Je suis un très gros fan de SF.
Donc a moins que ton texte se tourne vers ce genre, je vais pas prendre le risque de m'y essayer. Sorry ...
Suite mon coeur.
Suite à 17h environ. Cependant j'ai la fâcheuse habitude de ne pas respecter les horaires que je prévois.
Si tu dis a 17h, je checkerais entre minuit et 6AM
Sinon, t'es pas obligé de nous faire 66 chapitres, c'est juste le minimum syndical que je t'imposes ^^
Le minimum syndical hahaha j'ai éclate de rire !
Sinon Sweet il est 18h on va te taper !!!
Koukou, j'ai la flemme de commencer, je préfère être sûr avant.
C'est quoi comme genre c'te fic?
K2=> Je le savais, 19H
Pass²=> du fantastique contemporain avec du sayks
21h je pense
Finalement j'aurais pas fini avant 22h.
Tant que c'est bien, tu prend tout le temps qu'il te fait
Non je déconne, dépêche toi ou j'envoie des alpagas unijambistes te Z+A
Oh! Non! Tout mais pas çaaaaa!!!
K2 si elle est pas la à 22h je.... je.....
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Je vais me coucher.
Mon inspiration perd de l'altitude. Veuillez attacher votre ceinture nous traversons une zone de perte de qualitay. Vous l'aurez pas après minuit promis mais je galère comme un porc je met 30min pour trouver 3 lignes...
Je connais un auteur qui a arreté sa fic (pas assez de lecteurs)et qui a eu les mêmes problèmes
Non mais c'est pas la panne sèche vous inquiétez pas. A tout à l'heure.
Tant mieux bon courage
Tic tac tic tac 😉
Les nombreuses précautions prises par Lorène ont très certainement été utiles. Depuis ce mois de février ou elle avait été découverte en train de fouiner, sa vie n’a certainement été que prudence et dissimulation. Cela avait laissé des traces. Je l’ai suivi de loin pendant au moins un quart d’heure. Une fois entrée dans le hall de son appartement, j’ai dû attendre cinq bonnes minutes avant d’y entrer à mon tour. Finalement, tout s’était bien passé.
Elle m’invita à m’asseoir dans le salon, puis alla préparer du café qu’elle me servit bien chaud.
- Bon alors, me dit-elle, quelles étaient tes questions ?
Mes incompréhensions et mes doutes étaient fort nombreux, je me demandais si elle aurait réponse à tout. Je décidais donc de lui raconter en détails mon histoire depuis mon arrivée à Paris il y a trois jours.
- Ecoute moi bien, il y a de quoi écrire un roman avec tout ce que j’ai vécu récemment
Elle m’écouta sans m’interrompre, en acquiesçant d’un signe de tête à chaque nouvelle information que je lui révélais. Ma rencontre avec Nina, les échanges de corps, Emilie, la chambre secrète et ce que j’y ai découvert… je n’omettais aucun détails, jusqu’à notre rencontre à la bibliothèque.
Quand j’eu finis, Lorène réfléchit en silence, se tenant le menton avec la main et levant les yeux au plafond. Je me demandais bien ce qu’elle avait déduit de mon récit…
Elle expliqua donc ses conclusions :
- Bon. Pour le moment, on sait deux choses. Premièrement, ces sorcières attirent des jeunes dans cette université : peut-être en trafiquant informatiquement les résultats d’admission de leurs cibles… nous ne savons pas. Elles les repèrent dans –probablement- toute la France et font en sorte qu’ils viennent loger dans leur appartement. On peut supposer que grâce à leur pouvoirs, même sans avoir contacté leurs cibles elles parviennent facilement à les mener jusqu’à elles… tu en es la preuve, Matt. Pour une raison encore obscure, il semblerait qu’elles ne s’en prennent qu’à des hommes.
- Ben parce que ce sont des filles et qu’elles proposent un échange de corps… ça ne servirait à rien pour une autre fille de faire ça, supposais-je.
- On ne sait pas vraiment. Il y a peut-être d’autres raisons qu’on ne devine pas encore… et puis tu dis ça car tu es un gros pervers qui ne pense qu’à l’avantage sexuel d’un changement de corps. Changer d’identité et passer inaperçu intéresse tout le monde, même les filles.
Hum… elle venait encore de me traiter de pervers. C’est faux en plus, je ne pense pas qu’à ça… enfin si… un peu quand même… mais elle exagérait dans sa façon de le dire.
Lorène repris la parole :
- Je disais donc… Deuxièmement, on sait que ces changements de corps ne sont pas sans effets. Cela reste encore un mystère mais… elles ont clairement dit que ces échanges devaient être maintenus sur une période plus ou moins longue. Après quoi les victimes sont envoyées dans ce qu’elles appellent des champs… ou les Champs de… de… ils avaient un nom…
- Dorvaldr, dis-je. C’était écrit sur la pochette que j’ai trouvée.
- C’est ça. On peut donc en conclure que chaque année, au moins une dizaine de personnes, des hommes, sont attirés à Paris aux Hauts Jardins et rencontrent une sorcière. Elles proposent ensuite un échange de corps, attisant les vices cachés des hommes et vantant la discrétion et la rapidité du sort… mais dissimulant leur véritable intention. De leur propre bouche elles ont avouées vouloir les "exterminer".
Je déglutis à l’idée d’être réduit en cendre par Nina.
- C’est pas très rassurant pour moi tout ça
Lorène se tourna vers moi et me regarda droit dans les yeux.
- Je suis persuadée que personne n’a été tué. N’oublie pas qu’elles ont pour objectif d’envoyer leurs cibles quelque part. Si ça se trouve, ils sont justes prisonniers… Oui, je garde espoir, je suis sûre que mon frère est quelque part… En attendant Matt tu devras faire le moins d’échanges de corps possibles. Invente n’importe quoi sans éveiller les doutes de Nina mais je t’en supplie évite cette sorcellerie autant que tu le peux. Tu m’as dit qu’une formule permettait de briser le sort ; ne l’utilise pas par contre. Si tu t’en sert à chaque fois, elle devinera tes intentions et te fera payer le prix fort…
Bien qu’elle ait de l’espoir, je me doutais qu’au fond d’elle la possibilité de ne jamais retrouver son grand frère la hantait. J’évitais donc d’étaler mes théories sur le devenir des victimes. Je partais du principe qu’elle avait raison afin d’être sur la même longueur d’onde. Néanmoins étant moi-même pris pour cible, l’idée d’être carrément tué me taraudait beaucoup.
C’est alors que Lorène me regarda intensément dans les yeux. Elle était si jolie… j’aurais pu contempler son visage durant des heures !
- Matt…
- Ouais ?
- Il va falloir le faire…
Le faire ? Etait-elle sérieuse ?
- Le faire… ? Tu veux dire…
- Evidemment. J’ai attendu trop longtemps… mais maintenant que tu es là je suis vraiment décidée.
- Mais euh… on se connait depuis tout à l’heure seulement et…
- Et alors ? On n’a pas vraiment le choix je te rappelle. Je ne t’ai pas fait venir ici pour rien.
- Bah ouais je m’en doutais un peu quand même. Enfin si tu veux mon avis c’est trop tôt mais je te cache pas que j’en avais bien envie.
- Pourquoi trop tôt ? Il va bien falloir se jeter à l’eau un jour ou l’autre de toute manière.
- Ben je voyais ça arriver de façon plus romantique en fait. T’es une grosse cochonne ça je l’ai bien compris mais va falloir te calmer un peu quand même… j’aime pas être brusqué.
Elle ferma les yeux et lâcha un soupir de consternation.
- Matt, approche s’il te plait.
Elle voulait que je vienne à elle ! Et voilà… le grand jour était enfin arrivé. Tel un loup solitaire à bord de son Harley Davidson, j’étais venu à bout de la longue route du queutard. Fini ma vie risible et monotone de gamin, une nouvelle voie s’ouvrait à moi ! Fini les embouteillages, Puceau Street avait enfin débouché sur la grande autoroute du sexe et des plaisirs. J’étais fin prêt à franchir la frontière, comme un homme. Mes deux réservoirs pleins à craquer de Super sans plomb, la main sur l’embrayage, j’attendais le top départ pour m’élancer dans la course de ma carrière.
Lorène me plaça donc une magnifique beigne en pleine mâchoire, me ramenant à la dure réalité.
- Et j’aurais pu faire plus fort, donc t’as vachement intérêt à te tenir à carreau maintenant, me dit-elle.
…
Après m’être remis de mes émotions, Lorène m’expliqua concrètement le fond de ses pensées qui, malheureusement pour moi, n’étaient pas d’ordre sexuel. Elle attendait bien évidemment de moi que je l’aide dans son entreprise dangereuse ; nous devons nous mêler de cette sinistre affaire de sorcière et intervenir à temps. C’est probablement la vie de plusieurs personnes qui est en jeu.
- Matt, concernant ce fameux dossier que tu as trouvé, te souviens-tu des visages sur les photos ?
- A part moi, Emilie et Nina non je ne m’en souviens plus.
- Hmm c’est embêtant…, marmonna-t-elle. Je sais combien tu as lutté pour entrer dans la salle fermée à clé mais tu devras y retourner. Retrouve le dossier et prend les photos à l’intérieur, ou photographie-les plutôt.
Je comprenais où elle voulait en venir.
- Les filles qui apparaissent dessus sont certainement les autres sorcières et les garçons sont les cibles c’est ça ? Affirmais-je sûr de moi.
- Oui, c’est ce que je suppose. Essaye de le faire ce soir et recherche les filles demain dans toute la fac, tu reconnaitras peut-être des visages dans ta classe en plus d’Emilie. Certaines seront sûrement des garçons sous apparence féminine que tu devras informer du piège. Pour savoir si c’est un homme ou une sorcière qui occupe le corps, prend les en photos dans un endroit sombre et regarde les yeux. Moi, je m’occuperais des garçons –donc des sorcières- et je tenterais de trouver des preuves de leur nature maléfique.
Si je résume, je devais retrouver les filles que j’avais vues en photo dans le dossier car elles sont probablement des sorcières qui ont prêté leur corps à de pauvres types comme moi. Ensuite je devais m’assurer que les corps étaient bien occupés par des garçons en faisant le test de la photo dans le noir… puis les prévenir du danger qui les guettait. Lorène elle, tenterait de trouver les garçons et vérifiera qu’il s’agit bien de sorcières à l’intérieur. Ça me semblait faisable mais cependant…
- Et après ? Demandais-je. C’est bien beau de jouer aux détectives mais qu’est-ce qu’on fait après ? On ne peut pas lutter contre des sorcières, elles ont des pouvoirs… on ne sera pas plus avancé en fait…
Elle croisa les bras et me souris avec un air de triomphe dans le regard.
- Souviens-toi de ce que je t’ai raconté ! Anna, la sœur ainée de Nina, a perdu ses pouvoirs en début d’année. Je ne l’ai jamais revue depuis le soir où j’ai épié leur discussion, j’en conclu donc qu’elle ne les a pas retrouvé… ce qui pourrais indiquer que c’est définitif ! Il y a donc un moyen de les neutraliser… reste à savoir lequel.
- Fantastique ! M’exclamais-je. Si on trouve ce moyen on pourra sûrement mettre fin à ce traquenard !
Demain matin je déposerais une enveloppe contenant les photos des garçons dans une poubelle près de l’entrée de la fac. Lorène les récupérera un peu plus tard et notre enquête pourra commencer.
Je quittais donc Lorène et rentrais chez moi vers 18h. Nina était déjà là, comme si le fait de ne pas avoir mon corps l’avait empêché de sortir... Cette fois-ci, j’attendrais qu’elle prenne sa douche pour prendre la clé et rentrer dans la pièce… les sensations fortes en pleine nuit ça va une fois.
C’est ainsi que, le cœur plus léger, je me couchais avec la sensation de me rapprocher de la sortie de secours. Le plus dur serait de convaincre une nouvelle fois Nina de ne pas faire l’échange… et de débusquer mes confrères en train de s’éclater avec un corps de nana…
J’allais vite déchanter. C’est toujours comme ça d’ailleurs… quand on a l’intention de faire quelque chose, rien ne se passe jamais comme on l’a prévu ! Ce lendemain allait être tantôt un jeudi noir, tantôt un jeudi rose… selon si j’analyse la situation en tant qu’individu sain ou pervers de légende.
Désolé de l'attente. J'essaye de poster le prochain chapitre demain soir.
Tiens d'ailleurs dans 40 minutes j'ai 20 ans
20 ans et tu restes sur le 15-18 ? Tu veux pas nous quittez hein ? 😍
Sinon Happy Birthday avec une légère avance
J'ai commencé à lire.
Et bon anniversaire au passage .
J'attends la sweet de se soir
Et bonne anniversaire hein