Ah non, car j'ai prévu un scénario qui ne permet pas ça, avec des "révélations chocs" etc, bref cela ne peut pas être.
bon, alors tant pis
ta reaction est un peu bizare ferocimo tu ne veut pas ecrir une suite et tu te plain,m'enfin faite chacun votre tour ...
oui, ce serait logique...
lalouanidofus J'ai écris une suite la veille du jour ou playmo a commencé ! Pendant un temps, je n'ai rien écris, mais au moment ou je recommence on prend la place !
Je ne peux pas écrire en chacun son tour, car il y a des références à mes précédents posts, et l'intrigue que j'ai lancé ne permet pas de faire ça, sinon l'histoire n'aurait aucun sens.
Je sais pas trop ce que vous racontez mais faites une suite!
ok ba fais une suite alor,mais si tes pas la pendant 10 jour previen nous stp
Je sais que les votes sont finis mais pour moi ce serait ferocimo, puis on peut pas alterner entre ferocimo et playmo, en général quand on écrit un texte on pense à la suite et au conséquences de ce qu'on écrit sur le prochain chapitre.
Sinon j'ai decouvert ce topic hier je viens de finir de le lire donc ça fait un "voteur" en + (en espérant que ce topic ne meurt pas )
Suite, avec la 3. Je repars depuis ma dernière suite.
Après avoir quitté le Mike's Bar en bus, vous vous retrouvez devant un grand bâtiment vitré, d'apparence tout à fait banale. Un immense panneau fixé au sommet de l'immeuble arbore les lettres DTC. Cette fois-ci encore, il allait être impossible d'utiliser votre Dragunov : les vitres étaient teintées.
Vous entrez donc et vous dirigez vers la standardiste, occupée à répondre à des appels derrière un bureau en marbre. Ce Gueyeran avait les moyens ! Et dans ce pays, un homme riche était synonyme d'homme prudent. Le boulot ne se promettait pas d'être facile.
La standardiste interrompit vos pensées en vous demandant :
-Je peux vous aider ?
Vous lui répondez que vous désirez voir Gueyeran, mais celle-ci vous annonce :
-Désolé, monsieur Gueyeran ne reçoit que sur réservation.
Vous jurez entre vos dents, et regardez autour de vous. Vous apercevez, encastré dans un mur, le plan anti-incendie du bâtiment. Malheureusement, il ne décrivait que la configuration du premier étage. Vous repérez un chemin jusqu'au prochain étage, mais il faudra traverser une zone interdite au publique, car les étages supérieurs sont réservés au personnel.
Qu'à cela ne tienne, vous vous assurez que votre matériel est prêt, puis vous mettez en route. Après avoir traversé plusieurs couloirs, vous atteignez la porte fermée accédant à la zone interdite. Vous jetez un coup d'œil circulaire et localisez la caméra surveillant la zone. Vous vous dirigez dans son angle mort, c'est à dire juste sous la caméra. Vous sortez une pince d'une de vos poches, et sectionnez le fil de l'appareil. Vous le dénudez, et récupérez la partie cuivrée et flexible du câble. Vous retournez vous agenouiller devant la porte, et crochetez la serrure grâce au fil de cuivre tordu. C'est ce qui s'appelle la débrouille.
Vous poussez le battant, et continuez votre chemin jusqu'à l'escalier, bordé d'une statue représentant Apollon. Vous entendez alors deux voix d'hommes se dirigeant vers votre position.
-Pff, je suis sûr que cette saleté de caméra a encore déconné, lança l'un d'eux. Matériel pourri...
-Bon, on se dépêche de constater, et on va voir Gueyeran au troisième, d'accord ? proposa l'autre.
Le premier acquiesça, et lorsqu'ils passèrent devant votre cachette, ils ne remarquèrent pas que leur clés avaient disparu.
Vous sortez de derrière la statue, et reprenez votre route, les clés de la patrouille en mains. Il n'allaient même pas pouvoir constater la casse de la caméra, car vous avez refermé la porte derrière vous. Par conséquent, ils ne pourront pas alerter leurs camarades de la dégradation suspecte de l'appareil. D'une pierre... deux coups !
Après avoir monté l'escalier, vous continuez votre chemin dans le dédale de couloir et tombez sur un autre plan de l'étage. Vous cherchez le chemin, mais vous apercevez qu'il vous faudrait passer par la salle des gardes. Hors de question. Il faudra trouver un autre passage. Vous repartez, en quête d'un chemin propice à la discrétion. Un homme apparu au bout du couloir dans lequel vous vous trouviez. Il n'y avait pas de cachette, et il était trop tard pour rebroussez chemin. Tant pis, vous tentez le tout pour le tout et adoptez une attitude calme et décidée, comme si il était tout à fait normal que vous vous trouviez là. L'homme continua son chemin sans vous accordez le moindre regard. Vous remerciez le ciel de l'insouciance de ce type et poursuivez vous-même votre chemin.
Après avoir fait quelques pas, vous entendez un juron étouffé au-dessus de vous, suivie de quelques gouttes d'eau tombant devant vous. Vous levez les yeux et voyez sur une dalle du plafond une petite auréole d'eau. Vous regardez autour de vous, puis soulevez la dalle. Derrière se trouvait... une autre dalle, espacée de la première par un petit interstice rempli de câbles et de tuyaux. Vous soulevez légèrement cette seconde plaque, pour apercevoir le décor d'un petit bureau. Un homme nettoyait sa chemise tâchée d'eau avec un chiffon. Vous tournant le dos, vous vous hissez discrètement dans la pièce. Vous vous approchez à pas de loups de l'homme, et lui brisez la nuque. Il s'écroula par terre après un ultime soubresaut. Vous regardez plus attentivement le bureau ou vous vous trouvez, et voyez une petite bouteille d'eau renversée par terre, juste à coté de la dalle que vous avez soulevé. Vous refermez les deux plaques, et remarquez une mallette ouverte posée sur le bureau. 12 diamants s'y trouvait. Vous vous frottez les mains, et empochez le tout, avant de sortir du bureau. Vous continuez votre chemin, croisez plusieurs patrouilles, et vous cachez à chaque fois que vous rencontrez quelqu'un. La surveillance était plus élevée, ici. Vous traversiez un énième couloir lorsque vous passez à coté d'une porte portant l'inscription "Détention 1".
Détention, c'était sans doute une prison. Vous poussez le battant, et pénétrez dans une salle séparée en deux par une grande vitrine. Un garde vous aperçut, mais avant qu'il n'est eut le temps de dégainer, vous lui placez une balle de votre silencieux entre les deux yeux. L'homme s'effondra, et vous vous ouvrez la porte vitrée de la prison.
-Vous connaissez monsieur Baline ? lui demandez-vous.
-Oui, dit-il, je suis client de cet homme. Je m'appelle Panoa Beniope. Vous venez pour moi ?
-En effet. Suivez-moi.
Vous reprenez votre route, montez l'escalier menant au troisième étage, et demandez à Beniope :
-Ou est Gueyeran ?
-C'est tout près, vous répondit-il, juste après ce couloir.
Une fois devant la porte du bureau de votre cible, vous voyez deux gardes postés devant la porte et une caméra balayant la zone. Vous demandez à Panoa de vous attendre, mais celui-ci vous tend un petit uzi.
-Je l'ai ramassé sur le garde que vous avez tué. Ça pourrait vous être utile.
Vous prenez l'arme et lui passez votre silencieux en attendant, puis vous vous positionnez. La discrétion n'était plus de mise, à présent.
Empoignant l'uzi, vous vous jetez à travers le couloir et tirez en continu, arrosant les deux gardes de balles. Quelques secondes plus tard, une sirène retentit. Reprenant votre silencieux, vous rendez l'uzi à Beniope, puis ouvrez la porte du bureau. Assis sur un fauteuil en cuir, Gueyeran vous lance un sourire glacé.
-Mmh. Un assassin. Un de plus à cette longue liste d'incapable qui ont tenté, en vain, de m'avoir. Et bien entre, qu'attends-tu ?
Vous étiez sur le point de franchir le seuil lorsque soudain vous vous rappelez : Gueyeran était un homme prudent. Vous regardez à vos pieds et apercevez un laser rouge très fin. Un petit canon dissimulé dans l'ombre n'attendait que votre passage pour ouvrir le feu.
Gueyeran sourit de plus belle.
-Et prudent, avec ça ! Tu me rappelles moi dans ma jeunesse. Je suppose que c'est Baline qui t'envoie, vu le type qui t'accompagnes, dit-il en regardant Panoa.
Vous enjambez le laser et verrouillez la porte de l'intérieur. Elle était blindée, les gardes allaient avoir du mal à passer.
-Tu sais, Baline n'est pas celui que tu crois, lança Gueyeran. C'était quelqu'un d'autre, avant. Un mercenaire acceptant tous les contrats, même les plus abjects, tant que ça payait bien. C'est lui le méchant. Pas moi. Rejoins-moi, et on sera riches. Riches ! Fais moi confiance, je connais Baline. Je suppose qu'il t'as demandait de récupérer sa mallette sans l'ouvrir ?
Vous acquiescez, et il reprit :
-J'en était sûr. Ce type est un fourbe. Ouvres sa mallette, et joins-toi à moi. On pourrait abattre Matador et Baline, ensemble ! Réfléchis-y.
Cela ne vous laissait que trois options :
1-)Ouvrir la mallette et acceptez l'offre de Gueyeran.
2-)Abattre Gueyeran et récupérer la mallette sans l'ouvrir.
3-)Laisser Gueyeran en vie, puis allez demander des comptes à Baline, mallette sous le bras.
Je dirais l'abattre et ouvrir la malette, mais bon...comme je suis curieux je dirais : accepter l offre et ouvrir.
Ah pas facile de choisir, le mieux aurait été d'ouvrir la malette et de buter gueyeran si le contenu n'en valait pas le coup mais dans ce cas je dirait la 1 car moi aussi je suis curieux
la 1)
ha, je vois que je ne suis a le seul a vouloir le descendre et ouvrir la malette XD.
Mmh...
Si la mallette vous intéresse à ce point, il y aura exceptionnellement un 4-).
1-)Ouvrir la mallette et acceptez l'offre de Gueyeran.
2-)Abattre Gueyeran et récupérer la mallette sans l'ouvrir.
3-)Laisser Gueyeran en vie, puis allez demander des comptes à Baline, mallette sous le bras.
4-)Abattre Gueyeran, puis ouvrir la mallette.
On reprend à zéro et on rouvre les votes.
4 je suis un monstre, je sais ^^
Héhé, pareil
Ok, je vais attendre deux votes de plus, et je commence demain.
cool, un sadique de plus, sa va etre marrant
4 !
4