Bon j'ai survolé et sa m'a l'air prometteur (je verrais plus en détail après j'ai un peu la flemme maintenant)

Par contre nos gars sont des français (ils m'avaient semblé le comprendre ) or si ce sont bien des français sa ne peut pas être des marines.

Sinon je poste les liens vers le premier et deuxième volet de ma fic que j'ai commencé sur le forum d'halo 3 odst.

Premier volet: Les grunts.
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-19175-44520-1-0-1-0-fic-les-grunts.htm

Prologue du deuxième volet:
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-19175-48673-1-0-1-0-fic-les-grunts-2-prologue.htm

Deuxième volet:
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-19175-49955-1-0-1-0-fic-grunts-and-jackals-2-l-enfer-vert.htm

Je posterais les sweets de mes fic sur le forum odst et sur ce topic (vu qu'on s'éloigne de odst et d'halo 3 pour passer à une partie totalement inventé où je vais écrire moins souvent des chapitres plus court mais plus réfléchis (et avec moins de faute j'espère) tout en changeant totalement mon système de narration interne.

Halo : Esquade Frappe 957

Chapitre 4 : Sortie en Ville

[Date inconnu - Terre - Ville de Bagaza - Jour 12:05]

Les soldats Français survivants au nombre de 7 quittérent le lieu du crash pour la ville en espérant trouver des marines.
A cette heure de la journée le soleil était trés chaud et l'équipe de Lement n'avait rien mangé depuis plus de 24heures.
Les soldats marchaient en fil indienne, aussi rapidement qu'ils pouvaient.

En tête, le colonel Lement avec de longue année de combat derriere lui, il a toujours frollé la mort à chaqu'une de ces missions, mais sans est toujours finalement sortit. Il se dit chanceux, et il est. Toute ces années de guerre la endurcie. Il est armée d'un BR55.
Le soldat derriere lui, portait le nom de ces parents qu'il n'avait jamais connu, Riche. Il a participé à la deffence de l'île de bauté au début de la guerre, son esquade étant dessimé, il a rejoind l'équipe du Colonel. Il broit tout le temps du noir et semble avoir peur de se battre. Il est armée également d'un BR55.
Derriere lui, Cole,un soldat de grande taille, 2 métre 02, il court trés vite mais n'a aucune statégie millitaire. Il est armé d'un MA5C.
Aprés lui, un trés jeune soldat, Zibab, qui n'a encore jamais combatut mais qui est pourtant un expert en Art-Martiau et en eplosif humain et covenants, il est trés intelligent, un tacticien hors paire. Il est armé d'un lance-roquette.
Aprés lui, un ami du colonel, il est là depuis la toute premiere mission de Lement en tant que chef d'expédition, il l'a toujours épollé et lui a sauvé de nombreuse fois la vie. Il se nome Scoutch et est armé d'une mitralette.
Légérement à la tréne, Vendredi, la seule fille du groupe toujours de trés bonne humeur et positive, il lui arrive d'être vulgére si on la mets en collére, elle est armé d'un Fusil à pompe.
Et en dernier Bois, toujours trés sur de lui, il peut parfois être antipatique. Il est armé d'un Sniper.

Lement en tête s'arréta subitement et mit en joux son arme.
Riche derriere lui limita cherchant se que Lement pouvez chercher. Puis une faible voix se fit entendre, un jacassement, peut-être un rire, c'était imperseptible mais famillier.
La seconde d'aprés un tir violet et fin s'écrasa entre les jambes de Lement.
- SNIPER ! cria t-il

L'équipe se réfugie dans une ruelle.
- Vous avez pû le voir colonel ? demanda Bois armé de son sniper.
- Non, je l'ai entendu jakassé comme le fond ces rapaces, 2 secondes plus tard...
L'esquade entendit bientôt un banshee approché et survoller la zone.
- Ho putain, on est mal ! On est mal ! On est mal ! dit sans même le réaliser Riche
- Ok. Déclara Bois, on ne sait pas combient ils sont. Je vais sortir et le débusqué.
- J'ai une meilleur idée. Déclara Lement

Il grimpa sur une grosse poubelle et tira une échelle replié et fixé au mur.
- Elle semble monter jusque la haut, mais elle ne tiendra pas tes 100 kilos Bois, Vendredi, c'est toi qui va monté, reste le moins de temps possible la haut et redescend, tente de repérer le sniper.

Vendredi aquiessa alors que Bois gromella.
La jeune femme monta doucement à l'échelle, certain bareau était cassé. Arrivé sur le toit, elle fit une roulade jusqu'à un transformateur ou elle se cacha derriere. Elle scruta rapidement les environs et un tir se sniper viollet la frolla de peu.
Elle poussa un petit cri et se blotit derriere le trensfot en activant sa radio.
-Colonel, au sommet de l'immeuble à 5 étages au sud, sud est de votre position actuel, il y en a deux.

Bois entendit cela, et sur de lui, il sortit en présipitation sans même attendre que Vendredi est fini son rapport.
- Par contre le Banshee est tout pret, si on sors, on est mort. Terminé fini Vendredi

Bois se rendit rapidement conte de son erreur, il tira 2 coups de feu et tua les deux snipers ennemis, mais le banshee lui fonssa dessus, il resta paralisé quelque secondes puis tira à nouveau 2 balles de sniper qui efrollére la coque de l'appareil ennemi.
Il se décida à bouger et plongea sur le coté alors qu'un tir le frappa à l'épole. Il serra les dents et couru aussi vite que possible et se cacha dans une ruelle entre deux poubelles ou il perdit rapidement connaissance.

Aprés la vague de tir, le banshee fit un looping, Zibab sortit de sa cachette et tira une roquette sur le planeur ennemi qui l'esquiva abilement. Zibab tira à nouveau et eu présisément le banshee dans le poste de pilotage.
- Enfoiré, il ma fait gaspillé une roquette, m'en reste plus que 2.

Le reste de l'esquade sortit arme en main s'approchant de la coque en flamme du Banshee, à terre, la Brute qui pilotait le véhicule tentait de se relever.
Lement tira une rafale de 3 balles à l'aide de son arme dans la tête de la créature qui tombat une bonne fois pour toute au sol.
Lement baissa son arme et regarda tout autour de lui.
- Ou est Bois ?
Il activa sa radio est l'appella mais aucune réponce ne lui vint en retour.
Pendant pret d'une heure, l'équipe le chercha mais ne le trouva pas, quand ils entendirent d'autre Banshees arrivés dans la zone, ils durent la quitter abandonnant Bois.

Halo : Esquade Frappe 957

Chapitre 5 : Sergent-Major

[Date inconnu - Terre - Ville de Bagaza - Nuit 21:33]

Bois se réveilla subitement, sa plais lui faisait soufrir, le tir plasma du Banshee avait traversé littéralement sont épaule.
Les rues semblaient pleine de combat, trois marines passérent devant la ruelle sans même regardé à l'interrieur. L'un de ces hommes porté une casquette et avait la peau noir.

Cette homme et ces 2 autres marines rejoignérent un group de Warthog, de tank Scorpion et d'Hornet.
- Ils sont là déclara t-il, contacte dans 1 minute. On va pas perdre la bonne abitude qu'on a prit ! On va reprendre Bagaza et envoyez en enfer toute ces créatures.
A la fin de la phrase, le sol trambla. L'homme noir regarda derriere lui est vit un Tank Scarab' arrivé, détruisant un immeuble.
Un marines s'approcha de l'homme pour lui faire un bref rapport.
- Sergent Johnson, on va pas tenir le coup sur deux flans.
- Et pourtant on va tenir, jusqu'à que l'Arbiter arrive.
Johnson activa sa radio.
- Hornet, occupez-vous de ce Scarab', Scorpion, Warthog, attaquaient les troupes au sol.

Le Scarab' tira un rayon qui détruit un warthog et un Scorpion.
- Bordel de merde !
Au coin de la rue apparure des Brutes et des Grunts, au millieu ils y avaient deux couples de Hunters.

Une dizaine de brute se jetairent sur Johnson qui tira avec son MA5C, évita quelque coup d'épaule et fini par tué la derniere Brute d'un coup de crosse.
- Non mais. Dit-il en jetant un coup d'oeil sur le Scarab' paralisé par les Hornets qui ne canarde.

Les chars ouvrirent le feu tous en même temps et beaucoup de covenant succombérent.
Enormément de cadavre gisé sur le sol mais toujours autant d'ennemi semblait là.

Au bout de quelque minutes, les covenants à pied furent pulvérisé.
- Occupez-vous vite du Scarab' geulla Johnson
Mais les Hornets étaient déjà détruit et le canon du scarab' tira à nouveau illiminant plusieurs Scorpion et Warthog.
La Terre se mit à trembler. Le visage de Johnson se dérida.
- Voilà l'Arbiter
Sur la droite arriva un autre scarab' qui tira immédiatement sur le premier, il fallu 2 décharges pour le faire exploser.
- Bravo Arbiter Ricana Johnson dans sa radio.

Les jambes du scarab' se baissérent et Johnson y grimpa dedans.
- A tous les marines, on se donne un point de Rendez-vous dans le QG du Commendant Keyes.

Bois, toujours assis au millieu des poubelles sentit les véhicules s'en aller. Il activa sa radio.
- Quelqu'un m'entend ?
Mais il n'eu aucune réponce. Il réalisa alors que sa radio était branché sur le canal Frappe 957. Mais son équipe ne lui répondé pas. Trop loin ? Mort ? Il n'avait pas le temps d'y réfléchir il devait pensé à lui.
- Quelqu'un m'entend ?

- Attendez dit soudainement Johnson, en faisant signe à l'Arbiter de stopper le Scarab'. Une fois le Scarab' au arret, il se brancha sur la liaison universel et répondit :
- Qui est là ?
Cette réponce redonna espoire à Bois.
- Ici Soldat Français Bois, Matriculs B2-957-M7.
- Que faites vous là ?
- Mon Pelikan c'est écrasé, mon esquade et moi avons rencontré des difficultés, dont un Banshee ou j'ai été touché gravement à l'épaule. Je me suis ensuite caché mais je ne sais pas ou est mon esquade. On a été séparé.
- Bien. Activez votre localisateur d'hurgence. Je vous envois un Pelikan, il sera là d'ici 2 minutes.
- Mer...Merci monsieur.

Bois dégoupilla une espéce de cupe qui se mit à clignoté d'une lumiére rouge persante. Puis il s'évanouit.

Halo : Esquade Frappe 957

Chapitre 6 : L'obélisque

[Date inconnu - Terre - Ville de Bagaza - Nuit 22:00]

Alors que Bois se faisait rapatrié dans l'une des bases Marines du secteur, le reste de l'esquade Frappe 957 avait trouvé un vieu restaurant pour passer la nuit et enfin pouvoir manger.

Il était 22h et tous les soldats français s'étaient endormis.
Ils étaient perdu, perdu en Afrique dans une ville ravagé par leur ennemi. Ils étaient seul contre tous.

[Date inconnu - Terre - Jungle - Nuit 22:15]

Loin de là, à environ 100 kilométres de ce fameux restaurant, à l'exterrieur de la ville de Bagaza. Un banshee encore fumant d'un tir s'ouvrit et dans la peine ombre on pû reconnétre la silouette d'un homme.
En réalité, il s'agissait de De Val.
L'homme avait le crane en sang. Il s'assit au pied d'un arbre et éssaya de se souvenir se qui avait pû se passer aprés l'impacte du tir de Séraph'.

Il était partit en vrille quittant complétement son axe et la zone d'Attérissage. Il était à l'exterrieur de la ville dans une Jungle sombre et humide.

Un vol de 2 Banshees passa au dessus de lui, ils furent suivit d'un Phantome qui se posa non loin de là, à celement quelque centaines de métre de De Val.
Il ferma les yeux, éssayant d'oublier son mal de tête, sans succés. Il ouvit l'une de ces poches à scatch et en retira une bande de tissu blanche qu'il s'accrocha autour de la tête. Il ouvrit une nouvelle poche et en sortit un petit étuit métalique et épais.
Il se posa par terre et ouvrit la boite. Il en retira une éguille qu'il accrocha à un tube rempli d'un liquide verdatre, De Val rajouta par dessus une petite pompe.

Il se piqua au niveau du brat et à l'aide de la pompe envoya en un coup le liquide.
Ces yeux partir légérement dans le vague et il tomba en arrierre. Tout de suite aprés il se redressa doucement en secouant ça tête de gauche à droite.
Combient de temps avait-il été inconsient ?
Qui peut le savoir ?

De Val lanssa au loin la seringue et courut vers le lieu d'attérissage du Phantome qui avait déjà redécollé en laissant des Brutes, des Grunts et des Jackals.
Le Soldat d'Elite se cacha derriere un arbre et observa la scéne.
L'une des brutes possédé un marteau et avait une armure rougeatre, c'était donc un chef, le reste des Brutes était vétu d'armure bleu. L'un d'eux tennait un marine par l'épaule. De Val ne l'avait jamais vu. Ce n'était pas un gradé, un simple soldat du coprs du CSNU.
Un peu plus loin une obélisque sortait du sol et les brutes voulaient visiblement que l'humain la touche.

De Val compris qu'il s'agissait d'une installation Forerunner, le sol était labouré, surement parceque cette obélisque était enfois sous le sol.
Il devait intervenir, peut-être s'agissait-il de l'arche ? Ou d'un moyen de transportation pour y aller.

Il se sésit de son Magnum juste au moment ou un Grunt sauta de frailleur et dit :
- Là ! Un frére du démon.
Toute les brutes sauf celle qui tenait l'humain déguénérent leur arme. De Val n'avait jamais vu celle ci. Elle ressemblait à de gros canon identique à celui des Hunters mais adapté à la taille des Elites.
De Val se rendit vite conte que l'arme ne craché pas de plasma mais de gros pic, dont l'un d'eux s'encastra dans l'arbre.

De val plongea évitant 2 tirs, s'aprocha du grognard qui avait crié, lui donna un coup de poing et lui volla son arme. Armé d'un pistolet à plasma dans un main et d'un Magnum M6D dans l'autre, il courut vers un autre arbre pour s'y cacher.
6 Brutes à illiminé, 6 plus leur chef.

Le soldat d'Elite sentait les pics s'ammonselés dans l'arbre. Il chargea le Pistolet allien et sortit de sa cachette en lachant la gachette, libérant ainsi la boule d'ennergie qui se logea dans une brute, De Val tira 2 balles dans le crane de la même brute qui succomba.
Il se cacha derriere un autre arbre et recommença jusqu'à qu'il ne reste que le chef brute.

Son arme à plasma était vide et son magnum ne contait plus que 3 balles. Il jetta à terre les deux armes et sortit de sa sinture une grenade Acrimogéne, spétialité des soldats d'élite. Il sortit de sa cachette et vit la brute arrivé en fracca sur lui. Il fit une roulade entre les jambes de son adversaire, dégoupilla la grenade et partit en courant.
La fumée asfictia la Brute rapidement qui tomba à terre. Inconscient mais pas mort.

De Val alla voir l'humain qui avait trouvé refujuge dans un arbre. Voyant le combat terminé, il descendit.
- Qui êtes vous demanda le soldat Français.
- Max Malfront, mon unité ces fait dégomé avec ces armes, se sont de ce qu'on ces des Brutes de choc, l'équivalent des Elites en Noir.
- Quesque c'est que ça ? Demanda De Val en montrant l'obélisque ou la fumée commencé à s'éparpiller.
- C'est un Obélisque de transport pour mener jusqu'à une autre citué dans un tunnel. Je crois qu'il ya des armes.
- On y va !
De Val ramassa une arme brute et tira rapidement sur la chef Brute pour achever la créature qui se relever.
- Prennez l'une de ces Armes, c'est trés efficace.

Ah mon dieu, moi qui avait prié et espéré pour que tu n'écrives plus tellement tu es un cauchemar à corriger malgré tes bonnes idées. Par contre, ne va pas trop vite avec les chapitres.

Un par semaine, plus consistant et mieux écrit que ton chapitre lambda serait nettement suffisant.

Tu m'en demande trop ^^ Si je m'écoutais en 1 fois je te fais 20 chapitres.

Suretout que ma console viens de tomber en panne :'(
Bon, je vais faire un effort en écrivan pas trop de chapitre mais en les faisant plus long

Re, je tiens à présisé que je suis Spartantealc, j'ai pas compris pkoi on ma bini (temporérement, je pense) de ce forum uniquement, voilà donc quand j'écrirais ma fic, ne soyez pas surpris par le changement de speudo !

Halo : Escouade Frappe 957

Chapitre 7 : Dure loi de la vie

[Date inconnu - Terre - Ville de Bagaza - Jour 08:00]

A a peine 8 heures, le groupe de soldat Français qui avaient trouvé refuge dans un restaurant avaient encore prit des réserves de nourriture et partir pour l’aventure.

De nombreux cadavre un peu partout dans la ville étonnaient les survivants. Que des Brutes avec un coprs plus ou moins déchiqueté, beaucoup de Grunt était également allongé sur le son, gisant au millieu de leur sang.
- On a reprit cette ville ou quoi ? Demanda Vendredi
- Sa ma tout l’air déclara Zibab en montrant des impactes de tir d’arme lourde un petit peu partout, sur le sol et les immeubles déjà démoli.
- Peut-être y a t-il encore des marines dans les parages.
- Ce sont des Tank Scorpions déclara Zibab, aucun autre véhicule ou arme lourde ne peut faire de telle impacte et de tel, déchiquetage chez nos en…
Zibab fut coupé dans ça phrase par un cri venant d’un immeuble venant derrière eux.
- Quelque c’est ? Demanda Cole
- Quelqu’un est dans cette immeuble dit immédiatement Lement en scrutant un bâtiment haut d’environ 50 métres. Il était toujours entier mais de grande fissure était visible partout sur l’immeuble.
- Je vais monté déclara Scoutch
- Quoi ? Demanda surpris Lement. Moi aussi j’ai envis d’aider cette personne, mais l’immeuble est sur le point de s’effondrer.
- Je suis consient des risques
- J’irais moi. Dit subitement Vendredi. Je suis plus légère, sûrement plus souple et plus agile que vous tous réuni. Je serais rapide.
Après un long silence qui fut coupé par un nouveau cri, Lement aquiessa.
Vendredi couru jusqu’à l’immeuble et y pénétra par la porte centrale.
- J’aime pas ça. J’aime pas ça du tout déclara Lement

Vendredi monta les marches d’un long escalier en colimasson, certaine marche craqué sous son poids. Elle arriva d’un coup à une porte. Elle l’ouvrit doucement et arriva sur un long couloir qu’elle traversa cherchant dou pouvait venir les cris.

Le cri retentit à nouveau, Vendredi s’arretta devant la porte en question et chercha à l’ouvrir sans réussite. Elle l’ouvrit finalement d’ou coup de pied. Elle vit en face de la porte une petite fille qui pleurniché, son pêre était tombé sur ces jambes et n’elle n’arrivait pas à se dégager. Le pauvre homme était mort. La jeune fille complètement désidraté. Depuis combient de jour était-elle ainsi ?

Vendredi la dégagea et la porta sur ces brats mais le long couloir menant au escalier s’effondra par endroit devenant un endroit dangereux. La jeune femme se dirigea vers la fenêtre pour prévenir son Supérieur. Une fois visible, elle alluma sa radio.
- Colonel ?
- Vendredi ? Ça va ? On a entendu des bruits, l’immeuble va s’aidé. Sortez vite !
- Je suis coinsé. J’ai avec moi une petite fille très faible, on ne peut pas la laisser mourir ici.
- On ne peut pas vous laissez mourir ici rétorqua Lement.
- J’ai une idée fit d’un coup Zibab. Il déposa son lance roquette au sol et courus vers une tour radio situé à coté de l’immeuble. Il y grimpa tout en haut, Lement lui criait dans la radio de retendre, mais il n’écoutait pas, il continua jusqu’en haut. La il dévisa l’antenne parabolique avec difficulté et tout en la tenant d’une main il descendit. Une fois en bas, il alla dans un immeuble complètement rasé pour y trouver une corde. Il en trouva une en effet de bonne longueur.
- Monsieur. Je vais peut-être y rester mais je ne laisserais pas une jeune fille mourir.
Et Zibab couru vers l’immeuble ou les deux femmes étaient bloqué. Il monta jusqu’à l’étage ou le couloir était partiellement effondré. Il accrocha une extrémité à un morceau de métal, et la seconde à un autre morceau de métal, il lança le reste de corde en indiquant à Vendredi de l’accroché également à un morceau de métal. Une fois fait, il accrocha la barabole, et fit glisser en tirant sur la corde la barabole. Arrivé de l’autre coté, Vendredi posa délicatement la jeune fille dans la parabole et Zabib tira sur la corde dans l’autre sense pour ramener l’objet métalique et la jeune fille. Arrivé à lui, le soldat fit descendre la fille et enleva la parabole, il indica à vendredi de faire du rappel. Cette action mit du temps mais vendredi arriva jusqu’à son allier et la petite fille. Les 3 personnes descendirent doucement les marches jusqu’à la sortit ou il retrouvèrent Lement et le reste de l’équipe.
- Zabib, vous êtes fou ? Gromela Lement. Si j’avais pas besoin de vous, je vous tuerez, sur le champ !
- Voyons intervint Vendredi.
La jeune femme se racla la gorge se baissa au niveau de la petite fille et dit :
- Elle s’appelle Emilia, elle a trois ans
- et demie dit la petite fille en s’s’essaya par terre.
- trois ans et demie rectifia Vendredi en attrapant son sac et sortant des biscuits qu’elle tendit à la petite et qu’elle avala gouloumant et rapidement.
- On ne peut la laissé à son triste sors dit Vendredi en se relevant. La pauvre fille à perdut ces parents devant elle, sont pêre est mort sur elle.
Après un soupire, Lement se décida à répondre
- Evidement, mais j’espère ne pas rencontrer trop de force ennemi dans les alentours. Je pense pas qu’elle sache manié le pompe.
- Colonel…l’arme est plus grande qu’elle… fit remarqué Cole
- Sufit soldat dit sèchement Lement.
- Il ne faut pas qu’on reste là déclara Scoutch. On doit resté mobil.
- On y va ! Aquiessa Lement.
Le colonel se baissa pour ramasser le lourd lance roquette de Zibab. Ce dernier s’approcha croyant que son supérieur aller lui faire passer.
- Vous, vous portez la petite.
L’équipe se remit en marche avec un petite fille orpheline, sera t-elle un gros endicape pour l’escade de Français ?

moi aussi j'aurais voulu faire une fic avec des français mais vue que c'est déja pris.

Mais AArgh !!!Les français n'ont pas de marines (et penses aussi que la France coopére néscessairement avec le reste de l'union européene, sauf si tu considères qu'elle n'éxiste plus ).

Bonne continuation

oui, je dirais un mot pour ça !

Je suis content, j'ai un lecteur ^^

Halo : Escouade Frappe 957

Chapitre 8 :

[Date inconnu - Terre - Base Marines prêt de New Membasa - Jour 09:03]

Bois entrouvrit légèrement les yeux. Une lumière ronde se trouvait juste au dessus de sa tête, il mit plusieurs minutes à s’adapter à la lumière. Il entendait des voix un peu partout autour de lui.
Un homme en tenue millitaire se pencha sur lui.
- Et, salut ! Dit-il
- Bon-Bonjours, qui êtes vous ?
- Hum, Sergent-Major Avery Junior Johnson. Sergent suffira.
- Bien Sergent.
Bois se sentait mieux mais il était tout de même très faible et n’arrivait pas à lever la voix.
- Alors, quesque vous faisiez à Bagaza?
- Je tuais des alliens.
Johnson ricana
- On en est tous là. Ou est passé votre unité ?
- Je ne sais pas, on a été séparé après une attaque. Blaisser je me suis caché et j’ai dû perdre connaissance.
Bois se sentait de mieux en mieux, sa voix reprenait un son normale et il avait les idées claire, seul sa blaissure le tiré un petit peu.
- On a reprit Bagaza, et y avait que des covenants là-bas. Je sais pas ou son passé tes amis. Faudra que tu gette un œil à la morgue, on a ramassé les corps.
- Bon, je dois te laisser Soldat, je vais cassé du Covi dans la Jungle.
Johnson séra son poing et le tapa dans son autre main.
- De nouveau vaisseau ennemi arrive sur la Terre, et y en a pas mal. Remez toi vite d’aplonc. Ok ?
- Merci Sergent.
- De quoi ?
- D’être venu prendre de mes nouvelles.
Johnson ricana tout en sortant un sigare.
- Désolet mon vieu, j’étais venu voir un de mes hommes blaissé dit-il en montrant un autre soldat allonger à coté.
Johnson quitta la piéce et saluant l’infirmiére au passage.
Bois soupira. Que sont devenu ces amis ? Sont-ils morts ? Captif ? En vie quelque pars ? Blaisser ?

[Date inconnu - Terre - Jungle - Matin 06:00]

De Val regarda l’obélisque après une courte nuit de sommeil, le marine était juste deux pas derrière lui. Le soldat d’Elite tendit la main et la colone de métal se mit à brier. De peur, De Val la retira.
Il hocha la tête et appuya finalement sur l’objet qui s’illumina. Quand tout redevint normale, De Val avez disparu.
-Oh non, oh non ! Fit le marines apeurait.
Il s’approcha tout de même de l’obélisque, prit une grande inspiration et tout en fermant les yeux toucha à son tour l’installation Forerunners.

[Date inconnu - Terre - Ville de Bagaza - Jour 09:00]
L’équipe Lement avait trouvé refuge dans une vieil école, au petit matin, ils reprirent la marchent dans une destination inconnu. La petite fille qui passer son temps à manger les provisions avait fini par s’endormir sur les brats de Vendredi. Lement n’aimait pas transporter cette enfant, son équipe n’était pas califier pour cela.
Le groupe arriva en bordure d’un immense cratère en plein millieu de la ville.
- Mon dieu déclara Riche. Quesque c’est que ça ?
- Une frappe orbital. Canon AM. Surement sur un Scarab’ répondit instantanément Zibab.
- En espérant qu’on tombe pas sur un Scarab’ dit Cole.
- Porte pas la poisse Cole réplicat Riche.
Lement regarda un panneau tombait au sol, il ramassa la plaque et enleva d’un coup de main la poussière accumulé. Il était inscrit « basa », il ramassa un autre bout ou était écrit « Mam » Il joigna au sol les deux morceaux de métal pour former le mot Mambasa. Il soupira et rassembla d’autre morceau comme un puzzle.
- Les gas, c’est bien à New Mambasa qu’on est sensé aller ? Demanda Lement
- Oui répondit Scoutch
- Alors on est pas loin.
Lement avait reconstitué le panneau :
New Mombasa > > >
15Km
- Vu qu’il n’y a pas de ru de par et d’autre, le chemin est forcément devant, ou derrière. Déclara Cole
- Il faut passé par Voi dit la petite fille à peine réveiller. Pour aller chez Papy à New Manbasa, faut passer par Voi.
Lement regarda l’un des panneau encore entier au sol. Il le ramassa
Voi > > >
7Km
- On est sur la bonne voie dit-il avec un semblant de sourir.
Il avait trouvé leur chemin, mais 15 Kilométres les séparé de leur objectif.
- Pas de temps à perdre, on y va déclara Lement.

Escuzé...

J'ai oublié le nom du chapitre 8 !

Chapitre 8 : la base marines

J'ai pas lu mais si t'en veux plus créez un topic sur halo 3odst forum et copi colle un chapitre par jour

C'est ce que je conte faire, mais je conte en premier lieu finir ici avant de le dispaché dans les autres forums. mais merci du conseil

Halo : Escouade Frappe 957

Chapitre 9 : Destination inconnu

[Date inconnu - Terre - Base Marines prêt de New Membasa - Jour 10:00]

Bois, se sentant mieux se leva de son lit. En se levant sa tête lui fit telment mal qu’il dut s’accroupir au sol pour récupérer.
- Hé ! Vieux ça va ? Demanda son voisin. L’homme de Johnson
- ça va répondit doucement Bois en se relevant. Juste les effets secondaires des médicaments.
- Tu devrais te recoucher.
Bois jeta un coup d’œil à son voisin, il avait l’une de ces jambes sectionné. Le soldat Français se rassit sur son lit, un petit peu désemparé.
- Que t’es t-il arrivé ?
- Ha ! La guerre…

[2 jours avant - Terre - Bagaza- Jour 15:30]

Le marine avec la jambe en moins était frais et vif, MA5B en main, il marchait dans les rues avec d’autre marines dont Johnson juste derrière lui.
- Kimbol, stop dit soudainement l’homme de couleur.
Le marine s’arretta et se retourna.
- Les covenants qui nous barre la route et nous empêche de quitter la ville avec notre bon vieux Pélikan se trouve dans la rue à coté. Je veux que alle voir leur nombre.
- Ok Sergent.
Kimbol avança rapidement. Arriver au coin de mur il passa la tête et regarda dans des jumelles contant les brutes, les grognards, les Jackals et même les Hunters. D’un coup, Kimbol sursauta, Johnson, par radio lui crié de déguerpir. Il leva les yeux de ces jumelles et vit arrivé dans l’autre sence une apparition qui tira une boule de plasma dans l’immeuble, les débrits écrasèrent le marine et le recouvrir.
- On a pas le choix grommela Johnson.
Il changea la fréquence de sa radio pour communiquer avec l’aube de l’espérance.
- L’aube, ici Johnson. Préparez-vous à tirer votre tir de canon AM sous mon ordre.
Johnson se retourna vers les autres marines.
- Vous restez là !
Le sergent-Major couru vers l’apparition esquiva de justesse une boule de plasma qui fit trembler le sol. Enfin, il sauta sur l’apparition et colla un petit localisateur sur la coque. Il repartit ensuite dans l’autre direction vers l’amma de pierre ou Kimbol était recouvers.
- MAINTENANT !
Un rayon tomba du ciel sur l’apparition qui c’était regroupé avec les autres covenants. Tous mouru laissant un grand cratère en plein milieu de la route.
Johnson regarda le champ de batail complètement ravagé puis avec toute la harne qu’il pouvait donné, il libérra Kimbol qui avait la jambe droite écraser par le poids des caillous.
[Présent - Terre - Base Marines prêt de New Membasa - Jour 10:05]

Bois n’en revenait pas ces yeux.
- Tu as survécu à une apparition ?
- Grâce à Johnson, c’est lui qui m’a sauvé, les médecins ont dit que 20 minutes après l’accident je serais mort. Mais il m’a ramené ici en à peine 10 minutes. Un homme extraordinaire se Sergent. Mais pour moi, la guerre est fini.
- Ce n’est pas parce que tu ne peux plus te battre que tu ne peux plus servir. Installe toi devant un ordinateur, y a pas besoin de jambe pour ça.
- Oué, enfin, on verra. Parcontre, je suis alergique aux bouteurs qui nous guérisse plus vite. Ma jambe n’est pas préte d’être sicatrisé.
Bois se redressa et s’approcha du lit du soldat, il lui tendit la main.
- Je m’appelle Bois.
- Et moi Kimbol répondit l’homme en lui sérant la main.

[Date inconnu - Terre - Tunnel souterrain Forerunner - Jour 10:00]

De Val et le marines marchaient depuis déjà quelque minutes dans les tunnels peu éclairé. Soudain, le marines se retourna subitement, visant le noir du tunel au loin.
- Que fait tu demanda De Val en visant le marine de sa lampe.
- J’ai cru entendre quelque chose.
- Il n’y a rien. Avanssons.
Les deux se remirent à marcher, quelques minutes après, le marine prit parole.
- J’m’appelle Jackson, et vous ?
Mais De Val ne lui répondit pas. Comme pour se vanger, Jackson lui fit une grimasse. Mais à se moment, il réentendit quelque chose derrière lui. Il se retourna en sursaut et éssaya de voir se qui pouvait être là, mais il n’y avait rien. De Val s’éloigner, Jackson courut pour rattraper De Val.
- Mais on va ou ?
De val ne répondit rien, il suivait le couloir, il n’y avait pas d’issu, seulement 1 chemin.
Le couloir se raccourcissait de plus en plus. De Val voyait comme quelque chose au loin. Il força sur ces yeux et courba légèrement son dos, éssayant de tendre l’oreille pour voir s’il y avait du bruit.
- Oh ! Je t’ai dis que j’étais Oncle depuis 2 semaines ?
- Chuuuuut fit De Val en se retournant.
Ils avens airent encore quelque pas.
- C’est un beau bébé, paraît-il qu’il pése 5Kg pour 35cm
De Val se retourna l’air movais et donna un coup de poing au marine qui tomba à la renverse.
- J’ai dis Ta Guelle, je crois qu’il y a quelque chose…

Veuillez une nouvelle fois m'escuzé, j'ai des problémes avec les chapitre...celui ci était le 10 et avait pour titre :

La guerre du Nid de Corbeau

Halo : Escouade Frappe 957

Chapitre 11 : Combat dans le tunnel

[1er Mars - Terre - Tunnel Forerunner - Jour 17:00]

De Val avensait doucement, dans les tunnels, Jackson était derrière lui et mangé une barre chocalaté.
- On marche depuis prêt de 10 heures et on a juste prit une pause de 10 minutes. On peut pas se reposer ?
- Non. Ce tunnel n’est pas sûr. Je suis certain qu’il y a une créature dans se tunnel. Un gardien que nous avons réveillé.
- C’est pas fait pour rassurer.
De Val se retourna brusquement visant l’homme de sa torche et de son arme.
- Si tu veux vivre. Ferme là. Ainsi je pourrais entendre s’il y a quelque chose.
- O, ok.
A partir de ce moment, Jackson ne parla plus. Il resta mué et avensé doucement derrière De Val.
Le soldat d’Elite s’arretta d’un coup, se baissa. Il se tourna doucement vers Jackson.
- Il est juste devant.

Jackson déglutit et fini par dire quelque mots.
- Comment vous s’avez ?
De Val dirigea sa lampe droit devant et en retour deux petites lumières brillantes apparurent. Deux yeux.
Jackson sursauta en partant en arriérre.
- Il est supérieur à nous. Il connaît le coin, et nous ne pouvons nous battre dans les parages. Trop étroit.
La créature se mit a grogné et s’approcha doucement des deux hommes. Jackson se retourna et dirigea sa torche au loin.
- Là ! Un autre s’exclama t-il.
De Val fronça les sourcils. Il ne connaissait pas son ennemi, il était là, entre deux créatures qu’il ne pouvait pas voire dans son ensemble.
- Quand je te le dirais, tire.
Les deux créatures grognaient et avansérent.
- Maintenant ! FEU !
Les deux hommes tirèrent ces gros pics sur les créatures qui s’effondrèrent.
- Elles ne sont pas si difficile à tuer, en fin de conte. Ou alors ces armes sont très efficaces. Déclara Jackson
- Ce ne peut pas être aussi simple.
Les lumières des couloirs s’alumérent d’un coup.
- Si, sa l’est. Reprit Jackson avec un sourir.
De Val éteignit sa lampe et s’approcha de la créature devant lui. Il se baissa pour être à son niveau, la créature ressemblé à un gros chien avec des plumes. Une créature Forerunners?
- Faut continuer suggéra De Val en continuant sa marche.
- Et, mais attends.

Les deux hommes marchèrent pendant encore 30 minutes le long de l’encien tunnel, Bientôt ils arrivèrent à un croisement.
- Et, on va ou, maintenant demanda Jackson ?
- Tu prends à droite et moi à gauche.
- Ow ! Non, pas question. Et si il y avait d’autre de ces créatures ?
- Et ben tu feras comme tout à l’heure…
De Val prit le tunnel de Gauche, celui qui semblait le moins bien éclairé. Après un long soupire, Jackson se jeta dans le second tunnel.

[1er Mars - Terre - Ville de Bagaza - Jour 17:00]

L’équipe de Lement arriva dans une grande rue, grande rue qui avait servis de piste d’atterrissage pour un chasseur LongWord. Le vaisseau était au loin de la rue, il s’emblait endommagé. Toute l’équipe regardèrent le route démolit par l’atérissage et le LongWord.
- Vous croyez qu’on peut l’utiliser ? Demanda Vendredi portant encore la fillette
- Je peux le réparer déclara Zibab, mais je ne pourais pas le faire seul.
- Je vais t’aidé dit Scoutch. J’ai des notions de réparation de véhicule.
- Ok. En plus, sa fera un bon abri pour cette nuit, allons y ! Déclara Lement.
L’équipe s’approcha alors du LongWord.

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Chapitre 12 : Un éléphant, sa trompe énormémant

[1er Mars - Terre - Ville de Bagaza - Jour 19:00]

Zibab et Scoutch réparaient comme ils pouvaient toutes les defaillances mais elles étaient nombreuse et le vaisseau n'était plus présurisé à cause d'une fante, se qui ne génerais pas pour les vols de courte distance sans altitude mais pourrait devenir un énorme probléme si le vaisseau quitte l'atmosphére terrestre. Zibab était actuelment en train de réparer le radar, rien de grave, un petit cours circuit. Une fois fait, il quitta la salle de controle pour tenter de réparer avec Scoutch le moteur principale qui avait subit d'importante avaris.

Lement se pencha sur l'écrant radar. Il vit à environ 10 kilométres un objet marqué par la marine.
- Riche, vient.
Riche arriva et se présenta devant son supérieur.
- Tu arrives à localiser principalement ce véhicule ?
- Bien sûr.
Riche s'assit et passa le radar sur un écran 3D. Rendant tout de suite les choses beaucoup plus facile à voire, on voyait les rues et les immeubles démolit, à l'emplacement prévu était un Elephant, véhicule de transport lourd du corps des marines pour le sol.
- Tu peux voir si il est en bonne état ?
- Oh, chef. Cette machine n'est pas une intéligence artificiel.
- Bon. On y va. Il y aura peut-être des armes ou des provisions, on éssaira de placer ce véhicule sous le Long Word, et au besoin, si on n'arrive pas à faire bouger ce tas de féraille, on prendra celui là.
- Si c'était aussi simple...il est peut-être dans le même état.
- Ne perdons pas espoire.

Lement et Riche se préparéent et partirent pour l'éléphant. Le reste de l'équipe et la fillette resta dans le LongWord.
Les deux hommes ne parlérent pas durant le traget. Ils marchaient, aussi vite que possible.

Bientôt, ils y arrivérent et restérent émerveillé. L'éléphant était intacte, briant, les vitre n'étaent même pas cassé, mais l'appareil était couché sur le coté.
- Il va falloir trouvé un moyen de le remétre sur ces roues. Déclara Lement
- Vous perdez pas votre sense de l'optimisme
Lement trouva des cordes dans le véhicule. Monta sur le dessus de l'Elephant et les attacha, il redescendit, et avec l'aide de Riche, ils remirent l'éléphant sur ces roues.
Les deux hommes, fatigué de l'elefort s'assire contre le véhicule pour soufler.

Non, loin de là au LongWord, les soldats à l'interrieur furent surprit par un larguage de Brute et Grunt, ils y en avaient des dizaines et des dizaines, en tout, 3 larguage de Phantom.
- Zibab, se serait une bonne idée de filé déclara Cole
- Pourquoi ?
- On a, disons, une infexion de cafard.
- Oh, merde. On pas, pas tout de suite. Retennez les. 10 minutes.

Cole sortit du véhicule et se mit à tirer avec son MA5B, tuant les plus petits alien. Il était pour l'instant tout seul à combatre.
A l'interrieur, Vendredi amena la jeune fille dans la salle de pilotage.
- Reste là, y a des covenants dehors, je vais les retenirs. Mais ne sors pas, Ok ? Et ne touche pas au touche des consoles.
La fillette aquiessa et Vendredi partie aprés lui avoir fait un bisou.
- Ne meurt pas, s'il te plais dit la fillette.
Vendredi à la porte de la piece s'arretta, et se retourna. Prit les mains de la jeune fille.
- Je vais renvoyé ces affreux en effer et je reviendrais. Dacord ? Aprés ça, on fera vollé cette machine et on t'enménera dans un endroit sur. Dacord ?
- Dacord.
Vendredi fit un sourire et partie à petit trop. Elle déclencha sa radio.
- Colonel ? Vous êtes là ?
- Oui qui y a t-il ?
- On se fait attaqué, des dizaines de covenants, on ne fera pas le poid longtemps. La puissance de tir d'un éléphant nous sera bien utile.
- Bien reçu déclara Lement, on arrive. Tennez bon.

En sortant, Vendredi vit Cole caché derriere un carton. Vendredi se cacha derriere un muré pret de Cole et elle ouvrit le feu avec un BR55 qu'elle avait trouvé à l'interrieur, plus efficace que son fusil à pompe.

A L'éléphant, Lement démarra la machine alors que Riche se plassa au dessus à une tourelle.
Ce véhicule était lourd et lent, se qui n'aidait pas.

Vendredi qui vennait de recharger son arme se mit à gueller sur les covenants, elle était en collére, el avait mare de cette guerre, elle voulait rentrer sur Terre et se laver.
- Espéce d'enculé de merde. Je vais vous pissez dessus.
Cole, lui rester calme, tirer en visant du mieux qu'il pouvait, c'est à dire à la tête. Tout en tirant, il regarda son idicateur de balle qui était proche de "00". Il ne lui restait plus qu'un chargeur.
Il se baissa pour charger, son dernier chargeur.
- C'est mon dernier dit-il dans la radio.
- Colonel !? Demanda Vendredi en faisant une pause.
- On arrive, dans 2 minutes.
- On ne tiendra pas jusque là.
Vendredi se redressa pour ouvrir le feu, il ne lui restait que 2 chargeurs. Bientôt, tout en tirant, elle entendit un cri, un cri d'homme.
Elle tourna la tête et regarda Cole. Son carton avait tenue au attaque, se qui était plus qu'étonnant, mais en se redressant pour tirer, une éguille de spiker se planta juste en dessous de la Tirohide, dans le tors, entre les deux pectoraux. Ne bougeant plus et ne tirant plus, les Brutes le prirent pour cible et les éguilles s'accumullérent, d'autre se plantérent dans ces épaules et dans le reste du tors, dont proche du coeur.
- Coooooooooooooooooooooooooooooooole ! Cria Vendredi.
Une boule de plasma verte la toucha au niveau de l'épaule. Elle se baissa et tenta de communiqué per radio avec Cole qui était allongé au sol, avec pret de 8 éguilles dans le corps.

D'un coup, sur le coté, une mitralette se mit à tirer tuant les brutes à une rapiditée. C'était l'éléphant. Zibab et Scoutch sortirent, arme en main, cela signifiait qu'il avait fini.
Vendredi se rua sur Cole et le traina jusqu'au vaisseau ou elle fut aidé par Scoutch alors que Zibab les couvrait.
L'Elephant renversa rapidement tout les covenants. Les deux hommes à l'interrieur quittérent le véhicule pour le vaisseu.
- On fonsse déclara Lement.
Scoutch se jeta sur les commandes sous les yeux de la filette qui regarda ensuite Cole agonisant sur le sol du vaisseau.
- Le moteur est trés endommagé. On ne peut pas le faire fonctionner à plus de 25%.
- ça sufira ! Déclara Lement