[ Xellos ]
Il s'approcha lentement de la dénommée Jane et lui jeta un coup d'oeil. Décidément, elle avait toujours ce regard glacial.
- Dis-moi, tu le connaissais ? Le leader de ces mercenaires ?
[ Shin ]
Ils se mirent en route, et le temps d'un bref instant, Shin jaugea ses compagnons à l'aide de son oeil. Il remarqua que deux d'entre eux se détachait particulièrement du lot. Non pas par leur puissance, bien au contraire, mais par leur faiblesse presque touchante.
Il décida de se rapprocher de l'elfe afin de savoir ce qu'il avait dans la tête en s'impliquant dans cette histoire.
- Dis-moi toi, t'as pas l'air dans ton élément ici. T'es sûr que ça ira ?
[Kintoki]
Kintoki était finalement décidé à effectuer cette fameuse mission. Il remarqua qu'une personne s'approcha de lui. Il ne la connaissait pas, excepté le fait qu'elle était également prisonnière, mais n'était pas dans son chariot. Etant habitué à aider les autres, il semblait ressentir une hésitation dans ses propos. Il s'adressa à elle en souriant, pour essayer de faire connaissance:
- Bonjour. Est-ce que vous étiez dans ce convoi pour une raison particulière?
[Gaheris]
Le jeune homme ne pouvait s'empêcher de regarder avec des grands yeux les personnes l'entourant, chacun dégageait quelque chose de particulier, notamment la capitaine du groupe, une grande femme aux cheveux gris, possédant une épée imposante sur son dos.
Cet épée intriguait le jeune écuyer, elle était recouverte de multiple bandages, elle éprouvait un côté mystérieux, tout comme la personne qu'il avait en face de lui, ne pouvant s'empêcher de la reluquer, ses airs maladroits, ainsi que de voyeur attirèrent peut-être l'attention un tant soit peu de la femme.
L'abordant avec un sourire aux lèvres, le jeune homme éprouva son admiration pour ses équipements,
- Vous n'êtes pas du genre très bavarde, capitaine, vous possédez une bien jolie épée, d'où vient-elle ?
dit-il l'air innocent
[Jane]
- De réputation, et d'un point de vue professionnel, oui. C'est un individu plutôt important, et avec une certaine influence. Cet homme, Ozymandias, a effectivement un bon nombre d'exploit, avec et sans sa troupe. Ensemble, ils ont même conquit un donjon de Djinn, un jour. J'ai déjà travaillé pour lui, par le passé, en remplissant quelques contrats.
En entendant la question du jeune provenant d'Athréa, elle tourna brièvement son regard vers lui, et lui répondit d'un ton dur.
- Je n'en parle pas à n'importe qui. Mais si tu me prouves ta valeur sur le champ de bataille, peut-être ferais-je une exception pour toi, gamin.
[Varynn]
L'air le plus sérieux au monde, l'elfe hocha la tête silencieusement, comme s'il essayait de se rassurer. Il continuait à avancer tout droit, aux côtés de son jeune interlocuteur.
"Ouais. Laisse-moi deviner, toi, t'as vécu plein de situations comme celle qu'on s'apprête à vivre."
Il ouvrit sa main, qui contenait quelque chose. Un shuriken. Appartenant à Shin, qu'il avait subtilement dérobé. Il l'incita à le reprendre, et eut un sourire malicieux qui révéla sa vraie nature.
"Ces choses là sont de Ryukuu, non ? Tu ne ressembles pas à... un ryukien, quoi. D'où est-ce que tu viens ?"
[Abigail]
"Touchée, coulée.. Haha...."
Abigail se sentit gênée, son attitude n'était pas naturelle. Décidément, il était impossible pour elle de mentir sur quoique ce soit. Elle décida de tout avouer à son interlocuteur.
- Mmmh. Tu as dû comprendre que je cachais quelque chose visiblement. Pour faire court, je vagabondais, ici et là puis je suis tombée sur toi. J'ai décidé de te suivre, à ton insu... Tes faits et gestes m'ont incroyablement touchée pour être franche, je n'avais rarement vu une personne aussi gentille et généreuse que toi. Lorsque j'ai vu que ton incident avec ces démons cornus, j'ai compris que je devais te contacter. Je me suis alors laissée capturer pour te rencontrer. Je m'appelle Abigail...
[Fortas]
Ne tenant pas sur place, le Glaisrai était littéralement surexcité. Aux côtés de Pantère, et de la femme féline qui lui semblait liée, il s'imaginait déjà les mains moites, serrant son kepesh, l'odeur du sang l'enveloppant de partout. Ce qui le comblait.
"Eh panthère, t'as déjà fait la guerre ? Et toi ?"
Il avait hésité à l'appeller "chatte", mais on lui avait dit un jour que ce nom n'était pas recommandé pour parler à des interlocutrices féminines. Alors il s'était tu.
[Gaheris]
Le jeune homme fut dans un premier temps touché par la remarque de cette femme froide, mais elle ne le découragea pas pour autant
-Je ne suis certainement pas le meilleur combattant parmi nous tous, même certainement le plus faible, malgré tout je tacherai de vous épauler sur le champs de bataille, de prouver ma valeur lui répondit-il en souriant avec un ton peu confiant, positionnant son bras derrière la tête
[Kintoki]
Kintoki écouta attentivement les paroles de la jeune femme qui se présenta au nom d'Abigail. Il était touché par ses propos, trouvant même ça courageux qu'elle aille jusqu'à se faire capturer pour le rencontrer. Il arborait toujours son grand sourire, lui répondant en laissant tomber le vouvoiement:
- Ravi de te rencontrer Abigail, comme tu le sais sans doute déjà, je m'appelle Kintoki. Tu aurais besoin de mon aide?
[ Shin ]
Même s'il n'était pas sur ses gardes, Shin fut stupéfait par la qualité de pick-pocket que possèdait cet homme. Il sourit largement, comme fier, voire impressionné, d'avoir pu assister à cela.
Hehe, évidemment, certains ne misent pas seulement sur la force brute... Ça peut être intéressant.
- À vrai dire, je ne sais pas moi-même. J'ai quitté Ryukyu afin de justement l'apprendre. Et toi, que fais-tu ici ?
[ Xellos ]
- Un donjon de djinn ? Tu parles bien de ces mystérieuses tours qui sont apparues un peu partout dans le monde ? demanda-t-il sur un ton inquisiteur. Que renferment-elles ?
[Jane]
- La faiblesse n'est pas le fait d'être mauvais au combat. Que tu ne sois pas doué dans ce domaine n'est pas un problème tant que tu te bats. Et être faible, c'est ne pas se battre, abandonner, laisser tomber. Sur un champ de bataille, il existe un millier d'utilités différentes. Tâche de trouver la tienne, soldat.
Jane hocha de la tête face aux questions du jeune homme aux cheveux argentés, et parla pour répondre à la dernière.
- Personne ne le sait exactement. Tout ce qui est sûr, c'est que ce sont des êtres vivants, visiblement magiques. C'est ce qu'on appelle un Djinn.
[Nina]
Pendant sa marche, la Rinnuke aperçut un individu peu commode lui adresser la parole, à elle ainsi qu'on son nouveau compagnon.
Sa question lui fit serrer légèrement les poings avant de répondre malgré tout calmement.
- Oui, j'ai vécu la guerre, la vraie guerre... Celle qui nous fait vivre un effroyable cauchemar et qui nous traumatise pendant de longues années si ce n'est à vie... Hum, excuse moi, je ne suis pas très joyeuse comme personne.
Zabalam haussa les épaules puis se tourna en direction de Nina, lui communiquant sa réponse via un mystérieux moyen.
- Hum, je vois. Il m'a dit de te dire qu'il ne savait pas, qu'il avait perdu la mémoire. Il me dit également de te dire qu'il se nomme Zabalam et... qu'il te trouve... cool... C'est cela.
[Abigail]
- Eh bien... Oui c'est le cas mais je ne veux pas devoir une dette à quelqu'un, comme s'il s'agissait d'une affaire professionnelle, je veux que ça vienne du cœur. J'aimerai plutôt qu'on fasse connaissance avant.
[ Xellos ]
- S'ils sont conquis, ils offrent du pouvoir en retour, j'imagine ? Cela expliquerait l'influence d'Ozymandias, dit-il comme à lui-même d'un air pensif.
Il jeta un coup d'oeil au jeune homme aux cheveux blonds, presque désolé de le voir se retrouver dans cette situation certainement périlleuse.
- Comment quelqu'un comme toi s'est retrouvé ici ? À moins que tu ne caches ton jeu, mais tu n'as pas l'air suffisamment malin pour.
[RP - Soma - Athlum (Valyrus)]
...
Un ciel gris, blanc, règne au dessus d'une grande ville Valyrienne, alors que de doux flocons de neige tombent, virevoltant lentement dans le ciel, avant de se faire déranger par des explosions rougeoyantes à leur hauteur.
Ce ne sont point des signes de combat, mais plutôt de victoire. La ville d'Athlum allait accomplir quelque chose.
https://www.youtube.com/watch?v=L3wKzyIN1yk
Des cris se firent entendre, de joies, ainsi que des insultes, certaines en Latin, pour l'homme châtain qui se faisait escorter, les mains liés, par un Centurion.
Des Légionnaires en armures envoyaient, pour certains, des projectiles magiques dans le ciel, tel un feu d'artifice. Certains se tenaient aux balcons du grand Colisée où la troupe se dirigeait, observant, tout heureux, la scène.
Le condamné semblait stoïque, lâchant parfois quelques regards froids aux Légionnaires, mais il suivait le Centurion.
Des flocons tombaient calmement sur la chevelure du condamné, ainsi que sur les casques des soldats, contrastant à l'atmosphère agitée tout autour.
Et pourtant, les deux avançaient, calmement, entrant dans le grand bâtiment où la lumière de dehors parvenait toujours.
L'homme marchant vers sa mort, Soma... Il semblait totalement calme, le regard froid, prêt à faire face à son sort, silencieusement.
Difficile de savoir à quoi il pense...
Probablement à tout ce qu'il a pu vivre avant d'en arriver là. Il savait qu'il méritait probablement la mort, et qu'il avait déjà eu une vie assez agitée à laquelle il fallait bien une fin.
Lui qui était allé si loin, qui avait tant bataillé.
Il repensait à tous ceux qu'il a rencontré, et un minimum apprécié... Lâchant un soupir lui rappelant le froid mordant l'entourant, tout comme la mort.
De toutes les fins, celle là était celle qu'il attendait le moins.
Le Duo montait les escaliers, la direction était vers le toit du collisée, là où sont perchées les croix. Certains disent que cela offre un beau panorama de la ville pour mourir.
Il allait le découvrir bien assez tôt, mais ce n'était pas ce qu'il avait en tête.
Il repensait plutôt à ses proches, ainsi qu'aux actions majeures ayant eu lieu.
L'explosion du Zeppelin, La Cité Légendaire, les Drakanéens, le Niflheim... Les îles volantes.
Dans sa tête, des rémanences de ses amis, Smilo, Antigone, Yoshimitsu, Bonescales, Berhlin... Qu'est-ce qu'ils auraient pensé de le voir ainsi ?
Mais là n'était peut-être pas le moment à penser à ça, c'est ce qu'il devait se dire en recevant une pierre contre sa tempe, laissant couler un flot de sang.
Soma ne réagit pas, alors que pierres et fruits jaillissaient vers lui, lancés par des Légionnaires, un Optio semblait même l'insulter en face.
- Sale tas de punaise, t'as ce que tu mérites, chien galeux.
A son habitude, Soma l'aurait salué du majeur, mais il ne réagit pas, se contentant d'un simple regard méprisant.
Le Centurion l'escortait, montant les étages, d'ici, il y avait bien une cinquantaine de mètres, et Soma savait qu'il n'y en aurait que peu de plus.
Ses pieds ne chancelaient pas, il restait ferme, stoïque, en tournant la tête, il vit à l'opposé, dans une des alcôves, des hommes à genoux, prisonniers, se faisant égorger.
Un bon sort pour eux, ils mourront vite.
On dit que les crucifiés souffrent pendant plusieurs jours. Celui là ne serait donc pas son dernier et il le savait pleinement.
Les marches jusqu'au bout commençaient à se compter sur les doigts d'une main... Une, deux, trois.
Voilà... Plus qu'une dizaine de mètres le séparaient de la destination finale, il se voyait déjà agonisant des heures durant. Il lance un regard vers le Centurion qui, étonnamment, reste calme, plutôt que de l'insulter.
La neige tombait toujours sur eux, elle est glacée, mais la tension de la situation faisait ignorer cela à Soma, entendant les cris de la foule en bas, peut-être un millier de personnes se trouvait là.
Des croix en bois étaient tendues, sur le bord, comme sur une falaise, et diverses personnes y étaient clouées, encore vivants, ou morts.
Certaines étaient vides, l'une d'elle lui était destinée. Ils s'avançaient de celle-ci, arrivant juste en face, la mâchoire de Soma se crispa, il baissa discrètement les yeux; alors que le Centurion lui demanda...
- Sais-tu que derrière toi se trouvent des années d'histoire dont je vais mettre un terme ?
Demandait-il, assez calmement.
Ce à quoi répondit Soma, d'un air assez sec,
- Ferme ta gueule et fais ton travail.
Et ceux là allaient être ses derniers mots.
Il le savait mais n'avait que faire de cela.
Des Prétoriens s'approchèrent pour porter l'homme sur sa croix, l'attachant fermement avec des cordes aux poignets, aux jambes jointes et à la gorge, il prenait la forme d'un "t".
Les cordes, ce n'était rien. Le Centurion s'empara d'un marteau ainsi que de quatre larges clous en métal inconnu, avant de s'approcher de la croix. D'ici, on avait bel et bien cette vue sur toute la ville, on se sentait géant.
Au moins, Soma n'a pas le vertige... Comparé à certains.
Mais ce n'était pas l'important, surtout pas ici.
Car à ce moment même, le premier clou s'enfonça avec véhémence dans le poignet droite de Soma, laissant jaillir un petit gémissement, qu'il étouffa entre ses dents alors que la douleur insoutenable commençait, et que du sang se déversait du poignet.
Le processus se répéta pour l'autre poignet, mais il ne put retenir un hurlement violent...
Quant aux chevilles, la douleur était là aussi impossible à conquérir. Mais pourtant, tout ça était vite terminé...
Le sang commençait à devenir glaçant à cause du froid, et Soma voyait la foule tout en bas, joyeuse.
Le Centurion esquissa un sourire satisfait avant de se retirer, l'aventurier haletant sur sa croix savait que la fin était là.
...
Mais comment en est-il arrivé jusque là ?
Pour ça... Il faut remonter dans le passé.
[RP - Soma - Akhennos (Vinifria)]
https://www.youtube.com/watch?v=g67cmn3HzjE
Dans la ville de Vinifria vint un bon jour un étranger, sous le soleil éclatant de cette courte matinée. Il ne parlait pas aux villageois, n'ayant pas grand chose à dire, et, de toutes façons, personne n'osait lui demander ce qu'il faisait, ni même faire un faux pas en sa présence, car cet étranger parmi eux portait un dispositif surprenant à sa hanche.
C'était encore tôt dans cette matinée à son arrivée, venant du sud du village, regardant lentement autour de lui.
Les villageois le regardant d'un air prudent se chuchotaient entre eux "Je pense que c'est un malfrat..."
Ce qui était certain, c'est qu'il était venu faire quelque chose de précis avec l'arme à sa hanche.
Dans ce village vivait un criminel, du nom de "Jürgen le Rouge", nombreux sont ceux à avoir voulu le prendre, et autant sont morts. C'était un homme vicieux ainsi qu'un meurtrier sans pitié.
Après quelques temps dans ce village, l'étranger se mit à parler, et a éclairé ses intentions aux habitants, c'était un humble chasseur de prime qui ne resterait que peu dans ce village, venu ici pour prendre un criminel, peut-être vivant mais probablement mort; sa seule raison ici était d'attraper Jürgen le Rouge.
Cependant, peu de temps suffit avant que cette histoire arrive aux oreilles du criminel en question, qui ne semblait pas inquiet à ce propos, ceux qui essayèrent auparavant finirent tous six pieds sous terre.
Une vingtaine de chasseurs de primes avaient attenté à cela, et une vingtaine moururent, le vingt-et-unième serait ainsi l'étranger.
La matinée passa si vite qu'il était déjà l'heure pour les deux de se rencontrer, à l'heure du midi, ils étaient déjà face à face dans les rues du petit village.
S'opposaient l'étranger aux cheveux châtains et au long manteau face à ce bandit, provenant d'Erhan, et mage du feu potent. Sa peau sombre était éclairée par des fissures enflammées et ses yeux brûlant du même feu, il se créait une aura de flammes pour peut-être détruire son adversaire, qui restait plutôt calme alors qu'une quarantaine de pieds les séparaient encore.
Les villageois regardaient, apeurés, par leur fenêtre, retenant tous leur souffle en attente du duel imminent, ils savaient tous que le joli étranger était sur le point de faire face à sa mort.
Très soudainement, le criminel de flammes prit un appui sans attendre pour foncer vers l'étranger, ses deux lames aux mains, prêt à en découdre rapidement.
Mais la rapidité de l'étranger est encore vantée en ce jour, car Jürgen ayant seulement fait quelques pas vers son adversaire vit sa cage thoracique pénétrée par un projectile métallique dans une explosion violente, sortie droit de l'objet métallique du Chasseur de Prime, dont la visée était aiguisée.
- Qu... Comment... Je...
Haletait simplement le criminel, peinant à poser un pied devant l'autre, il n'était pas encore mort, bien que cela ne saurait arriver sous peu; mais à peine fit il un lent pas étourdi, qu'une masse puissante vint s'abattre sur lui, lui déchirant la gorge, un Smilodon surpuissant s'était introduit dans la ville, seulement pour massacrer ce criminel.
Ses dents de sabres maintenant ensanglantées, et le criminel mort, il s'approcha lentement de l'étranger, avant de frotter sa tête au flanc de celui-ci, tel un chaton.
L'étranger lui caressa lentement la crinière, satisfait.
- Bien joué, Smilo.
Fit-il, à son animal et ami peu commun.
Tous les villageois semblaient ne pas réaliser encore ce qu'il s'était passé alors qu'ils se réunirent autour du corps sans vie du criminel, ayant fait la plus grande erreur de sa vie en ayant voulu se mesurer à cet étranger.
[Kintoki]
- Quoi que tu me demandes, ça viendra toujours du fond du cœur. J'ai toujours aimé aider les autres, on me reconnaît même pour ma générosité, mais après tout, faire connaissance avant ça me va aussi.
[Abigail]
- Merci, j'espère qu'on pourra devenir de bons amis. Je ne veux pas te déranger plus longtemps, bon courage dans cette bataille.
Elle le quitta avec un léger sourire.
[Varynn]
"Ah, je vois. À la recherche de son identité. Noble cause, hein. Moi, eh bien... tu sais, j'ai des affaires, par ci par là, qui m'emmènent à certains endroits... Enfin bref. Compliqué tout ça."
[Fortas]
"T'aimes pas la guerre, hum... Dommage..."
il avait dit cela avec un tel détachement, un tel ton décalé que ce n'en était pas blessant, mais absurde. Il était vraiment ahurissant, à tout point de vue. Son visage sévère s'illumina quelque peu quand il apprit qu'il était possible à Panthère et à la femme-chat de se parler.
"Alors vous vous comprenez entre fauves ? Super ! Je te trouve très cool aussi, Zabalam. On va bien s'amuser tout à l'heure."