Sauf que là l'ennemi les laisse venir par contingents de millions, parce que le multikulti c'est génial et que c'est bon pour l'économie, et que l'islam est une religion de lumière et de tolérance, et fait des procès ceux qui s'élèvent contre ça.
Eux ont juste à débarquer et poser leur fessier.
En quoi c'est bon pour l'économie ?
Et tu oublies l'Etat qui nous ponctionne pour les nourrir.
Faut demander aux libéraux. La liberté est bonne pour l'économie par principe, il paraît.
Bastiat : Bastiat did not directly cover the topic of immigration much, but some sources interpret his writings as supportive of free migration.
Friedman : Supported open borders conditional to dismantling of the welfare state (which he also supported).
Rothbard : Started out as pro-immigration, but came out in opposition to open borders in his later life. He formulated and inspired many of the anti-immigration arguments based on the anarcho-capitalist counterfactual, a thread of argument taken up by Hans-Hermann Hoppe.
Rand : Herself an “illegal immigrant,” Rand supported free immigration.
Hayek : Viewed free immigration as desirable in the long run but felt that open borders at present might lead to a nativist backlash
Et là on va encore revenir au fameux débat de la contradiction d'être libéral-conservateur.
Le 23 avril 2017 à 11:34:32 Abaque25 a écrit :
Faut demander aux libéraux. La liberté est bonne pour l'économie par principe, il paraît.Bastiat : Bastiat did not directly cover the topic of immigration much, but some sources interpret his writings as supportive of free migration.
Friedman : Supported open borders conditional to dismantling of the welfare state (which he also supported).
Rothbard : Started out as pro-immigration, but came out in opposition to open borders in his later life. He formulated and inspired many of the anti-immigration arguments based on the anarcho-capitalist counterfactual, a thread of argument taken up by Hans-Hermann Hoppe.
Rand : Herself an “illegal immigrant,” Rand supported free immigration.
Hayek : Viewed free immigration as desirable in the long run but felt that open borders at present might lead to a nativist backlash
aucun ne dit ça dans ce que tu dis, voir même il n'y a que Rand et hayek qui serait pro immigration.
Et là on va encore revenir au fameux débat de la contradiction d'être libéral-conservateur.
Il n'y a aucune contradiction. La contradiction est chez les réacs conservateurs qui sont en fait des progressistes d'un autre genre.
aucun ne dit ça dans ce que tu dis, voir même il n'y a que Rand et hayek qui serait pro immigration.
Pour des questions de circonstances. Le fait est que dans l'absolu les libéraux sont pour les frontières ouvertes. Ce qui est cohérent avec leur idéologie.
Au nom de quoi l'Etat interdirait aux personnes de circuler d'un territoire A à un territoire B? Surtout si c'est pour vendre leur travail. Aucune raison d'interdire à un patron français d'embaucher des Maliens.
Prétendre le contraire, c'est faire du socialisme.
Il n'y a aucune contradiction. La contradiction est chez les réacs conservateurs qui sont en fait des progressistes d'un autre genre.
Le libéralisme est un progressisme, cf la Révolution américaine, la Révolution française.
bon ce matin j'ai pas le temps pour une reddit
Ce qui nous perdra c'est nos divisions.
Au moins la gauche sait s'unir contre un ennemi commun. Nos querelles de chapelles auront plus de sens quand on vivra dans la République socialiste et cosmopolite française.
Si vous avez d'autres musiques médiévales sympa faites tournez.
J'en cherchais récemment mais j'en n'ai pas trouvé.
Edit : ou alors dans le style Era.
Le 23 avril 2017 à 11:52:44 Jannoscour a écrit :
Ce qui nous perdra c'est nos divisions.Au moins la gauche sait s'unir contre un ennemi commun. Nos querelles de chapelles auront plus de sens quand on vivra dans la République socialiste et cosmopolite française.
La gauche ne sait pas s'unir
Chez les syndicats on s'engueule à coup de "tu es le suppot du patronat" et chez les autres on s'engueule sur qui est le plus défavorisé
Je le répète ici: le topic ouvre à nouveau mais est en sursis. Si j'ai le sentiment qu'il redevient un nids à propos hors charte voire illégaux c'est la suppression. La balle est dans votre camp.
Fichtre
C'est une notification que je ne pensais pas revoir, merci
Vu que je me fais de plus en plus souvent traiter de rouge-brun, j'ai ma place ici ?
Vu le 8values, tu sembles juste être un communiste de vieille école vaguement patriote. Mais nous sommes tolérants.
C'était un peu du troll t'inquiètes
De toutes façons ça fait plus d'un an que concrètement je suis plus un ghostfag qu'autre chose sur ce forum donc bon.
Le 21 février 2020 à 14:43:17 El-Tigrou a écrit :
Je le répète ici: le topic ouvre à nouveau mais est en sursis. Si j'ai le sentiment qu'il redevient un nids à propos hors charte voire illégaux c'est la suppression. La balle est dans votre camp.
Pour ne pas dire: "dans votre nuque"
George Soros sème et la récolte est abondante. Car le pouvoir d'un juge européen est sans commune mesure avec celui d'un juge national. Les juges français sont là pour dire la loi — c'est l'étymologie de juridiction —, et le droit français comporte des milliers de textes. À l'inverse, la Convention européenne des droits de l'homme et ses protocoles sont si brefs — une vingtaine d'articles seulement garantissent les droits et libertés — que le pouvoir d'appréciation des juges strasbourgeois est immense. Il l'est d'autant plus que la Convention est considérée par la CEDH comme un « instrument vivant à interpréter […] à la lumière des conditions de vie actuelles ». Dans ce contexte, « l'influence de la tournure d'esprit du juge, de ses idées et de sa formation, est considérable, explique Puppinck. Les droits de l'homme sont une discipline par nature fortement idéologique : on peut faire dire à la Convention une chose et son contraire. Si un juge estime que la légalisation de la GPA s'impose au nom de la liberté, ou si, au contraire, il la condamne au nom de la dignité, il pourra faire dire les deux au même texte. » Dans des affaires aussi diverses que celles examinées par les juges de Strasbourg, qui vont des conflits inter-étatiques (Crimée, Ukraine, Russie… ) aux questions de mœurs (sexualité, mariage, famille, avortement), de biotechnologies (PMA, GPA, eugénisme), d'immigration (regroupement familial, droits des réfugiés) en passant par la liberté de religion (port du voile, minarets) ou encore la liberté d'expression (blasphème), les répercussions sur les législations et pratiques nationales sont considérables.
Ce constat est d'autant plus dommageable que les juges européens sont sélectionnés selon des critères principalement politiques — l'instance chargée de les élire, l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe, est elle-même éminemment politique. Il suffit pour s'en convaincre de constater qu'il est de bon ton, à la CEDH, d'arborer autour du cou un cordon de badge aux couleurs de l'arc-en-ciel — fourni par le Conseil de l'Europe —, ou de voir que les juges ont renoncé depuis plus de dix ans à l'emploi des expressions “Madame” et “Monsieur”, trop “genrées” selon eux. Aux États-Unis, personne ne prétend que les membres de la Cour suprême n'ont pas d'opinion politique ; ils sont choisis selon ces critères. Mais en Europe, l'illusion de la neutralité politique des juges persiste et ce fantasme ne fait que renforcer le poids de leurs décisions.
https://www.valeursactuelles.com/clubvaleurs/politique/enquete-comment-georges-soros-infiltre-la-cour-europeenne-des-droits-de-lhomme-116286
Je pense que l'une des questions les plus importantes à régler est l'Etat de droit , qui est allé trop loin dans la (fausse) dépolitisation selon moi , comme l'écrivait la démographe Michèle Tribalat sur la question migratoire :
La première question qui vient à l’esprit à la lecture du document porte sur l’appellation «politiques migratoires» pour caractériser les préconisations de ce collège de praticiens. En effet, dans cette expression, le mot «politique» suppose à la fois une volonté de répondre aux attentes des citoyens et une capacité de l’État à formuler un objectif qui permettrait d’y répondre. Or tel n’est pas du tout le propos de nos experts qui, d’ailleurs, annoncent la couleur dans le sous-titre - «Faire reculer les situations de non-droit» -. Leur objectif est d’étendre toujours plus les droits des étrangers à séjourner en France, par la loi et la gestion administrative ou judiciaire de l’immigration, afin d’être à la hauteur de l’idée qu’ils se font de la République. Leur méthode: «adapter les normes de droit et leurs conditions de mise en œuvre pour régler par le séjour le plus grand nombre de situations selon des critères transparents». À terme, les procédures de régularisation sont appelées à se raréfier puisqu’elles auront été intégrées dans la loi
...
Que reste-il comme marge de décision à l’État?
Pas grand-chose, si ce n’est la tentative de réexpédier chez eux ceux qui auraient échappé à la mansuétude de l’administration ou des juges qui sont sommés de personnaliser l’examen des situations individuelles - «l’administration et le juge seront tenus d’examiner l’ensemble des possibilités de délivrance d’un titre de séjour» - ce qu’ils faisaient déjà de leur plein gré. Si la politique d’immigration n’est plus guère de son ressort, il resterait à l’État la tâche de mettre en œuvre une politique d’intégration dont, évidemment, le rapport ne donne aucune évaluation puisque, de toute façon, la question du nombre ne compte pas.
https://www.lefigaro.fr/vox/economie/michele-tribalat-les-politiques-seront-ils-bientot-depossedes-de-la-question-migratoire-20200207
Faut-il politiser la nomination de certains juges ? Et comment éviter les dérives ?
C'est une question complexe mais la démocratie non-représentative actuelle ne peut pas durer.
Quelle résurrection, merci Tigrou.
Mouais la famosa CEDH influencée par Soros mais qui ne se prononce jamais sur les sujets de société, se cachant derrière la notion de "marge nationale d'appréciation".
D'ailleurs, pour "rassurer" les anti-immigration quant à la CEDH : https://www.lemonde.fr/international/article/2020/02/13/expulsion-de-migrants-a-melilla-l-espagne-blanchie-par-la-cedh_6029481_3210.html
La première page est intéressante.
Martin, reviens