Pour mon dernier jour de collège j´ai réussi à me choper 3h de TIG ( Travaux d´Interêts Généraux ) pour balancage de boules puantes et toute mon oeuvre des 4 ans de collège
Fandesoad ta vraiment fait ça j´y crois pas!!! Pourtant tu as l´air très sympas
Je savai que t´étais un voyou des bouels puantes
Des boulets puants
Elle est bien cette suite Vivement la suite
farah C´est dur, 2 heures pour commencer à écrire avant les autres -_-´...
Fan Roooh le vilain garnement .
Godric Pas du tout les "boulets puants" .
Je travaille à la suite, mais soyez patient .
granger et fan Si vous me torturez, je deviendrai et fini les suites
Rectification
Godric Pas MAL du tout les "boulets puants"
On devrait les appeller comme ça les "boulets" d´ailleurs
super suite (desolé je suis en peu en retard... mais je suis toujours cette fic génial!)
voila la raison pour laquelle je n´écris rien :
http://naruto-no-kuni.superforum.fr/index.forum
(inscrivez vous si vous le voulez ^^!)
Non parceque c´est pas ton forum!
Godric_6 t´a raison a être admin sur le forum ou tu t´est inscrit ?: fou:
réussi je voulai dire
Choupi (ouais, je t´ai trouvé un surnom ! )
Je ne lis pas Naruto, désolé .
La suite avance , j´ai écrit plus de la moitié d´une suite .
Mais bon, je pense qu´une suite ce soir... ce serait être d´un trop grand optimisme.
Une suite demain soir (voire après-demain), en revanche, c´est bien plus réaliste .
et moi qui ait pas fini de tout lire
salut jimpoter et les autres ..je viens de decouvrir et de lire avec joie le 1er chap de ta fic , super !! je suis tombée par hazard sur celle de tati11 et bien sur sur la tienne que je me reserve pr apres... sinon , je vais tt melanger avec ma neurone de blonde , la vie n´est pas ts les jrs facile !! !!merci d´avance pr tt le bonheur que me donnera la lecture de ton oeuvre, et bravo pr ton talent evident !
farah dépêche-toi
princessG Je te souhaite la bienvenue sur ma fic, même si tu la lis plus tard, et je rajouterai que tu ne devrais pas être déçu par notre Tati nationale^^.
Vous vouliez une suite ? La voilà^^. Bonne lecture :
26
Chez Barjow & Beurk (suite)
Harry décida de suivre les conseils des jumeaux.
Le lendemain matin, il rangea une cape argentée et un vieux bout de parchemin vierge dans son sac et descendit avec les autres septième année au cours de défense contre les forces du Mal. A la fin du cours, Smith s’arrangea encore une fois pour échapper à Harry, mais cette fois, il avait un autre moyen de le retrouver. Il s’enferma dans une salle de classe vide et sortit la cape et la feuille de son sac. Il tapota légèrement le parchemin vierge et murmura : « Je jure solennellement que mes intentions sont mauvaises. » La carte du Maraudeur révéla alors le plan magique de Poudlard.
Il chercha d’abord la salle dans laquelle il se trouvait, au deuxième étage. Il la trouva et vit au milieu un minuscule point ainsi qu’une étiquette qui indiquait : « Harry Potter ». Il ne mit pas beaucoup de temps pour localiser Smith : il avait déjà rejoint sa salle commune. Harry poussa un soupir de rage mais se ressaisit : si son hypothèse se vérifiait, Zacharias Smith allait bientôt ressortir pour se rendre à la bibliothèque. Elle se vérifia en effet, mais il aurait dû le prévoir : il n’était pas seul. D’autres étiquettes montraient que Hannah Abbot, Justin Finch-Fletchley, Ernie Macmillan et Susan Bones accompagnaient leur camarade. Les septième année de Poufsouffle grimpaient l’escalier de marbre ; Harry estima qu’il était temps de passer à l’action.
Il s’enveloppa de la cape d’invisibilité et sortit de la salle de classe. Comme prévu, ses trois complices se tenaient autour de l’encadrement de la porte, en train de faire le guet.
- C’est bon, murmura-t-il, merci.
Il monta au quatrième étage, en prenant garde de ne pas révéler sa présence par un quelconque bruit ou contact. Les Poufsouffle arrivaient déjà par un autre couloir. Il devait isoler Smith avant qu’il n’entre dans la bibliothèque. Connaissant bien les personnes qui l’entouraient, il se dit qu’il n’aurait aucun mal pour parvenir à ses fins…
« Tarentallegra » pensa-t-il en visant les pieds de Smith avec sa baguette. « Finite » se dit-il à peine une seconde plus tard.
Zacharias Smith tomba en arrière, donnant l’impression de s’être pris les pieds dans sa robe.
- Attendez…, commença-t-il.
Mais apparemment, Ernie et le reste de sa bande n’avaient aucunement l’intention de rester en compagnie du Capitaine de leur équipe de Quidditch. Celui-ci se retrouva donc seul dans le couloir. Harry s’approcha et fit jaillir de faibles mais très bruyantes étincelles de sa baguette magique, devant un Zacharias Smith complètement abêti.
L’opération eut l’effet escompté et malgré de vaines tentatives pour faire comprendre qu’il n’avait même pas sorti sa baguette, Smith fut chassé à coup de plumeau par Mrs Pince. Harry le suivit, vérifia que personne ne pouvait le voir et enleva la cape qu’il rangea dans sa poche.
Puis il rattrapa Smith. Ce dernier voulut s’enfuir mais Harry le menaçait de sa baguette.
- Tu n’iras nulle part tant que nous n’aurons pas…
- Impedimenta !
Surpris par l’attaque soudaine de Smith, Harry s’écroula, tous ses membres engourdis par le sortilège d’Entrave. Il se releva péniblement et regarda autour de lui, mais son agresseur imprévu avait déjà quitté les lieux.
Harry passa à la vitesse supérieure.
Ainsi, lui, Ron, Hermione et Neville (il était hors de question de renouveler seul l’expérience désagréable du maléfice d’Entrave) firent chaque jour au moins trois tentatives pour surprendre Zacharias Smith dans un coin désert ; mais leur cible se débrouillait toujours pour leur échapper avant qu’ils ne puissent le prendre à part, et semblait désormais être en permanence à l´affût de la moindre attaque.
- On y arrivera jamais ! s’exclama Ron.
La semaine touchait à sa fin, et Smith venait encore une fois de leur filer entre les doigts, alors qu’ils avaient failli le surprendre au beau milieu des toilettes pour garçons du deuxième étage, un peu avant le cours de défense contre les forces du Mal.
- Sortons, murmura Neville. Il ne faut pas qu’on surprenne Hermione ici…
Ils se dirigèrent vers la salle d’Abel.
- Il faut trouver un moyen plus sûr de le coincer, dit Ron.
- Tu penses vraiment qu’il y a trente-six solutions ? ironisa Harry.
- En tout cas, une chose est certaine : on ne peut pas continuer comme ça, déclara Hermione, parce que même si par miracle on finit par le forcer à parler avec nous, on va se faire remarquer bien avant et on passera pour…
- … des types du même style que Nott, acheva amèrement Harry. Je le sais bien, mais je ne vois pas trop qu’est-ce qu’on pourrait faire d’autre. Si on essaye de lui parler calmement, il ne voudra jamais nous écouter !
- Et si nous y allons par la force, il voudra encore moins, et on ne gagnera qu’une réputation de Serpentard, répliqua Ron. Et s’il y a bien une chose pour laquelle je ne voudrai jamais qu’on me prenne, c’est un Serpentard…
- Mais McGonagall refuse de le convoquer ! rappela Harry, énervé par son sentiment de tomber sur une impasse.
Ils parlaient à voix très basse à présent, car ils étaient arrivés devant la salle de cours, et d’autres élèves de septième année se trouvaient à quelques mètres d’eux.
- J’ai une idée ! chuchota Ron. Tu n’as qu’à demander à ses soi-disant amis d’arranger le coup. Tu m’as bien dit que c’était lui qui les collait et qu’ils l’avaient laissé tomber avant qu’il ne te jette un sort, l’autre jour ?
- Oui…, répondit sombrement Harry, mais je te parie qu’il trouvera un moyen de se défiler, comme d’habitude…
Il s’interrompit. Abelforth venait de s’arrêter à côté d’eux pour ouvrir la porte de sa salle.
- Quand je pense qu’on se donne tout ce mal alors qu’il est possible que Smith nous cache un secret de famille idiot et sans importance… marmonna-t-il.
Ils entrèrent.
- Bonsoir, dit Abel. J’espère que vous m’avez tous écrit quelque chose de convenable sur les Moremplis. Je vous rappelle que Miss Granger, Mr Goldstein et Mr Potter ont été les seuls à obtenir la moyenne à leur dernier devoir, alors j’espère que vous avez fait des efforts, cette fois-ci. Mr Goldstein, veuillez ramassez les rédactions, s’il vous plaît.
Le préfet-en-chef s’exécuta.
- Le trimestre sur les créatures maléfiques est sur le point de se terminer, déclara le professeur. Lorsque nous aurons fini l’étude des plus redoutables créatures qui hantent notre monde, nous entamerons le deuxième trimestre, qui portera sur la magie noire.
Cette annonce fut suivie d’un silence pesant.
- Cela comportera les potions, les rituels et les sortilèges – bien que les sortilèges, au sens propre du terme, appartenant réellement à la magie noire ne soient qu’au nombre de deux – utilisés et pratiqués par les mages noirs. Nous allons ainsi entrer encore plus profondément dans la source du danger qui nous menace tous actuellement, ce qui est, je pense, très important.
Il marqua une courte pause ; chaque élève portait désormais toute son attention sur le professeur Abel, qui avait sorti sa baguette et l’agitait vers le tableau noir pour que les bases du cours de ce jour s’écrivent toutes seules.
- Mr Smith, Mr Potter, je souhaiterai vous parler à la fin du cours, annonça-t-il soudainement.
Harry fut extrêmement surpris, mais pas mécontent, contrairement à Zacharias Smith, qui ouvrait des yeux horrifiés.
A la fin du cours, les deux jeunes hommes se postèrent en face d’Abelforth. Lorsque tous les élèves furent partis, ce dernier joignit les doigts sur son bureau et les observa gravement.
- Harry, Zacharias, dit-il, je commence à en avoir assez de vous voir jouer au chat et à la souris depuis quelques jours. Je vous ai observé ces derniers jours et je constate que vous, Zacharias, refusez une collaboration qui permettrait d’aider à vaincre Lord Voldemort (Smith fit une horrible grimace).
- Mais…
- Silence ! Quant à vous, Harry, vous étiez prêts à user de votre baguette contre Mr Smith – j’ai noté la manière dont vous le harceliez.
- Mais, Monsieur…
- J’ai dit : silence !
Il les regarda tour à tour.
- Je retire vingt points à Gryffondor et à Poufsouffle.
Les deux élèves furent tellement choqués qu’aucun son de protestation ne parvint à sortir de leur bouche.
- Maintenant, je vous laisse régler vos différents, et j’espère que vos échanges seront plus « fructueux », car je ne vous ouvrirai que lorsque ce sera le cas.
Et sur ces mots fermes, il sortit. Il y eut un silence très pesant ; ni Smith, ni Harry n’ouvrit la bouche.
Au bout de trente secondes insoutenables, ce dernier craqua :
- Ca suffit, maintenant, Smith ! J’ai besoin que tu me dises ce que tu sais sur Hepzibah, j’ai vraiment besoin de savoir ce que tu sais sur la coupe qui a appartenu à Helga Poufsouffle, dit-il sans détour.
Smith pâlit fortement : apparemment, il avait visé juste.
- Je ne vois pas en quoi cette coupe pourrait t’aider, dit-il froidement.
- Ne t’inquiète pas pour ça, répliqua Harry. Moi, je vois parfaitement en quoi elle peut m’aider.
Ils se dardèrent mutuellement d’un regard noir.
- Pourquoi est-ce qu’Abel a dit que ça pouvait permettre d’aider à vaincre Tu-Sais-Qui ? finit par demander Smith.
- Parce que c’est vrai, répondit simplement Harry. Mais il ne vaut mieux pas que tu saches pourquoi, rajouta-t-il. Tu as bien dit que tu me souhaitais de ne jamais retrouver l’objet que je cherchais ? – et tu parlais bien de la coupe de Poufsouffle, non ? Qu’est-ce que ça veut dire, qu’elle est dangereuse ? Elle contient des maléfices, n’est-ce pas ? De la… magie noire ?
- Pourquoi tu me demandes ça ? interrogea Smith, à la fois méfiant et effrayé.
Il fit un pas en arrière.
- Parce que si j’ai raison, répondit Harry en avançant lui-même d’un pas, autant te rassurer tout de suite : je m’attendais à ce que la coupe soit ensorcelée. On peut même dire que c’est pour ça que je la cherche…
- Qu’est-ce que tu racontes ? Tu veux la coupe de la vieille pour pratiquer magie noire ? demanda Smith, terrifié.
- Certainement pas ! s’indigna Harry, prenant soudain conscience de l’air menaçant – et un peu trop convainquant – qu’il avait pris. Au contraire, je te dis qu’elle peut aider à… Bon, écoute, je ne peux pas tout te dire, mais je vais quand même te dire ça : la coupe avait sûrement déjà des pouvoirs avant, mais si elle contient de la magie noire, c’est parce que…
Il hésita. Mais après tout, d’après les réactions de Smith, il était sur la bonne voie, et il ne fallait pas laisser cette chance s’échapper.
Smith haussa les sourcils.
- C’est parce que Voldemort a volé cette coupe, finit par déclarer Harry. C’est lui qui a tué Hepzibah.
Pendant quelques secondes, Zacharias Smith parut étonné, mais cela ne dura pas longtemps. Il finit même par éclater d’un grand rire, au grand étonnement de Harry.
- Je ne vois pas ce qu’il y a de drôle, dit celui-ci.
- Tu racontes vraiment n’importe quoi, Potter, répondit Smith en s’essuyant les yeux. J’ai failli te croire !
- Je ne te mens pas ! assura Harry, irrité.
- Tu n’es vraiment qu’un… même si tu as dit la vérité sur Tu-Sais-Qui il y a deux ans, tu es quand même un manipulateur, un menteur ! Tu veux attirer l’attention sur toi avec tes histoires à dormir debout !
Complètement ahuri, Harry afficha un air de totale incompréhension.
- Hepzibah est morte en 1945 ! s’exclama Smith avec mépris. Et Tu-Sais-Qui est apparu au début des années soixante-dix ! Tu crois peut-être que je suis stupide à ce point-là ?
Ce fut au tour de Harry d’éclater de rire. Quel idiot…
- Et tu pensais peut-être que Voldemort n’existait pas avant 1970 ? questionna-t-il avec ironie. Tu penses qu’il a jailli du néant pour tuer sans raison ? Tu croyais qu’il en était à son coup d’essai, quand il a commencé à réunir les Mangemorts ? Désolé de te décevoir, mais Voldemort devait déjà avoir… la quarantaine, voire la cinquantaine, à cette époque. Il a commencé à tuer bien avant de se faire appeler Voldemort ! A une époque, il travaillait chez Barjow & Beurk, et il rendait visite à Hepzibah pour son travail !
Smith semblait complètement abasourdi.
- Comment est-ce que tu pourrais savoir tout ça ?…
- Ne t’occupe pas de ça, et dis-moi ce que tu sais sur cette coupe !
Smith se décida à répondre. Il paraissait bouleversé.
- Et bien… en fait, je ne connais pas tous les détails, mais… il faut dire que c’est une vieille histoire, je n’avais même pas un an, à l’époque…
« Pendant des dizaines d’années, la famille de mon père a recherché une coupe qui leur venait, paraît-il, d’Helga Poufsouffle, et qui avait appartenu à une vieille folle qui s’appelait Hepzibah… On disait qu’elle avait été empoisonnée par accident par son elfe et que depuis, personne n’avait jamais pu retrouvé la coupe… Mon père a cherché partout, dans les maisons que possédaient Hepzibah, dans des boutiques où elle aurait pu vendre la coupe, chez des amis à elle… Mais il n’a jamais rien trouvé.
« Quelques mois avant ma naissance, un certain Mr Barjow a essayé de faire affaire avec mon père, il lui disait qu’il avait quelque chose qui pouvait l’intéresser. Mais mon père n’aime pas la magie noire – c’est quelqu’un de respectable, assura Smith –, alors il refusait toujours de lui répondre. Mais Barjow a fini par convaincre mon père – pas pour acheter des objets illégaux, mais il savait que Hepzibah faisait des affaires avec l’ancien patron de la boutique. Il est donc allé chez Barjow & Beurk et… »
- Et quoi ? interrogea Harry.
- Et la coupe y était, répondit Smith, le teint plus pâle que jamais.
- Qu’est-ce que ton père a fait ? questionna Harry, surexcité.
- Il a voulu la reprendre à Barjow, il lui a dit que ça appartenait à sa famille et qu’il allait faire appel à la Brigade de Police magique… Mais Barjow répétait que Hepzibah lui avait vendu la coupe, alors ils ont fini par se mettre d’accord sur un prix « raisonnable ». Mon père a rapporté la coupe à la maison dans une boite et… mon grand-père l’a touchée… à mains nues.
Il marqua une pause.
- Et qu’est-ce qui s’est passé ? demanda Harry, intrigué.
- Il est mort, répondit faiblement Smith. On m’a raconté que ses mains étaient toutes noires…
- Comment ?… Juste en la touchant ?…
- Oui. Mon père l’avait transportée dans une boîte que Barjow lui avait donnée, alors il n’a rien eu… Il a appelé…
Il s’interrompit.
- Qui a-t-il appelé ? interrogea Harry.
- Personne, répondit précipitamment Smith. De toutes façons, ça n’a aucune importance si tu veux retrouver cette coupe, puisque mon père l’a finalement rapportée au magasin.
- Tu veux dire qu’elle se trouve tout simplement chez Barjow & Beurk ? demanda Harry, stupéfait.
- Sauf s’il l’a revendue…
- D’accord…
Il se leva d’un bond ; il devait tout de suite en parler à Ron, Hermione et Neville – et à Abel.
Il était sur le point de sortir mais quelque chose le retint, un sentiment étrange. Il se retourna vers Smith, toujours assis sur sa chaise, dépité. Après tout, il avait fini par l’aider… Il se décida à marmonner :
- Merci… Zacharias.
Et il frappa à la porte pour qu’Abel la déverrouille.
Très bonne suite Jim clap clap clap
Je lirais tout à l´heure après avoir été en cours
Belle facon de faire passer Zacharias aux aveux, le pauvre...on comprend bien qu´il n´ait pas eu très envie d´en parler de la fameuse coupe!...Très bonne suite, Jimpoter
* Fandesoad88 profil
* Posté le 31 octobre 2006 à 15:14:11 avertir modérateur
* Euh le cadeau c´est pas la Carte des Maraudeurs?
C´est qui le boss
En tout cas c´est super bien écrit, juste : "je vous laisse régler vos différents" , je crois qu´on écrit différends mais osef vu que c´est très bien. La quête aux Horcruxes avance