Yes, la suite arrive bientôt les kheys sorry
Ce soir ?
Le 15 octobre 2024 à 21:14:10 :
Ce soir ?
Je pense demain matin khey
Le 15 octobre 2024 à 21:15:08 :
Le 15 octobre 2024 à 21:14:10 :
Ce soir ?Je pense demain matin khey
Okay crayon
On est demain après midi
Sweet
Sweet khey ...
Sweet
Les jours se suivent et se ressemblent dans votre cellule. Mais aujourd'hui, quelque chose est différent. Un gardien vient vous chercher.
- Célestin, c'est l'heure de la promenade.
Dans la cour de la prison, votre regard est attiré par une silhouette familière. Tyler est là, adossé à un mur, vous fixant avec un sourire narquois. Vous vous approchez, méfiant.
- Tiens, tiens. Célestin le saint, mon compagnon de cellule.
- Tyler... Je ne savais pas que tu étais ici aussi.
Son rire résonne dans la cour, attirant quelques regards.
- Oh, j'y suis depuis un moment. Mais parlons plutôt de toi. Il paraît que tu as fait des bêtises.
Vous baissez les yeux, la culpabilité vous rongeant.
- J'ai... j'ai perdu le contrôle. Tout a recommencé et je...
Tyler vous coupe, son regard pétillant d'une joie malsaine.
- Tu as enfin goûté à la vraie liberté ! Comment ça fait de lâcher prise, Célestin ?
- Ce n'était pas de la liberté. J'ai blessé Valentin, je suis en prison...
- Et alors ? On est tous revenus au début. Ta mort a réinitialisé le jeu pour tout le monde.
Vous le regardez, incrédule.
- Comment tu sais ça ?
- Je te l'ai dit, on reconnaît les siens. J'ai senti le changement. Et maintenant, nous voilà tous les deux ici. Ironique, non ?
Tyler se rapproche, baissant la voix.
- Mais dis-moi, Célestin. Comment c'était de laisser sortir le monstre ?
- Je ne suis pas un monstre. C'était une erreur, je...
- Oh, arrête ton cinéma ! Tu as aimé ça, pas vrai ? La violence, le chaos. Enfin faire ce que tu voulais vraiment.
Vous serrez les poings, luttant contre la colère qui monte en vous.
- Non. Je ne suis pas comme toi, Tyler. Je veux comprendre ce qui nous arrive, pas tout détruire.
Tyler vous observe avec un mélange de déception et d'amusement.
- Tu es pathétique, Célestin. Tu as le pouvoir d'un dieu et tu choisis de croupir ici, rongé par la culpabilité.
- Et toi, qu'est-ce que tu fais de ce pouvoir ? À part semer le chaos ?
Le sourire de Tyler s'élargit, inquiétant.
- Oh, j'ai de grands projets. Et maintenant que tout a recommencé, je vais pouvoir les perfectionner. Même depuis cette cellule.
- Quels projets ? Tyler, qu'est-ce que tu comptes faire ?
- Tu verras bien, mon cher Célestin. Nous avons tout le temps du monde, après tout.
Le sifflet du gardien retentit, signalant la fin de la promenade.
Alors que vous retournez vers vos cellules, vous ne pouvez vous empêcher de lui lancer :
- Tyler ! On peut trouver une solution ensemble. On n'est pas obligés d'être ennemis.
Il se retourne une dernière fois, son rire glaçant résonnant dans le couloir.
- Des solutions ? Oh non, Célestin. Je vais juste m'amuser un peu. Profite bien de ta cellule !
De retour dans votre cellule, l'angoisse vous étreint à l'idée de ce que Tyler pourrait faire. Et vous, coincé ici, incapable d'agir. Comment allez-vous pouvoir l'arrêter ? Et surtout, comment allez-vous gérer cette nouvelle réalité que vous avez involontairement créée, tout en étant emprisonné aux côtés de Tyler ?
Désolé les kheys je suis extremement long bordel quand je write
Je vais faire mieux les kheys
Quelques jours après votre conversation dans la cour, vous êtes à la cantine, plateau en main. L'ambiance est lourde, électrique. Soudain, une voix familière claque dans votre dos :
- Tiens, Célestin. On joue encore les martyrs ?
Vous vous retournez. Tyler est là, le regard noir, un rictus aux lèvres.
- Laisse-moi tranquille, Tyler.
- Oh, on a peur de la confrontation ?
Les autres détenus s'écartent, sentant la tempête venir. Vous serrez les poings, la mâchoire crispée.
- Ça suffit.
Tyler s'approche, son visage à quelques centimètres du vôtre.
- Sinon quoi ? Tu vas me rentrer dedans comme t'as fait avec ton ami ? Allez, montre-nous ce que tu vaux vraiment !
C'est la provocation de trop. Vous vous apprêtez à répliquer, mais Tyler est plus rapide. Son poing s'écrase sur votre visage dans un craquement sinistre.
Sonné, vous tituber en arrière. Votre plateau s'écrase au sol. Tyler en profite pour se jeter sur vous.
- C'est tout ce que tu as ?! hurle-t-il en vous rouant de coups.
Les coups pleuvent. Vous tentez de vous protéger, mais Tyler est déchaîné. Vos côtes, votre visage, tout n'est que douleur. Le goût métallique du sang envahit votre bouche.
- Allez ! Défends-toi ! Tu aimes ça au fond, pas vrai ?!
Votre vision se brouille. Des sifflets retentissent au loin. Vous sentez qu'on arrache Tyler de sur vous, mais c'est trop tard. L'obscurité vous engloutit, parsemée d'étoiles de douleur.
La dernière chose que vous entendez avant de sombrer, c'est le rire dément de Tyler :
- On est pareils, Célestin ! Tu n'es qu'un hypocrite !
Puis, le néant.
Super sweet khey, et content que tu ailles mieux
Le bip régulier d'un moniteur cardiaque vous tire lentement des limbes. Vos paupières sont lourdes, votre corps entier n'est que douleur sourde. L'odeur aseptisée et la lumière crue vous confirment que vous êtes à l'infirmerie de la prison.
- Vous ouvrez péniblement les yeux.
Une infirmière s'approche de votre lit.
- Ah, vous êtes réveillé. Comment vous sentez-vous ?
Vous tentez de parler, mais votre gorge est sèche. L'infirmière vous tend un verre d'eau que vous buvez avidement.
- Tyler... où est-il ? Votre voix est rauque, à peine audible.
- Ne vous inquiétez pas de ça pour le moment. Vous avez besoin de repos.
Mais vous ne pouvez pas vous reposer. Les souvenirs de l'agression vous reviennent par vagues. La douleur, l'humiliation, le rire de Tyler... Tout se mélange dans votre esprit, alimentant une colère sourde qui commence à bouillonner en vous.
Les jours passent, et cette colère ne fait que grandir. Chaque bleu, chaque côte fêlée, chaque mouvement douloureux vous rappelle ce que Tyler vous a fait. Vous qui vouliez comprendre, qui cherchiez des réponses... Maintenant, une seule pensée occupe votre esprit : la vengeance.
Vous fixez le plafond, les poings serrés.
"Je vais le tuer", murmurez-vous pour vous-même. "Je vais le faire souffrir comme il m'a fait souffrir."
L'ironie de la situation ne vous échappe pas. Vous qui vouliez être meilleur, qui refusiez d'être comme Tyler... Le voilà qui a réussi à faire ressortir le pire en vous.
Mais vous ne pouvez plus reculer. La haine a pris racine, profondément. Vous commencez à élaborer un plan. Ce ne sera pas facile en prison, mais vous avez un avantage : le temps. Si ce que Tyler a dit est vrai, si vous êtes vraiment revenus au début... alors vous avez l'éternité pour préparer votre vengeance.
- Un sourire froid étire vos lèvres.
"Profite de ta victoire, Tyler. Bientôt, très bientôt, tu comprendras que tu as créé ton pire ennemi."
- Alors que l'infirmière vient vérifier vos constantes, elle ne peut s'empêcher de frissonner devant votre regard. Elle y voit une détermination glaciale, une promesse de violence qui n'a plus rien à voir avec le Célestin d'avant.
Le vrai jeu ne fait que commencer.
-------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
La nuit enveloppe la prison d'un silence pesant. Votre cœur bat la chamade alors que vous vous glissez hors de votre cellule, une arme de fortune serrée dans votre main moite. Des semaines de préparation vous ont mené à ce moment.
Silencieusement, vous atteignez la cellule de Tyler. À travers les barreaux, vous l'apercevez, allongé sur sa couchette, les yeux grands ouverts fixant le plafond. Il vous attend.
Vous forcez la serrure. Un déclic. La porte s'ouvre sans un bruit.
Tyler se redresse lentement, un sourire dément aux lèvres.
- Enfin, Célestin. J'ai cru que tu ne viendrais jamais.
Son ton est presque joyeux. Vous restez figé, déstabilisé par sa réaction.
- Allez, qu'est-ce que tu attends ? lance-t-il en écartant les bras. Montre-moi ce que tu as dans le ventre !
Votre hésitation ne dure qu'une seconde. Vous vous jetez sur lui, votre arme s'abattant avec force. Tyler ne se défend pas. Au contraire, il rit. Un rire fou, extatique, qui résonne dans la petite cellule.
- Oui ! C'est ça ! crie-t-il entre deux coups. Enfin tu comprends !
Ses yeux brillent d'une joie malsaine alors que la vie le quitte peu à peu. Votre bras continue de s'abattre, encore et encore, mû par une rage que vous ne contrôlez plus.
- On est pareils, Célestin... ses derniers mots sont à peine un murmure. On est... pareils...
Puis, le silence. Tyler ne bouge plus, son sourire figé à jamais sur son visage.
Vous reculez, haletant, couvert de sueur. Vous l'avez fait. Vous avez tué Tyler.
Le silence qui suit est assourdissant. Vous fixez le corps immobile de Tyler, attendant... quoi au juste ? Le flash familier ? La sensation de vertige annonçant un replay ?
Mais rien ne se passe. Les secondes s'égrènent, deviennent des minutes. Toujours rien.
La panique commence à monter. Ce n'était pas prévu. Tous les replayeurs sont liés, non ? La mort de l'un d'entre vous aurait dû déclencher un retour en arrière pour tous.
- "Non, non, non..." murmurez-vous, les yeux écarquillés.
La terrible réalité s'impose : il n'y a pas de replay. Pas de retour en arrière. Pas de réinitialisation.
L'horreur de votre acte vous frappe de plein fouet. Vous avez tué Tyler, définitivement. Et ce faisant, vous avez peut-être brisé le cycle des replayeurs pour toujours.
Un bruit de pas dans le couloir vous ramène brutalement à la réalité. Bientôt, on découvrira ce que vous avez fait. Et cette fois, il n'y aura pas de seconde chance.
Vous jetez un dernier regard au corps de Tyler, son sourire semblant vous narguer même dans la mort. Vous êtes maintenant un meurtrier, dans un monde qui ne pardonne pas, sans filet de sécurité.
Alors que vous vous glissez hors de la cellule, les derniers mots de Tyler résonnent dans votre esprit. Avait-il raison ? Êtes-vous vraiment devenus pareils ?
Vous disparaissez dans l'obscurité du couloir, laissant derrière vous le corps de Tyler.
Le 17 octobre 2024 à 18:48:21 :
Désolé les kheys je suis extremement long bordel quand je writeJe vais faire mieux les kheys
N'adopte pas ce genre de comportement, tu n'es pas à notre service. Prends le temps qu'il te faut, ne cède pas à la pression, et ne cherche pas à faire plaisir à tout prix
Le 17 octobre 2024 à 19:48:40 :
Le 17 octobre 2024 à 18:48:21 :
Désolé les kheys je suis extremement long bordel quand je writeJe vais faire mieux les kheys
N'adopte pas ce genre de comportement, tu n'es pas à notre service. Prends le temps qu'il te faut, ne cède pas à la pression, et ne cherche pas à faire plaisir à tout prix
[19:48:40] <Darkrai09>
Le 17 octobre 2024 à 18:48:21 :
Désolé les kheys je suis extremement long bordel quand je writeJe vais faire mieux les kheys
N'adopte pas ce genre de comportement, tu n'es pas à notre service. Prends le temps qu'il te faut, ne cède pas à la pression, et ne cherche pas à faire plaisir à tout prix
Tout est dit. Pas de pression, écris à ton rythme !
Je viens juste de découvrir cette fic, très sympa, t’as une belle plume l’OP, je m’installe
Le 17 octobre 2024 à 21:38:32 :
Le 17 octobre 2024 à 21:36:05 :
Le 19 septembre 2024 à 10:42:42 :
Célestin, 42 ans, ingénieur depuis plus de 20 ans. Les cheveux grisonnants, l’air fatigué, vous êtes assis devant votre ordinateur, contemplant l'écran rempli de lignes de code.Alors que vous vous perdez dans vos pensées existentielles, votre téléphone se met à vibrer bruyamment sur le bureau.
- Oh non... pas encore elle...
Vous décrochez, résigné.
- Oui, chérie…
- On devait faire le voyage pour Vienne en octobre, tu n'as toujours pas réservé.
- Je suis au travail, chérie... On en parle ce soir ? J’ai une réunion technique avec mon manager dans 10 minutes et je prépare ma présentation.
Super mensonge ça, elle va me laisser tranquille.
- Ça fait un mois que tu dois faire ça, et je ne parle même pas de la cafetière qui ne fonctionne plus... Je suis obligée de prendre...
Vous n'écoutez déjà plus. Votre regard se perd vers le plafond tandis que la voix de votre femme devient un bruit de fond lointain. Vous vous souvenez des débuts de votre mariage, des aventures passionnées que vous avez partagées. Au fil du temps, vous ne savez pas vraiment ce qui a changé. Peut-être est-ce l'effet de la routine, peut-être du temps lui-même... Vous repensez à cette époque où l'avenir semblait plein de promesses.
- CÉLESTIN !
La voix de votre femme vous ramène brutalement à la réalité. Vous clignez des yeux et tentez de vous recentrer sur la conversation.
- Oui, oui... bien sûr, je vais m'occuper de ça. Ce soir. Promis.
C'est ça, ce soir... ou jamais.Vous raccrochez finalement, mais la sensation d’oppression ne vous quitte pas. Un léger pincement dans votre poitrine commence à se faire sentir. Vous tentez de l'ignorer, pensant que ce n'est que le stress ou la fatigue.
Vous vous remettez au travail, mais la douleur s’intensifie. Vous posez une main sur votre poitrine, inquiet. Est-ce que c’est... sérieux ?
- C’est quoi ce truc... ?
Votre téléphone vibre de nouveau. C’est encore elle.
- Oh non... pas maintenant…
Vous décrochez à contre-cœur, la voix de votre femme résonne encore une fois dans vos oreilles.
- Célestin, on doit aussi parler des rideaux ! Ça fait des semaines que je te dis qu’ils sont trop vieux !
Vous tentez de lui répondre, mais les mots ne sortent pas. Votre cœur s’emballe, la douleur devient insupportable. Vous posez votre deuxième main sur votre poitrine, luttant pour reprendre votre souffle.
- Bordel... c’est pas vrai... Je fais une crise cardiaque...
- Célestin ? Tu m’écoutes ? Pourquoi tu ne dis rien ?
"Je vais mourir... et elle continue de me parler de rideaux... c'est ça ma vie ?"
La douleur devient si forte que vous sentez vos forces vous quitter. Vous réalisez que vos dernières pensées ne seront même pas pour un souvenir heureux ou un moment marquant, mais pour des rideaux et une machine à café en panne.
- Je vais mourir… comme ça... vraiment ?
- Célestin, réponds-moi !
La voix de votre femme est la dernière chose que vous entendez alors que vous sentez votre vision se brouiller. Vous tentez un dernier souffle, mais votre cœur vous lâche complètement.
Bordel...
Arrête de te moquer des célestin sale enculé
wtf sale fou
Le 17 octobre 2024 à 21:32:33 :
Je viens juste de découvrir cette fic, très sympa, t’as une belle plume l’OP, je m’installe
Tenez cher Grand Prêtre, je vous ai gardé une place
Le 17 octobre 2024 à 19:48:40 :
Le 17 octobre 2024 à 18:48:21 :
Désolé les kheys je suis extremement long bordel quand je writeJe vais faire mieux les kheys
N'adopte pas ce genre de comportement, tu n'es pas à notre service. Prends le temps qu'il te faut, ne cède pas à la pression, et ne cherche pas à faire plaisir à tout prix
Il a raison, prends le temps qu'il te faut Maintenant la suite et plus vite que ça
Si c'est pour faire des sweet de cette qualité à chaque fois prend tout le temps qui te faut mon khey