Être caissier quand on peut être Chouf
Les seules exceptions sont les travailleurs détachés d'ailleurs.
Être serveur quand on peut être dealer
https://www.youtube.com/watch?v=LZzR7-apnKA
Rimbaud, amuse-toi à compter ton % de correspondance avec la chanson et partage-nous le résultat ici stp.
T'as vu un de mes interlocuteurs utiliser l'argument que je dénonce ?
Moi.
je suis pas un bobo pt1
demandez à Imbatable il m'a vu IRL
Mais bon, on est dans un pays de ratés où il faut soulager notre frustration d'avoir une carrière minable en crachant sur les gens qui vivent grâce aux aides. Tellement plus simple quand ça permet de ne pas s'attaquer aux puissants et encore moins de se remettre en question.
http://www.overclockingmadeinfrance.com/de-la-gddr5x-pour-les-gp104/
Je te vois trop écouter du Manu Chaos en plus.
En plus je vois les bobos comme des proches du pouvoir, ceux qui s'acoquinent avec les capitalistes, or ça n'est pas mon cas puisque je combats les puissants et les propriétaires du capital, défendant ainsi le travail ^^
Avril, tu vas voter pour qui en 2017 ?
Voter en France
-Hé t'as vu le parachute doré du patron de total ?
-Non, mais t'as vu le salaire du DRH de Bouygues ?
-Hé les mecs, on s'en fout, regardez plutôt ce mec au chômage qui fait plaisir à sa fille pour noël en achetant un écran plat.
« L'adulte ne croit pas au Père Noël. Il vote. »
(PD)
Quand je dis PD je n'insulte pas l'auteur, je dis juste que c'est Pierre Desproges.
Pour qui je vote ? Pas pour quelqu'un qui dénonce l'assistanat pour monter les français les uns contre les autres, déjà.
Ouf, j'ai cru que tu étais Cyborgophobe
Canal+ n'influence rien ni personne. C'est une sous-chaîne qui ne sera bientôt plus là.
Le problème c'est que le capitalisme a imposé son langage, ses modes de pensée, ses modes de raisonnement, et a atteint son stade qu'on pourrait dire « ultime » à travers le spectacle, c'est-à-dire la marchandisation des biens et des personnes.
Aujourd'hui critiquer le capitalisme est à peu près impensable parce qu'on est tellement «« formatés »» par l'école de pensée et de langage capitaliste qu'on n'en trouve même plus les mots.
Tout au plus, si on pousse la critique un peu loin, nous rétorquera-t-on que « c'est le système qui est ainsi » ou qu'on est « qu'un coco ».
Ce cynisme et cette absence de remise en cause des gens du système dans lequel ils semblent se complaire et s'épanouir alors même qu'ils en sont victimes sont assez dangereux, à mon sens.
Heureusement que Frédéric Lordon est là pour nous ouvrir les yeux.
cimer chef
Le problème ce n'est pas les rêgles, mais le cheval