3/4 de 1000 ?
Impact ce pseudo ferait-il référence sur notre discussion en rapport avec l'homophobie ?
Zul je viens de lire ta fic, et elle est simplement énorme on sent un travail intense qui à été fourni dans cette oeuvre
sinon, flemme de faire un pavé critique
Peut-être.
Suis-je obligé de commenter le texte de Zul pour poster un petit prologue ?
Oui, c'est comme ça Bob .
Sinon totalement délirant Zul, j'adhère totalement .
(barrez le "totalement" que vous voulez)
J'crois pas que le dialogue soit dans l'obligation d'être dans un bloc séparé moi. J'ai jamais lu de bouquin présentant les dialogues comme ça.
Au passage Goulou, if you're still here, tu peux t'connecter sur msn ? J'ai besoin de quelques précisions.
Content de voir que ça vous ait plu.
Je dois réfléchir à une histoire principale, si je veux en faire une vraie fic.
Ça me brise les miches que tout le monde se mettent a poster spécialement quand je suis pas là ....
Je méprise l'être infâme et lâche qui a pris le pseudo "Impact_anal".
Ma notoriété est telle que je ne peux plus passer à coté du plagiat...
Zul J'aime bien ton texte, ça change vraiment de ce que l'on trouve ici, et même si c'est un peu bizarre au premier abord, c'est original
Leon Sans hésitation : FoxFeather !
Osef de ton futur pseudo.
C'est pas le pseudo qui fait l'homme.
Sache que ton compagnon de macro-ondage t'aimeras quelque soit le pseudo que tu choisiras
Zul -> On dirait les textes de Bud ne moins réalistes
Impact -> C'pas moi ....
Eagle -> FoxFeather a tout hasard
en moins*
Scrogneugneu
Bon, si vous aimez les trucs débiles :
Introduction
_ Hey, mon gars ! Pousse-toi !
Hubert regarda de ses grands yeux la personne qui venait de lui crier dessus. Hubert était mendiant dans les rues de la cité de Pouf-Sur-Mer. Et il n’avait pas pour habitude de lâcher ses proies :
_ Monsieur, monsieur, un peu d’argent ? S’il vous plaît, pour nourrir un pauvre homme !
Mais la pauvre personne harcelée de daigna pas lui jeter un regard et poursuivit son chemin. Et Hubert se rassit contre un des murs de la ville, et attendit qu’une autre victime arrive.
Chapitre 1 : La tablette et la fraise
Une fraise se définit de par sa flexibilité et son origine. Si l’origine de la fraise est moindre, sa flexibilité s’en trouvera donc réduite. J’en conclus qu’une fraise rigide n’a pas d’origine.
P. Stafanoupouloskof, philosophe renommé de la Grande Platitude.
Le Grand Problème est que cette histoire de parle pas du tout d’Hubert. En fait cette histoire ne parle pas de grand chose en particulier. Tout commença le jour où, lors des fouilles archéologiques près de Paf-Sous-Val, on découvrit une étrange tablette. L’archéologue en charge alla alors directement prévenir son chef. Il entra dans la tente et hurla :
_ J’ai découvert une étrange tablette lors des fouilles archéologiques près de Paf-Sous-Val !
Le chef haussa les sourcils et fixa l’archéologue :
_ Vraiment ? Et que dit cette tablette ?
_ Rien, mon chef. Elle est totalement vierge.
_ Qui ça ?
_ La tablette, mon chef.
Le chef fit signe qu’on lui donne cette fameuse tablette. Il l’observa, la tourna et la retourna dans ses mains, mais ne trouva aucune marque.
_ Cette tablette est vierge, archéologue, déclara-t-il.
_ C’est effectivement la conclusion à laquelle je suis parvenu, mon chef.
_ Pouvez-vous me dire ce qu’une tablette vierge fait près de Paf-Sous-Val ?
_ Non, mon chef.
Le chef enfourna soudainement son pouce dans la bouche. Mimique distinctif, et différentes chez les chefs de toutes sortes. Je vais ici m’arrêter pour expliquer certaines choses. Le monde dans lequel vivent Hubert, l’archéologue et le chef se nomme Grande Platitude (car il est grand est plat). Vivent des humains qui naissent sous une classe particulière. Le chef, par exemple, est né sous la classe de chef. L’archéologue est né sous la classe de civil. Le fait est que chaque classe supérieur à une autre a le droit de la commander. Ainsi quelqu’un de classe extrabouseux n’aura vraiment pas de chance, car il sera obligé de répondre aux ordres de tout et n’importe qui. Il sera même inférieur aux objets, aux animaux et à toutes choses possibles et imaginables. Revenons à la classe des chefs. Comme toutes les hautes classes (chef, grandchef, extrachef et dieu), les chefs ont chacun des signes bien distinctifs. Ils ont tous des tiques, qu’ils sont obligés d’effectuer. L’un devra sautiller lorsque il parlera, l’autre devra siffler lorsque il se trouvera moche. Et le chef auquel nous sommes confronté doit sucer son pouce lorsqu’il réfléchit. Mimique en somme tout à fait acceptable, par rapport à d’autre. Le chef réfléchit donc et parvint à une conclusion :
_ Si cette tablette est vierge, il faut découvrir pourquoi !
Il fixa l’archéologue, le pouce suintant de bave.
_ Non, vous ne pensez pas ?
_ Si bien sûr, mon chef. C’est d’ailleurs tout à fait pertinent comme suggestion.
_ N’est-ce pas ? Bon, et bien, vous allez vous mettre en route.
_ Moi ? Mais... Je ne sais même pas par où commencer...
_ Moi si, rétorqua le chef. Je connais un spécialiste des tablettes renommé dans le monde entier. Il habite à Craque-Sous-Billard.
_ Craque-Sous-Billard ? Mais c’est... loin.
_ Je vous félicite pour cette observation. Maintenant partez.
Et l’archéologue partit. Il prit des vivres et de quoi dormir puis se mit en route, au petit matin. Il traversa les grands Vals qui cernaient Paf-Sous-Val, foulant l’herbe sauvage de ses petits pieds de civil. Le soleil levant était beau, Le-Mec-Qui-S’occupe-Du-Soleil avait fait du bon boulot aujourd’hui. Le-Mec-Qui-S’occupe-De-La-Lune allait se surpasser cette nuit pour dépasser sous rival de toujours. C’était bon signe. Les Mecs étaient de bonne humeur, l’archéologue pouvait voyager tranquillement. Il parvint à Paf-Sous-Val alors que la nuit tombait juste. Il trouva facilement une auberge pour se restaurer, histoire d’économiser ses vivres. Lorsqu’il y entra, les éclats de voix, la chaleur des corps et du feu, et le tintement des chopes parvinrent jusqu’à lui. Il se dirigea vers l’aubergiste.
_ Aubergiste, une bière !
_ Bien, mon bon monsieur.
Et il lui servit une bière. L’archéologue demanda :
_ Dites, vous ne sauriez pas où je pourrais trouver un guide ?
_ Et où qu’il veut aller ?
_ A Craque-Sous-Billard.
_ Craque-Sous-Billard ? C’est loin...
_ Je sais. Alors ?
_ Ben écoutez, si vous voulez je vous fais une sélection... Attendez voir.
Il siffla, et des personnes, jusqu’alors assises sur les tables, se levèrent et se précipitèrent vers l’aubergiste, tels des chiens dressés.
_ Ce sont là tous mes guides. Je vous laisse vous entretenir avec chacun d’entre eux.
L’archéologue acquiesça et prit un premier guide à l’écart. Il s’assirent à une table, face à face.
_ Alors... commença l’archéologue. Faites-moi une brève présentation de vous, s’il vous plaît.
Le guide se lécha les lèvres, se racla la gorge et dit :
_ Je m’appelle Franck et j’aime la tarte au citron.
L’archéologue l’encouragea d’un signe de tête à continuer.
_ Je suis de classe civil, je mesure un mètre quatre-vingt, j’ai les cheveux châtains, j’ai les yeux noirs, et j’ai trente six ans.
_ Oui, nan mais ça, merci, je le vois là, à quoi vous ressemblez.
_ Nan mais c’est parce qu’on me voit pas.
_ On... On vous voit pas ? Comment ça ?
_ Ben j’suis un peu obligé de faire une description de moi, pour qu’on se fasse une idée de qui je suis.
_ Mais... Mais puisque je vous dit que je vous vois. Je suis pas aveugle, hein.
_ C’est pas pour vous.
_ C’est pour qui alors ?
_ Pour ceux qui me voient pas, j’vous l’ai dit.
_ Mais là y’a que vous et moi, donc ça sert pas à grand chose de vous décrire physiquement.
_ C’est parce que vous ne voyez pas au delà des choses. Vous ne cherchez jamais en profondeur. Nous sommes tous fictifs, mon ami.
_ Euh... Barrez-vous. Barrez-vous, tout de suite, sinon j’vais m’énerver. Pas envie de me traîner des débiles, moi. Et amenez-moi le prochain guide aussi.
Cinq minutes plus tard, le prochain guide s’assit à la table de l’archéologue.
_ Bonjour. Une présentation, s’il vous plaît ?
Le guide s’exécuta :
_ Tout d’abord, je m’appelle Placard Lafraise.
_ Lafraise ?
_ Oui, Lafraise.
_ Vous n’allez pas me dire que c’est votre nom ?
_ Ah parce que c’est Lafraise qui vous fait tiquer, vous ?
L’archéologue sourit.
_ Mais c’est ridicule, voyons !
_ Quoi, vous allez me virer pour mon nom ?
_ Mais non, mais non, ce sont vos compétences qui comptent. Donc, que savez-vous faire ?
_ Je sais guider.
_ Oui bien sûr, mais encore ?
_ C’est ce qui compte, non ?
_ Oui, mais j’aimerai me faire une idée de votre personnalité, pour savoir à qui j’ai à faire.
_ Je suis assez intelligent, enfin je crois.
_ Oui, oui, poursuivez. Quel est votre classe ?
_ Je suis un chef.
_ Un chef ? Et vous vous laissez commander par moi depuis tout ce temps ?
_ Nooon, mais je suis tolérant, moi.
_ Si vous le dites... Et quelle est votre manie ?
_ J’insulte les gens quand je suis heureux.
_ Ah oui... Pas commode.
_ Non non, moi c’est Placard.
_ Ouais je sais, pas comme l’empereur.
_ De quoi ?
_ Hein ?
_ Oulà, je sais plus moi...
_ Alors, vous me prenez ?
_ Allez, ça vaut le coup d’essayer. Au pire, je change de guide en route.
Sur ce, l’archéologue tapa du poing sur la table.
_ Allez, pour fêter ça je vous offre à manger ! Qu’est-ce que vous voulez ?
_ Nan mais tu te prends pour qui, p’tit con ? Tu crois que je suis pauvre ? T’es trop demeuré pour comprendre que je suis supérieur à toi ? J’prendrai une tarte à la fraise, mais gaffe, mon gars, parce que sinon j’vais tellement t’enfoncer mon poing dans la gueule que ta face de chien va changer de sens.
L’archéologue cligna des yeux plusieurs fois avant de lâcher :
_ Euh... Vous m’expliquez ?
Placard sembla soudain se rendre compte de ce qu’il venait de dire.
_ Ah... désolé. Vous voyez, quand je suis content, j’insulte tout le monde. Excusez-moi, vraiment, je le referai plus.
Puis il se mit à marmonner tout bas :
_ Ton chien est mort quand tu avais trois ans, tuant de tristesse ton petit frère. Au cause de ça, ton père sombra dans l’alcool et ta mère ne tarda pas à se suicider.
L’archéologue observa, perplexe, puis reprit ses esprits et cria :
_ Hum... Aubergiste, une tarte à la fraise !
L’aubergiste s’approcha et donna une formidable gifle à Placard, qui bascula sur sa chaise. Le tavernier adressa un sourire à l’archéologue.
_ Et avec ça, vous prendrez ?
Au petit matin, l’archéologue et Placard Lafraise se mirent en route. Il sortirent de Paf-Sous-Val et empruntèrent un petit chemin forestier, bordé d’arbres tortueux et sinueux. Cà et là des oisillons chantaient, un cours d’eau cascadait et des insectes crissaient. L’archéologue se sentait bien au milieu de cette nature. Il observa Placard qui marchait légèrement devant lui, et qui semblait triste comme la mort.
_ Qu’est-ce qui vous arrive, vous êtes malheureux ?
Placard leva lentement la tête et répondit :
_ Comment ? Non, pas du tout. Mais vous voyez, je suis obligé de me maintenir dans un état constant de tristesse pour ne pas me mettre à vous insulter. Sinon, croyez-le, en cette belle journée ensoleillée, les vannes fuseraient.
_ Allez-y, ne vous gênez pas pour moi, je saurai de toute façon que vos insultes ne sont pas sincères.
_ Très bien, merci beaucoup !
Et aussitôt, il poursuivit :
_ Hey, je dois te rappeler que je suis chef, sac à merde ? Tu crois que tu peux me permettre ou ne pas me permettre des choses ? Ce qui sort de ta grande gueule vaut tellement rien que même une merde de pigeon y prêterait pas attention, et tu crois pouvoir me donner des ordres ?! Elle est bonne celle-là ! Ah ah ! J’ai presque jamais autant ri ! A part peut être la fois où j’ai vu ton visage de ver centenaire agonisant pour la première fois ! T’es tellement inutile que...
Et il poursuivit ainsi, durant de longues heures. Au début, l’archéologue en rit, mais Placard en profitait pour attiser ses insultes, il choisit donc de se taire. Cela ne le gênait pas plus que ça. Ses vociférations devinrent un fond sonore, une sorte de vrombissement incessant qui se complaisait avec tous les autres bruits de la forêt. Ainsi, l’archéologue ne s’en trouva pas dérangé. Et, au bout d’un très long moment, alors que le crépuscule pointait à travers la cime, Placard se tut. L’archéologue se demanda pourquoi, mais Lafraise répondit avant que celui-ci ne pose la question :
_ J’ai peur du noir... Il va bientôt faire nuit.
L’archéologue sourit.
_ Ah, on va pouvoir dormir en paix, c’est déjà ça.
_ Vous oui, pas moi.
_ Allons, allons, on sera tous les deux, il n’y a pas de raison d’avoir peur.
_ Vous avez peut être raison...
Mais apparemment, il ne cessa pas d’avoir peur, car les insultes ne reprirent pas.
Ils firent un feu au milieu d’une clairière, et firent griller des tranches de viande que l’archéologue avait emporté avec lui. Alors que la délicieuse odeur de la nourriture grillée leur parvenait, Placard demanda soudain :
_ Pourquoi est-ce que vous devez aller à Craque-Sous-Billard déjà ?
_ Je ne le vous l’ai pas déjà dit.
_ Ah oui, c’est ça. Vous pouvez me dire ou c’est top secret ?
_ Non non, je peux vous dire. Je vais faire examiner une tablette par un spécialiste.
_ Ah, très bien. Pourquoi, qu’est-ce qu’elle a de spécial ?
_ Elle est vierge.
_ Qui ça ?
_ La tablette.
_ Ah ? C’est vrai que c’est plutôt étrange.
_ N’est-ce pas ?
Il y eut un court silence, puis Placard reprit :
_ Dites, vous ne m’avez jamais dit votre nom.
_ Effectivement.
_ Vous pourriez me le donner ?
_ Pour quoi faire ?
_ Euh, et bien, ça peut être pratique.
_ Pratique ? Pour quoi ?
_ Je ne sais pas... imaginez, par exemple, que j’aie besoin d’aide et qu’il n’y ait que vous. Pour vous appeler il me faut un nom.
_ Pas forcément. Vous pouvez m’appeler «archéologue».
_ Oui, mais dans ce cas là, si il y a plusieurs archéologue dans le coin, ça risque de porter à confusion.
_ Et bien ce sera celui-là qui viendra vous sauver, je ne vois pas où est le problème.
_ Pfff... eh bien... dites vous qu’il n’y a que vous qui puissiez me sauver, dans le genre un garde me retient et vous devez venir en personne, mais vous êtes trop loin pour voir que je suis captif et je dois vous appeler.
_ Pourquoi est-ce que je devrais venir en personne ? C’est stupide. Pourquoi pas un autre ?
_ Le garde ne veut que vous, parce qu’il préfère votre tête.
_ Mais alors, je connais le garde ?
_ Non... Enfin oui. Non. Si, si ! Il vous connaît, et je sais qu’il vous connaît, et c’est donc vous que j’appelle pour négocier avec cette personne que vous connaissez. Ce qui justifie le fait que c’est vous qui devez venir et personne d’autre.
_ Admettons. Mais si par exemple, c’est quelqu’un que je connais, mais que nos rapports sont mauvais ? Dans ce cas là, en m’appelant vous mettez ma vie en danger. J’en conclus qu’il ne faut pas que je vous donne mon nom, car ça revient à une forme de suicide.
_ Si vous me donnez votre nom, vous vous suicidez ?
_ Voilà, c’est la conclusion à laquelle je suis arrivé.
_ Ca se tient.
_ N’est-il pas ? Ah, le repas est prêt. Mangeons.
_ Bon appétit.
Ah ok Goulou
J'ai bien ri, c'était vraiment pas mal, mais ça manquait quand même de construction a certains endroits. pas toujours très développé, mais je pense que c'est fait exprès pour le style
Sweet du repas ?
Owi, j'adore, tu le sais
Y a des passages cultes là-dedans.