La WWE enfin débarassée du nullard Reigns

En passant: Roman gagne par intervention non-stop depuis 3 ans. Normal qu'à un moment les face de la WWE pètent un cable et interviennent massivement pour le battre.

En fait le main-event est un remix d'un match entre The Rock (déjà) et Mankind lors d'un Raw en 1999, celui qui couronne Mankind comme champion de la WWF

https://youtu.be/eJjbnFZ6yA8?t=610

Les mêmes codes y sont, le match sans DQ, les interventions successives, l'entrée de la grosse star sous une pop monumentale, et l'émotion du vainqueur à la fin.

Mais y a pas à dire, le catch, quand c'est bien fait comme hier, c'est génial à suivre. Tout le monde a été parfait dans sa partition. Ayant suivi Cena au summum de sa "popularité", c'est-à-dire en se faisant pourrir par n'importe quel smark passant dans le coin, ça m'a fait chaud au coeur de le voir prendre une telle pop. Celle de l'Undertaker exceptionnnelle aussi.

Et pas de souci sur le discours de Cody à la fin et les éloges sur Triphe H et Bruce Prichard. Ce sont eux qui lui ont permis de le faire revenir ici, et ils méritent tous les éloges pour avoir contribué à nous pondre un des meilleurs WM de tous les temps

Le 08 avril 2024 à 04:57:14 :
Je vais commencer par une injure, (pour moi cette nuit 2) est le plus grand Wrestlemania de tous les temps, oui c'est à chaud, oui c'est sur l'instant, mais j'en ai pleuré à la fin.

Ben franchement, il y a débat... pour moi c'est top 3 avec le 17 et le 30, et il passe devant le 19 et le 31

Mais quelle dinguerie J'imaginais pas qu'ils finiraient par faire perdre Reigns, mais c'est fait !
L'enchaînement des entrées etc... jouissif !

Dommage pour McIntyre quand même, partie remise je l'espère, de belles feuds à venir.
Public toujours catastrophique mon dieu quand Styles lève le main pour son poing aucune réaction...

Voila ce que j'appelle un Wrestlemania, le public bien plus chaud quand on lui propose un meilleur produit dommage pour l'horrible nuit 1

Excellent show du début à la fin.
Le public était meilleur mais il faisait 5 degrés de plus que samedi ou le public se gelait à 10 degrés.
Drew enfin champion devant du public, je me demande si il voudra plus le titre ou Punk. Va-t-on avoir Drew McIntyre vs. Damien Priest où Drew McIntyre vs. CM Punk et Seth Rollins vs. Damian Priest.
Le 2° match, j'en attendais rien, j'ai été agréablement surpris, pas long, Bubba Ray arbitre et l'équipe de Lashley qui gagne, Kroos ne me fait ni chaud ni froid.
LA / AJ bon et pas trop long, permet à LA Knight de briller.
Le U.S bon aussi, dommage que Logan Paul conserve son titre.
Le championnat féminin très bon, Bayley championne.
Super Main Event, Roman Reigns victime de sa propre stipulation, ceux qui aident Cody (Jey Uso, John Cena, Seth Rollins & Undertaker) étaient finalement plus nombreux que ceux qui aident Roman (Jimmy Uso, Solo Sikoa & The Rock).
Le Final Boss battu par un seul Choke Slam de la plus grande légende de la WWE.
Enfin un nouveau champion !
Vive Cody Rhodes !

Je viens aux nouvelles des pro McIntyre
Toujours en PLS les mecs ?

Le 08 avril 2024 à 14:13:10 :
Je viens aux nouvelles des pro McIntyre
Toujours en PLS les mecs ?

Punk est une insulte au catch

bonne autant la nuit 1 était vraiment nul ( excepté le ladder match, le gounta/zayn et les 15 dernière minute du main event ) mais alors la nuit 2 bordel elle était exceptionnelle
que d'émotions avec Cody

Dégouté on va s'ennuyer après le RAW post-WM

Aya ce main event tellement overbooked comme prévu mais que c'était bon

Une pensée au foroumeur Mael Bloodline qui va devoir changer de gimmick

Le 08 avril 2024 à 14:32:51 :
Une pensée au foroumeur Mael Bloodline qui va devoir changer de gimmick

On se calme, Roman a pas encore prit sa retraite, the Rock non plus

Que ça fait du bien de revoir un show dont le duel principal prend appui sur une histoire racontée (et improvisée ? l'un n'empêchant pas l'autre), qui donne une ampleur évidemment autre que n'importe quelle confrontation purement physique, comme cela était le dada de Vince McMahon ces dernières années.

Même si je ne suis toujours pas fan de Cody Rhodes, lui reprochant d'être une bulle spéculative auto-alimentée (il faut reconnaître que les Américains sont très fort quand il s'agit de "bet on yourself"), assez creuse dès lors que l'on gratte le vernis de l'histoire "à terminer" (Dusty Rhodes n'a jamais été "volé" de son titre, ayant gagné contre Graham dans le match en question de 77 par count-out !) et s'incarnant dans un catch extrêmement fade (n'oublions pas que Cody a tout appris lors des terribles années 2007-2010 environ), il faut reconnaître que le match a un certain cachet, sans être transcendant, me semble-t-il, au-delà de son effet clinquant.

Ce que je retiens surtout de ces deux soirées, c'est la présence incandescente et le charisme à peine croyable de The Rock. Il n'y a que lui pour avoir réussi à pivoter aussi rapidement entre le babyface usé jusqu'à la moelle qu'il nous ressortait depuis 2011 et qu'il avait laissé entrevoir lors de son mystérieux retour en début d'année, propulsé en main-event de Wrestlemania. À partir du moment où il apparaît à l'écran et jusqu'à ce qu'il le quitte, il est une brûlure de négatif consumant tout sur son passage. C'est aussi la limite de sa présence : personne n'est à son niveau et le seul moment proprement dramatique est l'intervention de l'Undertaker en deus ex machina. Dès lors, Reigns et Cody paraissent bien loin, écrasés par le vestige d'une ère qui refuse de mourir, parce qu'elle fut le sommet d'un art.

Le 08 avril 2024 à 14:54:31 blackMACHISMO a écrit :
Que ça fait du bien de revoir un show dont le duel principal prend appui sur une histoire racontée (et improvisée ? l'un n'empêchant pas l'autre), qui donne une ampleur évidemment autre que n'importe quelle confrontation purement physique, comme cela était le dada de Vince McMahon ces dernières années.

Même si je ne suis toujours pas fan de Cody Rhodes, lui reprochant d'être une bulle spéculative auto-alimentée (il faut reconnaître que les Américains sont très fort quand il s'agit de "bet on yourself"), assez creuse dès lors que l'on gratte le vernis de l'histoire "à terminer" (Dusty Rhodes n'a jamais été "volé" de son titre, ayant gagné contre Graham dans le match en question de 77 par count-out !) et s'incarnant dans un catch extrêmement fade (n'oublions pas que Cody a tout appris lors des terribles années 2007-2010 environ), il faut reconnaître que le match a un certain cachet, sans être transcendant, me semble-t-il, au-delà de son effet clinquant.

Ce que je retiens surtout de ces deux soirées, c'est la présence incandescente et le charisme à peine croyable de The Rock. Il n'y a que lui pour avoir réussi à pivoter aussi rapidement entre le babyface usé jusqu'à la moelle qu'il nous ressortait depuis 2011 et qu'il avait laissé entrevoir lors de son mystérieux retour en début d'année, propulsé en main-event de Wrestlemania. À partir du moment où il apparaît à l'écran et jusqu'à ce qu'il le quitte, il est une brûlure de négatif consumant tout sur son passage. C'est aussi la limite de sa présence : personne n'est à son niveau et le seul moment proprement dramatique est l'intervention de l'Undertaker en deus ex machina. Dès lors, Reigns et Cody paraissent bien loin, écrasés par le vestige d'une ère qui refuse de mourir, parce qu'elle fut le sommet d'un art.

résumé : quand les stars de l'attitude Era auront 80 ans, on sera dans la merde

Le 08 avril 2024 à 14:54:31 :
Que ça fait du bien de revoir un show dont le duel principal prend appui sur une histoire racontée (et improvisée ? l'un n'empêchant pas l'autre), qui donne une ampleur évidemment autre que n'importe quelle confrontation purement physique, comme cela était le dada de Vince McMahon ces dernières années.

Même si je ne suis toujours pas fan de Cody Rhodes, lui reprochant d'être une bulle spéculative auto-alimentée (il faut reconnaître que les Américains sont très fort quand il s'agit de "bet on yourself"), assez creuse dès lors que l'on gratte le vernis de l'histoire "à terminer" (Dusty Rhodes n'a jamais été "volé" de son titre, ayant gagné contre Graham dans le match en question de 77 par count-out !) et s'incarnant dans un catch extrêmement fade (n'oublions pas que Cody a tout appris lors des terribles années 2007-2010 environ), il faut reconnaître que le match a un certain cachet, sans être transcendant, me semble-t-il, au-delà de son effet clinquant.

Ce que je retiens surtout de ces deux soirées, c'est la présence incandescente et le charisme à peine croyable de The Rock. Il n'y a que lui pour avoir réussi à pivoter aussi rapidement entre le babyface usé jusqu'à la moelle qu'il nous ressortait depuis 2011 et qu'il avait laissé entrevoir lors de son mystérieux retour en début d'année, propulsé en main-event de Wrestlemania. À partir du moment où il apparaît à l'écran et jusqu'à ce qu'il le quitte, il est une brûlure de négatif consumant tout sur son passage. C'est aussi la limite de sa présence : personne n'est à son niveau et le seul moment proprement dramatique est l'intervention de l'Undertaker en deus ex machina. Dès lors, Reigns et Cody paraissent bien loin, écrasés par le vestige d'une ère qui refuse de mourir, parce qu'elle fut le sommet d'un art.

Précision : pivoté entre le babyface usé jusqu'à la moelle et le heel d'aujourd'hui.

La WWE a toujours besoin de ses anciennes légendes pour exister. Je regarde pu beaucoup mais je suis et j'ai l'impression que Cena Undertaker Lesnar The Rock ils reviennent pour la 100ème fois.. une boucle infernale dommage..

Nuit 2 excellent y a rien à dire

Le 08 avril 2024 à 15:13:37 babidi35 a écrit :
La WWE a toujours besoin de ses anciennes légendes pour exister. Je regarde pu beaucoup mais je suis et j'ai l'impression que Cena Undertaker Lesnar The Rock ils reviennent pour la 100ème fois.. une boucle infernale dommage..

pas pour rien que les Rumble sont de moins en moins bons