Voilà, je n'ai jamais fais de fic, mais un soir j'ai voulu essayer et j'en ai écris une en entier. Alors, j'ai vu qu'il y avait beaucoup de fic et je me suis dis que je pouvais poster la mienne.
Voici donc la première partie :
Toute cette histoire à commencé un Mardi matin, vers dix heure. J'étais tranquillement installée dans mon salon. Bon il faut déjà savoir que ma maison est composée de quatre pièces au rez-de- chaussé et d'un étage. Quand on entre dans la maison, on arrive dans le salon qui est une vaste pièce, ou j'ai placé une collection entière de meubles en rotin disposé un peu partout, assortie au sol et au papier peint. J'y est également mis une gigantesque télévision au fond à gauche, une cuisinière et un évier au fond à droite, sur les tables en rotin qui sont au centre de la pièce sont installés quelques photos, un service à thé et une cafetière. Dans l'entrée, du coté droit, il y a une lampe en rotin, et une troisième table avec deux photos installées dessus, et du coté gauche, mon ordinateur, une chaise, et une plante verte. Je crois que j'ai à peu prêt fait le tour du salon, bien sur, j'ai surement oublié quelques meubles, mais ce n'est pas très important.
Bref, j'étais dont installée dans le salon, plus précisément devant la télévision à boire un café pour me réveiller quand j'entendis toquer à la porte. Je me levais donc et allais ouvrir. C'était bien sur Opélie, que je trouvais au bord des larmes devant chez moi.
Opélie, mon Dieu qu'est ce qui ne va pas ? Demandais-je alarmée.
Oh, Eloïse, je suis vraiment trop idiote, sanglota t-elle.
Aller vient entre, et raconte moi tout, répondis-je.
Je la fis entrer et nous nous installâmes toutes deux sur le canapé. Opélie me raconta qu'elle avait surpris Antoine en train de faire une déclaration d'amour à Elisabec, qui bien sur, l'avait envoyé bouler. Ce n'était pas la première fois qu'Opélie se mettais dans un tel été pour Antoine, mais elle était habituellement d'une nature tellement calme et posée que je m'étonnais toujours de la voir pleurer.
Oh, Opélie je suis désolée.
Je sais bien. J'essaie de ne plus penser à lui, de passer à autre chose, mais je suis toujours amoureuse d'Antoine...
Tu sais, commençais-je, je pense qu'il est peut-être temps de passer à l'action.
C'est à dire ? Demanda t-elle.
Eh bien, déjà, nous pourrions passer une journée dans les magasins pour te trouver de nouveau vêtements. Et puis, Opélie, il faut que tu lui parle, tu es trop timide, il faut qu'il te remarque, déclarais-je.
Oui j'essaie, mais il ne me voit pas... soupira t-elle.
Et si on donnait un petit coup de pouce au destin ? Demandais-je, complice.
Oh Elo! Tu ferais ça pur moi ? Demanda t-elle.
Bien sur Opélie! M'exclamais-je. Demain tu fais quoi ?
Eh bien, je travail à la mairie toute la journée, me répondit-elle.
Oui... tu ne peux pas prendre ton après midi ?
Si, le maire sera surement d'accord. Je ne lui demande presque jamais rien!
Génial! Alors demain, on va faire les magasins, et on te fait un nouveau look. Tu verras, Antoine va vite oublier ta sœur et reviendra vers toi.
J'espère que tu as raison!
Aller file, tu va être en retard! M'exclamais-je. Et moi aussi d'ailleurs.
Opélie se leva, un sourire radieux sur les lèvres et partie heureuse à l'idée de la virée du lendemain. Quant à moi, j'avais un sacrée boulot, je devais enlever les mauvaises herbes qui avaient envahit la ville...
Bien bien !
C'est un excellent début car j'aime la façon dont tu débutes cette histoire.
Si je peux me permettre, je pense, mais c'est mon avis et je te le donne en tant que créatrice de 3 fics, que il faudra peut-être que tu modifies ton histoire en fonction des lecteurs et tu sais, moi je n'écris jamais la même chose que ce qui est sur le papier que sur ce forum ! C'était juste comme ça car tu confies que tu l'as déjà écrite toute entière...
Sinon, j'attends vivement la suite et je pense que les futures personnes qui liront aussi !
En espèrant avoir pu t'être utile,
Titchiy
Merci pour avis Titchiy. J'aime les avis construit différent d'un simple "trop bien" ( même si parfois on trouve rien d'autre à dire... ). Je mettrais la suite dans... non, en faite, je vais la mettre tout de suite!^^
Voilà donc la suite de ma petite histoire :
Partie deux :
Le lendemain, je me levais tôt, et enfilais une jolie robe, robe Espagne, qui est une robe rose et noir. Le haut est noir et le bas est rose avec des poids noir. ( C'est une de mes robes préférées! ) Vers deux heures de l'après midi je partais pour la mairie, aller chercher Opélie et retirer un peu d'argent.
Quand j'arrivais, Opélie m'attendait, tenant à peine en place tellement elle était excitée, et je ne pus m'empêcher de rire.
- Alors, comment vas-tu aujourd'hui ? Demandais-je.
- Très bien! Je n'ai jamais été aussi excitée de ma vie, s'exclama t-elle.
- J'avais remarqué! Plaisantais-je.
- Alors on y va ?
- Oui, mais avant je dois retirer de l'argent, dis-je.
- Non c'est bon, répondit-elle, j'ai tout ce qui faut.
- Tu es sur ?
- Mais oui! Aller on y va!
Et on fila chez les « Sœurs doigt de fée ». On passa tout l'après midi à essayer des vêtements, des chapeaux, des paires de lunettes, des chaussures, et autres accessoires. Quand on ressorti du magasin on était tellement chargées, qu'on du demander de l'aide à Chef, mon ami renard de nous aider à porter les paquets. Celui-ci en profita pour jouer les matchos et dire que les femmes n'étaient rien sans les hommes. Opélie et moi éclatâmes de rire, mais Chef ne fut pas vexé le moins du monde et ria avec nous. Chef était un de mes meilleure amis, bien qu'avec parfois un sale caractère, il était toujours la quand j'avais besoin de lui, et je lui rendais la pareil quand j'en avais l'occasion.
Une fois chez moi, Opélie et moi filâmes dans ma chambre pour une séance d'essayage.
Ma chambre était elle non pas rempli de meuble en rotin, mais de meuble royale. Du côté gauche de ma porte était installée une lampe et juste derrière un beau piano en ivoire, une folie que je m'étais offerte pour un de mes anniversaires. Du côté droit, un canapé crème, une petite table avec un ours en peluche, l'ours de mon enfance. Il y avait aussi un phonographe a coté de mon ours, et encore derrière, une grande armoire royale, et en face de celle-ci, une coiffeuse, royale toujours. Au fond à droite de la pièce trônait ma cheminée en brique rouge sur laquelle étaient mise une photo de Dora, ma seconde meilleure amie et une petite télé. En face de la cheminée était installé un canapé royale. De l'autre coté, il y avait mon lit deux place, royale également, à côté, une petite armoire et une horloge ( ai-je besoin de préciser que c'était la aussi, en royale ? ).
Opélie et moi nous installâmes donc dans ma chambre, on étala les affaires sur mon lit, et j'en choisis quelques une pour le premier essayage...
Il y eut en tout une vingtaine d'essayage que je ne vous décriraient pas pour une seule et unique raison. L'amitié veut de ne pas révéler les pires hontes de ses meilleures amies. Et croyez moi, Opélie n'est pas une fille à qui tout les vêtements vont. On décida au final de garder la tenue hollande. Un haut blanc pour le buste, les manches rose avec une bordure noire à fleur. Et une ceinture noire à fleurs assorti avec les manches ainsi qu'une jupe rose. Opélie était absolument magnifique!
En accessoires, je choisis de lui mettre une jolie barrette en forme de cœur rose sur la tête, qui d'ailleurs lui plaisait beaucoup, et ce fut tout. C'était simple et jolie.
Mon amie ne pouvait peut-être pas porter tout les genres de vêtements, mais la simplicité lui allait à ravir.
Bon, c'était déjà ça de fait, maintenant, il fallait encore qu'elle aille comme ça au travail et pire, qu'elle arrive à se faire remarquer par Antoine. Et croyez moi, ce n'était pas une mince affaire, car si Opélie semblait à l'aise et pas très timide avec moi, devant Antoine, elle perdait tout ses moyens.
Le plus dure restait donc à faire. Antoine passait à la poste deux fois par jour, une fois le matin vers neuf heures pour prendre tout le courrier à distribuer et une seconde fois le soir vers dix sept heure pour rapporter le sac de courrier, vide. C'était à ces deux seul moment qu'Opélie avait une chance de croiser Antoine.
- Comment je vais faire ? Me demanda Opélie.
- Eh bien, demain matin, quand tu le verra, tu vas vers lui et tu lui parle.
- Je n'oserais jamais! S'exclama t-elle.
- Il va bien falloir, tu ne peux pas rester comme ça, à attendre qu'il pose ses yeux sur toi. Non, il faut que tu ailles vers lui, c'est pas si dure!
- Tu sais très bien comment je suis, dès que je suis à côté de lui, je perd tout mes moyens, et je ne suis plus capable de prononcer une seule phrase voir même un seul mot sans bafouiller.
- Si tu veux, vers neuf heure demain matin, un peu plus tôt même, je viendrais à la mairie. Si ça peux t'encourager.
- Oui, je veux bien.
- D'accord, nous ferons comme ça.
Sur cette décision, nous allâmes prendre le thé dans mon petit salon, et on passa tout le reste de l'après midi à parler. Puis, vers dix huit heures, elle fila chez elle, il fallait qu'elle se couche tôt, une longue journée l'attendait le lendemain.
Bravo!!!
Pour une première, c'est très bien
Mais je te conseille des maintenant de tenter de trouver une suite a ton histoire, car, bien que je ne sache pas ou tu en es, si tu l'as écrit entièrement en une soirée elle ne doit pas être bien longue.
Mais je ne peux pas te conseiller plus sir ce sujet étant donné que je ne connait pas le reste de l'histoire. Nous y reviendront le moment venu. Mais évidement, a toi de cjoisirn et pet être a tu écrit pleins pleins de chapitres en une seule soirée.
Je te conseille juste de poster avec plus de temps entre les chapitres. Je sais que ce n'est pas facile, moi perso je les fais directement sur word petit a petit donc je n'.ai pas ce problème. Mais toi, fait une limite, comme, je poste dans trois com'z de personnes différentes ou bue demain, comme cela les gens n'ont posa trop a lire.
Bon, je ne parle pas pour moi mais imagine si demain quelqu'un se lève a midi, va voir le fofo et découvre que tu as poster duyx chapitres, c'est décourageant
Je te conseille aussi de dire chapitre 1,2,3,4 etc. Et non pas partie 1,2,3,4 etc. Et de mettre des titres a tes chapitres.
Ce ne sont que des recommandations pas très importantes car ta fics est d'un niveau d'écriture qui n'a rien de reprocgable, du moins pour l'instant.
Ah oui, en fait, peut être que tu l'as inventé mais il existe une horloge royale? Je n'en ai halais vu alors je demande.
En fait, éloigne toi peut être un peu du jeu, comme par exemple invente des tenues ou des meubles, enfin, des trucs nouveaux.
Moi aussi j'adore Chef j'ai sa photo
Juste parce que t'es une fille jvais le lire
Non, enfaite je me sent pas
De quoi parle tu?
Et comment cela "juste parce que tu es une fille"?
Il y a des fics de mecs très réussies tu sais, c'est pas tees sympa de dure ça, même si moi même je suis une fille.
Je te conseille de lire en tout cas
J'attends la suite avec impatience !
Merci Lizooz pour tes conseils. Je n'ai pas écris la fic en une soirée. En faite je l'ai écrite y a un moment, mais je n'osais pas trop la mettre, je ne suis pas très sur de moi en faite!^^ Et oui, l'horloge royale existe vraiment, je l'ai chez moi. Bon bref, je vais mettre la suite :
Chapitre 3 : La crise d'Opélie
Comme convenu, à neuf heure moins dix, je me trouvais à la mairie. Opélie était derrière son guichet, comme tout les jours. Elle avait l'air comme d'habitude, mise à par sa nouvelle tenue. Mais je devinais son anxiété derrière ce masque de sérénité.
A neuf heures précise, Antoine arriva dans sa tenue habituelle de facteur ( casquette et habit vert ), il semblait de bonne humeur et chantonnait. Je lançais un regard à Opélie, qui sortait de derrière son guichet et se dirigeait vers Antoine. Je lui fis un clin d'œil, essayant de l'encourager. Mais quand elle arriva derrière lui, elle se pétrifia et n'osa plus bouger.
Elle me lança un regard, je lui fis signe d'y aller. Elle avança sa main, et au moment où sa main allait toucher l'épaule d'Antoine, Elisabec entra dans la mairie et appela Opélie l'air énervée. Antoine, charger de son sac de lettre fut surpris par cette entrée fracassante et sursauta. Il fit un tel bon, qu'il se cogna dans Opélie et tout deux tombèrent par terre. Antoine durant la chute lâcha son sac et toutes les lettres s'éparpillèrent par terre.
- Opélie! Où à tu encore mis la télécommande ?! Je vais rater ma série! S'exclama Elisabec, visiblement très énervée.
Antoine était allongée sur Opélie et ils étaient ensevelie sous un gros tas de lettres. Antoine se releva, le visage un peu rouge, tandis qu'Opélie était carrément toute rouge.
- Je, je suis vraiment, vraiment désolée... bredouilla Opélie à Antoine en se relevant à son tour.
- Ce n'est pas gra... commença celui-ci.
- Opélie!!! Hurla Elisabec. Mon Dieu! Mais qu'est ce que tu as encore fais ?!!
Opélie devint encore plus rouge. Quant à moi, j'allais vers elle et commençais à ramasser les lettres éparpillées par terre. Antoine fit de même, puis Opélie se baissa et nous aida aussi. Seule Elisabec ne bougea pas d'une plume et resta sur place à attendre que nous ayons finis.
Quand nous nous relevâmes, le sac d'Antoine à nouveau plein de lettre, Elisabec arriva, et hurla de toute ses force au visage d'Opélie :
- Bon Dieu! Où est ma télécommande!!!?
- Je, je ne sais pas, bredouilla Opélie.
- Comment ça tu ne sais pas ? Tu range toujours la maison, tu dois bien savoir où elle est.
Je regardais Elisabec et remarquais un petit détail qui eus le dont de m'énerver. Je m'avançais alors vers les deux sœurs et dis à Elisabec sur un ton glaciale.
- Ta télécommande, tu la dans la main.
Elisabec regarda sa main, et releva la tête avec un petit sourire.
- Ah oui, remarqua t-elle.
Puis sans une excuse et sans un merci, elle reparti comme elle était arrivée. Je regardais alors Opélie qui tremblait comme une feuille.
- Ça va Opélie ? Demandais-je inquiète pour mon amie.
- Oui, ça va, c'est rien, répondit-elle d'une voix tremblante avant de retourner derrière son guichet.
Antoine pendant ce temps, était aller ramasser une lettre oubliée dans un coin. Puis, il alla au guichet et dit à Opélie :
- Je suis vraiment désolé, de t'être tombé dessus...
Puis, il leva la tête et la regarda dans les yeux. Je vis ses yeux s'écarquiller et je ne pus m'empêcher de sourire. Opélie lui répondit alors :
- Ce, ce n'est pas grave. Tu n'as pas fait exprès, et je suis sur, qu'Elisabec non plus...
Cette dernière réplique m'énerva un peu. Opélie avait cette sale manie de ne jamais dire du mal des autres et encore moins de sa sœur qui pourtant aurait mérité sa colère.
- Tu, tu... bredouilla Antoine, tu as de nouveaux vêtements ?
Opélie regarda ses vêtements et sourit légèrement, puis son regard se posa sur moi, je lui souris et lui fis un clin d'œil. Je vis Opélie rougir puis dire à Antoine :
- Oui, je les ai acheté hier
Tout semblait se passer comme prévu, Antoine semblait subjugué par Opélie et je doutais fortement qu'il pense à Elisabec à ce moment. Puis, Opélie regarda l'heure et je vis ses yeux s'écarquiller.
- Antoine, tu devrais y aller, avec toute cette histoire, tu va finir par être en retard.
Antoine se ressaisit avant de dire :
- Oui, merci beaucoup Opélie! A ce soir!
Puis il se retourna me salua d'un signe de la tête que je lui rendit, et fila.
Opélie et moi nous regardâmes un moment, figée. Puis je sentis le sourire me monter aux lèvres, et je vis que je n'étais pas la seule. Alors Opélie et moi nous mîmes à rire en chœur.
- J'en reviens pas! S'exclama t-elle.
- Moi non plus. Et en plus, c'est grâce à Elisabec.
- Oui, pour une fois, je peux lui dire merci de me piquer une colère.
On pouffa encore une ou deux fois, puis Opélie me dit :
- Toi aussi tu vas finir par être en retard!
- Oui! Tu as raison, déjà neuf heure vingt. Et je dois terminer d'enlever les mauvaises herbes et planter des fleurs. Je file chez Nook! Déclarais-je, puis, je partis en direction de la porte.
Mais avant de sortir, je me retournais et lançais à Opélie :
- Je reviens un peu avant cinq heure!
- Merci, murmura t-elle alors que je quittais la mairie à toute vitesse.
elle est ta fic !!!
Merci beaucoup, je conte d'ailleurs mettre la suite plus tard dans la journée.
Mais... Mais...
Mais c'est génial!!!
Magnifique chapitre rien a redire!
Moi aussi une fois je cherchais un truc qui était dans ma main
Opélie!
Suite!
Bon, je pense qu'il est temps de mettre la suite! ^^
Chapitre 4 : La demande d'Opélie.
Je passais donc ma journée à arracher des mauvaises herbes et à planter de magnifiques fleurs. J'étais en train de planter de superbes roses rouges quand je remarquais qu'il était déjà cinq heure moins le quart. Je laissais alors mon ouvrage et mes outils sur place et filais à la mairie qui heureusement ne se trouvais pas très loin. A cinq heure moins cinq, j'y étais. Opélie était à son poste, en train de timbrer des enveloppes.
- Coucou! Lançais-je.
- Ah! Elo tu es la. Mais quel heure il est ?
Opélie se retourna et vis la pendule qui indiquait cinq heure moins trois à présent.
- Oh mon Dieu! Déjà si tard!
- Calme toi! A te voir on dirais que le diable va arriver.
- Non, c'est plutôt un ange, répondit-elle en rougissant légèrement.
Je ris et derrière moi, la porte s'ouvrit. Je me décalais et laissais passer Victoria, notre amie la jument, une lettre à la main.
- Tiens! Bonjour Eloïse, comment vas-tu ? Me demanda t-elle.
Je la dévisageais un instant. Victoria était donc une jument, elle avait les poils marrons sauf son visage qui était jaune. Aujourd'hui, elle portait un tee-shirt numéro 1, qui à mon goût ne lui allait pas très bien.
- Salut Victoria! Je suis contente de te voir. Je vais très bien, et toi ?
- Ça va. Je suis venue poster une lettre. Mais ne peux pas m'attarder à discuter, j'ai rendez-vous dans quelques minutes.
- Ah je vois! M'exclamais-je en souriant.
Victoria déposa sa lettre sur le comptoir, Opélie la prit et la jument s'en alla. Je fus étonnée de voir Victoria filer aussi vite, elle était plutôt du genre à discuter pendant un bon moment. Elle devait être vraiment pressée.
Mais à peine eut t-elle passé la porte que celle-ci s'ouvrit à nouveau laissant passer cette fois, Antoine, et son sac de courrier vide. Il se dirigea directement vers Opélie, il avait l'air d'être fatigué.
Opélie récupéra le sac sans rien dire. Je décidais alors de passer à l'action.
- La tournée c'est bien passée ? Demandais-je à l'intention d'Antoine bien sur.
- Oui ça va, mais il y avait du vent aujourd'hui... C'est plus dure de voler quand le vent se lève, répondit-il un peu essoufflé.
Je lançais un regard à Opélie, et celle-ci demanda alors :
- Tu veux que je te prépare un thé, tu peux rester ici souffler deux minutes si tu veux.
- Oui, je veux bien. Merci.
- J'y vais! Lançais-je avant qu'Opélie n'est eu le temps de filer.
Ce fut donc moi qui partie faire le thé, mais ne vous inquiétez pas, j'ai l'ouïe fine, et j'entendis et pus même entrevoir la scène qui se déroula ensuite.
Opélie proposa une chaise à Antoine qui s'affala dessus. Je voyais bien que mon amie était un peu gênée, mais pour le coup, elle devrait se débrouiller seule. Je la vis prendre une grande aspiration puis dire :
- Antoine, ça te dirais qu'on aille se balader sur la plage demain soir ?
Je fus sidérée. Opélie venait de lui demander de sortir avec elle, et je ne pus alors m'empêcher de rire légèrement, mais j'étouffais mon rire pour ne pas me faire entendre.
- Oui, pourquoi pas. Il fit une petite pause puis continua, oui, c'est même une bonne, une très bonne idée. On se retrouve où et quand ? Demanda t-il.
- Tu as qu'a passer me prendre à la poste vers dix huit heure demain, proposa t-elle.
- D'accord.
Je décidais alors de revenir, avec le thé et quelques biscuits. On passa dix bonnes minutes à discuter de la pluie et du beau temps. Puis Opélie regarda l'heure à sa montre et s'exclama :
- Déjà cinq heure et demi! Je dois terminer de timbrer mes lettres, désolé, je vous laisse!
- D'accord, à demain matin! Répondit Antoine en souriant.
- Oui, à demain matin.
Puis elle retourna dans son guichet pas très loin de nous et se concentra sur son travail. Au bout de deux minutes, elle fila dans une pièce à côté faire je ne sais trop quoi.
- Et toi Eloïse, tout va bien ? Me demanda Antoine.
- Oui, tu sais, je suis plutôt riche alors je passe mon temps à m'occuper de la ville, et j'essaie de remplir le musée, répondis-je heureuse de parler un peu de mes activités.
- C'est bien que tu t'occupe du musée, il a été vide bien trop longtemps.
- Oui, je m'en étais rendu compte. D'ailleurs tu as vu le nouvel insecte qui vient d'arriver ? Demandais-je, une petite idée derrière la tête.
- Oui, une petite coccinelle il me semble, non ?
- Oui, c'est ça. Devine qui la capturé ? M'exclamais-je.
- Toi je suppose, répondit t-il sens même réfléchir un instant.
- Eh bien non. C'est moi qui l'ai amenée, mais c'est Opélie qui la capturée! Déclarais-je en souriant de toutes mes dents.
- A bon ? Demanda t-il surpris.
- Oui, des fois on par à la chasse aux insectes toutes les deux, c'est la seule ou presque de mes amies qui n'ai pas peur des insectes. Alors on y est aller Dimanche dernier et elle la attrapée, la coccinelle qui était posée sur une tulipe.
- Ah! Je savais pas, elle en a attrapé beaucoup ? Demanda t-il visiblement curieux d'en savoir plus à propos d'Opélie.
- Oui! Au moins autant que moi!
- Wha! Ça m'impressionne, je ne voyais pas Opélie comme ça... répondit t-il dubitatif.
- Opélie est très différente quand on la connait mieux. Mais comme tu as pus le remarquer, elle est très timide avec les personnes qu'elle ne connait pas bien.
- Oui, jusqu'à aujourd'hui, je me rend conte que je n'avais jamais fait très attention à elle. C'est dommage, mais il n'est jamais trop tard pour bien faire. N'est-ce pas ?
- Évidemment!
J'hésitais un instant à lui dire qu'Opélie lui plaisait, mais je ne le fis pas. Il fallait mieux que les choses se déroulent normalement. Puis, je repensais à ma fleur, laissée en plan pas très loin, avec tout mes outils.
- Oh! J'ai oublié de faire quelques chose! Je dois filer! On se voit une prochaine fois ?
- D'accord! A plus tard!
Et je filais à toute vitesse terminer de planter cette pauvre fleur et récupérer mes outils bien aimés!
Toujours génial
Je sens que ta fic va devenir une des meilleures du forum, je le sens
Crois moi je ne dis pas ça a tout le monde, ta fic est vraiment bien.
Suite!!!
PS: Au passage, passe voir ma fic "Le royaume Perdu"
PS2: En fait pour mon avatar dans mon profil j'hésite entre trois image votez svp
http://imalbum.aufeminin.com/album/D20060827/216791_TC8T7T1T4FJTV5DKGEA5VR6KILXRRG_211404_meouzoso82obuzlgyb24v1na1yvr52_155430_2eqdhcqb62a_H115611_S.jpg
http://imalbum.aufeminin.com/album/D20070710/312856_NIQCID74VAIJ3HL3XJTJJAGL15RTWY_manga_fille_avec_un_petit_chat___H162526_L.jpg
http://kisscool.k.i.pic.cic.centerblog.net/ib7zntqk.jpg
Vous votez quoi?
Je dis ça partout...
la suite
lizooz-miooz:la 2ème a laire bien .
la suite et si je peux me permettre aller lire ma fic la legende de guliver
sinon ta fic est superbe
Merci beaucoup, je vais mettre la suite dans quelques minutes!
Donc voilà :
Chapitre 5 : Visite matinale ( partie 1 )
Le lendemain matin, je décidais de faire le ménage chez moi. La poussière était venue s'installer sur plusieurs meubles, ce qui ne me plaisais pas vraiment. Mais je n'eus pas beaucoup de temps pour faire mon ménage car bientôt, on frappa à la porte.
- Entrez! Hurlais-je continuant de passer le chiffon sur la télé.
Je vis alors Opélie rentrer dans le salon, un immense sourire illuminait son beau visage blanc. Mais je me demandais tout de même pourquoi elle venait me voir de si bonne heure alors qu'elle devait surement être attendue à la mairie.
- Coucou Opélie, contente de te voir, mais tu ne devrais pas être au travail ?
- Non, j'ai pris ma journée! S'exclama t-elle, ravie.
- Oh, c'est super! Et pourquoi viens-tu me voir moi ? Demandais-je.
- Tu sais que ce soir je sors avec Antoine non ?
- Évidemment que je le sais. Mais je ne vois pas le rapport.
- Eh bien, je ne sais pas trop quoi mettre, et puis... je n'ai jamais eu de rendez-vous avec un garçon. M'avoua t-elle.
- Jamais ? Demandais-je un peu étonnée.
- Non, ça ne ma jamais vraiment intéressée... Enfin, jusqu'à aujourd'hui.
- Oui, je comprend. Bon, eh bien tant pis pour mon ménage... Soupirais-je.
- Oh, si tu veux je repasse plus tard.
- Non non, c'est bon, aller, on va chez toi, voir ce que t'as à te mettre. A moins qu'Elisabec soit là ?
- Non, elle à prit ma place à la mairie, elle me le devait d'une fois où j'ai bossé à sa place pour je ne sais plus trop quoi, répondit t-elle.
- Ok! On y vas!
( Partie 2 )
Quand on arriva chez Opélie, il était dix heure et demi. Nous avions un trainées en route, pour ramasser quelques fruits car ni l'une ni l'autre n'avaient déjeuné. Opélie fila directement dans sa chambre et revint avec tout les vêtements qu'elle avait trouvé dans son armoire. Et je dois dire que je fus assez surprise. Il n'y avait quasiment rien, deux ou trois robes assez quelconque, et un ou deux accessoires pas franchement très beau.
C'est tout ce que tu as ? Demandais-je étonnée.
Oui, si tu veux, je choisis mes vêtements pour qu'on ne me voit pas trop. Et ceux la son très efficace dans ce domaine...
Je veux bien te croire. Bon, eh bien il n'y a qu'une seule solution... soupirais-je.
Oh non! On ne va pas retourner faire les magasins ?! S'exclama t-elle.
Non, je vais te prêter de mes vêtements.
Oh, et ça t'embête ? Demanda t-elle.
Oui, parce que ça veut dire qu'il faut se refaire tout le trajet pour aller chez moi...
Opélie se mit à rire devant ma flemmardise. Et comme je venais de le dire, on du retourner chez moi...
Désolé c'est pas très long mais la partie suivante est longue donc bon...
génial !!!