancer tes explications : la Grande Sœur http://www.google.fr/imgres?q=grande+soeur+bioshock&hl=fr&biw=1920&bih=994&gbv=2&tbm=isch&tbnid=8kDYltBVE0_ozM:&imgrefurl=http://fr.bioshock.wikia.com/wiki/Grande_Soeur&docid=aRc55v5NqVIG7M&imgurl=http://images.wikia.com/bioshockfrance/fr/images/f/fb/Big_sister_final_01.jpg&w=400&h=392&ei=snSuT-rpI4Tv8QOp3NSZCQ&zoom=1&iact=hc&vpx=373&vpy=138&dur=475&hovh=222&hovw=227&tx=137&ty=110&sig=118356042653869270686&page=1&tbnh=143&tbnw=146&start=0&ndsp=45&ved=1t:429,r:1,s:0,i:73 , je doute que la majorité des joueurs n’en ai point peur, même s’ils apprécient, comme moi, ses combats bien dur.
Car oui, l’un va très bien avec l’autre, on peut craindre son arrivée, mais l’apprécier aussi, bien que cela paraisse être un mariage impossible !
Le mode ultime de difficulté de la PS3 du premier opus de Bioshock vient aussi à l’encontre de tes explications.
Car il force le joueur à se la jouer Solid Snake et à économiser les munitions qui de plus se font, comme les trousses de soins et seringues, rares.
Dans ton second point tu évoques la dérision volontaire de la part des games designers, ceci rejoint ce que j’ai dit plus haut, il était plus question ici d’inclure une ambiance particulière, savant mélange entre de l’horreur, du gore et du grotesque, ce qui ici fait balancer les sentiments du joueur entre horreur et comique.
C’est un effet de style voulue et bien vue dans un jeu vidéo.
Dans ton troisième et dernier point il est question de l’habitude.
Hormis si un jeu dispose d’une excellente rejouablité à même de varier chaque partie, elle est commune à bon nombre de jeux.
Mais rejoue à un Resident Evil ou à un Silent Hill auquel tu as déjà joué, des années après, et ton point devrait en partie s’éclaircir.
Et puis, chaque personne grandie et évolue.
Ainsi, logiquement, ce qui était une peur avant ne l’est plus forcément aujourd’hui.
Il convient de prendre cela aussi en compte dans tout calcul.
Je n’ai plus rien à rajouter, et je commenterais le reste plus tard !
Enjoy
Je tiens à rajouter que Bioshock est avant-gardiste avant tout pour cloturer ma réponse au premier point qui "t'horripile" !!!
mdr bien jouez boss^^ et il es vrai,que pour l'ambiance,le jeu en extreme change les chose,et rétablie la véritable ambiance du jeux,mais ces mon opinion^^
C'est la mienne aussi
C'est la mienne aussi
nos somme tout deux d'un grand esprit seigneur ganon ou plus intimement pour certains.BOSS.
pardonnez moi xd je me sens plus^^
C'est pas grave
Strawberryapple
Posté le 10 mai 2012 à 22:37:41
le boss sort un mot qu'il a appris aujourd’hui pour faire classe^^"redneck" xd^^
moi aussi j'ai appris un nouveau mot
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Ganondorfzl
Posté le 10 mai 2012 à 22:33:07
Qu'entend tu par "mec comme toi" ?
.../...
même moi qui ne connais pas cet univers, je trouve tes explications concrètes et convainquantes, en tous les cas, tout est dis
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Tenebryon
Posté le 12 mai 2012 à 01:02:13
Je vois apparaître dans ces quelques messages quelques choses qui m'horripilent.
j'ai bien apprécié aussi les arguments de Tenebryon, c'est ce qui s'appelle des avis et des contres-avis, ça a le mérite d'être un topic ouvert au dialogue et surtout au respect des opinions de chacun
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Ganondorfzl
Posté le 12 mai 2012 à 16:50:38
Je vois apparaître dans ces quelques messages quelques choses qui m'horripilent.
ne trouve tu pas que tu te noie dans une exagération qui décrédibilise d’office tes propos ?
par la même, force de constater que l'on a affaire à deux connaisseurs qui ont des avis qui se départage par moment, mais ici, sur le forum de Bioshock Infinte, ça sera difficile de trouver des avis contraire à celui de Ganondorfzl
Par rapport à sa CDV et aux avis que j'ai pu y lire jusqu'à aujourd'hui (je les ai tous lu), j'avouerais que c'est lui qui est à mes yeux le plus crédible sur ce coup
Même si je ne suis pas un expert ni même un joueur averti, j'aurais largement tendance à le suivre, d'une part par sa crédibilité, d'autre part, parce que ses connaissances en jeux ne sont plus à prouver
Conclusion Jacky, tu peux faire confiance à Ganon, tu ne seras pas déçu, car tout le monde sur BI, plussoie son raisonnement
Moi le premier
En tous les cas, chapeau pour vos échanges à Ganon et Tenebryon, c'est ce qui s'appelle du dialogue dans le respect de chacun, avec ce petit plus, que vos pavés ont le mérite d'être appréciable à lire, que ça permet d'avoir des avis et leurs contraires, si avec ça, on se fait pas une idée constructive, c'est grave
Tiens, Tenebryon n'est pas repassé, comme c'est étrange
Conclusion Jacky, tu peux faire confiance à Ganon, tu ne seras pas déçu, car tout le monde sur BI, plussoie son raisonnement
merci ^^
En tous les cas, chapeau pour vos échanges à Ganon et Tenebryon, c'est ce qui s'appelle du dialogue dans le respect de chacun, avec ce petit plus, que vos pavés ont le mérite d'être appréciable à lire, que ça permet d'avoir des avis et leurs contraires, si avec ça, on se fait pas une idée constructive, c'est grave
pas de quoi ^^
Au fait, tu a lu tout mes avis? Même les derniers ?
(• réponse à formuler sur le blabla •)