comme quoi

Ouais, je vais continuer sur la lancée
J'ai presque fini.

AAAAAAH je suis dégouté ...
J'ai remarque mon texte était beaucoup trop long (digne d'une fic) et j'ai du raccourcir à mort ! du coup j'ai perdu clarté, littérature etc
A la relecture j'ai trouvé sa pathétique. Mais bon je le post quand même.

J'espère en faire une fic digne de ce nom un jour

Note que tu peux aussi poster la version complète ailleurs que dans ce concours

C'est d'ailleurs se que je ferait peut être sous forme de fic. Si j'en ai le temps ...

Cay l'heure

Farpait, l'heure de l'écrit est terminé, place aux votes ! Nous avons cinq candidats, voici leurs textes :

Fra'yunai, par Milleuros.

Le soleil etait au zénith.
Fra'yunai venait de s'en apercevoir,
mais le soleil etait au zénith.
Et son armée, au crepuscule de la vie.

- Prophete ?
- Oui ?
- Leur titan vient de detruire la batterie de canon a distorsion, et la compagnie de gardiens a etait annihilé...
- C'etait un noble sacrifice... Ordonnez l'assaut des Nightwing, concentré vous sur le marcheur de ces barbares !
- Bien grand prophete...

Warlord...meme le nom de ces machines imperial n'inspirait que le degout et la pitié, pensa Fra'yunai.

***

- En avant, nous devons l'occupez ! rugit ter'no, le pilote de Nightwing.
- En avant !

La multitude de chasseur fonça vers le titan imperial, cherchant a le cribler de shuriken et de tir laser.

***

- RAPPORT D'AVARIE ! hurla le princeps pour se faire entendre.
- Boucliers 1 hors service, mais leurs armes ne peuvent guere nous causer plus de degats. lui repondit la radio.
- Alors, aneantissons ces Xenos, cet maudite cité-ruche ne tombera pas seul. PAS DE PRISONNIER !

***

- Quer'no ?
- Oui prophete ?
- Ordonnez au titan archonte de lancez l'assaut, que les titans fantome attaquent les flancs, l'heure est venu !
- Bien prophete, pour les eldars !

***

- Visez correct, tirez avec la lance psychique.
- Bien pilote.

Le tir psychique partit, malheureusement, il rata le Warlord imperial, et atteignit a la place une formation d'infanterie imperial, les laissant dans un état de totale stupidité et de vide mental.

- Seigneur pilote ? Le warp me dis que le prochain tir du titan se portera sur le secteru Alpha-34.
- Esquiver, puis stoppez les machines !
- Stoppez les.. mais, nous serons plus exposé !
- c'est un risque a prendre si nous voulons pouvoir faire feu de toute nos armes.
- Bien seigneur pilote.

Comme prevu, le tir du Warlord ne toucha pas le Caurifelliann (= Géant ou Guerriers aux longues jambes ) . Puis le titan archonte eldar stoppa ses deplacements.

- C'est ici que tous se joue ! Preparez les batterie a distorsion des ailes !
- Batterie prete !
- Mettez le Canon pulsar en joue !
- Paré a faire feu.
- TIREZ ! ANEANTISSEZ CES MAUDITS IMPERIAUX !

La batterie de canon a distorsion tira, creant des trous noirs au millieu des rangs de fantassins ennemie, alors que le canon pulsars, manquant de precision, cribla le titan de laser, ainsi que les gardes imperiaux alentours. L'arme la plus devastatrice fut la lance-psychique, qui donna le coup de graçe au Warlord, qui percuta le sol dans un grondement sourd, ecrasant plusieurs formation ennemies sous lui.

- Continuons ! Ordonna le pilote du Caurifelliann.

***

Le soleil etait au crepuscule.
Fra'yunai venait de le remarquer,
mais le soleil etait au crepuscule.
Et son armée, au zenith de la vie.

Erf, il est de Gulliman cuila >_<

Le Prisonnier, par Milleuros (chui sur ce coup là >_<!)

Un cachot humide, dans les environs d'une des nombreuses cités-ruche qui jonchent l'Impérium. Caché dans l'ombre d'un recoin, quelqu'un observe à travers le soupirail. Sa peau pâle, ses oreilles pointues et la profondeur de son regard trahissent ses origines.
Entre les barreaux, il a de la peine à discerner les contours de la cité, à travers la brume verdâtre. Il ne perçoit que le lointain grondement de vieilles machines. Répugné, il s'abaisse pour essayer de se souvenir une nouvelle fois. Seules quelques images lui reviennent : l'intensité de la bataille, la grenade qui atterrit à ses pieds, le réveil dans une salle sombre, l'Inquisiteur, la seringue amenée vers son coude. Il n'arrive pas à rappeler d'autres fragments du souvenir.
Il s'avance vers le second soupirail. Il peut distinguer une grande plaine, foulée par un trio de ces machines gargantuesques, les titans. Une aire d'entraînement, devine-t-il. Il se surprend à sourire en voyant les monstres de métal déverser un déluge d'obus sur de misérables cibles d'entraînement. Il sait que ça ne servira à rien, les prescients ont vu ce qui va se passer. Et lui, il aura peut-être le malheur d'y assister.
Il cherche à s'enfuir depuis ce qui lui semble être une éternité. Il ne voit aucune solution. Les deux fenêtres sont trop petites, et le cachot est protégé par un puissant champ de force, qui semble impénétrable. Bien que primitif, l'Impérium a construit des choses remarquables, se dit-il. Et même s'il parvenait à s'extirper de sa prison, il serait rapidement rattrapé, et tué. Mieux vaut attendre. Il s'allonge sur la planche en bois, et s'endort rapidement.

Soudain, il est brutalement réveillé par un puissant sifflement. Il le reconnaît, c'est le bruit de ce que les Orks primitifs appellent des réacteurs. Il bondit vers le soupirail nord et voit avec effroi un gigantesque amas de tôles et de débris qui se précipite droit sur la prison, sous le feu nourri du trio de titans. Prévoyant l'impact, il se blottit dans l'endroit qui sera le moins exposé, là où il aurait le plus de chances de survivre. Ces primitifs sont vraiment imprévisibles, pense-t-il, même les meilleurs prescients ne les avaient pas vu venir.
Le sifflement se transforme lentement en un grondement sourd, à mesure que le vaisseau s'approche. Soudain, c'est l'impact. L'insupportable déchirement de tôles se mêle à un cataclysme d'explosions en tous genres. Enfin, le réacteur à fusion est touché lui aussi, et se transforme en une gigantesque boule de feu qui balaie le complexe pénitencier et va jusqu'à brûler l'astroport de la cité-ruche.
A mesure que l'explosion disparaît, de plus en plus de cris se font entendre. Des hurlements appelant au combat, des cris d'origine ork. Seule une petite partie de leur clan a survécu, mais ils sont des milliers à quitter les ruines fumantes.
Dans sa cellule, il a survécu. Le champ de force a miraculeusement tenu bon. Les murs blindés alentours ont été déchiqueté. Son bras gauche le fait souffrir, les os se sont cassés. Mais sans ça, il est indemne, et peut maintenant s'échapper. Il pensera à remercier les orks. La prison est en ruine, et les centaines de prisonniers ont été vaporisés par l'explosion.

A peine s'est-il extirpé des débris de sa prison qu'il voit l'Inquisiteur de son souvenir. L'humain tient une grande épée énergétique, et, à peine voit-il l'Eldar qu'il charge, hurlant des insultes et invoquant son Empereur. "Pitoyable humain", pense-t-il. Une aura bleue se forme autour de lui, et un rayon part de sa main pour aller foudroyer l'Inquisiteur. Mais ce dernier est coriace, et continue de charger, son corps se pliant sous la douleur. Soudain, l'impérial fait une roulade sur le côté et se dégage de l'attaque, avant de reprendre sa charge. "Le combat devient intéressant", murmure-t-il. Il envoie une autre charge, petite, afin de ralentir son adversaire et de le faire trébucher. Ne lui laissant pas le temps de se relever, il commence à flotter dans les airs. L'aura bleue s'agrandit, et des sphères rouges apparaissent autour de la tête des combattants.
D'un seul coup, les voilà les deux sur une plateforme flottant dans un univers irréel, composé d'énergie rosée. "Un duel d'esprit dans le Warp", dit-il à l'Inquisiteur en guise d'explication. Tous deux se tiennent face à face. Leurs corps sont maintenant d'un bleu électrique translucide, et ils portent tous deux une épée tout aussi translucide. L'impérial a de la peine à se mouvoir, il trébuche aussitôt qu'il se relève. L'Eldar, quant à lui, se déplace avec une agilité et une grâce phénomènales. Il s'amuse de constater que les terrifiants Inquisiteurs ne sont que des esprits faibles. Alors que son adversaire arrive enfin à tenir debout et à donner des coups dans le vide, l'Eldar se met en garde, la lame pointée vers l'avant, avant de bondir à l'attaque. Il assène un premier coup, attaquant la droite de l'Inquisiteur, mais ce dernier réussit à le contrer, et à contre-attaquer. Le coup s'avère trop lent, et il réussit à l'esquiver sans trop de problèmes. Au moins cet humain arrive à se battre, se dit-il. Il charge de nouveau, et attaque en faisant monter violemment sa lame. Le coup rencontre l'épée ennemie. L'Inquisiteur la lâche sous la puissance de l'impact. L'Eldar saute par-dessus son ennemi, et le frappe d'un coup de pied dans le dos, ce qui le plaque à terre. Il s'avance, fait tournoyer sa lame, puis la plante à deux mains dans le corps de son ennemi. Un gigantesque éclair blanc balaie la zone, et ramène l'Eldar au milieu des débris. Il ouvre les yeux, et voit l'humain se tordre de douleur, s'effondrer dans un cri d'agonie. Dans un dernier souffle, l'Inquisiteur maudit tous les xénos et psykers, et implore son Empereur. "Ton Empereur est mort depuis longtemps, imbécile !". Il s'empare de l'épée énergétique de l'impérial, et quitte rapidement la zone dévastée, laissant derrière lui un cadavre inerte, figé dans une vision d'effroi. Il doit rejoindre une porte Warp assez proche.
Il découvre avec stupeur et amusement que la plaine où s'entraînaient les titans est maintenant un gigantesque champ de bataille, balayé par les explosions et les tirs en tous genres. Cette confusion lui permettra de s'enfuir sans attirer l'attention.

Il s'approche rapidement du portail. Soudain, il s'arrête net. Il se retourne, une larme se formant gentiment à son œil droit. "Adieu, monde de fous", prononce-t-il lentement, avant de s'effondrer, un trou rouge sang au milieu du front.

Le Vindicare abaisse son arme. Il vient d'accomplir sa mission : éliminer l'un des plus grands archontes d'Alaïtoc.

Evasion spectaculaire, par stealer.

Cela faisait plusieurs jours que Gryzee pourissait dans les cachots de la ruche Jerka. Il avait été arrêtés pour un soi-disant trafic d'armes (en fait son inséparable fusil kroot). Il n'avait pas particulièrement été maltraité mais le manque d'eau et de nourriture commençait à se faire sentir.

Soudain une grande explosion se fit sentir et de nombreux cris retentirent. Gryzee s'approcha de la grille et entendit les gardes crier. Quelque uns se réfugièrent dans la pièce des cellules où ils se barricadèrent. Gryzze était un chasseur intuitif, un mentor doué et un guerrier puissant. Il savait que cette situation était favorable à son évasion. Peut-être pas à sa survie mais au moins à son évasion. Les gardes commencèrent à se détendre quand il n'entendirent plus de crissements dans la salle d'au-dessus. Gryzee se prépara à agir comme son voisin de cellule, un eldar noir un teint pâle, aux cheveux noirs, au visage fin et dur et aux pomettes hautes. Gryzee essaya de se rappeler son nom... quelque chose en -al. Diftéral c'était ça. C'était d'après ses dires un guerrier et un assassin. En tout cas il savait être discret et avait déjà voler plusieurs choses aux gardes comme des aliments qu'il avait généralement partagé avec les autres prisonniers.

En tout cas il se préparait à agir. Un des gardes s'arrêta près de sa grille. Il ne le remarqua pas mais Diftéral lui piqua sa carte magnétique. Puis il l'envoya d'une main experte (lanceur de shuriken ?) dans la fente qui ouvrait toute ls cellules. Une dizaine de prisonniers dont quelques guerriers se jetèrent sur les cinq pauvres gardes. Gryzee était content. Il évita un coup de baïonnette d'un garde et lui broya la gorge à mains nues. Je m'emparai de son fusil mais les autres gardes étaient déjà mort.

Puis un crissements d'insectes retentit. Cette fois Gryzee parvint à reconnaître le son, les pitres ennemis des kroots, les corrupteurs d'ADN : des genestealers. Six genestealers se jetèrent sur les prisonniers. Gryzze fut envahi par la rage. Il se jeta sur le premier genestealer qui, surpris, eu un léger temps d'arrêt. Mais il évita quand même la baïonnette de Gryzee. Celui-ci projeta le genestealer contre le mur puis lui enfonça la baïonnette dans le torse. Mais un autre genestealer se jeta sur lui et le projeta au sol. Gryzze le maintenait à distance grâce au canon de son fusil et les macoîres claquaient à quelques centimètres de son bec et l'haleine fétide parvint jusqu'aux narines de Gryzee. Puis une dague traversa la tempe du genestealer.

C'était Diftéral qui était intervenu. Il avait tué pas moins de trois genestealer à lui tout seul. Seul un autre prisonnier était encore debout mais plus pour longtemps à en juger par son état.

Ils remontèrent en haut et y retrouvèrent leurs armes; Gryzee s'empara de son vieux fusil kroot. Les taus , au moment où il travaillait encotre avec eux lui envaient proposé un meilleur mais il l'avait refusé sachant pertinamment que l'habitude qu'il avait avec son fusil compensait tout manque de puissance. Et le lames aux deux côtés étaient bien partique une fois arrivé au corps-à-corps. Il se pencha pour manger un peu de la viande des gardes impériaux. Elle n'était pas corrompue. Il s'empuiffra à pleine bouchées.

-Bonne chance.

Il reconnut la voix de Diftéral qui s'était exprimé dans un Kroot parfait (Gryzee n'aimait pas parler tau ou gothique). Il se redressa rapidement maisla salle était déserte; Il finit de manger, enfila quelque pièce d'une armure carapace du seul Karskins de la caserne et sortit.

La ruche n'était plus qu'un champ de ruine. Toutes les premières rangées de batiments avaient été détruites et les tyranides progressaient à couvert en éliminant toutes les poches de résistance. Les derniers défenseurs impériaux s'étaient retranché dans les derniers bâtiments intact.

Gryzze progressa à couvert vers le spatioport. Là-bas il trouverait une navette qu'il arriverait à piloter jusqu'à une autre planète.

Soudain un des premiers bâtiments disparut dans une explosion verte qui secoua toute la ruche. Un hiérodule venait d'arriver sur le champ de bataille. Gryzee sentit la peur lui serrer les tripes et courut en direction de l'arrière de la ville. Il fut aperçu par cinq gardes impériaux qui commencèrent à ouvrir le feu sur lui. Il se précipita au contact en épaulant son fusil. Il tira et fit un mort. Les gardes sortirent leur coutelas mais il fut plus rapide. Il planta l'une des deux lames de son fusil dans le ventre d'un garde et l'autre dans sa tête puis il opassa la première lame derrière le cou d'un garde et le lui trancha d'un geste sec. Il se remit en position de défense face aux deux gardes restants. L'un d'eux attaqua mais ce fut une feinte et l'autre lui fit tomber son fusil. Mais Gryzee n'était pas désarmé pour autant et il prit le bras d'un garde et le projeta dans le vide qui s'ouvrait à coté d'eux. L'autre attaqua mais Gryzee lui stoppa le bras et lui arracha toute le côté droit de la tête d'un puissant coup de bec. Il récupéra son fusil et regarda en contrebas.

C'était les pièces d'artillerie de la garde qui maintenait légèrement les tyranides à distance. Il y avait un char super lourd, au canon générateur de séismes, six basilisks et trois leman russ chasseurs. Une baneblade fit son apparition et ouvrit le feu sur le hiérodule. Mais il ne mourrut pas et il fit feu sur la baneblade qui explosa dans une gerbe d'acide. L'explosion souffla tous les artilleurs et Gryzee. Quand il se releva il vit des rôdeurs sortirent du sol et se jetèrent sur les chars. Une autre décharge de plasma plus précise mit fin au jour de l'autre char super-lourd.

Sachant que l'ambiance allait devenir très malsaine, Gryzee courtu vers un bâtiment proche pour s'y abriter. Il se cacha dans l'ombre. Mais une griffe lui transperça l'épaule et il s'effondra au sol. Il se releva d'une roulade et se retourna. Au lieu d'un genestealer c'est un lictor qui lui faisait face. Cétait déjà un adversaire de choix en temps normal mais avec sa blessure Gryzee n'avait aucune chance. Il s'enfuit.

Il sautai de toit en toit. Mais la bête était toujours derrières lui. Soudain il trébucha et le lictor se jeta sur lui. Il lui immobilisa les membres. Il s'apprêtait à le goûter. Gryzee ferma les yeux et commenca à prier (fou comme dans ces moments là on devient croyant). Mais la fin n'arrivait pas. Il rouvrit les yeux. La tête du lictor était toujours là mais du sang chaud en goûtait. Gryzee se releva en s'extirpant de dessous le lictor. Un tir de haute puissance. Soit un fuseur soit une arme à impulsion.

Un grand rugissement se fit entendre. Un manta descendit du ciel. Le hiérodule, parvenu au contact des premiers bâtiments, tourna sa tête vers liu pour cracher son plasma mais le manta ouvrit le feu et des tonnes d'explosifs s'écrasèrent sur le titan tyranides. Celui-ci s'effondra au sol.

-Mentor Gryzee ?

Gryzee se reourna et vit une exo-armure Stealth.

-Oui.

-Allez garder le vaisseau qui se trouve derrière ces ruines s'il vous plait.

-J'y vais.

Gryzee escalada les ruines tandis que l'exo-armure repassait en mode camouflage. Il tomba sur un Valkyrie modifié de toute évidence. Il se posta devant la rampe d'accès quand une silhouette arriva en courant. Il épaula son fusil kroot et se prépara à tirer. Puis il reconnut la silhouette : Diftéral. Il n'arrivait pas à tirer, il devait la vie et peut-être plus à l'eldar noir. Celmui-ci arriva tout près et envoya une beigen au kroot qui l'envoya s'écraser par terre insconscient.

Gryzee se réveilla dans une salle de soins de toute évidence tau. Ce qu'ikl ne comprenait pas c'ets pour quoi il se réveillai dans une salle de soin avec des blessures pourtant vielle. Un tau s'approcha de lui.

-Vous êtes convoqués devant la cour martiale du bien suprême pour y recevoir la sentence dû à un abandon de poste et une rébellion contre les autorités taus.

Voilà pourquoi on ne l'avait pas soigné. Il allait de toute façon mourir. Le bien suprême était patient mais implacable une fois la patience arivée à son terme.

-Suivez moi je vous prie.

Il songea un instant à tuer le tau et réalisa qu'il y avait deux guerriers avec des carabines à impulsion prêts de la porte. Il suivit sans opposer de résistance.

Mais au moment où il passa dans le hangar une violente secousse secoua le croiseur. Gryzee saisit ce qui serait son unique chance et se précipita vers un vaisseau. Il s'installa dedasn et décolla. Avant d'avoir pu esquisser un geste les portes volèrent en éclat et il s'engouffra dans le vide spatiale. Il s'éloigna le plus rapidement possible et continua en direction du monde impérial le plus proche. Là où il pourrait recommencer une nouvelle vie loin des taus et de leur foutue bien suprême.

Un Valkyrie le dépassa alors et Gryzee reconnut Diftéral à travers la vitre blindée. Celui-ci le salua et mit plein gaz et s'éloigna rapidement. Gryzee avait une dette envers ce gars là. Il commenca à amorcer la descente vers un monde impériale. Une planète dénomée Jargar.

Dea-Vio pénbétra dans la chambre de l'éthéré.

-Le prisonnier c'est enfui.

-C'est regrettable. Préparez une petite force d'expédition à laquelle vous vous joindrez pour appliquer la sentence.

-Vous savez il est encore à portée peut-être que par les ondes...

-Non je veux que la sentence soit appliqué dans les règles !

-Bien je prépare l'expédition tout de suite.

Dea-Vio se retira laisant l'éthéré seul.

-Tout de même...jamais vu un kroot qui cherche tant à échapper au bannissement du système tau.

La mort incarnée.(souligné et centré!) par Darktemplar73

Peut-être, oui. Peut-être la chaleur lui jouait-elle des tours. Elle persistait, même en cette fin d’après midi. Mais il se tenait, fièrement et courageusement, à son poste, le PRE-202.

Et, du haut des vingt-cinq mètres du rempart, ce qu’il voyait arriver n’était de toute évidence pas un mirage, ou une quelconque autre illusion de l’esprit.

Ayant toujours vécu sur Dustran, un monde-ruche désertique de l’Ultima Segmentum, Seld Morin avait l’habitude des tempêtes qui faisaient rage tout autour de la cité, surtout en cette période.

Néanmoins, il savait que ce qui approchait n’était pas une tempête. C’était bien pire.

Cela faisait maintenant deux semaines que le gouverneur planétaire avait averti les officiers supérieurs de la Garde Impériale en charge de Vinburn. Et ces derniers avaient eu le temps de se préparer. Les neuf régiments de Tallarn ainsi que les 350 000 hommes des Forces de Défense Planétaire étaient prêts. Au total, plus d’un demi-million de soldats étaient sur le pied de guerre. Au simple ordre d’un homme, la cité-ruche Vinburn pouvait devenir le pire cauchemar de n’importe quel assaillant.

La seule ombre au tableau, c’était qu’on ne pouvait pas considérer l’attaquant comme le dernier venu.

Le Chaos, pensa sombrement Seld. A cette seule allusion, son subconscient lui fit se rappeler les horreurs que l’Empyrean pouvait rependre sur une planète qu’il assaillait.

Mais la Garde ne faillirait pas. Le Marteau de l’Empereur écraserait ses ennemis, et nul ne se relèvera.

Seld ne savait pas pourquoi sa cité allait subir une attaque des Puissance Noires, et au fond, il s’en foutait, tout ce qui lui importait désormais, c’était de tuer autant de ces salopards que possible.

Assis sur un trône de métal recouvert d’une fine pellicule d’or, le seigneur Dogert, gouverneur de Dustarn, réfléchissait. Fallait-il les livrer à l’ennemi, pour le bien de la ruche ? Ou, au contraire, devait-il les garder dans les entrailles de la ville, pendant que ses soldats se battraient et mourraient dehors. Simplement pour deux hommes. Deux traitres. Deux hommes qui s’étaient condamnés eux-mêmes.

Dogert considéra avec une pleine attention ses options. S’il optait pour la première solution, il n’aurait même pas la certitude que la ruche sera épargnée. Pourquoi le Chaos ferait-il simplement demi-tour en ayant eu ce qu’il voulait ? Et, si jamais il survivait, la vérité éclatera inévitablement au grand jour, et il sera exécuté pour trahison envers l’humanité et l’Empereur-Dieu.

Non, il lui fallait combattre, il lui fallait combattre et vaincre.

Le poste 202 du Rempart Est lui offrait toute une vue sur l’armée qui s’étalait hors de porté de l’artillerie fixe de la ruche. Et par l’Empereur Dieu, qu’elle était immense ! Le capitaine Seld n’arrivait même pas à estimer leur nombre, ce qui en disait long sur le nombre des forces ennemies. Un million, ou plus, il n’en savait rien. Qu’importe. La ruche tenait debout depuis plus de trois mille ans, ça n’était pas aujourd’hui qu’elle s’effondrerait.

Deux jours après, Seld ne savait plus quoi penser. L’assaut avait été lancé, et bien entendu, le Chaos envoyait ses esclaves pas milliers. Pas un seul ne parvenait à toucher les immenses murailles de la ville, mais c’était précisément ce que recherchait l’ennemi. Epuiser les défenseurs et les munitions de la cité, pour ensuite lancer a l’attaque leur élite. Et, bien que personne ne l’ait mentionné, tout le monde redoutait ce moment.

L’artillerie longue portée du Chaos, profitant que les canons de la ruche repoussaient les cultistes, avait commencée à donner de la voix, mais ça n’était pas deux jours de bombardement qui allait venir a bout des dix mètres d’épaisseur de ferro-béton qui constituaient les remparts de la ruche.

Les jours passèrent ainsi, rythmés par les assauts et les bombardements incessants, à croire que l’ennemi disposait de chair à canon en quantité illimitée. Mais la ruche tenait bon, bien que les artilleurs commencèrent à choisir leurs cibles avec plus de soins.

Au début de la deuxième semaine de siège, un appel à l’aide accusa réception. Une flotte importante des vaisseaux impériaux avait intercepté le message et dévié sa trajectoire sur Dustran. Les défenseurs pouvaient espérer des renforts dans une semaine. Tout n’était pas perdu.

Et les remparts tenaient bon, tels une digue face à une marée, un digue immense, mais la marée n’en était pas moins tout à l’échelle. Les premières fissures étaient apparues, et des compagnies entières prenaient place derrière, appuyé pas des cohortes de blindés, prêts a repousser la moindre incursion.

Dogert observait la ruche en contrebas. Du haut de la spire supérieure de la cité, il pouvait apprécier pleinement les combats. Ou du moins le massacre a sens unique. Il comprenait les enjeux de ce siège. Il comprenait pourquoi des hommes mourraient en dessous de lui. Si les prisonniers venaient a lui échapper, ils feraient deux hôtes de choix, approuvés par les Seigneurs Noirs pour le retour de deux de leurs plus puissants serviteurs. Si cela venait a se produire, le Chaos gagnerait encore en puissance, et nombre de mondes seraient détruits, voir pire. La nuit commençait à tomber. Les ténèbres recouvrirent la planète. Mais au loin, une ombre dans les ombres se dressa. Sa noirceur était inégalée, et sa simple vue fit trembler Dogert, bien qu’il ne comprit pas pourquoi. Ça ne sera que quelques heures plus tard, lorsqu’il verra une immense boule de plasma surchauffé foncer droit sur la spire principale pour le tuer, qu’il comprendrait.

-Capitaine ? Capitaine Morrin, que vous arrive-t-il ?

Seld Morrin fixait l’horizon de ses prunelles marron depuis cinq minutes déjà. Et ce qu’il voyait arriver lui arracha un sentiment de désespoir. Son estomac se noua, et la peur le prit, aussi soudainement que survenaient les tempêtes sur Dustran.

-Capitaine ?

Son ordonnance lui tendait une tasse de café fumant.

- Le Dies Irae. Nous sommes tous morts.

Gentlemens ! A vos votes !

je voterai ce soir (au cas ou il y ai d'autre arrivant de dernière minute)

A quelque con j'ai oublié le titre
AZEE c'est en faite le nom de fichier que j'ai mis au pif (j'était pressé)

Je donne donc à mon texte le titre suivant :
"La fin n'est qu'un recommencement"

Pfou, déjà lu presque tous les pavés. Plus qu'un

Bon ...
Le choix est dur. Tous les textes que j'ai lu (je n'ai pas lu le mien) sont excellents, j'ai eu beaucoup de plaisir à les découvrir.

Pour moi, le meilleur texte était "La mort incarnée", par Darktemplar73. Une évolution des événements relativement intéressante, pas de détails superflus, et une fin qui laisse le lecteur imaginer la suite des événements.
La seule question que j'aurais, c'est : "C'est quoi le Dies Irae ?"

Le Titan du Chaos le plus tristement célèbre, leader de la Légio Mortis. De classe Impérator, préciserais-je

Qui finit par ce faire détruire par un valeureux Warlord lors d'un siège mené par les Iron Warriors. Le Titan de la Légio lui a arraché son réacteur plasmique.

Les connaisseurs se souviendront qu'il servait dans la légion des Luna Wolves, sous le commandement direct du Maitre de Guerre Horus lui même. Sa chute est narrée dans "Déluge d'acier".

Comment ai-je osé ne pas savoir ça ?

Tu ne votes pas, Dark Templar ?