Alors qu’au box-office US, il vient de prendre la place de Terrifier 3, ce film d’horreur a décidément beaucoup de raisons de donner le sourire à ses producteurs… et aux spectateurs.
T’as le smile !
En 2022, le premier épisode de Smile avait frappé un grand coup dans les salles obscures. On y suivait les mésaventures d'une psychiatre qui était victime d’une terrible malédiction. Le point de départ de ce cauchemar ? Le suicide d’une de ses patientes qui lui avait avoué être hantée par une entité. Cet épisode fut d’autant plus traumatisant qu'avant de mourir, la jeune femme arborait un immense sourire. Depuis ce jour, la médecin voit de plus en plus de sourires étranges et fait face à des situations extrêmement éprouvantes.
Sortie au cinéma au cours du mois d’octobre, la suite de Smile, sobrement intitulée Smile 2, suit les péripéties d’une star de la pop, Skye Riley, incarnée à l’écran par Naomi Scott (Charlie's Angels, Aladdin). À l'aube d'une nouvelle tournée mondiale, l’artiste va devoir survivre à quelque chose de bien pire que la pression exercée par sa célébrité : son entourage se met à lui sourire de manière très étrange et à lui faire vivre un véritable enfer. Comme à l’accoutumée, l’héroïne va devoir fouiller dans son passé afin de reprendre le contrôle de sa vie. Si tant est que cela soit possible.
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Souriez, vous êtes filmé
Alors que le premier épisode a engrangé plus de 217 millions de dollars pour un budget estimé à 17 millions de dollars, Smile 2 semble bien parti pour faire encore mieux. Tandis qu’il est en train de faire la misère à ses concurrents au box-office US (et notamment à Terrifier 3), le film réalisé par Parker Finn a déjà dépassé les 100 millions de dollars de recette dans le monde. Souhaitant continuer à faire parler du film, la Paramount vient de sortir un site pour le moins original. Sur ce dernier, vous pourrez regarder les 7 premières minutes de Smile 2 si, et seulement si, vous souriez sans interruption.
Bien sûr, il est nécessaire d’avoir une webcam pour que tout fonctionne, le site demandant d’y avoir accès afin de vous espionner pendant que vous bavez devant l’écran. C’est bien vu, c’est drôle, mais c’est en VO uniquement. Si cela vous intéresse, la page est accessible par ici. Cette campagne nous rappelle celle du premier volet, où la Paramount avait payé des comédiens pour qu’ils rient de manière menaçante devant les caméras de télévision pendant des rassemblements sportifs. Le buzz avait fait son petit effet.