fin plutot en cohérence avec le caractère de marinette, je m'attendais a ce qu'elle se montre trop gentille avec gabriel/monarque et que ce dernier en profite. le voeu m'a cependant étonné, je ne m'attendais pas à ce qu'il se sacrifie pour sauver nathalie et émilie. d'ailleurs, je ne comprends pas, il n'aurait du pouvoir sauver qu'une personne, pas 2, non? ou alors quelqu'un est mort ou dans el coma? bref, bizarre.
autre chose de bizarre, marinette qui reconstruit les divers miraculous, mais bon, ca m'étonne pas plus que ca finalement j'ai bien aimé le fait qu'elle rende les miraculous aux porteurs et aussi le fait que felix fasse partie de la bande des super héros
en parlant de super héros, c'est chouette d'avoir revu ceux des autres pays, ils étaient efficaces en plus
encore une fois le proviseur m'a bien fait rire
la transformation de marinette en lady noir (ou un truc dans le genre) était vachement chouette, enfin

cerise/lila qui récupère le miraculous du papillon, c'était prévisible. je me demande qui la surprend cependant... du coup, ca sent la saison 6

au niveau de ce qui est mauvais:
- le plan qui dure meme pas 1 journée.
- plein de persos qui deviennent gays. c'est illogique. genre les deux gars, ils se sont fait plaquer par marinette, alors ils décident de se la toucher entre eux et depuis quand meche rose (j'ai plus son nom) est lesbienne? ca sort de nul part! et la prof enceinte qui sort avec une féministe? (si si, elle a la tete d'une feministe). ce dessin animé est devenu le temple du wokisme, c'est dommage, car c'était bien, mais sur la fin ca m'a vraiment soulé.
- j'ai l'impression en plus que la maman de kagami (j'ai plus son nom a elle non plus) n'avait aucun objectif, c'est pour ca que j'ai pas compris pourquoi elle bossait avec gabriel. (ou j'ai loupé un épisode?)
- les idées d'urbanisme de la nouvelle maire. c'est joli sur le papier. mais irl, c'est juste irréalisable.
- le fait qu'adrien ne sache pas que son père était monarque. quel gachis. cela aurait fait une splendide confrontation. bon, je vais me contenter de celle de chat blanc.
- gabriel qui se fait humilier systématiquement.