D'accord, mais justement DZ, j'ai le plan de la bataille dans la tête...Mark seul contre Jain, un Jain DÉMONIAQUEMENT INVINCIBLE! Vous comprendrez lorsque je posterai.
Ok je te laisse faire, je te dis juste que selon moi ça aurait été plus drôle de le garder pour plus tard, pour la prochaine mission co par exemple, mais tu fais comme tu préfère.
heu...juste Sir-ike.
La base de Kiru elle est où ? dans les îls occidentales c'est sa ?
Oui c'est ça.
Non mais ça change rien, Jain ne mourra pas avant un bon moment, comme dans FE9, le Chevalier Noir ne meurt que très tard Et la base est dans les Îles Occidentales, c'est écrit dans la description Ce qui prouve qu'il en a plusieurs, mais Mark ne connait que celle-là
OK je vous laisse gérer votre mission je suis impatient de lire votre quête ensemble
Et j'ai hâte de voir comment Blood va faire agir mon perso
Pas que j'ai peur, c'est juste l'attente qui me prend
Bien putain today j'ai du boulot moi :
- maj pour les miss
- ma mission
Je m'y met.
Levail qu'est ce que tu pense du soutien J'ai pas trop défiguré Korshard ?
BloodSword: je l'ai adoré le soutient il été comme ça
Et ta mission comme ca aussi malgré que tu l'ai écrit pendant la nuit.
Nosferatue trés utile mais: j'ai largement préférer le Luna fait gaffe à ne pas aspirer la vie d'Esther si tu veux un conseil
Il a déja tué Lisana comme sa je pense qu'in fais attention maintenant ;rire:
mais je crois que je vais acheter un luna en revenant, j'aime pas trop le nosferatu non plus
Moi j'achete pas
Sans blague Bisour
Je suis un radin
tu devras bien acheter pour débloquer ta mission 7
merde!
Bon mission de Bisout:
Bisout tomba.
Encore une fois.
Saleté de boue! Il en avait jusqu’aux genoux, et tout ça à cause de cette putain de pluie.
Et donc forcément, il galérait pour marcher. Et donc il tombait. Et donc il avait plein de boue sur le visage. Et Marie le remettait sur pied.
Inutile de vous dire qu’il n’était pas de bon poil.
Vraiment pas.
Et Marie, c’était pareil.
En même temps, passer son temps à ramasser son compagnon dans la boue n’a rien de réjouissant.
Et dire qu’il avait accepté de se trimballer jusqu’à Etruria pour escorter un évêque…
Qui devait avoir 8 fois son âge…
Résultat, cela faisait 4 jours avec Marie qu’ils pataugeaient dans cette boue qui collait aux chaussures et qui ralentissait considérablement.
Et en plus après ils devaient l’amener à Ositia. Rien que ça.
Tout le monde sait que c’est la porte à coté….
Donc Bisout pestait.
Depuis l’attaque des roues blanches sur la tour, il pestait souvent remarque.
Mais là, c’était insoutenable.
Et voilà qu’il se mettait à grêler….
Après encore 3 jours dans les mêmes conditions paradisiaques , ils atteignirent enfin leur but. Les hautes murailles de la cité luisaient dans le lointain, et pouvaient etre vue jusqu’à des kilomètres.
« Pfiou » souffla Bisout « on y est enfin ».
« Non » répliqua Marie « là on a fait le tiers du chemin. Il nous reste encore le prêtre à escorter jusqu’à Ositia. Et on est même pas dans la cité, on voit juste les remparts. »
« Ah t’était obligée de briser mon rêve? »
« Bah… je dirais oui »
« Mégère » maugréa t-il alors qu’elle riait.
Il leur fallu encore une bonne demi-journée de marche avant d’atteindre la porte de la ville.
« ‘Vnue » marmonna un garde « Kesskvouv’nez fairla? »
Hein? Qu’est ce qu’il venait de dire ce con?
« Heu excusez moi » lui dit Marie « mais j’ai du mal à comprendre ce que vous dites »
Le garde recommença son charabia. Il faut dire qu’il parlait dans sa barbe et qu’il n’articulait pas.
« Bon putain vous pourriez être compréhensible? » s’écria Bisout.
Un autre garde arriva alors.
« C’est bon je m’occupe d’eux » dit -il à l’adresse du vieux garde.
Puis il se tourna vers eux.
« Excusez le, il perd la tête » s’excusa t-il avec un sourire
« Ouais, et son allocution aussi »
« Bon passons ce détail » continua le Garde « Que venez vous faire ici? »
« On est des mercenaires, et on doit escorter un évêque jusqu’à Ositia. »
« Ah Mgr Arrignosa? »
« Ouais c’est ça. Comment êtes vous au courant? » s’étonna Bisout.
« Eh bien c’est une connaissance » répliqua le garde.
« Très bien » dit alors Marie que les histoires du garde n’avaient pas l’air d’intéresser « Et comment peut-on le trouver? »
« Eh bien vous voyez la grande chapelle là bas? » indiqua le garde
« Là? »
« Non là! »
« Ah là! »
« Eh bien c’est là qu’il habite. Bon séjour »
Ils remercièrent le garde, puis partirent vers la chapelle.
Ils se perdirent 3 fois dans les ruelles avant d’enfin trouver la porte de l’évêque. Il faisait nuit.
Un moine leur ouvrit, puis s’étant informé de leur présence les conduisit jusque dans une petite salle.
« Monseigneur va vous voir dans quelques minutes. Il célèbre la messe. »
Le moine partit, alors que Bisout ressentit des sueurs froides.
« La messe? »
« Bin oui » répondit Marie « les évêques célèbrent la messe. »
Bisout soupira.
« Quoi? Qu’est ce qui ne va pas? » s’étonna t-elle
Il prit son temps avant de répondre.
« J’ai horreur de la messe et de la religion. »
Elle éclata de rire.
« Tu me dis ça, et tu as accepté d’escorter un évêque? Mais lui c’est un type convaincu! Le voyage va être amusant! »
Il grommela.
Quelques minutes après, l’évêque apparut. Grand, mince, les cheveux gris, il ne portait qu’un simple robe de bure. Ses yeux pétillaient de savoir et de malice. Il avait l’air profondément gentil.
Marie se leva immédiatement à sa venue, ce qui surpris Bisout.
« Lève toi » cracha t-elle entre ses dents alors que l’évêque les regardait d’un air amusé.
« Ce n’est pas la peine » la rassura t-il d’un signe de main « ne vous inquiétez pas ».
Il regardait Bisout avec un grand sourire.
Ce dernier n’avait toujours rien compris.
« Pourquoi je dois me lever? »
« Laisse tomber » siffla t-elle.
Puis elle se tourna vers l’ecclésiaste.
« Bien donc c’est vous que nous devons escorter? Je suis ravie de faire votre connaissance »
« Moi de même » répondit-il.
« Ils sont chez le vieux? »
« Oui »
« Bien bien, comme prévu. Tu y vas demain? »
« Oui monsieur »
« Règle leur leur compte. Ce sont eux qui ont tué Hans, j’en suis sûr. Mais tu es le meilleur. »
« Je ne vais pas me battre »
« Pourquoi? »
« Eh bien…. »
Le lendemain matin, après avoir passé le nuit à discuter avec l’évêque, ils se mirent en route. Ils avaient mal dormis ( il est bien connu que le confort n’est pas la première des qualités d’un monastère ), mais c’est de bonne humeur qu’ils prirent la route.
L’évêque marchait d’un bon pas, et ils n’eurent pas à l’attendre. La première journée se passa sans anicroches, mais au petit matin du deuxième jours, une innocente question amena un débat philosophique.
« Et donc monsieur, pourquoi portez vous cette robe? »
« Ca mon fils? C’est une robe de bure. »
« Je ne suis pas votre fils. »
« Je le sais bien » continua l’évêque avec un sourire « puisque j’ai fait vœux de chasteté, mais…. »
« Vœux de quoi? »
« De chasteté mon fils, cela veux dire que j’ai choisi de ne pas céder au péché de chair. »
« Vous n’avez pas le droit de manger de viande? »
« Mais non mon fils, je… »
« Je ne suis pas votre fils! »
« Je le sais bien, mais.. »
« Bah pourquoi vous m’appelez comme ça alors? »
« C’est une…. tradition, une coutume tu vois. Il est d’usage que les prêtres appellent les autres par « mon fils » et les gens s’adressent à nous par « mon père » vois tu? »
« Oui bon c’est ça » répliqua Bisout « et pourquoi vous ne pouvez pas manger de viande? »
Marie soupira à coté. Quel idiot
« Tu ne comprend pas mon fils. Par « péché de chair » j’entend là avoir des rapports avec une femme »
« Bah pourquoi vous ne dites pas « j’ai pas le droit d’avoir des rapports »
« L’enseignement que j’ai reçut me demande de le dire de cette manière » continua l’évêque avec sa douce voix.
« Ah il faut faire des études pour être prêtre? »
« Bien sûr, que croyais tu? Que nous naissions avec toute la connaissance du monde? Il nous faut nous instruire, sans quoi nous ne pourrions pas donner aux autres la bonne parole »
« Ah il y a des bonnes et des mauvaises paroles? »
« Non mon fils, par « bonne parole » j’entend là celle de Sainte Elimine. Je suis chargé de transmettre ses enseignements. »
« C’est à dire? Vous considérez que Sainte Emiline possède la vérité c’est ça? »
« Eh bien oui mon fils, mais vois tu… »
« Ouais bah il y a plein de conneries dans ce qu’elle raconte. »
« Il est possible pour certains d’entre nous de douter à l’écoute de la bonne parole » repris l’évêque, « et c’est pour ça que je suis là. Pour aider les gens comme toi, mais aussi les croyants. »
« J’ai pas besoin d’aide! »
« Bien sûr, c’est ce qu’ils disent tous. Mais si un jour tu te sent mal, viens me voir et je te montrerais les merveilles de Sainte Emiline »
« J’y crois pas à ces conneries! »
« C’est une question de fois mon fils. »
Qu’est ce que le foie venait faire là?
« Vous lisez l’avenir dans les entrailles ou quoi? »
« De fois mon fils, pas de foie » sourit l’évêque « c’est ainsi que l’on appelle cette force que certains ont de croire en les enseignements de Sainte Emiline. »
« Donc je suis faible c’est ça? »
Marie soupira à nouveau. Le débat allait durer encore quatre heures….
« Ils sont sur la route entre les deux points? »
« C’est exact, cela vient d’être confirmé. »
« Tu y as envoyé tes hommes? »
« Oui, mais j’y vais aussi. Je vais les observer, voir si ou non ils sont dignes d’être mes proies. »
L’autre ria. Un rire malsain, pervers…
« L’instinct du tueur » gloussa t-il avec délice « j’attend de voir ce que cela va donner »
« Oui, maître…. »
Après deux jours de voyage, ils arrivèrent enfin dans Lycia. Le soleil avait enfin décidé de se montrer, et l’ambiance était au beau fixe.
…..
Jusqu’à ce que des hommes viennent bloquer la route.
Ils étaient 8.
Tous vêtus de noir, tous masqués.
Tous silencieux.
Tous immobiles.
Tous armés L
Bisout scruta les environs. Quelques arbres touffus, mais rien d’autre.
Puis il se tourna vers les individus qui leur faisait face.
Des pros, indubitablement.
Et leurs intentions étaient claires.
Ils étaient là pour leur faire la peau.
Ca sentait pas bon.
« Oui messieurs, que puis je faire pour vous? »
Ah non… L’évêque n’avait rien grillé.
MAIS QUEL CON!
Ils ne dirent rien.
Mais un des hommes bougea son bras pour se gratter l‘oreille.
Le geste était anodin, mais rapide et précis.
Le couteau qu’il venait de lancer aurait égorgé le prêtre si Marie ne l’avait pas poussé.
« Que… » balbutia t-il au moment où les hommes s’élancèrent.
Pas de fioritures. La course était rapide et dirigée vers eux.
Ils couvraient tout les espaces, faisant attention de verrouiller les angles.
Tout en courant.
Respect.
Marie s’élança alors vers le coté gauche.
Le signal.
Ils avaient répété cette figure longtemps à l’entraînement. L’heure était venue de la mettre en pratique.
Bisout posa alors à toute vitesse une main vers le sol trempé tout en murmurant des paroles inaudibles.
Un éclair jaillit alors de sa manche, et chargea alors le sol en électricité. Ceci fait, il bondit en arrière et ouvrit son tome. Murmurant la formule, il pointa son doigt vers le ciel alors que Marie arrivait derrière les hommes décontenancés.
Au moment où elle se rua vers eux, un éclair traversa le ciel. Elle fit alors un impensable roulé boulé vers l’arrière, échappant de peu à la lame qui menaçait de la décapiter.
Le principe était simple, il suffisait de leur faire croire qu’ils étaient encerclés, puis alors qu’on les attaquait par le haut, Marie devait faire une diversion sur l’autre coté.
Emportés par leur élan, 2 des hommes se brûlèrent les jambes sur le sol alors que 3 autres étaient anéantis par la foudre.
Bisout jura.
Ils n’étaient pas sensé survivre! Aucun d’entre eux!
Un des hommes se rua vers lui pendant que Marie en égorgeait un. Elle se retrouva alors au prise avec un adversaire de taille.
Bisout se tourna alors vers l’home qui lui faisait face. Il lance un éclair, mais l’homme passe en dessous avec la vivacité d’un serpent.
Avant que Bisout ait pu faire quoi que ce soit, il avait dégainé son arme.
Bisout hoqueta.
Avant de cracher du sang.
L’homme venait de lui enfoncer son arme entre la 5ème et la 6ème cote, perforant ainsi le poumon droit.
Douleur.
Insoutenable.
Qui chasse toutes les autres pensées.
Il vit Marie crier, puis ficher son pied dans le coup de son adversaire qui s’effondra, les vertèbres brisés, puis courir vers lui.
Il ne l’entendis pas.
Le monde devenait flou.
Il ferma les yeux.
Ténèbres.
Lumière.
Une main chaude et rassurante venait de se poser sur sa poitrine, éloignant la douleur.
Ouvrant ses yeux, il aperçu l’évêque qui murmurait des paroles étranges, un baton à la main.
Après plusieurs minutes de soin, l’ecclésiaste s‘arrêtât, visiblement satisfait du résultat.
« Eh bien, ne t’avais je pas dit qu’un jour ou l’autre tu aurais besoin de moi? »
Il souriait.
Bisout se releva péniblement.
« Je suppose que je vous en dois une.. »
« Ne t’en fais pas mon fils, tu ne me dois rien »
Il respira profondément.
Puis il se tourna vers Marie.
« Il est mort? »
Elle opina.
« Très bien. Mais c’était qui ces types? »
« Je ne sais pas, mais en tout cas c’était des pros. » lui dit-elle
« Oui j’avais remarqué, et… »
« Là! Il y a un type qui s’enfuit! »
L’évêque indiquait un homme qui courrait.
Roux.
« Il est trop loin et on est crevé, c’est inutile de le poursuivre. Mais on l’a déjà vu lui… »
« Au fort d’Arthuros? »
« Oui…. Je me demande qui c’est…. »
« Là n’est pas la question. Dépêchons nous de rejoindre Ositia, ou on va refaire de nouvelles rencontres. »
Ils approuvèrent, puis se mirent en route.
Loin là bas sur un cheval, un homme sourit.
Mais pas un gentil sourire.
Un sourire de prédateur.
De tueur.
Ils étaient digne de lui…
Mais il avait appercut...
Cela n'avait pas d'importance. Il le tuerait aussi...
Putain encore un "trop long"
ben c'est bien les trop long moi je suis content j'en ais eux 2 à la suite
Moi c'est mon 4ème ou 5ème je crois
sinon excellente mission j'aime bien tout style qui consiste en une sucession de phrase courte
« Vous lisez l’avenir dans les entrailles ou quoi? »