Le 12 novembre 2024 à 22:20:13 :
Décompte de 22h20Choix 1 : 9
Choix 2 : 5
Choix 4 : 0
La forme de ces décomptes me manque
Je reste sur mon vote 1
Le 13 novembre 2024 à 09:43:25 :
Le 12 novembre 2024 à 22:20:13 :
Décompte de 22h20Choix 1 : 9
Choix 2 : 5
Choix 4 : 0La forme de ces décomptes me manque
Je reste sur mon vote 1
À nous tous
Victoire du choix 1
Le 13 novembre 2024 à 09:43:25 :
Le 12 novembre 2024 à 22:20:13 :
Décompte de 22h20Choix 1 : 9
Choix 2 : 5
Choix 4 : 0La forme de ces décomptes me manque
Je reste sur mon vote 1
Trop tôt
Le 13 novembre 2024 à 10:25:02 :
Le 13 novembre 2024 à 09:43:25 :
Le 12 novembre 2024 à 22:20:13 :
Décompte de 22h20Choix 1 : 9
Choix 2 : 5
Choix 4 : 0La forme de ces décomptes me manque
Je reste sur mon vote 1
À nous tous
Le 13 novembre 2024 à 14:40:39 :
Le 13 novembre 2024 à 09:43:25 :
Le 12 novembre 2024 à 22:20:13 :
Décompte de 22h20Choix 1 : 9
Choix 2 : 5
Choix 4 : 0La forme de ces décomptes me manque
Je reste sur mon vote 1
Trop tôt
Suite, on a un tueur à attraper
La suite est en train de cuire, je le sens d'ici !
Le 13 novembre 2024 à 16:05:02 :
Suite, on a un tueur à attraper
C'est vrai, j'avais oublié !
Suite à 22h
Édit : mon prédécesseur a le nez fin
- C’est vraiment sympa tout ce que tu me proposes, Mike, et je pense que j’ai vraiment besoin d’une remise en forme. Si ça ne te dérange pas, j’aimerais beaucoup aller à la salle avec toi.
- Bien sûr, aucun problème. Nous irons ensemble dès demain soir.
CHAPITRE 11 : IMPASSE
Après vous être salués, vous quittez Mike et prenez la direction de votre appartement. Le froid est particulièrement mordant en cette soirée de décembre. Vous serrez votre manteau et avancez d’un bon pas afin d’arriver au plus vite. Ce petit trajet à pied désormais habituel vous est devenu plutôt agréable malgré la saison. En fin de journée, il vous permet de vous perdre dans vos pensées, de ressasser les avancées du jour sur l’enquête tout en cherchant les pistes de demain. Après avoir quitté l’artère centrale, vous cheminez dans des rues moins fréquentées, vous permettant de mieux vous abandonner à vos réflexions tandis que la nuit finit d’abattre son ombre sur le ciel de la ville qui, elle, se pare de ses feux.
Mais aujourd’hui, un claquement de souliers vous suivant parasite les remous de votre esprit. Voilà deux rues que vos idées s’entrechoquent avec le son du trottoir battu. Agacé, vous ralentissez afin de laisser le perturbateur vous dépasser. Alors que votre marche se fait plus lente, le battement se fait à son tour moins rapide, imitant votre propre pas. Une inquiétude grandit en vous. Vous accélérez à nouveau le pas, passant rapidement d’un cercle lumineux de réverbère à un autre. À nouveau, les claquements se font plus rapprochés. Vous en êtes désormais certain : on vous suit. Vous n’êtes plus qu’à cinq minutes de chez vous, mais montrer votre lieu de vie à votre poursuivant est-il enviable ? En aucun cas. Vous avancez, le bruit de vos pas répondant à celui de la personne à votre poursuite, cherchant une issue à cette fuite infernale. La peur vous étouffe et le son de votre cœur affolé vient s’ajouter à l’inévitable tapage de la marche de votre poursuivant. Vous serez bientôt devant votre immeuble : il faut agir. Là, une ruelle perpendiculaire. Elle est sombre et vous inquiète, mais vous y engouffrer le premier fera de l’obscurité votre alliée. Parvenu à sa hauteur, vous bifurquez brusquement et vous enfoncez dans les ténèbres avant de vous retourner. Vous attendez, guettant son arrivée, une main à votre poche, serrant fortement vos clefs, seul objet potentiellement contondant à votre disposition. Mais alors que vous patientez, plus un bruit ne vous parvient, hormis celui des rues au loin. Après quelques instants, vous vous risquez à retourner dans la rue. Vous la parcourez des yeux, lançant des regards inquiets de tous côtés, mais vous êtes bien seul désormais. Votre esprit se calme et vous essayez de comprendre ce qu’il venait de se passer. Un peu perdu, vous finissez par reprendre le chemin de votre appartement, ne sachant si ce que vous aviez entendu était bien réel ou le fruit de votre imagination.
__________________
Voilà maintenant deux jours que votre équipe est au ralenti, le mandat judiciaire tardant à venir. Vous devez prendre votre mal en patience, ce que le capitaine Barrios a beaucoup de mal à faire, outrée par la lenteur de ce mandat. Vous entrez dans vos bureaux en ce vendredi matin et découvrez Gréville assis à votre bureau.
- Salut Lucien.
- Ah, Chancla ! J’espère que tu as acheté du popcorn en venant.
Il avait déclaré cela en s’étalant sur votre chaise et en tendant bien haut une feuille.
- Pourquoi tu dis ça ?
Le capitaine surgit du couloir des bureaux d’un bon pas.
- Cesse de faire l’andouille Gréville. Chancla, attrape le mandat et les clefs de voiture de Lucien. Celle qui m’est attribuée est à la révision.
- On nous l’a enfin signé ?
- Oui, alors je veux être à la brigade de surveillance dès que possible.
Barrios prend la porte et part déjà en direction du parking. Vous vous approchez de votre bureau et prenez les clefs et le mandat que vous tend le lieutenant.
- Traîne pas le génie. Et si vous croisez le juge qui a tardé à nous signer ce truc, essaye d’empêcher Barrios de lui refaire le portrait.
- Je ne suis pas sûr de vouloir prendre ce risque.
- Je te comprends.
Vous quittez les bureaux et partez rejoindre en courant le parking. Arrivé à hauteur de la voiture, vous jetez les clefs au capitaine avant de vous engouffrer dans l’automobile. Alors que vous vous retournez pour attraper votre ceinture, vous êtes propulsé contre le tableau de bord par le recul brusque de la voiture. Vous avez à peine le temps de réaliser que la voiture n’est déjà plus sur la place de parking que le redémarrage en avant, tout aussi abrupt, vous plaque à nouveau contre votre siège.
- Mais attache ta ceinture.
- ... J’essaye.
Après un rapide trajet dans la continuité de votre sortie du parking, vous arrivez, pour votre plus grand soulagement, devant le bâtiment de surveillance.
- Ça va ? Tu es un peu pâle.
- Oui oui, ça va aller.
Elle ouvre un cache devant le levier de vitesse.
- Je savais bien qu’il les planquait quelque part. Tiens, prends ça. Ce sont les bonbons que Gréville s’enfile à longueur de journée plus ou moins discrètement.
Le capitaine vous tend une petite boule blanche de moins d’un centimètre de diamètre.
- C’est du sucre aromatisé, tu le laisses fondre dans ta bouche.
- Merci.
- Et maintenant, dépêche-toi.
Vous sortez tous deux de la voiture et montez les marches du bâtiment quatre à quatre. Après vous être annoncés à l’entrée, vous pénétrez une salle faiblement éclairée et remplie d’écrans que quatre policiers parcourent en continu du regard.
- Bonjour, je suis le capitaine Barrios et voici le major Chancla. C'est moi qui vous ai appelés tout à l’heure.
- Eh bien, vous avez fait vite. J’ai préparé les enregistrements ; dites-moi ce que vous voulez voir.
Vous repartez de là où vous aviez perdu les deux voitures sur les premières vidéos, puis les suivez dans la ville, jonglant de caméra en caméra. Les deux voitures empruntent le même chemin avec une dizaine de minutes d’écart. Arrivées, à un carrefour, elles prennent à gauche.
- On va avoir un problème là.
- Il n’y a plus de caméras ?
- Si, mais on a eu une panne sur un rayon de trois kilomètres ce soir-là, et vos voitures viennent de rentrer dans ce périmètre.
- C’est une blague ?
- Capitaine, savez-vous quel pourcentage des caméras de la ville est toujours au minimum en panne ? C’était le risque qu’il passe par une zone blanche de cette nuit-là.
- Combien de temps a duré la panne ?
- Toute la nuit. Ils ont réparé ça au petit matin.
- Et vous avez les enregistrements du quartier Boucicaut ?
- Ce quartier est dans le périmètre de la panne, en plus d’être une zone très peu couverte.
- Et merde...
Un signal sonore émane de la poche de Barrios. Celle-ci sort son téléphone qu’elle consulte. Vous devinez à ses lèvres pincées que les nouvelles ne sont pas bonnes. Elle lève ses yeux à vous.
- Gréville vient d’éplucher les relevés du père. Aucune utilisation de sa carte ce soir-là. Ça aurait pu nous donner une indication géographique. On l’a définitivement perdu à ce carrefour en centre-ville.
Le capitaine fait quelques pas, puis s’arrête pour fixer longuement les moniteurs, perdu dans ses pensées contrariées. L’agent et vous la regardez, attendant le rendu de sa décision. À votre grande surprise à tous deux, vous la voyez tourner les talons et accompagner ce geste d’une courte sentence.
- On rentre.
________
Barrios, Gréville et vous vous retrouvez dans le bureau du capitaine pour un débriefing. Vous accusez tous les trois le coup de l’échec des vidéos.
- Résumons : tout l’entourage de la victime nous ment et nous ne connaissons même pas le déroulé de la nuit de la victime. Tant qu’on ne l’aura pas, nous n’arriverons à rien.
- Il faut peut-être changer de méthode et les convoquer ici. Il y en a forcément qui craqueront parmi les jeunes, et on a leur départ en vidéo, ils devront l’expliquer, non ?
- Ils vont nous raconter s’être séparés de la victime, qu’elle est descendue de la voiture, ou que sais-je.
- On tente le bluff. Ils ont menti et des caméras les montrent avec la victime peu avant sa mort, pas loin de la scène de crime. On laisse sous-entendre que c’est assez, faute d’autre possibilité, pour convaincre un juge qu’ils sont au moins condamnables pour complicité de meurtre.
- C’est vrai ça ?
- Non, c’est trop fragile et leurs parents ont de quoi se payer de très bons avocats. On va encore se retrouver face à un mur.
- Et pour monsieur Turpinier ?
- C’est la même chose, en pire. Il n’était même pas avec la victime.
- Ils n’ont tous qu’à se taire et ils n’auront rien. Ils n’ont même pas besoin d’inventer un nouveau mensonge, leurs avocats leur conseilleront simplement le silence.
- ... Et avec leurs téléphones ? On ne peut pas les localiser durant la soirée ?
- Pas plus précisément que la zone blanche des caméras ne nous le permet, mais c’était une bonne idée.
- Je sèche là franchement. À part tenter d’en faire craquer un ici...
Le silence s’impose dans le bureau quelques instants avant d’être rompu par Barrios.
- Il reste la soirée.
- Je sais pas...
- J’y ai réfléchi et nous n’avons rien à perdre. Je ne pense pas qu’il y ait de risque physique pour Célestin - on parle d'étudiants en médecine, pas d’un gang - et s’il venait à se faire repérer, on pourra toujours passer à des interrogatoires frontaux puisqu’il n’y aurait plus de secret sur nos intentions. Je pense que c’est une carte à jouer avant de tenter d’espérer qu’un d’eux craque.
- Pourquoi serait-il plus bavard avec un inconnu ?
- L’alcool, l’ambiance du moment. Célestin pourrait capter une information que l’un d’eux laisserait échapper. Il n’aura peut-être même pas besoin de leur parler, seulement d’être près d’eux. Et on lui met un micro et une oreillette, ce sera comme si nous y étions nous-mêmes.
- ... Pourquoi pas.
- Qu'en penses-tu Célestin ?
- ... euh...
- Souviens-toi de ce que je t’ai dit, je ne te reprocherai jamais d’être sincère, au contraire. T’en penses-tu capable ?
- En fait... Je n’ai jamais fait de soirée.
- ...
- ...
- Dans quoi va-t-on se fourrer ?
- Ce n’est pas grave, nous serons avec toi grâce à l’oreillette pour t'aider.
- Ils ne vont pas le repérer parce qu’il est flic, mais parce que ça crèvera les yeux qu’il n’a rien à faire là.
Pendant que Gréville grommèle, Barrios plonge ses yeux dans les vôtres, cherchant à vous lire ou bien à vous transmettre une pensée. Encore une fois, le sens de son regard, tout en étant lisible, vous échappe.
- Non, il y arrivera.
- Espérons qu'ils seront tous bourrés.
Le capitaine se redresse et prend un ton ferme.
- Je vais faire la demande d’infiltration au commissaire cette après-midi. Nous passerons la semaine à préparer notre plan d’action. Repérage des lieux, topo sur les cibles, la totale. Nous ne sommes que trois, alors il va falloir être efficace. Il nous faudra être entièrement prêts pour samedi prochain.
- Et on commence par quoi ?
- Par un vrai week-end. La semaine va être longue et le prochain devrait être inexistant, alors reposez-vous bien. Je ne veux voir aucun de vous deux ici avant lundi 8 h.
Gréville et vous restez interdits, ne sachant pas comment réagir.
- Qu’est-ce que vous faites encore là ? J’ai des enregistrements de vidéos de surveillance à revérifier pour ceux qui voudront rester.
- J’y vais, j’ai un enfant qui m’attend.
- Pas moi, mais je peux en trouver un.
- Allez, déguerpissez...
Le lieutenant et vous quittez le bureau du capitaine. Alors que Lucien se dirige vers le sien pour récupérer ses affaires, une question vous brûle les lèvres.
- Lucien ! Attends.
- Qu’est-ce qu’il y a ?
- Réponds-moi franchement, tu penses que c’est possible cette histoire d’infiltration ? Ça peut marcher ?
Gréville se passe la main sur le visage.
- Sincèrement, aucune idée. Je pense qu’il peut tout arriver. Je pense que tu en es capable, mais que tu peux aussi tout planter. Et surtout, si ça tourne mal là-dedans, j’ignore comment tu vas réagir pour t’en sortir.
- ... Je comprends.
- Mais puisqu’on va le faire de toute manière, concentre-toi sur le début de ma réponse : Je pense que tu en es capable. C’est douter qui nous fera échouer.
- Merci Lucien.
- Mais... tu n’as vraiment jamais fait de soirée ?
- Non...
- Alors fait quelque chose ce soir, sors un coup, vois quelqu’un, un truc social. Dans une semaine, on va te lâcher au milieu d’une centaine d’étudiants et, entre nous, ça va un peu mieux, mais t’es plutôt timide. Bosse dessus ce week-end.
- Merci du conseil.
- Je t’en prie le génie.
Gréville reprend la direction de son bureau avant de se retourner à nouveau vers vous.
- Une infiltration à une soirée étudiante... T’as quand même du pot, toi !
Vous riez ensemble à cette dernière intervention. La perspective de cette infiltration vous effraye, mais une part de vous ne voit cela que comme la continuité logique de ce qui vous arrive, et la récente précipitation des évènements vous a fait acquérir une certaine sérénité pour aborder la chose. Vous prenez le temps d’organiser vos pensées pour réfléchir à ce que vous allez faire ce soir.
Qu’allez-vous faire ?
1) Vous vous rendrez au bar où tout le poste a ses habitudes en fin de semaine pour y retrouver la brigade de Cortero.
2) Vous proposez à Barrios et Gréville d’aller boire un coup dans un bar de la ville. Cela serait une sorte de pseudo-entrainement pour samedi prochain.
3) Vous rentrerez à votre appartement.
Ne vous méprenez pas
Derrière le choix 3 se cache les voisines ou Kaya ou même les deux !
Vote 3
SOMMAIRE DE LA FIC
Chapitre 1 : https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272000585
Chapitre 2 : https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272000681
Chapitre 3 : https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272000785
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272000809
Chapitre 4 : https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272064289
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272064417
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272064505
Chapitre 5 : https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272129577
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272129625
Chapitre 6 : https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272198881
Chapitre 7 :
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272442065
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272442161
Chapitre 8 : https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272591081
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272591153
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272591249
Chapitre 9 : https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272713385
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272713417
Chapitre 10 :
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272965009
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272965105
Chapitre 11 :
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1273058777
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1273059009
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1273059137
Le mandat qui n'arrive pas
Les caméras déclarées HS
Célestin qui va finir suicidé de deux balles dans le dos
Vote 2, on va pouvoir connaître Barrios nos collègues en dehors du boulot
Un vrai poulet cette suite
Vote 1. On pourra pas se rapprocher de Barrios nos collègues, et c'est mauvais. Mais Célestin a besoin d'apprendre à créer des contacts avec des gens qu'il connaît pas vraiment, c'est ce qui se rapprochera le plus d'une soirée étudiante
Le mec qui suit Célestin qui n'arrive même pas à marcher sans claquer des pieds, on en talk ou c'est tabou? Je propose une descente musclée sans mandat dans la soirée, ils sont pas sérieux et vont craquer au premier coup.
Bon, VOTE 3)
Je ne sais pas pourquoi, je pense qu'on aura une surprise
Le 13 novembre 2024 à 23:31:05 :
Bon, VOTE 3)Je ne sais pas pourquoi, je pense qu'on aura une surprise
L'appartement dans ce vote c'est l'enveloppe de la St Valentin de la fic Poudlard
On vient de se faire suivre pour rappel
Et c'est pas souvent qu'on peut voir Barrios nos collègues ailleurs qu'au travail
Le 13 novembre 2024 à 23:31:05 :
Bon, VOTE 3)Je ne sais pas pourquoi, je pense qu'on aura une surprise
Un votant qui ne se méprend pas, on sait tous ce qui nous attend là bas. Ne ratez pas le train
Le mec qui suit Célestin qui n'arrive même pas à marcher sans claquer des pieds, on en talk ou c'est tabou? Je propose une descente musclée sans mandat dans la soirée, ils sont pas sérieux et vont craquer au premier coup.
J'accuse Cortero, il ne me revient vraiment pas. Il va nous baiser un jour