La brigade de Cortero avait l’air sympa. Je devrais passer la soirée avec eux.
Vous vous dirigez vers le petit bureau de Mike qui se trouve dans la même salle que le vôtre.
- Salut Mike ! Vous allez bien au bar ce soir ?
- Oui, pourquoi ?
- Ça dérange si je viens ?
- Mais pas du tout, Chancla, ce sera même génial. Bouge pas, je vais te donner l’adresse.
CHAPITRE 12 : L’ART DE SE REPOSER
Vous poussez la porte. Un air chaud, presque étouffant au premier abord, vient immédiatement vous enlacer, chassant loin de vous la froidure de l’hiver. Cette chaleur transporte avec elle des effluves de bière et de bois de chêne vernis, ainsi que le pétillement des discussions des clients se mélangeant à l’air d’une vieille musique émanant d’un juke-box. Une voix s’élève pour couvrir les autres.
- Il est venu ! Je vous l’avais bien dit.
- Effectivement, je retire ce que j’ai dit.
- Tu as toujours été mauvaise langue.
Vous vous approchez du comptoir où vous attendent Cortero, Mendes et Landru.
- Bonsoir.
- Qu’est-ce que tu prends, Célestin ?
- Euh... Je sais pas, comme toi.
Mike se retourne vers le barman.
- Un demi de blanche, s’il te plait.
Vous venez prendre la place que Mendes et Landru vous font entre eux et prenez à la main le grand verre que vous présente le barman.
- Alors, major Chancla, tu es le seul qui nous fera l’honneur de ta présence ce soir.
- Oui, je crois. Gréville est rentré pour passer le week-end avec sa famille et Barrios... je ne sais pas ce qu’elle fait ce soir. Elle travaille peut-être.
- Eh bien, pas très drôle cette équipe.
- Fait gaffe, je pourrais bien t’y envoyer pour les aider. Ils ne sont que trois, ça les aiderait bien.
- Et que ferais-tu sans moi ?
- Je résoudrai des enquêtes avec le récemment promu lieutenant Landru.
Mendes se retourne vers Mike et le regarde d’un air faussement suspicieux.
- J’ai toujours su que tu lorgnais sur mon poste, Mike.
- Bien sûr. J’ai toujours désiré le meilleur pour ma brigade.
- N’oublie pas que tu es toujours sous mes ordres, Major. C’est moi qui vais demander de t’échanger avec Chancla. Puisqu’il s’entraîne avec toi, il aura bientôt ton physique et tu seras complètement remplaçable.
- Je pense qu’il va falloir un peu plus que quelques séances pour atteindre le physique de Mike.
- Tu entends ça ? Irremplaçable.
Camille reporte son regard sur vous.
- J’ai d’ailleurs appris, Chancla, que tu avais préféré aller à la salle avec Mike plutôt que de t’entraîner au tir avec moi.
- Ce n’était pas contre toi...
- Pas de problème ! Si c’est ton truc les salles exiguës contraignant à la proximité avec des hommes musclés dégoulinant de sueur... C’est dommage.
- Arrête de l’embêter.
- Il a raison, laisse-lui au moins le temps de t’apprécier avant de lui montrer la diablesse que tu es. Et finissez vos verres que je recommande.
-Mais, je viens juste d’arriver...
- Eh bien rattrape-nous.
- C’est un ordre, major.
Vous portez le verre à vos lèvres et le finissez en quelques gorgés.
- Il est définitivement plus marrant que ses deux officiers. Qu’est-ce que tu reprends.
- Comme toi. Ça va faire trop de bulles si je reprends une bière.
Un large sourire s’étire sur le visage du lieutenant.
- Manou, la même pour les deux piliers extérieurs et deux kirs pour Célestin et moi.
- Te fais pas avoir, major, il n’y a qu’elle qui sache maitriser cette boisson traître.
- Ça va, c’est vendredi soir et nous nous apprêtons à boucler notre affaire en cours. On peut se lâcher. N’est-ce pas Célestin ?
- Euh... Oui.
Vous goûtez votre nouveau verre et vous satisfaites de cette boisson au goût plaisant, mais surtout à l'idée qu'elle est en plus petite quantité.
- Bon, raconte-nous ton après-midi avec Barthod. Il a dû t’en faire voir de toutes les couleurs après votre altercation.
- Non, ç’a été. Il était même plutôt formateur.
- Elle est bonne celle-là.
- Mais pourquoi vous vous détestiez tant ?
Un court silence s’impose avant que Cortero, tandis qu’il desserre le nœud de sa cravate ocre, prenne la parole.
- Barthod et son collègue ont toujours été un peu à part dans le service, de vrais flics cow-boys. Leur dernière affaire, celle du cimetière d’enfants, a été éprouvante. Barthod commençait déjà de péter les plombs depuis quelque temps lorsque l’incident de la fusillade a eu lieu.
- Il est complètement devenu taré après ça. Il était déjà con, mais là...
- ... Je ne pensais pas que c’était à ce point-là.
- Ça te bouffe ce métier si tu n’as pas les épaules pour. Parfois, tu crois les avoir, mais ça te ronge intérieurement comme un cancer. C’est ce qui est arrivé à Barthod. C’était l’affaire de trop.
- C’était un bon flic malgré son caractère.
- C’est juste. Il avait ses méthodes, mais il faut lui reconnaître une belle carrière.
Cortero soulève son verre qu’il élève à hauteur d’yeux.
- Au retraité Joseph Barthod, aussi brillant enquêteur qu’emmerdeur.
Mike et vous imitez le capitaine et portez vos verres à vos lèvres. Seule Camille finit son verre sans participer au cérémonial.
- Remets-nous la même, Manou.
Le barman remplit à nouveau vos verres que vous entamez presque immédiatement. Vos gestes commencent à se faire moins précis et une certaine allégresse s’empare de votre esprit. Le vieux juke-box change alors de musique pour lancer Maneater de Daryl Hall et John Gates. (Pour ceux qui veulent : https://www.youtube.com/watch?v=yRYFKcMa_Ek )
- Mon Dieu, j’adore cette musique ! Qui vient avec moi ?
- Non merci.
- Major, c’est un ordre !
- Je ne suis plus en service, lieutenant Mendes.
- Emmène Chancla.
Elle tourne son regard vers vous, attendant une réponse.
- Euh...
- Fini ton verre et on y va.
Joignant le geste à la parole, elle vide son propre verre d’une traite. Vous l’imitez et vous apprêtiez à vous lever lorsque Manou vient poser deux shots remplis d’un liquide marron à l’odeur évoquant le caramel devant Mendes et vous.
- J’anticipe ta prochaine commande, Camille.
Mendes souris au barman et vide son verre sans ciller.
- T’es le meilleur. Dépêche-toi Célestin.
Elle avait dit ça en quittant le comptoir pour l’espace vide devant le juke-box. Vous rassemblez votre courage, aidé par votre ébriété naissante, buvez à votre tour votre shot de rhum puis partez rejoindre Camille tout en tentant de dissimuler l’inconfort de votre gorge.
Les premières paroles résonnent et Camille entame ses premiers mouvements au rythme de la musique face à vous. Vous restez d’abord immobile, au centre du bar, ne sachant quoi faire. Après une brève œillade vers Cortero et Landru, tous deux vous invitant à vous lancer, vous esquissez de premiers mouvements timides inspirés de ceux de Mendes. Vous ressentez l’évidence de la mauvaise exécution de vos gestes et imaginez déjà les moqueries des autres clients. Mais petit à petit, l’enthousiasme de Camille qui s’implique de plus en plus dans la musique devient communicatif. Aidé par l’effet de tous les verres que vous avez ingurgités depuis votre arrivée, vous oubliez les regards, affirmez vos gestes, en improvisez sans plus vous inquiéter des réactions et répondez à l’engouement de Camille. Appréciant votre libération, cette dernière vous attrape les mains et vous communiez alors sur les notes par des balancées d’épaules et des pas un peu désordonnés, mais dans le tempo. Vous souriez, enivré d’alcool, de joie et de musique.
- Il se défend pas mal finalement.
- J’ai toujours senti que c’était un garçon plein de surprises.
- J’ai bien vu que tu l’appréciais.
- Oui, il y a quelque chose chez lui qui me plaît. Une volonté de bien faire.
- C’est vrai qu’il semble étonnant ce garçon.
Plus que jamais porté par l’euphorie de l’instant, vous repoussez Camille d’un bras et maintenez de l’autre vos mains solidement attachées entre elle. Mendes exécute une parfaite moitié de rotation avant de revenir à sa position initiale sous votre impulsion. Votre œil s’égare sur les tables qui vous entourent. Toute la clientèle vous regarde, affichant un sourire de soutien à votre performance. Des pieds sont tapés sur le parquet et des mains sont frappées au rythme de la musique pour vous soutenir. Vous n’avez plus la notion de l’exactitude de vos mouvements, mais cela n’a plus d’importance. Absorbé par la musique, vous êtes heureux d’être ici, en cet instant, dans ce bar, en train de vous amuser. Cela faisait bien longtemps que vous n’aviez pas été heureux comme cela.
_____________
- Oulah, ça tOUrne vAchemennnt votre hIstoireee...
- C’est son bâtiment. Ouvre la porte pendant que je le tiens.
- HeurEUsemENT que tu SAvais où j’HABite, pARce que mOI... je savAIs plus !
Après avoir ouvert la porte, Mendes et Landru vous aident à monter les escaliers menant à votre étage en vous soutenant chacun par un bras. Vous parvenez péniblement à votre palier.
- Il y a une boîte de chocolat devant ta porte.
- OH, c’est gentil ça ! Ça doit être un cadeau du chat.
- Parle moins fort !
- C’est bon, j’ai ouvert. On le pose dans son canapé.
Malgré les difficultés que vous leur faites, ils parviennent à vous mener jusqu’à votre salon pour vous laisser tomber assis dans votre canapé. Camille s’assied à son tour sur votre table basse, accusant, elle aussi, dans une moindre mesure, sa consommation de la soirée. Mike revient avec la boîte de chocolat dans les mains en lisant une petite carte de visite.
- C’est la carte d’une certaine Kaya. Elle a ajouté au stylo : « Encore désolée. »
- Ah oui ! ... C’est la fille qui m’a pété le nez.
Vous partez seul en fou rire.
- Comment ça ?
- Eh bien... elle vient et elle toque à ma porte... alors moi... je retoque. Normal.
- Je crois que je n’ai pas compris.
Vous levez votre poing droit pour mimer la scène, persuadé d’améliorer ainsi votre explication.
- Elle a toqué, donc... pour lui répondre... j’ai retoqué. Je crois que ça lui a pas plu.
- Et donc elle t’a frappé ?
- Euh... Oui.
- T’es vraiment marrant comme mec.
- Merci.
Mike s’approche de vous et vous tend une bouteille d’eau.
- Tiens, bois ça. C’est pour limiter les dégâts demain.
- Merci Musclor. Vous m’avez fait trop boire...
- Mais non, tu as été parfait. Tu devrais aller te reposer un peu. On va aller faire pareil.
Mike se penche et vous soulève sans effort jusqu’à votre lit où il vous dépose. Vous tenez fermement contre vous la bouteille qu’il vous a donnée.
- Merci de m’avoir ramené.
- Il n'y a pas de quoi. Allez, dort un peu. On se revoit lundi, Travolta.
Tandis que Landru sort de votre chambre en refermant la porte derrière lui, vous tentez de percevoir votre reflet dans la bouteille.
- On s’est bien marré quand même ce soir.
_____________
À force de répandre sa chaleur sur votre visage, un rayon de soleil vous force à ouvrir vos paupières. Vous vous sentez brassé au ventre et votre esprit est embrumé. Vous vous redressez et promenez autour de vous un œil fatigué. Votre bouteille d’hier est tombée au sol, vide. Vous expirez un grand coup.
- Oh ça va être dur ce matin.
Après une bonne demi-heure à végéter dans votre lit, vous réussissez à vous lever pour vous rendre dans votre cuisine après avoir enfilé quelques habits. Vous improvisez un petit-déjeuner avec ce qui vous tombe sous la main et venez échouer dans votre canapé.
- C’est déjà onze heures. Pas facile aujourd’hui. Et encore, je n’ai pas trop mal à la tête. Je dois le devoir à la bouteille d’eau de Mike.
Tandis que vous grignotez des tranches de jambon blanc à même le paquet, quelqu’un sonne à votre porte.
Merde, qui ça peut être ?
Vous reposez le paquet de jambon sur la table basse et vous dirigez vers la porte. Un peu perdu, vous ouvrez sans regarder par le judas l’identité de votre visiteur.
- Bonjour, monsieur Chancla. J’espère que je ne vous réveille pas.
- Bonjour. Euh, oui et non. Je trainais un peu ce matin.
- Effectivement, la nuit semble avoir été longue. Je venais vous proposer le café que nous nous étions promis, mais je comprendrais si vous êtes trop fatigué...
- Non non, laissez-moi seulement quelques minutes et j’arrive.
- Très bien, à tout de suite alors.
Après avoir refermé la porte, vous vous précipitez dans la salle de bain, vous rafraichissez rapidement, enfilez des habits présentables et attrapez en sortant la boite de chocolat trouvée sur votre palier hier soir.
- Ils tombent à pic ceux-là.
Vous sonnez à la porte et patientez. La poignée s’abaisse.
- Entrez, le café est prêt.
La maitresse de maison vous fait pénétrer dans un luxueux appartement bourgeois richement décoré. Elle vous conduit jusqu’à un petit salon aux murs du bleu de l’océan et agencé d’un mobilier de style Louis XV modernisé. Sur la petite table basse en marbre au centre des fauteuils se trouvent un service à café et des pains au chocolat.
- J’ai amené quelques chocolats que je venais d’acheter.
- Oh, c’était une très bonne idée. Posez-les sur la petite table.
Vous prenez place dans les fauteuils.
- Combien de sucre ?
- Deux, toujours deux.
Elle vous tend votre tasse.
- Il n’y a que nous ?
- Oui, mon mari est en déplacement et ma fille travaille aujourd’hui. Nous ne sommes que trois, mais vous devez le savoir vu que vos yeux se sont attardés sur nos photos sur la commode d’entrée.
- Je m’excuse, c’est...
- L’habitude et c’est normal. C’est pour cela que vous êtes policier, car vous avez l’œil. D’ailleurs, depuis combien de temps êtes-vous dans la police ?
- C’est... assez récent pour tout vous dire. C’est ma première prise de poste.
- C’est vrai que vous êtes jeune. C’est une enquête qui vous a retenu si tard ?
- Oui, j’ai... aidé une autre équipe à boucler une affaire.
- Oh, je vois. Et vous, vous êtes actuellement sur une affaire ?
- Oui, celle de la jeune étudiante trouvée dans la forêt.
- Quelle histoire horrible ! Et cette pauvre famille qui perd son enfant dans de telles conditions.
- Oui, effectivement...
- Mais je vous parle du travail alors que vous êtes en week-end, excusez-moi.
- Ce n’est pas grave. Votre mari voyage pour le travail ?
- Oui, il travaille pour un fonds d’investissement. Il doit souvent partir à la rencontre de ses clients.
- J’imagine bien.
- Pardonnez-moi de revenir dessus, mais avez-vous une piste pour le tueur de la jeune Vacquerie ?
- Oui, mais je ne peux pas vous en dire plus.
- Bien sûr !
- Vous la connaissiez ?
- Seulement de loin. J’ai connu, avec mon mari, ses parents il y a longtemps, mais nous nous sommes perdus de vue.
- Et... connaissez-vous un peu le groupe d’amis de Léa Vacquerie, ce qu’on en dit...
- Non, pas vraiment, et ma fille ne les côtoie pas. Je vous l’ai dit, les Vacquerie ne sont que de vieilles connaissances.
- Je vois.
- Puis-je en prendre un ?
Elle indiquait du doigt le paquet de chocolat que vous aviez amené.
- Bien sûr, ils sont là pour ça.
Vous restez ainsi à discuter avec elle jusqu’à ce que l’horloge sonne midi. Madame Samain devant déjeuner avec sa fille en ville, vous prenez congé pour la laisser et retrouvez votre appartement. Malgré le léger mal-être dont vous étiez victime après les abus d’hier, vous pensez avoir réussi à lui donner une bonne impression de vous.
_____________
Autour d’un plan étendu sur le bureau du capitaine, Barrios, Gréville et vous revoyez les derniers éléments de votre préparation de la semaine après que vous ayez passé le matin à réviser les fiches de vos cibles. Dans quelques heures, vous devrez vous infiltrer dans l’immense demeure pour tenter d’apprendre ce qu’il s’est passé durant la nuit du meurtre de Léa Vacquerie ou bien toute information susceptible de vous aider à trouver le coupable.
- Récapitulons : Gréville et moi serons dans un van à une centaine de mètres dans une ruelle adjacente. Toi Chancla : à 20 h 30, tu rentreras sur la propriété en ouvrant cette petite grille dans le mur d’enceinte. Tu feras un détour par le parc de la demeure pour arriver à l’opposé du parking où tous les invités se présenteront et auront leurs identités contrôlées. Tu longeras ce mur puis entreras par cette porte donnant accès à la réserve de la cuisine. La porte de la cuisine a une petite fenêtre. Tu attends qu’il n’y ait personne et tu rentres dans la pièce. À partir de là, tu es un invité comme un autre, donc tu agis comme tel. Tu te trouves un verre et tu rejoins la soirée. Avec nos recherches de cette semaine, nous savons qu’il y aura beaucoup de monde, dont des personnes extérieures à l’école. Tu n’as aucune raison de craindre d’être repéré. Tous penseront que tu es forcément l’ami de quelqu’un de la soirée. Y a-t-il des questions ?
- Moi ! En plus de l’oreillette et du micro, je ne pourrais pas avoir une caméra embarquée pour que vous voyiez ce que je vois, dans des lunettes par exemple ?
- Pour débloquer ces moyens-là, il faudrait que notre tueur veule tuer le président ou bien voler les codes nucléaires. Essaye de te faire parachuter à la DGSI la prochaine fois.
- On reste concentré. Puisqu’il n’y a pas de véritable question, il nous reste à établir avec toi, Chancla, quelle stratégie souhaites-tu adopter à la soirée ?
1) Sympathiser très tôt avec les cibles pour obtenir des informations au fil de la soirée.
2) Sympathiser avec d’autres invités puis tenter par leur biais d’entrer en contact avec les cibles.
3) Tenter de trouver un moyen de faire venir les cibles par elle-même à vous.
4) Participer à la soirée puis approcher plus tard dans la nuit les cibles.
SOMMAIRE DE LA FIC
Chapitre 1 : https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272000585
Chapitre 2 : https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272000681
Chapitre 3 : https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272000785
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272000809
Chapitre 4 : https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272064289
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272064417
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272064505
Chapitre 5 : https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272129577
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272129625
Chapitre 6 : https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272198881
Chapitre 7 :
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272442065
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272442161
Chapitre 8 : https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272591081
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272591153
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272591249
Chapitre 9 : https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272713385
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272713417
Chapitre 10 :
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272965009
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272965105
Chapitre 11 :
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1273058777
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1273059009
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1273059137
Chapitre 12 : https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1273214481
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1273214569
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1273214713
Très bon chapitre.
Je vais prendre le temps de réfléchir, c'est un choix trop important pour le prendre à la légère
Vote 3
Je vote 2, il ne faut pas éterniser non plus l'infiltration, plus le temps passe, plus les invités quitterons la fête, et plus nous sommes exposé. De plus, sympathiser avec les autres invités avant les principaux concernés permettra d'avoir l'air mon suspect, rappelons que Célestin est susceptible de faire des erreurs qui peuvent le trahir à tout moment.
Mon VDD a tout dit, je vote 2
Le 15 novembre 2024 à 22:12:35 :
Je vote 2, il ne faut pas éterniser non plus l'infiltration, plus le temps passe, plus les invités quitterons la fête, et plus nous sommes exposé. De plus, sympathiser avec les autres invités avant les principaux concernés permettra d'avoir l'air mon suspect, rappelons que Célestin est susceptible de faire des erreurs qui peuvent le trahir à tout moment.
Plus la soirée avance, plus les gens auront bu. Je trouve cependant que la 2 requiert beaucoup de skills sociaux, ce que Célestin n'a pas beaucoup. La 3 nous permets de dépasser cela.
La quatre, pourquoi pas. On attend que tout le monde soit plus fatigué/ivre et ainsi les défauts de Célestin passeront mieux.
Vote 3 pour l'instant
Je vais tenter 2, célestin a été depucelé des soirées maintenant, il faut battre le fer tant qu’il est chaud
Bien, très bien cette soirée
Mais qu'elle ne nous détourne pas de la roaddoubleJennifer
Nous aurons la fille ET la mère
Je vais VOTER 2), c'est mieux de passer indirectement
Sinon, les appartements ne sont pas réservé à la police ?
Le 15 novembre 2024 à 23:53:43 :
Bien, très bien cette soirée
Mais qu'elle ne nous détourne pas de la roaddoubleJennifer
Nous aurons la fille ET la mère
Le sticker miroir de Connelly vous est monté à la tête monsieur Dark. Rassurez-moi, pas en même temps ?
Sinon, les appartements ne sont pas réservé à la police ?
- Oui, d’appartement. Ça va avec le job : des appartements avec des loyers très réduits, souvent dans les mêmes quartiers pour une question de sécurité. Il n'y en avait pas de disponibles dans ceux prévus pour ton grade alors, tu vas être surclassé pendant quelque temps. Mais, ne t’y installe pas trop. Ils ne surclassent jamais longtemps. Je vais te noter l’adresse sur un papier.
Souvent dans les mêmes quartiers mais pas forcément exclusivement policier. Ils sont simplement centralisés
Le 16 novembre 2024 à 00:29:36 :
Le 15 novembre 2024 à 23:53:43 :
Bien, très bien cette soirée
Mais qu'elle ne nous détourne pas de la roaddoubleJennifer
Nous aurons la fille ET la mèreLe sticker miroir de Connelly vous est monté à la tête monsieur Dark. Rassurez-moi, pas en même temps ?
Sinon, les appartements ne sont pas réservé à la police ?
- Oui, d’appartement. Ça va avec le job : des appartements avec des loyers très réduits, souvent dans les mêmes quartiers pour une question de sécurité. Il n'y en avait pas de disponibles dans ceux prévus pour ton grade alors, tu vas être surclassé pendant quelque temps. Mais, ne t’y installe pas trop. Ils ne surclassent jamais longtemps. Je vais te noter l’adresse sur un papier.
Souvent dans les mêmes quartiers mais pas forcément exclusivement policier. Ils sont simplement centralisés
Ok, j'avais mal compris alors
C'est même mieux du coup
L'électronique de Monsieur Dark qui va griller lorsqu'au choix de la Saint-Valentin il va devoir choisir entre la mère et la fille
Le 16 novembre 2024 à 00:36:27 :
L'électronique de Monsieur Dark qui va griller lorsqu'au choix de la Saint-Valentin il va devoir choisir entre la mère et la fille
Je n'ai pas dis mon dernier mot !
Madame Samain ou sa fille, laquelle des deux va t on retrouver suicidée avec deux balles Lindt (praliné noisette enrobage chocolat noir 52% de cacao) dans l'estomac?
Et lequel de nos collègue s est permis de lire nos notes sur l'enquête ?
Je suis intimement persuadé que le parachutage de Celestin relève d un complot visant à faire échouer / retarder l'enquête
Oui je suis parano
Après réflexion, je vote 2
Bien le bonjour à tous !
Décompte de 10h30 :
Choix 1 : 0
Choix 2 : 5
Choix 3 : 2
Choix 4 : 0
Clôture des votes à 17h
Le 16 novembre 2024 à 10:12:14 :
Après réflexion, je vote 2
Elle remonte à loin ta dernière soirée puzzle. Tu vas perdre ton titre de maître fabriquant
Le sticker miroir de Connelly vous est monté à la tête monsieur Dark. Rassurez-moi, pas en même temps ?
Parce que c'est possible dans la fic ? C'est seulement pour savoir...
Le 16 novembre 2024 à 10:32:07 :
Le 16 novembre 2024 à 10:12:14 :
Après réflexion, je vote 2Elle remonte à loin ta dernière soirée puzzle. Tu vas perdre ton titre de maître fabriquant
Je n'ai pas eu de soirée de libre ces derniers temps