Alors que leur jeu vidéo est sorti il y a seulement quelques semaines, ce studio doit se séparer d’environ la moitié de son équipe.
Immortals Of Aveum a vu le jour le mois dernier, et propose aux joueurs un FPS fantastique où les armes sont remplacées par la magie. Ainsi, depuis quelques semaines, il est possible de se plonger dans cet univers et de détruire tout un tas d'ennemis à l’aide de puissants sortilèges. Chez JV, il a été noté 15/20, mettant en avant son aspect immersif, son rythme et ses combats nerveux. Ce premier titre d'Ascendant Studios, bien qu’il ne soit pas parfait, a su proposer une bonne surprise.
Hélas, très peu de temps après la sortie de ce titre, le studio a dû se séparer de presque la moitié de son équipe. Une décision qui a été décrite comme nécessaire dans un communiqué officiel. Voilà donc une triste nouvelle pour ce tout nouveau studio composé de passionnés.
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Ascendant Studios licencie en masse
Lors de sa sortie, Immortals of Aveum n’a pas fait grand bruit, ce qui est probablement la cause de ce licenciement de masse. Alors qu’ils avaient déclaré avoir 100 salariés au mois d’avril, environ 40 personnes auraient été licenciées selon Polygon. Un effectif presque réduit de moitié en très peu de temps. Le communiqué officiel est disponible sur X (anciennement nommé Twitter).
— Bret Robbins (@BretRobbins) September 14, 2023
Aujourd'hui, nous avons le cœur brisé car nous nous séparons d'amis et de collègues d'Ascendant Studios, soit environ 45 % de notre équipe. Il s'agit d'une décision douloureusement difficile, mais nécessaire, qui n'a pas été prise à la légère ; néanmoins, nous devons nous adapter maintenant qu'Immortals of Aveum a été expédié.
Je suis très fier de ce que notre équipe de développement indépendante a accompli avec Immortals of Aveum. Ensemble, nous avons créé un nouveau studio AAA, une nouvelle propriété intellectuelle, sur une nouvelle technologie, à une époque de notre industrie où cela est extrêmement rare. Nous avons mis toute notre passion dans Immortals, tout en portant notre cœur sur nos manches. (...)