Voila Voila ici on pourra parler de ce 5eme épisode tranquille sans balise et sans gêner ceux qui trainasse a la finir
Ceux qui qui squat le topic BlaBla l'auon compris ce 5eme épisode n'est clairement pas le meilleurs de la série a mes yeux...
-Répétitivité des missions.
-Narration de l'histoire lourdingue malgré un découpage façon série télé que j'ai trouver plutôt sympa !
-Un casting plutôt léger niveau boss et pas franchement marquant non plus...
Première fausse déception la premier fin du jeu, qui n'est autre que la fin de la saison 1, j’ai trouver ça géniale
Kojima m'aura une nouvelle fois rêver avec une fin don lui seul le secret !
Le tout premier trailer du jeu ( La seul chose que j’avais vue du jeu avant sa sortie ) ainsi que le début du jeu est..la fin du jeu...
Durant tout le jeu nous ne jouons pas celui que l'on pense, premier doute sur le personnage lors des résultat d’analyse sur Eli...
Big Boss c'est toi, c'est moi, c'est nous ! on est tous des Big Boss !
Je ne sais pas vous mais la scène ou Emmerich ce fait gentillement dégager de la Mother Base j'y ai clairement vue Kojima ce faire dégagé de chez Konami...
Dommage que la vrai fin, la mission 46 ne soit pas jouable ça aurait pu valoir des points...
A vos claviers !
J'ai adoré MGS5. Le jeu est excellent. L'infiltration est meilleure que dans le reste de la série. D'une part, L'IA est supérieure, d'autre part on est obligé de prendre des risques pour récupérer des objets et fultonner des soldats. Les combats de Boss sont aussi très bon, J'ai préféré le duel avec Quiet à the End (Crying Wolf j'en parle même pas). Le combat avec Volgin était intéressant et le combat contre le metal gear est aussi bien que celui du 2.
La mise en scène des cinématiques est hallucinante, j'ai jamais vu ça dans un jeu vidéo. Le scénario est quant à lui assez chaotique, ce n'est pas un reproche. C'est un choix de la part de Kojima. Le postulat de départ est très simple Big Boss recrée une armée. Dans le chapitre 1, il y a encore l'excuse du méchant Skull face.
Un ennemi très intéressant, bien loin de ce qu'il était dans Ground Zeroes, il peut se montrer très brutal, mais on voit aussi qu'il a eu l'occasion de tuer Achab et il ne l'a pas prise.
Dans le chapitre 2, on voit toute la mégalomanie de Miller, il ne se batte plus contre rien, il faut juste devenir plus grand. Et cette fois tous les problèmes vont venir de l'intérieur. Dans ce chapitre plus que dans le premier, le scénario ne va nulle part. Kojima essaie de faire à chaque fois des scènes riches en émotion, même si c'est assez artificiel, je trouve que ça fonctionne bien. Le procès de Huey est censé être jubilatoire, on n'est tous du côté des soldats qui réclame sa mort. Mais, c'est un des thèmes principal de cet épisode emprunté à Moby Dick, on ne se venge pas.
Concernant la "vrai" fin. Je m'y attendais au début, au moment du tout premier trailer en fait, kiefer sutherland c'est celui qui parle avec un bandage sur la tête et kiefer c'est Big Boss, mais au court du jeu, je l'ai totalement oublié pour m'en souvenir au début de la dernière mission. Et là je me suis dit, "tu commences à comprendre pourquoi le test de Eli était négatif". Même si pour le test je m'étais dit "comme celui de solid Snake au fond d'une tombe". Ainsi à la fin de cette mission, la seule chose qui m'a étonné, c'était de voir que le médecin n'avait pas inversé les visages. Mais sinon, ce prologue/épilogue est vraiment bizarre. Ismael se prend un coup de couteau dans l'épaule, au bout de quelque seconde, il enlève sa main et il n'y rien. Après, il se fait brûler, encore une fois il s'en sort indemne. Par la suite, il se fait tuer la où le personnel médical se réfugie, quelque seconde après il revient. Et pour finir, après les tires de l'hélicoptère, il tombe raide mort sur le guidon et encore une fois ressuscite.
J'ai également adoré écouter les cassettes, j'ai bien aimé ce qui a été dit sur les langues. Et le passage sur les hamburgers, qui me fait penser à la réalisation d'un metal gear. Peut-on parler de thèmes sérieux et en même temps faire des scènes de violence gratuite, de torture et de démembrements et des gros plans sur Quiet à moitié dénudés. Finalement, lorsque je voyais une scène totalement débile dans MGS4 et que Ultimatesnake y voyait une critique de l'impérialisme américain, peut-être qu'il avait raison.
Toute la première partie du jeu est énorme , la narration qui prend son temps et le rythme qui accélère au fur et à mesure , l'histoire distillée sous forme de puzzle où le joueur est vraiment actif dans la découverte via les cassettes notamment, le gameplay au top avec un "open-world" ludique qui permet une véritable liberté d'action (et pas un simple choix d'activité entre une mission linéaire A , B, C ou boire le thé avec mamie en QTE, ou bien une simulation de promenade ) , les missions énormes , les possibilités qui se développent au fur et à mesure , les missions annexes pour s'aérer un peu .... et puis ..et puis
Une fois finis le chapitre un , et même si certaines missions sont toujours énorme , même si le rythme est soutenue , ben y'a un truc qui cloche ... les missions à rejouer (ou pas) , l’enchaînement scénaristique étrange , la fin (excellente) qui tombe comme un cheveux sur la soupe ...et puis ...et puis ...
Plus rien.
Il manque la réponse a beaucoup de questions posés par cet épisode ( Huey, Eli, Mantis ? , l’enchaînement avec mg1 ?L'homme en flamme dans la mother base ? ) et il manque des éléments de gameplay qu'on nous faisait miroiter ( le walker gear ? Le metal Gear ? L'utilité de la mother base ? Les portes rouges ? ) Une énorme frustration ....
Du coup ouais, Mgs V n'est que la moitié d'un chef d'oeuvre pour moi ...frustrant ....
En ce qui concerne les boss je trouve que c'est plutôt bon, voir excellent . J'ai surkiffé certains affrontement.
Des boss on en a : Quiet , les skulls (3 ou 4 fois avec des techniques différentes ) , Volgin , le Metal Gear ... voir même Eli ...après on s'éloigne des anciens mgs au niveau des techniques pour les battre. Les boss ont suivit l'évolution du reste , c'est à dire qu'on est beaucoup plus libre que dans les anciens pour les affrontements... on peut même en éviter certains...
Après si on parle de l'histoire des boss, effectivement l'histoire des skulls n'est pas incroyable et ça ne deviendra pas un "perso" inoubliable de l'univers mgs . Mais c'était deja le cas des BB dans mgs4, des mecha dans PW, des cobras dans mgs3, voir de la majorité de la dead cell ... par contre le traitement de ELI, de Mantis et de Volgin est graaave décevant .... heureusement qu'il reste Quiet (qui aurait pu foutre un froc sans déconner )
Hello
Pas trop le temps de développer mais ce phantom pain, une fois à froid, me laisse penseur...
il est clair que le jeu est rafistolé de toute part et construit un peu à la bric broc comme on dit chez nous (de façon nawak comme on dit aussi).
Les defauts sont multiples, parfois tellement surprenant voire importants que je tuerais n importe quel jeu mais pas Phantom Pain.
Je regarde la saga, ma saga (non pas que je désire vous en déposséder mais tout simplement parce que c'est LA saga que j'investis) et je vois dans ce Phantom Pain:
- mon intro préférée...
- le meilleur gameplay de très loin...
- le meilleur final
Dès lors, forcément je le place très haut dans mon estime.
Pour vite parler du final...
J'ai tellement investis cette saga (les écrits, les milliers d'heures, les tuto, les speedrun Mgs2/4, la modération durant 5 ans, la collection de fou (on peut le dire)...) que je me suis pris une claque énormissime avec les "tu es snake" moi qui, au sport avec mes potes aux maillots floqués de surnoms, a floqué snake dans son dos ...
Forcément j'ai vécu une scène finale inimaginable.
Peut être même la plus grande fin de toute mon expérience vidéoludique...
sinon:
"Finalement, lorsque je voyais une scène totalement débile dans MGS4 et que Ultimatesnake y voyait une critique de l'impérialisme américain, peut-être qu'il avait raison."
==> ha bah merci.
Raison ou pas finalement ce n'est pas très important.
Ce qu'il y a d'important c'est, je pense et je le pense bien + à l'heure actuelle, laisser une place au doute.
Moi aussi, il y a eu des tas de trucs que j'ai envie de dire, mais qui me sont sortis de l'esprit. Au début, lorsque je voyais énormément de personnes se plaindre de Skull Face parce qu'il n'était pas comme dans Ground Zeroes et pas aussi omniprésent, j'essayais de contre argumenté, mais finalement ça ne sert à rien, c'est voulu par KOjima, cette vengeance (comme toutes vengeances) devait décevoir. Finalement, c'est moi qui aie adoré cette fin qui suis totalement à côté de plaque, même si je voyais ou Kojima voulait en venir.
Concernant la mission 51, je n'ai rien regardé, mais Liquid qui s'enfuit à la fin du MGS terminal avec le metal Gear, ce n'est pas du tout quelque chose qui m'a choqué, bien au contraire.
J'ai également adoré ce grand n'importe quoi maîtrisé à partir du chapitre 2. Au début, je m'attendais à ce que l'on refasse uniquement des missions de contrats ou des recrutements et puis il y a eu des missions scénarisées du passé à laquelle faisait suivre la continuité du scénario dans le présent.
Concernant la vraie fin (même si pour moi, c'est difficile de concevoir qu'il y ait un moment du jeu qui soit la vraie fin plutôt qu'un autre). Je l'ai adoré dans un premier temps en tant que tel, malgré ses incohérences volontaires. Et puis, j'ai vu une théorie qui disait que Achab est réellement Big Boss. Vu les incohérences, avec l'heure du départ de Big Boss et les hallucinations. Je me suis de que c'était tout à fait possible. Et puis, je me suis alors posé la question, mis à part le fait que ça soit cool, à quoi ça sert de faire ça. Il est dit plusieurs fois que le monde et Zero ont besoin de Big Boss et de son armée, les soldats le suivent parce que c'est une icône. Zero n'a donc pas intérêt à briser cette icône, mais à l'utiliser. En effet, même si Big Boss est la figure de proue de Diamond Dog, cette organisation est essentiellement gérée par Ocelot et Miller conjointement malgré le fait que la décision finale appartient souvent à Achab. Ocelot est avec Zero. Il faut alors voir le moment où Ocelot révèle à Miller que Achab n'est pas Big Boss et à quel moment Achab l'apprend, à la fin du jeu. Lorsque la mother base à bien grandie, lorsque Diamond Dog devient trop grand. Quel meilleur moyen de faire douter un homme et ceux qui travaillent avec lui qu'il n'est pas lui même.
On pourrait parler des testes ADN, mais d'une part, c'est Ocelot qui a eu les résultats et comme Emma l'a dit pour les gênes dans MGS2 : Est-ce qu'on a vu les résultats, est-ce qu'on saurait les interpréter.
Une des phrases de Big Boss dans MG2 est "You saw those children, didn't you? Every one is a victim of a war somewhere of the world. And they'll make fine soldiers in the next war. "
Et c'est exactement ce qu'il voulait faire avec les enfants avant que Miller ne s'y oppose.
Je ne dis pas que cette théorie prévaut sur la fin Achab est le médecin. à la fin de MGS2, Raiden est totalement déboussolé, il se trouve avec Snake en tenu de combat au milieu de New York invisible au milieu des passants. Il ne sait pas quoi croire et Snake lui répond qu'il peut choisir.
MGS5 me réconcilierait presque avec MGS4, je pense l'avoir déjà dit, mais bon. Avant le générique de fin. Solid Snake charge son pistolet et s'apprête à tirer. On entend qu'un seul coup de feu. Après le générique, on observe le patriot fumant de Big Boss et l'arme déchargée de Solid Snake. A mes yeux, l'épisode qui était là pour répondre à toutes les questions n'était pas là pour laisser place à quelque chose d'aussi tordu. Et finalement, je pense que si, étant donné que c'est assez subtil. A l'époque, j'avais bien lu que Big Boss tire sur le pistolet de Snake qui tire en même temps. Je ne pense pas que ça soit le cas, mais c'est une hypothèse comme une autre. Pour moi, Snake tire, mais ne meurt pas, parce que Kojima en a décidé ainsi et qu'on ne le voit pas mourir.
C est une façon de voir les choses.
j'avais pas vu ce topic. J viens juste de le finir. je repasse ce soir pour en parler.
A chaud et après 109 heures de jeu soit toutes les fins et presque la totalité des side ops.
Bon, je vais commencer par le point positif du jeu qui doit mettre à peu prêt tout le monde d'accord, le gameplay ! C'est même pas trop la peine d'épiloguer la dessus je pense. Presque chaque mission est un générateur d'epicness en puissance si tant est qu'on joue le jeu sans faire un reload dès qu'on est en difficulté. Ça j'adore ! J'ai des anecdotes à la pelle sur des rattrapage de situation in extremis... Bref, MGSV est le nouveau maitre étalon du genre ! Si si, cherche même pas.
La ou je suis bien plus mitigé c'est sur le système de narration et l'histoire en elle même. Pour moi le plus gros problème du jeu est facile à identifier ; c'est un Metal Gear.
C'est un Metal Gear, et ça, j'ai l'impression que ça à bien fait chier Kojima tant les éléments scénaristiques faisant référence à la saga sont intégrés au forceps. Ulti, tu as toujours dis après MGS4 que pour Kojima ce qui comptait c'était le gameplay, je crois que MGSV en est l'ultime preuve.
Cependant je ne dit pas que l'histoire qu'on nous sert est mauvaise, loin de là, je dis juste qu'on est à des années lumières de la philosophie de la saga. MGSV est même l’antithèse.
C'est en ça qu'il me laisse un arrière gout d'amertume. Car comme je le disait, les références aux autres opus sont intégrés au forceps et les nouveaux éléments qui enrichissent la saga sont ultra... Comment dire..? Vaporeux, flou, chimérique ? N'en déplaise cette fin absolument magistrale qui n'apporte pour ma par que des incertitudes tant il y a de contradictions et d’incohérences.
"Il n'y a pas de fait il n'y a que des interprétations" cette phrase bien connu est je pense le point de départ du travail de Kojima sur le scénario de MGSV. Je trouve l'idée remarquable autant que j'ai le sentiment que ça a été une solution de facilité. En gros on raconte une légende et tous ce qu'implique ce terme.
Le souci, c'est que j'attendais autre chose de ce MGS. Un MGS4 bis ? Certainement. Je pense que le fan service du 4 aurait eu bien plus ça place dans MGSV dans la mesure ou il était chronologiquement entouré des autres épisodes et de grands axes connus comme Liquid, Solid, Sniper Wolf, Gray Fox...
Bref, comme je l'ai dit plus haut, c'est à chaud et donc pas vraiment structuré. J'ai encore plein de truc à dire mais mon cerveau est encore entrain d’assimiler l’expérience. Mais si je devais conclure je dirais qu'on à faire à une excellente Phantom Pain et un mauvais Metal Gear à la fois.
Merci
J en étais persuadé et ce dès la fin de mgs4
vous avez vu ca??
(attention, ca spoile mechamment forcement.
http://www.gameblog.fr/news/53521-metal-gear-solid-5-une-incroyable-fin-cachee-impliquerait-le
entre nous ce serait du génie.
et ne jamais la voir démontrerait bien le bon sens absurde de l humain que Metal Gear dépeint depuis des décennies.
C'est énorme ! Ça pourrait être la fameuse chose qui ne serait possible que dans un jeu video dont il nous avais parlé !
Et en même temps tellement impossible.
Ou comment prendre un moyen théoriquement possible et pratiquement impossible pour montrer l utopie de la paix dépeinte depuis 30ans.
Si c est le cas, c est au delà de tout niveau 4ème mur dans le domaine du jeu vidéo.
C'est du Kojima ça...du pure génie. Juste énorme
Si vous avez envie de parler de la fin du jeu, hésitez pas à venir sur le forum, on mord pas ( pas tous )
Joueur, Venom est toi, tu es la vraie légende. Le vrai acteur...
30 secondes plus tard:
1995: Solid Snake tue le fantome de Big Boss.
-Retour à la réalité, pafff :clown:
Venom est nous donc Solid Snake nous tue.
J'ai rien à ajouter.
Comme dit ladage: "Snake c'est plus fort que toi."
legendsnake???
n empeche ce final quoi...
j'm'en remets toujours pas.
Mais faut bien avouer qu'il est assez con ce Solid Snake.
Il n'avait pas remarqué que le Big Boss de MG1 a un bras bionique et une corne au crâne et que celui de MG2 n'en a pas. Ou peut être qu'il est myope.
On tient la grande révélation de MGSV là et le message caché de Kojima.