mais bon, quand tu sais que barcelone doit marquer 2 fois pour se qualifier, tu vas mettre 4 attaquants
Non, mais j´avoue, Benitez savait exactement comment éliminé barcelone:
Mettre une pression de dément sur chaque ballon
Bloquer Ronaldinho avec Caragher, alias l´homme au physique de monstre...
Et Rijkard je sais pas pourquoi il a fait jouer Eto´o sur la gauche
Autrement vivement la suite de ta story
c´est ce qui fait la différence entre deux grands coachs
A tout à l´heure, liverpool va gagner la LDC
aie ca rage une barcelonais , allez liverpool !! !!
T´as dis quoi Calu74
C´est une faute de frappe le "une" ??
oui c´est une faute de frappe sinon j´aurais mis barcelonaise sinon
stop les clashs
savourez à l´avance le chapitre 21
C´est vrai que je rage, mais contre Liverpool qui d´après moi va gagner la LDC, mais contre Barcelone qui n´a pas montré grand chose
Vivement le 21 !! !
J´ai oublié un mot essentiel:
C´est vrai que je rage, mais PAS contre Liverpool etc...
Dsl
c´est vrai mais bon, ils pourrontse reprendre en liga
Chapitre 21
La vie pour le résultat
1 point. C’est l’infime écart qui nous sépare avec notre adversaire du soir, le grandissime Dinamo Kiev. C’est dans un climat hostile que nous nous rendons sur les terres de la capitale, à la recherche d’une avance plus confortable en tête du classement. Bien sûr, les supporters ne partagent pas le même avis que nous, et nous le font savoir dés notre entrée dans la ville, par des gestes, des paroles, et même quelques caillasses. C’est donc en évitant cette émeute populaire que je m’en vais parler à la presse :
« Journaliste : Bonjour, tout d’abord, qu’avez-vous à adresser aux violents supporters qui vous ont accueilli ?
Moi : Bande de faibles ! Si vous pensiez nous déstabiliser, sachez, chers abrutis, que nous sommes imperturbables, on n’a peur de rien et surtout pas d’imbéciles qui nous caillassent.
Journaliste : C’est un derby aujourd’hui, un match très important pour votre équipe. Avez-vous la pression ?
Moi : Non, on n’a peur de personne !
Journaliste : Le principal atout offensif du Dinamo est Artem Milevskiy, prendrez-vous des mesures contre lui ?
Moi : C’est un joueur parmi d’autres très talentueux, pas spécialement non.
Journaliste : Sur ce, bon match… »
Contrairement à ce que j’ai déclaré, je veux qu’on muselle Milevskiy, je l’explique donc à Andriy Rusol :
« Andriy, je veux pas qu’il touche la balle. Tu le suis partout, devant, derrière, à gauche, à droite, même si il va pisser tu l’accompagnes aux chiottes !! ! »
Je pense qu’il a compris, et c’est désormais à toute l’équipe que je m’adresse :
« Les gars, si vous voulez gagner le titre, c’est maintenant, c’est à toute l’Ukraine que vous devez montrer que vous êtes les meilleurs, avant de le montrer à toute l’Europe… »
Je stresse avant le coup d’envoi, mon cœur s’accélère, puis le match débute…
Un match âpre et le climat tendu dans les tribunes comme sur le terrain se déroule sous mes yeux. Très (trop) peu d’occasions, les défenses prenant le pas sur les attaques. Il faut attendre 17 minutes pour voir une première incursion, c’est la notre, mais Balabanov ne cadre pas sa reprise à la suite d’un joli centre de Shelaev. Sur ce, le match s’emballe et, à la 21e minute, sur une action d’école, on est tout prés d’ouvrir la marque : Alors que le ballon tourne à 40 mètres de nos buts, Shelaev envoie un long ballon sur Balabanov, qui se retourne puis centre à ras de terre. Kostyshin gagne son duel avec Rodolfo mais butte sur un Shovoskiy des grands soirs.
On n’entend plus les fans du Dinamo, retenant leur souffle avant le sauvetage sur sa ligne de Vaschuk après un tir de Balabanov. C’est à ce moment là que l’écran géant du stade s’agite, puis diffuse les images de ma conférence de presse. Les salauds diffusent le message aux supporters violents de tout à l’heure, dont une majorité sont dans les travées du stade. De suite, les sifflements redoublent, les huées se font entendre, et bientôt un projectile (semble t-il un pétard) tombe à mes pieds.
Les coéquipiers de Milevskiy retrouvent alors leur jeu, se révoltent, et Kernozenko, par 2 fois, doit s’employer pour sortir des frappes de Moreno et Vaschuk.
Mes joueurs semblent déboussolés, perdent de nombreux ballons sous la bronca des supporters adverses, une fébrilité qui fait redoubler les houra des travées.
Après un nouveau rush de Milevskiy terminé par une frappe trop enlevée, la mi-temps vient à point nommé pour mon équipe, qui commençait à accumuler les fautes et autres erreurs de relances.
Le discours est encourageant pour des joueurs qui manquent de confiance. Je leur dis qu’ils n’auront pas souvent le ballon face à ces équipes là, il faudra alors jouer en contre.
Les joueurs semblent revigorés et, dés le coup d’envoi de cette seconde période, envoient un long ballon en touche dans le camp du Dinamo. Sous la pression, ces derniers perdent qui revient dans les pieds de Bidnenko. La frappe du n° 33 de Dnipro est détournée par un grand Shovoskiy. Malgré l’échec, le ton est donné.
Et la réplique des joueurs de la capitale ne tarde pas : A la suite d’une belle action collective, Milevskiy se retrouve seul face à Kernozenko. Le portier sort comme une bombe dans les pieds du buteur qui n’en peut mais, et voit ce ballon finir en corner.
Les occasions sont plus rares et seules les frappes lointaines permettent à la foule de vibrer. A ce jeu là, Nazarenko est tout proche de trouver le but mais le cadre se dérobe pour une dizaine de centimètres.
Puis rien. La partie est ennuyante, après une heure de très haut niveau, on sent l’absence, dans les deux camps, d’un meneur de jeu qui pourrait accélérer les transmissions de balle et augmenter la qualité de jeu.
Rien jusqu’à la 92e minute, où Husyev se retrouve seul face à Kernozenko. Le portier de Dnipro dévie la frappe de l’ailier de Kiev, le ballon sort, puis l’arbitre siffle, c’est la fin du match. Un 0-0 des familles, où chaque équipe aura eu sa chance. Ce résultat en déplacement me convient tout à fait, et je le fais savoir aux supporters locaux qui ont hués mes braves joueurs tout le match durant, par un geste qui n’est pas à faire mais qui est vraiment légitime :
http://www.dailymotion.com/visited/search/bras%2Bd%27honneur/video/xvyp6_taiwo-pete-les-plombs
Je vous laisse libre débat sur cette vidéo.
Dans les vestiaires, je félicite tous mes joueurs pour leur résultat bien sûr, mais aussi pour leur comportement sur le terrain, ne répondant jamais aux provocations.
Dinamo Kiev – Dnipro
Score final : 0-0
Homme du match : Andriy Rusol (7)
Affluence : 8266 personnes
« Journaliste : Etes-vous satisfait de ce résultat ?
Moi : Bien sûr, les garçons ont tout donné et le résultat est justifié, chaque équipe a eu sa chance, faire un nul à Kiev c’est quand même beau.
Journaliste : Etes-vous heureux de votre défense ?
Moi : Nous avons une très bonne assise défensive, je ne me plains pas.
Journaliste : Vous gardez toujours 1 point d’avance sur le Dinamo…
Moi : Et j’en suis fier. Etre premier d’un championnat, quel qu’il soit, est exceptionnel et je prie pour que ça continue.
Journaliste : Pour finir, jusqu’où irez-vous pour rester accroché à cette première place ?
Moi : J’irais jusqu’à mourir ! »
Le bruit d’un flingue se fit entendre, le coup partît puis je tombai, inanimé...
Je suppose qu´on va devoir attendre Samedi pour la suite
Je rage, t´aurais pu finir autrement
Beau chapitre
aie assaninat ,psycho-therapie ,folie meurtriere ,violence sexuelle mafia
sinon beau chapitre encore
ps:j´ai trouvé c´est ton president vu que tun n´apas gagné (c´est ca l´ukraine )
suspens, samedi la suite
Super chapitre
Moi aussi je pensais au président, mais à cause du message
Sal*pard de Ghis! Je veux la suite tout de suite!
http://www.streamingfootball.fr.st
en attendant un 400e post digne de ce nom