Ouais merci
Mais c'est vrai que le débat entre bisout et le pretre m'a fait marrer

Excellent Tbbw j'était plié de rire devant mon pc avec le débat.
Mais qu'est ce que le foie à avoir là dedant
Je suis pas votre fils

Tu m'as tué là

il n'a vraiment aucune culture générale ce Bisout

Voilà ma mission:

Korshard lut la lettre que le chef des Butana lui à écrit :
« Enfin, enfin. Après 15 ans t’attente c’est eux qui viennent à moi. »
Il se leva prit ces deux épée et descendit dans la cour. Hellein se tenait déjà là.
-On prend les bonnes habitudes ? demanda Korshard de bonne humeur.
- Toi, ne les perds pas.
Il savait où elle voulait en venir. Hier soir à22H :

***

Ta du mal à tenir l’alcool ?
Jicross se retourna.
-Tu sais…cette ressemblance dont tu parles. Ce doit être l’Amitié.
Korshard leva son verre vide vers son ami.
-Et comment
Jicross était parti faire, je ne sais pas trop quoi, et Korshard était rester à la taverne. Il avait bu deux ; trois (plutôt trois ) biére de plus que le shaman et il s’en alla.
Il avait mis trois fois plus de temps que d’habitude pour rentrer dans ses quartier.
«C’est dingue comme la ligne droite est plus rapide » Mais Hellein s’était trouvait dans les parages.
-Korshard qu’est ce que …
-Ouvre toi maudite porte, fulmina l’épéiste qui n’arrivait même plus à tourner la poignée.
-La taverne hein ? Tu n’avait pas besoin d’y aller .
Hellein avait sorti un bâton vitalis et avait rendu Korshard dans son état de sobriéter.

***

-Ne m’en parle pas, répliqua Korshard qui se sentit soudainement honteux. Bon aller allons y.
Les deux mercenaires s’étaient mis en route vers le bastion des bandits, à Biran, dans les montagnes. Ils firent le chemin habituel pour aller à Sacae et traversa les plaines d’un bon pas.

Finalement il louérent une chambre pour la nuit à l’auberge du coin. Mais là encore il n’y avait qu’un seul lit.
«Si ca continue je vais devoir commander deux chambres à chaque fois . J’en connaît un qui aurai eu une crise cardiaque si il m’avait entendu le dire. »
-Demain, ca va être très dur, annonca Korshard. Tu ferai mieux de te dépécher de dormir.
-Et toi ?
-Je suis trop exiter pour ça mais je vais quand même essayer promis.
Lorsque la sœur vit l’épéiste s’intaller sur la moquette (pas de chaise en bois cette fois ) ele refusa catégoriquement.
-Non cette fois c’est à ton tour de prendre le lit, tu ne vas quand même pas me laiser le confort une seconde fois.
-Quoi ?
«C’est la premiére fois que j’entend ça. Cette fille à vraiment un sens de l’honneur et d’équiter immence. »
-Hellein prend le lit, je peux m’en passer pas toi.
-Au pire en pourrai s’y mettre à deux, mais je refuse de te voir dormir part terre.
- Euh … .
Korshard ne savait pas quoi répondre à ceci, il faut dire qu’il ne s’y attendait vraiment pas du tout.
-Je vais voir l’aubergiste .

Korshard descendit les escaliers, laissant Hellein seule dans la chambre. Il arriva dans la salle principal et vit que l’aubregiste était encore là.
-Vous étes pas coucher ?
-Non, servait moi un verre de … lait .
L’épéiste s’installa au comptoir et le serveur lui amena sa commande. Pendant prés de deux heures, ils parlérent, de tout et de rien, et Korshard retourna à sa chambre. Comme il l’avait espérer Hellein s’était endormie dans le lit mais il vit qu’elle lui avait quand même laisser de la place. Korshard ne put s’empêcher se sourire devant tant de gentillesse et de sincérité. Il la placa au centre du lit et s’installa sur la moquette dure et sale.
Le lendemain, lorsqu’il se réveilla, il était endolori de partout et vit une Hellein à la fois furieuse et l’air assez las.
-Pourquoi tu as encore dormit par terre ? demanda la sœur avec une pointe de colére dans sa voix.
-Je te demande pardon mais lorsque je suis revenu, tu dormait déjà et je ne voulais pas te dérangeait, tenta Korshard.
-J’ai laisser assez de place pour que nous y soyons tous les deux. Pourquoi est-ce que tu ne m’écoute pas ?
Cette fois elle avait l’air triste.
-Hellein, si je t’écoute mais ce n’est pas à toi de dormir par terre. Bon arrétons ça et allons y. Matthis nous attend.
-Matthis mais tu ne m’avait pas dit que nous le rejoignions. De plus on est déjà passer devant son village.
-Il nous attend ailleur.

Les deux mercenaires sortirent de l’auberge et se dirigérent vers les montagnes. Après avoir passer la moitié de la journée à les escalader et les passer, ils se réfugiérent au millieu de rocher. En contre bas : le bastion qui l’intérresait tant.
-Hellein, je préfére te le dire tout de suite : j’aurai aimé être seul pour cette mission.
-Pourquoi ?
-Matthis est là dedant et, de plus, c’est le bastion de ceux qui ont changer ma vie. Ca va être l’apothéose.
-Korshard, tu sais très bien de ce que je pense de tes massacres.
-Oui je sais, je ne les ferai pas souffrir bien longtemps. Reste prés de moi quoi qu’il arrive.
Et l’épéiste s’élança vers les deux gardes, qu’il tua habilement, avant de s’introduire dans le bastion, Hellein à ses côtés. Il visitérent salle après salle, Korshard tua les gardes les uns après les autres.
«Même à l’intérieur de leurs murs ils ne sont pas en sécuriter. » Ils arrivérent à un long couloir où un garde faisait les cents pas. Korshard calcula son coup : le garde faisait dix pas puis il se tournait.
«Un … Deux … Trois … Quatre … Cinq j’y vais. »
L’épéiste sorti de sa cachette se retrouva directemnt dérriere le garde et lui trancha le coup.
-Tu devrai les assomé, proposa Hellein. Pas les tuait.
-Si tu agit comme ça à chaque fois, tu ne peux plus aller nulle part au retour.
-Mais quand même tu en as tué au moins 20
-27, rectifia Korshard. Vite pars ici.
L’épéiste entra dans une salle est tomba directement dans la prison. Pas un seul garde.
«Il sont fou .»
Matthis était là dans la deuxième cellule.
-Korshard, je suis là.
L’épéiste se précipita vers son ami et … et quoi ?
-Tu as les clefs au moins ?
-Tu as un cerveau des fois , y a pas de garde. Mais attend je vais essayer un truc que j’ai déjà vu.
Il planta le bout de son épée d’acier et se mit à la tourner une fois dans la serrure. La première fois fut un échec, le deuxième aussi mais au troisième coup, il entendit un clic et la cellule s’ouvrit.
« Merci Bisout »
Hellein les rejoignit avec une épée qu’elle donna à Matthis.
-Eh, mais on dirait que tu ne te déplace plus sans elle Korshard, en tout cas je suis bien content de vous voir tout les deux.
-La ferme, répliqua Korshard.

Tous les trois s’engouffrèrent dans une pièce remplie de document. Il fouilla un peu avant de les appeler :
-Hellein, Matthis venait s’il vous plait.
Les deux autres s’approchèrent.
-Regardaient, il y a des documents intéressants . Mais je rêve là. Il y a des rapports sur tous les pays : Ositia, Pherea (dsl pour l’ortho) Caelin pour Lycia. Sacae, Etruria et même Biran.
-Pourquoi ont-ils attaqué Sacae aux lieux de Biran ? demanda Hellein avec une férocité que le mercenaire ne lui connaissait pas.
-Hellein ?
-Non, oublie ce que j’ai dit.
-En tout cas, reprit Korshard. Il y a de tous : les politiques de chaque pays, leurs économies, leurs stratégie. Ils ont même des informations sur les forces armées de chacun : c’est une véritable mine d’or. Avec ça ils peuvent attaquer qui ils veulent quand ils veulent.
-Brûlons tous, proposa Matthis.
-Non je vais ramener ça, Hellein prend les documents.
La sœur s’exécuta et ils arrivèrent dix minutes après dans la salle principale des bandits. Il vit leur chef, celui qui avait tué ses parents, celui à qui il avait envoyé les tètes de deux bandits. Il était entouré de dix gardes mais il y en avait vingt autres avec lui.
-C’est dix la sont à moi, hurla Korshard.
Mais les 20 autres bandits ne les laissaient pas passer et Matthis et lui durent ce battre.

Ils se battirent séparément mais faisait en sorte à ce qu’il se protéger mutuellement ainsi donc Korshard coupa la tète d’un bandit, esquiva une hache puis une lance. Il désarma le lancier qui l’avait attaqué et fit une brochette avec ses deux assaillants. Il se décala, se retrouva derrière un épéiste, lui tordit le cou, se retourna et planta son épée dans le cœur d’un autre bandit. Matthis aussi se débarrassa de plusieurs bandits mais il se fit toucher aux bras et Hellein se précipita pour aller le soigner. Korshard tua deux ennemis de plus et regarda vers le fond de la salle : le chef prit la fuite avec ses dix spires.
«Attend mon grand tu vas voir. » Il se dirigea vers la sortie mais vit très vite deux archer visait une cible, ni lui ni Matthis : Ils visaient Hellein. Celle –ci occupée à soigner une nouvelle fois Matthis ne se douta de rien. Matthis fut assez rapide pour en tuait un mais le deuxième eut assez de temps pour tirer. Korshard ne chercha même pas à réfléchir : il se dressa juste devant la sœur et s’interposa entre la flèche et elle.
Il sentit la flèche lui rentrait dans les entrailles, il eut un haut le cœur et cracha du sang avant de tomber à genoux et d’enlever la flèche. Sa vue devenait de plus en plus floue et il senti la douleur l’envahir puis … plus rien : plus de douleur ni de ténèbres : Hellein, ayant comprit ce qui s’était passé, l’avait totalement soigné.

Korshard regarda Matthis s’occupait du dernier soldat restant et courut vers la sortie. Il franchi la porte et vit un long couloir sombre menant à nul pars. Il avait beau regarder à droite, à gauche, partout il ne vit pas le chef ni ces dix soldat restant.
-PUTAIN DE MERDE, s’écria l’épéiste avant de donner un coup de pied dans la porte qui céda.
-Du calme, tenta Matthis. A mon avis ils vont attendre que tu te calme un peu avant de revenir : tu vas avoir de ces nouvelles sous très peu de temps.
-Possible, Hellein tu as prit les documents.
Celle-ci acquiesça doucement avant de les lui montrer.
-Parfait, Matthis : brûle tous.

Ils sortirent du bastion et y mis le feu. Korshard regarda les flammes avec satisfaction même si il savait que ça vengeance n’était pas terminer. A vrai dire ce n’était que la première étape de cette vengeance. Ils raccompagnèrent Matthis chez les Butana et, le lendemain, les deux mercenaires étaient rentrés dans leur tour.

Bilan :-Mission réussie mais le chef ses enfuis avec ces dix dernier soldats.
-Des documents, plus qu’important, qui ont étés ramenés.

Blood, désolé, mais j'avoue que c'était pas une superbe mission Mais tu as bien respecté les personnalités de Mark et Syrie, sauf qu'elle aurait été moins directe avec Esther et Jicross, elle est légèrement timide

Et Tbbw je lis ta mission après avoir posté la mienne

Ah et très bonne mission Levail, je l'avait pas vu avant de psoter mon message

Tu as lu en 7 min t'es un rapide toi

Très bonne mission Levail

sir-ike désolé mais la fatigue m'a fait écrire n'importe quoi :honte j'avais l'esprit un peu embrouillé
et désolé pour le côté timide de Syrie, j'avais oublié

BloodSword: On diari que l'on a les même probléme pour les lits moi ca fait déja deux fois

Le problème de Jicross c'est que Esther est amoureuse de lui ( je crois que c'est clair maintenant )
Jicross ressent +/- la même chose pour elle mais Esther ressemble trop à Lisana. Donc le shaman se convainc que c'est un amour fraternel.

Oui c'est sûr que c'est assez clair.
Y'a que moi qui ait réussi à mettre un peu de mystère sur la relation de mes protagonistes .
Mais sinon c'est vraiment très bien Levail ta mission rox.

Mon pauvre Jicross y a pas plus dur pour lui.

Ben moi je crois que c'est clair aussi j'ai adoré écrire la technique du lait je m'éclipse pendant 2H et lui laisse le lit (et c'est juste pour être galant non mais je rêve )

Aller reprend toi Korshard on veut te voir détruire tes ennemis

Le seul truc qui me gène avec Korshard, c'est que chaque fois à 1 contre 30 il gagne

J'avoue, moi j'ai donné à Mark quelque chose qui l'explique, vous allez voir, j'ai bientôt fini...enfin non, mais pas grave :0))

2 contre 20

Ta pas vu le dernier comabat il en à tuer 10 maxi et ses prit une fléche dans le ventre.

Mais pour ça tkt j'attend juste un certain type de mission et ca sera un duel mythique

BOn allez grouille toi

Sir Ike hein évidemment
Et si mon petit j'ai lu ton dernier combat

Faut dire aussi que c'est un défaut auquel j'ai du mal à y remédier

C'est juste que ça fait un peu Surhomme quoi .
Mais sinon c'est très bien

Faut que régle ça au plus vite