Le Boeing Dreamlifter .
Une autre version du 747 !
Me voici pour un nouveau exposé cette fois-ci sur un pays ( ou état ) que j'apprécie particulièrement
L'ALASKA
L'Alaska est un très beau pays et il est pratiquement désert. Il fait trois fois la France mais sa population est de 700 000 tandis qu'en France nous somme 66 millions.
En Alaska, plusieurs villes sont accessibles que par avion ou bateau, le trafic aérien est important dans cette région. 1 habitant sur 58 est pilote en Alaska. Certains pilote ne sont pas passionné, ils sont pilote parce que c'est pratique. L'Alaska est grand et certains endroit sont accessible que par avion. Plus de 80% des villes et villages de l'Alaska, y compris la capitale, ne sont pas reliés par des routes.
Pour de nombreux résidents, les vols à destination des grandes villes pour faire du magasinage ou d'autres courses sont aussi familiers que de prendre le taxi ou l'autobus. La fréquence des vols expose donc les résidents à toutes sortes de risques mortels et quiconque à déjà mis les pieds dans un avion en Alaska est très conscient des dangers qui se cachent derrière chaque vol de montagne ou chaque nuage à l'horizon.
En Alaska, un vol qui débute avec un très beau temps peut vite se transformer en un cauchemars dans les nuages. Les habitants de cette ville disent : "Si tu n'aime pas la météo, attend cinq minutes, et tu profiteras". Beaucoup de pilotes naviguent à vue (VFR), la pluie et le vent peuvent nuire à la visibilité et rapidement faire en sorte que les conditions de vol se dégradent. Il sera donc hasardeux de voler à vue entre les cols de montagne, au-dessus des glaciers, et même de rivière sinueuses lorsque la visibilité est à la limite du VFR. Les pilotes de brousse de l'Alaska doivent donc être préparés pour toute éventualité. Les atterrissages sur l'eau, la neige et la toundra devront donc aussi être parfaitement maîtrisés.
Pour compliqué le tout, il semble que l'état de l'Alaska n'a pas beaucoup de stations météorologiques qui peuvent fournir des informations cruciales sur les conditions de vol. Le territoire de l'Alaska est probablement un des milieux les plus hostiles au monde
pour voler en avion. Les chaînes de montagnes, les cols de montagne, et les glaciers fabriquent leurs propres microclimats. Les vents sont souvent violent.
On les appellent "les pilotes de brousse". L'aviation de brousse désigne les
opérations aériennes menées dans les régions éloignées et inhospitalières du monde. L'aviation de brousse implique des opérations en terrains accidenté, où il n'y a souvent pas de pistes d'atterrissages préparées, exigeant souvent l'équipement de pneus anormalement grands, de flotteurs ou de skis. Les pilotes d'Alaska sont reconnu comme les
meilleurs pilotes du monde.
Voili voilou en espérant que ceci vous a plu !
intéressant, j'ai appris des choses en connaissant quand-même ces fameux avions aux roues surdimensionnées pour terrains difficiles, je me demande si c'est pas sur des Pipper, avions qui peuvent faire des approches lentes .
Merci Mr Avia .
Si je puis me permettre une précision, les Piper sont assez lourds et ceux qui permettent une approche lente sont plutôt les Cessna.
Ayant piloté des Cessna 152 et 172 ainsi qu'un Piper PA 28 Archer II, il y a une sacrée différence !
Atterrissage vraiment très court pour cet "avion de brousse"
https://www.youtube.com/watch?v=bPSElw8qEsI
oupsss . . . Astus, on parle pas des même Pipper
Oui, OK, je n'avais pas pensé à celui-ci !
Tiens, pour la peine .
Pour avoir regardé des reportages sur les trappeurs en Alaska , il me semble que les pipers à grosses roues ou avec des skys étaient très utilisés .
Après je peux me tromper .
Bon, bipoutre à propulsion... Va chercher, Lycos !
Cessna Skymaster !
le push-pull, tu connaissais surement cet avion non ?
Ngc, un des record d’atterrissage court à été fait par un Pipper Club, 6 mètres entre le toucher et l'arrêt . . . avec vraisemblablement un bon vent de face .
Le 30 juillet 2017 à 16:36:26 caluc a écrit :
le push-pull, tu connaissais surement cet avion non ?Ngc, un des record d’atterrissage court à été fait par un Pipper Club, 6 mètres entre le toucher et l'arrêt . . . avec vraisemblablement un bon vent de face .
Quand tu vois les conditions dans lesquels ils atterrissent ...
Je préfère y aller en chien de traineaux .
Regarde, j'ai trouvé la vidéo de cet exercice .
http://www.info-pilote.fr/Pose-en-6-m--Record-battu_a964.html
Pauvre bête ! Plutôt (rien à voir avec Mickey ! ) en traineau à chiens !
Le 30 juillet 2017 à 16:41:50 Astus a écrit :
Pauvre bête ! Plutôt (rien à voir avec Mickey ! ) en traineau à chiens !
M'enfin, pourquoi inversé j'ai ?
Astus .
De rien, c'était trop rigolo !
Un autre :
cet avion ne me dit absolument rien .