Derniers tests de jeux vidéo - page 521

Bien que populaire, la série des Tenchu n'en reste pas moins une série d'infiltration assez atypique capitalisant davantage sur son ambiance que sur ses performances techniques ou son IA. Après un Tenchu Z très moyen sur Xbox 360, c'est au tour de la Wii de servir de terrain d'entraînement à Rikimaru et Ayame, nos deux intrépides combattants de l'ombre qui vont cette fois devoir sauver la princesse Kiku. Un scénario faisant écho à celui du premier volet, certes, mais malgré les apparences, la construction de cet épisode s'avère bien différente de celle de ses aïeuls. Explications.

Il n'y a aucun doute, les vieux jeux vidéo ont la cote. Alors que des éditeurs sans scrupule nous servent des rééditions ou des adaptations de leurs anciens titres, on voit aussi apparaître quelques jeux originaux au design résolument rétro. C'est ainsi que Darwinia nous avait fait découvrir un univers étrangement dépouillé de fioritures et peuplé de créatures en 2D. Deux ans plus tard, Introversion Software nous plonge une nouvelle fois dans ce monde si particulier avec Multiwinia. Vous pourrez constater que les paisibles Darwiniens ont bien changé depuis votre première visite...

Avec son unité de soldats d'élite disposant chacun de capacités spécifiques, on pourrait prendre Elite Force : Unit 77 sur DS pour un clone de Commandos : Derrière les Ennemis. Les premières minutes de jeu suffisent à effacer ces suppositions : on a affaire à un run & gun tout ce qu'il y a de plus basique et de plus bourrin. Un genre en voie de disparition, mais toujours susceptible de délivrer une bonne dose de fun.

Après le puzzle-game mâtiné de jeu de rôle (Puzzle Quest : Challenge of the Warlords), voici le puzzle-game agrémenté d'un zeste de gestion. Jewel Master : Cradle of Rome vous propose en effet de construire une cité antique en assemblant des blocs par groupes de trois.

Après un premier add-on très réussi, la Xbox 360 se dote d'une seconde extension de Tomb Raider Underworld. Surprise, cette fois, il ne s'agit plus d'incarner la belle Lara qui cède ici sa place à son clone revanchard tout entier dévoué à la destruction de la famille Croft. Etonnant non ?

Un an après la sortie remarquée de l'excellent Blade of Fate, Bleach revient sur DS dans une suite soignée qui, n'en faisons pas mystère, comblera de bonheur tous les amateurs de combats en 2D sur DS.

Original, addictif et grisant sur PSP, Lumines surprend son public en débarquant en téléchargement sur le Xbox Live. Disponible pour 1 200 Points Microsoft, soit à peu près 15€, cette version Live! s'inspire en masse du contenu du jeu sur la portable de Sony.

Dégommer des vaisseaux ennemis dans des dogfights endiablés, en voilà une saine activité. Malheureusement, l'exercice se fait bien rare sur PSP. Accueillons donc No Gravity comme il se doit, d'autant que ce nouveau représentant du genre est téléchargeable pour moins d'une dizaine d'euros sur le PlayStation Store.

Suite à une série TV, Mister Bean aura eu droit aux honneurs d'un film dans la droite lignée du show qui l'aura rendu célèbre. Etrange donc qu'on ait attendu aussi longtemps pour pouvoir diriger le truculent personnage campé par Rowan Atkinson d'autant que sa bonhomie et sa légèreté se prêtaient plutôt bien à un exercice vidéoludique. Malheureusement quand on voit le résultat de ce Total Délire, on se dit qu'on aurait bien attendu encore un peu.

Dans la veine d'un 7 Wonders ou d'un Puzzle Quest, 4 Elements est un jeu de réflexion sans prétention qu'il serait pourtant dommage de passer sous silence car il renferme ce petit quelque chose qui fait qu'on s'y attache sans trop savoir pourquoi. En combinant la magie d'un univers féerique et l'attrait d'un bon puzzle-game, ce titre parvient à tirer son épingle du jeu.

Clone de Cooking Mama à la sauce Nickelodeon, Bob l'Eponge : Friture en Folie ! se présente comme une simulation de cuisine délirante à base de mini-jeux. Saura-t-elle révéler le gastronome qui est en vous ?

Avec SSX Blur, Shaun White Snowboarding Road Trip et Family Ski & Snowboard, la Wii se pare d'une ludothèque de jeux de glisse déjà gonflée. Il faudra désormais ajouter Snowboard Riot, un titre tout aussi arcade mais qui ne joue pas dans la même cour de par son statut de jeu WiiWare.

Si Zack Snyder ne nous aura pas déçus avec un Watchmen reprenant à la case près l'oeuvre phénoménale d'Alan Moore, on ne peut pas en dire autant du jeu vidéo. S'évertuant à mettre en scène le charismatique Rorschach et le très collant Hibou, Watchmen The End is Nigh ne cherche jamais à faire décoller le genre beat'em all. Pire, il nous offre un voyage dans le temps grâce à une construction antédiluvienne et un plaisir de jeu réduit à peau de chagrin.

Si Zack Snyder ne nous aura pas déçus avec un Watchmen reprenant à la case près l'oeuvre phénoménale d'Alan Moore, on ne peut pas en dire autant du jeu vidéo. S'évertuant à mettre en scène le charismatique Rorschach et le très collant Hibou, Watchmen The End is Nigh ne cherche jamais à faire décoller le genre beat'em all. Pire, il nous offre un voyage dans le temps grâce à une construction antédiluvienne et un plaisir de jeu réduit à peau de chagrin.

Si Zack Snyder ne nous aura pas déçus avec un Watchmen reprenant à la case près l'oeuvre phénoménale d'Alan Moore, on ne peut pas en dire autant du jeu vidéo. S'évertuant à mettre en scène le charismatique Rorschach et le très collant Hibou, Watchmen The End is Nigh ne cherche jamais à faire décoller le genre beat'em all. Pire, il nous offre un voyage dans le temps grâce à une construction antédiluvienne et un plaisir de jeu réduit à peau de chagrin.

Avec Resident Evil 5, Capcom démontre à nouveau que sa série phare supporte difficilement l'absence de son créateur à la barre, du moins quand il s'agit de lui apporter du sang neuf. Si cet épisode ne manque pas de qualités tout en se montrant bien supérieur à la plupart des jeux d'action de la machine, il donne également la désagréable impression de n'être qu'un gigantesque copier-coller de RE 4, sans aucune âme. Si ce point de vue peut sembler consternant, il n'est pas nécessairement synonyme de prise de conscience rendant caduque la notion de plaisir, bien au contraire.

Avec Resident Evil 5, Capcom démontre à nouveau que sa série phare supporte difficilement l'absence de son créateur à la barre, du moins quand il s'agit de lui apporter du sang neuf. Si cet épisode ne manque pas de qualités tout en se montrant bien supérieur à la plupart des jeux d'action de la machine, il donne également la désagréable impression de n'être qu'un gigantesque copier-coller de RE 4, sans aucune âme. Si ce point de vue peut sembler consternant, il n'est pas nécessairement synonyme de prise de conscience rendant caduque la notion de plaisir, bien au contraire.

Quelles que soient les qualités des grosses productions, l'originalité et la fraîcheur doivent (trop) souvent être cherchées du côté du jeu indépendant. Ode à la beauté et au plaisir vidéoludique, Aquaria nous prouve s'il le fallait que patience et passion sont des ingrédients bien plus efficaces que l'argent.

Street Gears fait partie des titres qui font du MMO un genre plus ouvert et plus grand public qu'il n'y paraît. Si Empire of Sports mise sur l'exhaustivité des disciplines, Street Gears préfère s'attarder sur un sport plus marginal, le roller, une pratique idéale pour relayer ce sentiment de liberté dans les déplacements que tout bon MMO doit proposer.

RTS délirant combiné à un jeu de rythme efficace, Patapon avait enchanté les possesseurs de PSP en mal d'originalité l'an passé. Qu'ils se réjouissent ! Patapon 2 leur propose aujourd'hui de reprendre du service pour aider un nouveau groupe d'aventuriers à atteindre le bout du monde.