On s'en fiche de la longueur!
C'est génial !

Fan-Daisy: C'est pris en note
Résultats pour le moment:
3
4
3

Bravo!
C'est vraiment bien mais met plus d'espace entre les lignes comme je fais sur ma fiction
Sinon j'aime beaucoup, il n'y a pas de fautes d'orthographes!
C'est super continue comme ça!!

Merci beaucoup, je vais bientôt mettre la suite!

Chapitre 6 : Préparation

Quand on arriva chez moi, je savais déjà très bien se que j'allais prêter à Opélie. J'allais lui donner ma tenue préférée, la tenue Espagne. Je la lui tendis, elle la regarda un instant puis la prit et alla se changer derrière mon paravent ( en rotin! ).

- Waouh! Fis-je en la voyant arriver avec ma robe. Tu es sublime.
- Merci, répondit t-elle, ses joues rosissant légèrement.

C'est vrai qu'elle était magnifique, le robe semblait être faite pour elle. Habillée comme ça, Opélie n'avait aucun soucis à se faire.

- Bon, je propose tout de même qu'on se prenne un petit thé, déclarais-je.
- Je ne suis pas contre.

Je servis le thé et on s'installa devant la télévision. On regarda un téléfilm à l'eau de rose, puis se fut l'heure de la météo. A ce moment, je me relevais et me remis à faire mon ménage, laissant Opélie sur le canapé.

- Oh mon Dieu! S'exclama t-elle, me faisant sursauter.
- Quoi ? Demandais-je.
- Il annonce de la pluie pour ce soir... soupira t-elle, ma soirée tombe à l'eau.
- Oh, c'est vrai que c'est embêtant. Mais je suis sur qu'on va trouver une solution, m'exclamais-je, positive en toute circonstance.
- Ne me dis pas de prendre un parapluie, ça n'ira pas, on sera trempés quand même...
- Oui, la sortie dehors, c'est foutu... Vous pouvez aller... chez toi!
- Chez moi ?!
- Oui, tu prépare un diner et vous dinez en tête à tête, proposais-je.
- Non! Arrête, ce serait horrible, je serais trop mal à l'aise pour passer un moment agréable, rétorqua t-elle.
- Ok, on oublie le diner en tête à tête. Oh je sais! Vous avez qu'a aller au musée! M'exclamais-je me remémorant le discours que j'avais fait à Antoine sur Opélie et les insectes.
- Ça pourrait être bien, mais il faut qu'il aime les insectes.
- Oui, je suis sur que ça lui plaira, en plus, je lui ai dis que tu en avais capturés pas mal.
- A bon ? Demanda t-elle, surprise.
- Oui, quand tu es retourné au travail, je le lui ai dis. Ça ne te dérange pas j'espère ?
- Non, pas du tout. Et puis, ce n'est pas une mauvaise idée... répondit t-elle, pensive.
- Oui, vous pourriez voir les insectes, tu lui montrerais se que tu as attrapé, et ensuite, vous iriez voir les poissons, la collection est presque complète.
- Et les fossiles ? Demanda t-elle.
- Je l'ai terminer il y a deux semaines, dis-je en riant.
- Génial!S'exclama t-elle réellement enthousiaste.
- Y a même presque tout les tableaux!
- Eloïse, tu es formidable! Me dit t-elle, me faisant légèrement rougir.

Opélie avait l'air toute excitée à l'idée de sa sortie au musée, et j'étais très heureuse d'y être pour quelque chose.

- Bien, il faut prévenir Antoine. Quel heure est-il ? Demandais-je.
- Une heure et demi, répondit Opélie en consultant sa montre.
- Parfait! Antoine me livre le courrier en général vers deux heure, deux heure et demi, quand il passera, je le lui dirais.
- Oh, j'ai tellement hâte! S'exclama Opélie.
- Oui, je ne t'ai jamais vu aussi excitée, confirmais-je.

Quelques instants plus tard, Opélie retournait à la poste pour l'après midi, incapable de rester à rien faire chez elle.
A quatorze heure trente, Antoine passa chez moi, comme tout les jours. Mais cette fois, j'allais à sa rencontre.

- Antoine! M'exclamais-je, le voyant sur le point de partir.
- Oh, bonjour Eloïse, comment tu vas ?
- Bien. Tu as vu la météo ? Demandais-je passant du coq à l'âne.
- Non pourquoi ?
- Ils annoncent de la pluie pour se soir, répondis-je.
- Oh, c'est dommage, je devais sortir avec Opélie... soupira t-il.
- Je sais, Opélie est venue me voir tout à l'heure. A la place, elle ma dit de te dire que vous iriez au musée. Enfin, si tu es d'accord.
- Le musée ? C'est une idée superbe! Ça fait si longtemps que je n'y suis pas aller, et Opélie me montrera les insectes. J'ai hâte.

Je ne pus m'empêcher de sourire en pensant à Opélie qui était dans le même état, voir pire.

- Alors, rejoint la à dix huit heure devant le musée, je vous y attendrez.
- Tu viens avec nous ? Demanda t-il surpris.
- Non, mais je vais occuper un peu Thibou, sinon il ne va pas vous laissez tranquille, tu le connais.

Thibou était le conservateur du musée, un hibou aux plume marrons, il avait des pommettes bien rouge, et un nœud papillon vert autour du cou. Il était très gentil, mais dès qu'il commençait à parler d'insecte, de poissons, fossiles ou autres, impossible de l'arrêter dans ses explications. Croyez-en mon expérience, à chaque fois que je lui amenais une nouveauté, j'avais le droit à tout un monologue...

- Oui, merci.
- De rien! A tout à l'heure!

Et Antoine repartit livrer son courrier.
Évidemment que je n'allais pas rester avec eux pendant leur visite. Mais en plus d'occuper Thibout, je voulais demander à Céleste si elle accepterait de leur montrer les constellations, et les étoiles. Céleste était la sœur de Thibou, mais elle, ses plumes était rouge et elle avait un nœud rose dans les cheveux. Et je voulais également demander à Robusto de préparer un bon café pour les deux tourtereaux. Robusto était un pigeon au plume verte, assez renfermé sur lui même. Mais je le connaissait depuis longtemps et nous étions amis.
Je savais que j'en faisais un peu trop, mais je voulais tellement que leur rendez-vous se déroule à merveille...

Voila le nouveau chapitre! ( J'ai mis plus d'espace! Hein fleur4 ?! ^^ )

Thibou a les plumes noires, non?
A part ça (pour une fois que j'ai truc a dire sur ta fic superbe ) ce serait bien que tu la fasse tomber amoureuse (Eloise, pas Opélie hein ) et qu'elle soit toute timide comme Opélie. Tu pourrais faire venir un nouvel habitant!
Suite !

En faite, c'est un poil plus compliqué que ça!^^
J'ai écris plusieurs fic, enfin en faite, j'ai fait ça comme des nouvelles. Et celle-ci serait la première.
Donc, la c'est l'histoire d'Opélie. Mais après, dans une autre nouvelle, Eloïse va effectivement tomber amoureuse.
Et, si ma fic plait bien, j'en mettrais surement d'autres ( nouvelles ). Dois bien y en avoir 3 ou 4!^^
Voila!^^

trop bien j'ai hate pour la suite !!!

Super comme toujours

Mais c'est génial ! je n'ai jamais vu une fic aussi belle j'adore rien a redire

Sweet

Chapitre 7 : Partie 1 : Ce sera une soirée parfaite ! :

Quand le soir arriva ( enfin! ), même moi je ne tenais plus en place! A dix huit heure, j'étais dans le musée, en train de parler avec Thibou, quand je vis Opélie et Antoine entrer, je leur fis un clin d'œil et continuais d'écouter Thibou qui me parlais de sa jeunesse. Malgré tout, j'aimais bien écouter Thibou, je le trouvais intéressant. Mais, vite lassée, je finis par m'excuser et filer à l'étage.
En haut, je retrouvais Céleste, assise dans son fauteuil, l'œil dans le télescope, comme je m'y attendais.

- Bonsoir Céleste, la saluais-je.
- Oh, bonsoir Eloïse, je suis contente de te voir, que vient tu faire ici ?
- Je suis venue te demander un petit service, répondit-je hésitant encore sur la façon de lui demander ma faveur.
- Oui, qu'est ce que tu veux ?
- Je sais que tu n'aime pas trop qu'on vienne te déranger, mais Opélie et Antoine sont venus visiter le musée, ils y sont là. Et je voulais savoir si tu serais d'accord pour leur montrer les constellations ? Demandais-je.
- Oh, je vois. Tu as raison, je n'aime pas trop que du monde vienne dans mon espace de vie. Mais pour toi, je ferais une exception, me répondit t-elle.

Je sentis un sourire me monter aux lèvres. Céleste était vraiment génial! Elle avait un télescope puissant qui permettait de vraiment bien voir les étoiles, et j'étais vraiment ravie qu'elle accepte.

- Merci! M'exclamais-je. Tu les connais, Opélie est vraiment très gentille, et Antoine aussi.
- Oui, c'est bien pour ça que j'ai accepté! Me répondit t-elle en riant.
- Encore merci. Maintenant je dois aller voir Robusto, pour qu'il face son meilleur café.
- Dit-donc, pourquoi tu fais tout ça pour eux Eloïse ? Me demanda Céleste curieuse, comme toujours.
- Parce qu'Opélie est ma meilleure amie, et que j'apprécie beaucoup Antoine. Ils méritent que cette soirée se passe bien, répondis-je, sur de moi.
- Eloïse, tu es vraiment une fille formidable! S'exclama t-elle.

Je souris, mais ne répondis pas, et je filais au rez de chaussé pour aller au petit café de Robusto.

Quand j'arrivais au café, quelques minutes plus tard, Robusto était derrière son comptoir, en train de laver ses tasses, comme toujours.

- Bonsoir Robusto! Lançais-je gaiement.
- Bonsoir Eloïse, tu es venu pour boire un petit café ? Demanda t-il.
- Oui, mais aussi pour autre chose, avouais-je.
- Oh, bon, je te sers et je t'écoute.
- D'accord.

Robusto me servit un bon café que je bus immédiatement et d'une traite. Son café était formidable!
Il était très très amer, mais s'en était délicieux.

- Alors, qu'est ce que tu veux ? Me demanda t-il.
- Eh bien, il te reste encore du café ? Demandais-je.
- Non, désolé, tu as eu la dernière tasse...
- Oh mince! M'exclamais-je
- Pourquoi ?
- Opélie et Antoine visite le musée en se moment, et je voulais qu'ils viennent chez toi, je trouve ton café tellement délicieux, je voulais qu'ils y goûtent... soupirais-je.
- Bon, si tu veux je peux en refaire... mais c'est exceptionnel!

Robusto avait une règle d'or, jusqu'à dix sept heure, il préparait du café dès qu'il n'y en avait plus. Mais après cette heure la, il n'en préparait plus, et servait jusqu'à ce que sa carafe soit vide. Alors à ce moment la, il fermait.

- Merci, merci, merci!
- Je te dois bien ça, me répondit t-il.
- Oh, vraiment merci. Bon, je vais voir où ils en sont.
- Eloïse, tu devrais les laisser tranquille, ou alors vas-y mais soit discrète. Ne te fais pas voir, ne les dérange pas.
- Merci du conseil Robusto, j'y vais, dis-je filant.

Voilà!! ^^ Je mettrais la deuxième partie un peu plus tard, sinon ce sera trop long!^^ J'espère que ça va vous plaire! Et meci à tout ceux qui m'ont laissés leur commentaire, j'apprécie vraiment!

j'adore ta fic

génial

Splendide
Ce serait génial que tu fasses d'autres fic
Bien sur qu'elle est appréciée, ta fic!!!

Je doit bien dire, j'ai deux fic que j'aime énormément, c'"est la tienne, et une autre sur le forum Harvest Moon DS qui s'appelle Bokujou Monogatari.
Bon, je dois t'avouer que je préfere un peu l'autre, mais elle est beaucoup plus longue, alors c'est peut être pour ça
mais bon c'est pas pour autant que ta fic n'est pas merveilleusement merveilleuse

lizooz toi aussi tu vas sur le forum harvest moon
moi tout le monde me déteste j'ai pourris le forum
Sinon c'est super comme d'habitude eloanna

super continue

Suite ! J'adore ta fic ! C'est commun mais pas lassant !

Allé la suite ! ( Préparez vous, le chapitre est putôt long! )

Chapitre 7 : Partie 2 : La soirée :

Je demandais à Thibou si ils les avaient vu, celui-ci me répondit qu'il les avaient vu partir dans l'aquarium. Aussitôt, je filais la bas, mais dès que j'entrais dans la première salle, je me mis à marcher sur la pointe des pieds, me faisant la plus discrète possible. Ils n'étaient déjà pas dans la première salle, j'allais alors discrètement vers la deuxième. Et c'est la que je les trouvaient. Ils étaient assis sur un banc, en face des poissons de mer. Des requins, des vivaneaux, des bars communs et une foule d'autres poissons nageaient tranquillement devant eux.

Je les observais discrètement, trop curieuse pour pouvoir m'en aller. Puis, je vis Antoine passer son bras autour des épaules d'Opélie, et la serrer un peu plus contre lui. Opélie ne broncha pas, et vint se mettre tout contre lui. A ce moment la, un énorme sourire illumina mon visage, tout ce déroulais à merveille.
Ils restèrent un moment comme ça, puis Opélie murmura doucement ( je l'ai dis, j'ai l'ouïe fine! ) :

- Antoine, si on allait à la prochaine salle maintenant ?
- Oui, allons-y.

A se moment la, je me rendis conte que si je ne déguerpissais pas tout de suite, ils allaient me voir. Du coup, je filais à toute vitesse et retournais dans le hall d'entrée. Quand ils arrivèrent, Thibou me regarda l'air complice, je lui souris.

- Opélie, commença Antoine, je crois que nous avons tout visité, dit-il.
- Déjà ? S'étonna Opélie, qui n'avait visiblement pas envie que le rendez-vous s'arrête la.
- Non, intervins-je, ce n'est pas fini, si vous voulez bien, Céleste est d'accord pour vous montrer les étoiles et les constellations dans son télescope.
- C'est vrai ?! S'exclama Antoine.
- Oui.
- Oh, j'en ai toujours rêvé. Ça te dis Opélie ? Demanda t-il.
- Bien sur répondit celle-ci, trop heureuse que la soirée continue.

Et ils montèrent en haut, rejoindre Céleste et son télescope. Dès qu'ils ne purent plus nous entendre, Thibou me demanda :

- Alors, comment ça ce passe ?
- Incroyablement bien! Répondis-je, heureuse.
- Merveilleux! S'exclama t-il. Qui aurait cru qu'un tel rendez-vous soit possible dans notre beau musée de Crolles ?
- Je ne sais pas. En tout cas, je suis vraiment contente.
- Moi aussi, ces deux la vont vraiment bien ensemble, ils sont fait l'un pour l'autre, ça se voit.
- J'espère que tu as raison, répondis-je sincèrement.

Quand ils redescendirent, ma montre affichait neuf heure et demi. Antoine avait un grand sourire aux lèvres, tout comme Opélie, ils avaient vraiment l'air heureux.
Je leur indiquais alors le café avec un grand clin d'œil, mais cette fois sans dire un mot.
Ils s'y engouffrèrent tout les deux, main dans la main, ou plutôt, l'aile dans l'aile.

Quand ils ressortirent du café, une vingtaine de minutes plus tard, j'étais toujours dans le hall, j'attendais patiemment, car je devais ramener Opélie chez elle.
Si je n'avais pas été au courant, j'aurais vraiment crut qu'ils étaient en couple. Mais alors que la soirée avait été pour eux, juste parfaite, un évènement imprévu vint tout gâcher. Alors qu'ils se dirigeaient vers moi, collé l'un contre l'autre, Elisabec déboula dans le musée.

- Opélie!!!! Hurla t-elle.

Celle-ci sursauta et se retourna avec effroi vers sa sœur. A cet instant précis, je maudis Elisabec d'être aussi mauvaise et égoïste.

- Comment ose-tu ??!! S'exclama celle-ci. Comment ose-tu me voler mon petit ami ??! Cria t-elle.
- Quoi ? Antoine ? Demanda t-elle en se retournant vers celui-ci, tu sors avec ma sœur ?
- Non, pas du tout, déclara l'intéressé sur de lui.
- Quoi ?!! Antoine! Tu sais très bien que nous sommes ensemble ne fait l'idiot.
- Elisabec, j'ai voulu sortir avec toi, c'est vrai, mais tu ma toujours envoyé boulé. Mais ça, c'était avant que je comprenne qui est vraiment Opélie.
- Et quoi ? Tu veux me faire croire que tu es tombé amoureux d'elle ? Demanda t-elle ironique.

Tout le monde présent dans la salle la regarda perplexe. Elle compris et ses yeux se mirent à lancer des éclaires.
- C'est une blague!! Hurla t-elle.
Sa question ressemblait plus à une affirmation qu'à une question. Mais alors Antoine répondit sans hésiter une seule seconde :

- Non, il n'y a pas de blague. Je ne sors pas avec toi, je ne l'ai d'ailleurs jamais fais, et ne le ferais jamais.

Je cru qu'elle allait se jeter sur lui et le tuer, mais elle n'en fit rien. Elle inspira un grand coup, puis lança son regard sur Opélie. Je vis alors un sourire se tracer sur ses lèvres peinte avec du rouge à lèvre rouge vif. Qu'avait t-elle encore dans la tête ?

- Opélie, dit t-elle d'une voix glacial, tu rentre à la maison. Maintenant.
- Non, répondit Opélie.

Elisabec ouvrit les yeux tellement grand qu'on avait l'impression qu'ils allaient quitter leur orbite. Mais je dois dire que moi aussi je fus surprise par la réaction d'Opélie, sauf que pour moi, ce fut une agréable surprise. Pour une fois qu'Opélie tenait tête à sa grande sœur.

- Très bien, tu ne veux pas rentrer ? Alors je t'interdis de franchir la porte de notre maison. Ce n'est plus t'as maison, répondit t-elle, d'un ton toujours aussi glacial.
- Quoi ? Mais tu ne peux pas me mettre à la porte, c'est également chez moi.
- Et bien plus maintenant. Je paierais le loyer seule, j'en ai les moyens, mentit t-elle. Passe récupérer tes affaires demain matin et après, ne remet plus jamais les pieds chez moi! S'exclama Elisabec.

Puis, elle tourna le dos, leva la tête haute et partit. Je vis Opélie fondre en larme dans les bras d'Antoine. Immédiatement, j'allais vers elle et la prenais dans mes bras pour la consoler.

- Je suis désolée, tellement désolée, lui murmurais-je à l'oreille.
- Ce n'est pas de ta faute Eloïse, la soirée à été une merveille, et je tiens quand même à te remercier.
- Opélie, je suis désolé, s'excusa aussi Antoine.
- Toi non plus tu n'y es pour rien. Mais je n'en reviens pas, je n'ai plus de maison, où je vais aller ? Demanda t-elle, n'attendant aucune véritable réponse.
- Opélie, tu sais très bien que tu es toujours la bienvenue chez moi, répondis-je aussitôt, ma maison est vraiment très grande et j'ai beaucoup de chambres d'amis, tu n'a qu'à prendre l'une d'elles.
- Oh, merci Eloïse, tu es vraiment la meilleure amie du monde.
- C'est normal, ça sers à ça les amies! M'exclamais-je sans grand enthousiasme.

Puis, Opélie se tourna vers Antoine et les deux amoureux se dévisagèrent un court instant. Puis Opélie dit à Antoine :
- Et merci à toi aussi pour cette superbe soirée, mise à par la fin bien sur... A demain.
- Opélie! S'exclama Antoine, alors que celle-ci se retournais vers moi.

Mais Opélie ne se retourna pas, et s'effondra dans mes bras, je fis un signe à Antoine pour qu'il s'approche de moi.
- Antoine, elle à eu son conte d'émotions pour la soirée. Je vais la ramener à la maison, et elle va passer une bonne nuit. Vous parlerez demain. D'accord ?
- Oui, répondit t-il.

Je me tournais alors vers la sortie, soutenant Opélie qui n'était pas bien lourde, quand Antoine me rattrapa et me dit à voix basse :
- Merci.

Je lui souris, puis emmenait Opélie à la maison.
Une fois cher moi, je l'entrainais dans la chambre d'amis à gauche de la mienne. Je l'avait appelée la chambre Champi. Car tout les meubles sont des meubles Champi. Cette chambre est la meilleure de toute d'après moi. L'atmosphère qui y règne grâce aux meubles est incroyablement relaxente et rassurante. La pièce n'était pas très très grande, mais très bien aménagée. Au centre de la pièce était placée une table Champi, dessus étaient posés un service à thé, un siphon, un gâteau d'anniversaire et une photo de Clara, une de mes amies qui était une très gentille lapine. Derrière était disposée deux étagères, sur lesquelles ont pouvait s'assoir.

Devant, deux chaises, et en face des chaises, une télévision ( tout les meubles sont Champi ). Du côté droit de la télévision, il y avait une petite armoire, à côté de celle-ci, une lampe, et en face de cette lampe, un porte manteau ( toujours tout Champi ). A gauche de la télévision, une petite table de chevet avec une photo, de Kéké, notre dalmatien chanteur préféré, et à côté, un bon lit douillet, derrière le lit, une commode, et encore derrière une table avec une autre photo ( ai-je besoin de préciser que tout est en Champi ).

J'entrais dans la pièce avec Opélie, et l'installait sur le lit, bien au chaud sous la couette.
- Bonne nuit Opélie, dort bien.
- Bonne nuit, bredouilla t-elle.

Je filais alors dans ma chambre à moi, et fit de même.

Voilà! J'espère qu'il n'est pas trop long; mais je ne voulais pas faire une troisième parties ( sinon ça aurait été trop court!^^ ). Et j'espère aussi que ça vous plaira!

J'adore

La longueur exxellente Tu donne envie de lire la suite avec tes phrases et...et....et..... ta fic est sublime mais je l'ai déja dit donc : Bravo

trop trop trop bien cette suite
moi aussi j'adore les meubles champi

Alors, j'ai tout lu.
Normalement, je ne lis pas ce genre de fic, je suis plus dans l'héroïc-fantasy, les combats. Mais vu les commentaires, je me suis décidée à le faire, et j'aime beaucoup.

Par contre, pour la syntaxe, il faut un espace avant et après le point d'exclamation !
Et il faut à tout prix éviter les parenthèses dans ton texte ! Mets plutôt des tirets.

Par exemple, quand tu décrivais ta pièce Champi, tu aurais pu dire que tout les meubles appartenaient à cette collection.
Ben sinon, j'attends la suite !
Bonne continuation. ;)