Et aujourd'hui c'est l'anniversaire de mes petits frères! Ils vont avoir 9 ans.

je vote la 1 sinon bonne anniversaire a t est petits frere misstina et a toi Hold-em

Bon Anniv a eux ! Des jumeaux ?

Ouais

et des vrais jumeaux en plus! :p

bon anniversaire

Merci à vous

Je posterais la suite cet après-midi... Je suis vraiment désolé du retard mais l'inspiration ne venait vraiment pas, mais alors pas du tout!!

T'es juste une grosse feignasse mon petit Hold-em, avoues le. lol

J'étais pas inspiré

Et se forcer reviendrais à bacler, ce que je préfère de pas faire

La suite arrive, doucement, mais surement.

vivement la suite !

L'écriture du chapitre est en cours

[Chapitre 8 : Le Paradis le temps d'une chanson ]
Vous sortez, loin de cet appartement où l'air et l'odeur de refermé vous oppresse. Bien qu’ayant vécu toute sorte de situation, passant de la peur au courage, de la haine à l’amitié, de la méfiance à la confiance, cette nuit fut de loin la plus étrange, rassemblant toute sorte de sentiments, s’opposant parfois. Vous marchez dans la rue, vous remémorant chaque détail : Vous, assise en face de Rébecca et elle, attachée sur la chaise, les cheveux en arrière, une mèche pendant lamentablement au milieu de son visage. Cette même mèche achevait de vous faire penser qu’elle était complètement folle. Soudain, son regard change, passant de la haine à la souffrance. Vous comprenez qu’Abigaelle vient de reprendre le dessus. Vous détachez donc ses cheveux, vous sentant ainsi plus à l’aise pour discuter avec elle. Vous prenez la parole :
"- Je suis désolée d’avoir du t’attacher, Rébecca menaçait de me tuer.
-C’est moi qui devrais m’excuser, j’aurais du contrôler mon corps, reprendre le dessus mais je n’y suis pas arrivée. Pour me faire pardonner, accepterais-tu un voyage à la surface ? Je peux t’y emmener grâce à l’hypnose. J’ai moi-même vécu quelque temps à la l’extérieure, je peux donc te montrer des souvenir.
-Mais…je… c’est vraiment possible ?
-Oui oui, mais à vrai dire, ce n’est pas exactement de l’hypnose. Ma mère a longtemps étudié le mesmérisme. Elle possédait donc beaucoup de livres et de documents sur ce sujet. Moi, n’ayant pas d’ami et étant délaissée par mes parents, je me suis mise à m’intéresser à cette science. J’ai découvert que le mesmérisme permet d'élever l'état émotionnel d'un individu, ou d'une foule, à un niveau anormal, mais contrôlable. Ce système est le précurseur de l'hypnotisme. Ne t’inquiètes pas il n’y a aucun danger. Alors, es-tu d’accord ?
-Je n'ai vu la surface que pendant mes premières semaines. Ça serait merveilleux de pouvoir revivre ces sensations de puis longtemps oubliées.
-Etant donné que la musique joue un rôle de premier plan pour obtenir le contrôle mental et nerveux des gens, je vais utiliser ce magnétophone. Cette musique doit complexifier la réflexion comme par exemple une chanson criarde ou entêtante. Ferme les yeux, je vais commencer. "
Fermant les yeux vous entendez un petit déclic suivit d’une mélodie ( http://www.youtube.com/watch?v=BYKC4v7Trek, impossible de se concentrer correctement en écoutant cette chanson):
Abigaelle entame alors d’une voix monotone : « Oublis, oublis tout ce qui se passe autour de toi et concentre toi sur ma voix, ma voix te guide, tu t’abandonne, tu abandonne toutes frontières, plonge dans l’obscurité de ta conscience afin que je la contrôle. » Soudain, comme si vous quittiez la pièce, vous vous retrouvez sur une espèce de rue, sauf qu'au sol, c'était une sorte de... Un matériau incompréhensible, jaune beige et en grain, mais surtout, au milieu de ce chemin se trouvait une ligne étrange de touffe verte. Levant les yeux, vous allez de découvertes en découvertes en voyant ces grandes choses cylindriques se terminant par des milliers de choses fines et vertes. Abby, elle, pousse une sorte de gloussement étouffé, comme si elle voyait votre émerveillement. Vous entendez sa voix, et vous indique que ses choses sont de "arbres". Un vent les balançait à leur gré, comme si une sortie d'aération avait été placé à quelques mètres, mais rien! La lumière, en traversant ces sortes papiers verts, rendait ce voyage comme irréel. Un air si pur emplissait vos poumons, celui-ci ne sentait rien, ne transportait pas de poussière, il était comme plus léger que celui que vous connaissiez. Vous marchez sur ce sol quelques secondes, et là, comme si vous franchissiez une arche, un nouveau monde s'offrit à vous. Ses touffes vertes s'étendait à perte de vue, avec des choses colorée au bout de certaines. De l'herbe, vous précise Abby. Au fur et à mesure de votre "voyage" à la surface, Abby vous parle de chaque choses vous entourant. Au loin, vous entendez des rires d'enfants, qui n'avait rien à voir avec les voix des petites soeurs. Ces rires étaient comme le reste, pur et si beau... Est-ce que toute la surface était comme ça?! Intrigué par une masse bleue au loin, vous levez les yeux et là, vous entrez presque en transe. Le "Ciel"! Un infini bleu!! Aucune limite, ni restriction!! Et mieux encore!! Le soleil!!! C'est donc ça que chaque rapturien voulait revoir! Cette harmonie de couleurs, qui vous sont pour la plupart inconnue, c'est la perfection!! Vous DEVEZ vivre à la surface!
Tout à coup, une sorte de secousse brouilla ce nouvel idéal et vous ramena à la réalité... Un cauchemar éveillé, comparé à la surface! De la crasse, de la pauvreté, de l'humidité à un point inacceptable et surtout, cette quasi-absence de lumière! A la surface, tout était beau et lumineux. Ici, rien ne vous rappelle ce divin endroit. En guise de bienvenue, Abby se contente de sourire. Oubliant la politesse, vous ne lui laissez pas le temps de parler, et tel un enfant, vous lui racontez à toute vitesse ce qui vous est arrivé, ce que vous avez vu, ce que vous avez ressentis.
Presque par pitié envers Abby, et voyant son regard désespéré et maintenant implorant, vous défaites le nœud, et lentement, comme appréhendant le retour de Rebecca, vous la dégagez des cordes qui l'entravaient jusqu'à maintenant. Elle semble comprendre maintenant que vous lui faites confiance, et tout en se dirigeant vers la porte, vous dis:
"-Je pense que si on veut passer une nuit tranquille et en sécurité, je dois fermer la porte à clef. Personne ne sait que nous sommes ici, mais nous ne sommes pas pour autant hors de danger." Sur ce, elle verrouilla la porte avec la clef posée jusque là sur une petite table à l'entrée. Portant lentement ses mains à ses cheveux, elle reprit avec un sourire sardonique: "Mais surtout, personne ne viendra te chercher!!", et n'attendant pas, elle se jeta sur vous avec un regard malsain, comme si elle n'avait pas dormis depuis des jours. Mais était-ce réellement une impression? Rebecca, elle, était cernée, peut-être qu'elle se faisait trop de souci, ou peut-être ne dormait-elle pas assez... Saisissant le même couteau qu'il y a une dizaines de minutes, elle tentant de taillader vos bras, à travers votre armure de grande soeur que vous n'avez jamais quitté, mais évidemment, cela était inutile et la lame n'entamait même pas le dessus. Vous décidant à la neutraliser et maintenant décidé à ne plus la lâcher, vous saisissez son bras, quoiqu'avec une certaine peur. Vous attrapez finalement son poignet, et comprenant que d'une geste elle pourrait atteindre vos veines (non protégées pour des raisons d'articulations de l'armure), vous secouez sa main en tout sens espérant qu'elle lacherais. Mais il n'en fut rien, et vous débattant toutes deux, vous arrivez près du mur et vous la plaquez violemment contre. Cela eu pour effet de la faire lacher la lame, mais sans attendre elle se jeta sur vous pour vous étranglez, vous griffer, vous ne savez pas trop, sa crise de folie meurtrière ayant apparemment altérer sa logique. N'hésitant pas à la repousser avec une brutalité que vous ne vous connaissiez pas, elle se cogne la tête par terre, sur le carrelage blanc. Vous vous attendez à ce qu'elle se relève, mais rien. Soudain, une onde rouge se dégagea de sa tête, de ses lèvres et un peu de son nez. Ca y est, c'est finis. Elle essaie de se relever mais ne peut plus rien faire. Elle va mourir. Le sang s'écoule maintenant sur le carrelage, et une expression que vous connaissez se présente maintenant sur son visage... Une expression d'horreur mêlée de peur, figé dans le visage. Comme si tout les cadavres revêtaient cette expression... Bessie, votre père, Karen. Ces mêmes visages vous faisant culpabiliser, mais cette fois, elle n'était pas encore morte, et en toussant violemment et crachant du sang, Rebecca mis ses cheveux en arrière, et Abby dis simplement: "Tu as été la seule réelle amie que j'ai eu...". C'est à ce moment précis que ses yeux se fermèrent à jamais, laissant perler une larme ou deux le long des cils, puis se mêler au sang. Vous détournez la tête en tentant vainement de ne plus penser à ce que vous venez de faire, son sang s'étendant maintenant jusqu'à vos pieds. Dans les casseroles crasseuse de la cuisine, vous voyez votre reflet... Vous vous regardez comme un monstre et de même, vous subissez votre propre regard accusateur, culpabilisant de plus en plus. Elle était seul, cette misère, à Rapture, était tout ce qu'il lui restait, jusqu'à ce que vous veniez. Elle vous considérait comme une amie, et pourtant, vous l'avez tuer! Vous vous considérez comme un monstre, car étrangement, vous n'avez pas hésité une seule seconde à la repousser contre ce sol...

En plus de trembler de culpabilité de terreur, vous ressentez une nouvelle douleur, au plus profond de vous, au ventre. Comme si un vide se créait dans votre corps, en plus du vide dans votre coeur. Ce n'est pas une douleur émotionnel, c'est une réelle douleur physique! Maintenant que vous y pensez, depuis votre enfance, jamais votre limace d'Adam n'a été enlevé, et là, il semblerait qu'elle rejette votre corps, ou l'inverse... Les conditionnement mentaux que les M.A.R.I.A. vous avait dénués de conscience, de liberté de penser, et vous ont surprotégés. Maintenant, vous n'êtes plus une enfant! Peut-être que ces nouvelles émotions vives de votre nouvelle vie a déstabiliser la limace, qui jusqu'alors se tenait tranquille dans un corps complètement passif et presque végétatif. L'adrénaline doit être un poison pour les limaces... Et maintenant, elle ne supportait plus ce corps. Vous devez la faire partir!! Et elle aussi, ne semble pas particulièrement réjouis de sa présence dans votre estomac, et commence à gigoter, il semble. La douleur, elle, persiste, comme si elle essayait de se détacher... Alors c'est ça, que ressentait Karen. Vous concluez donc que vous ne savez que faire du mal à ceux qui sont proches de vous, qui sont attachés à vous!! Vomissant maintenant, (pas seulement à cause de la douleur) vous vous agenouillez dans le sang de Abby, vous tordant de souffrance. Dans un grand déchirement intérieur, vous hurlez. La limace s'est décrochée, et avec elle, une partie de votre estomac!! Vous crachez des flots de sang qui se confondent à ceux d'Abby, et dans un spasme gastrique, vous sentez remonter l'infâme animal le long de votre osoephage, sentant peu à peu vos forces vous quittez en même temps que votre sang. Sentant vos yeux se fermer à cause de la douleur et du sang perdu, vous recrachez lentement la limace, et sans attendre, vous perdez connaissance dans une mare de sang.

Vous êtes debout, dans un endroit encore inconnu... Des choses blanches et petites tombent du ciel, le sol est gelé, et vous ressentez une sensation rarement présente chez vous: vous avez... Froid. Il y a une grande place, là où vous êtes, et vous êtes seul... Vous comprenez, maintenant: vous êtes de nouveau à la surface. Vous voyez une des inscription dans une langue proche de la votre mais pourtant inconnue. Vous voyez des monuments étranges devant vous (support visuel: http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/5/5a/Punainen_tori.JPG/800px-Punainen_tori.JPG) Et soudain, vous revenez à vous. Là, dans le sang, dans Rapture. Vous réveillant et reprenant vos esprits, toujours lacéré par la douleur, vous entreprenez de vous relever avec difficulté, laissant là la limace agonisante dans votre sang et laissant le corps de Abby, gisant là, sur le carrelage... Elle n'avait pas à finir comme ça, mais c'est trop tard. Vous:

1) Allez voir Brigid pour qu'elle vous guérisse, alors que dans votre état, la mort est probable
2)Vous cherchez de l'Adam en guise de morphine, mais la consommation de drogue dans votre état pourrait accélérer les effets (chrosomisme)
3)Vous sentez que c'est la fin, et vous retombez lourdement au sol, acceptant votre mort

du retard, désolé pour les fautes, mais j'espère que ça vous a plu

excellent je vote la 2

j ai une question si victoria accepte la mort y a t il une infime chance que quelqun la sauve

Excellent?

J'ai pas assez décris la surface, alors que c'est un tout nouveau monde pour Viktorya (et non Victoria zerice ) et pis voilà. Le fait que Abby reprenne le dessus au dernier moment, c'était clairement prévisible, et je suis resté très confus sur les sentiments et les actions d'après la mort de Abby/Rebecca. Avec Karen la limace mets au moins trente ligne à sortir et là a peine la moitié. De plus je suis très évasif sur la mort de Abby/Rebecca. Enfin bon tant mieux si ça vous a plus

Pour répondre à ta question, si elle meurt, elle meurt pour de bon et la fic s'arrête

(bon évidemment y'aura les deux hors-série mais bon voilà quoi)