la suite

hyper bien super la voie des vrai sith la suite

Pour répondre a ta question Arkantos, Kreia raconte dans Kotor 2 qu´autre fois il y eu une Darth Traya, je me suis inspirer de cette phrase pour produire une intrigue plus pointillente, et pour l´instant Den tiens a apprendre la vois des Sith pour s´approcher de cette mère qu´il n´a jamais connus, toute fois la suite sera plus noir et il y aura beaucoup de suspence sur la nature de la chute de l´exilé dans le coté obscure de la force, Brianna jouera un role primordiale et Mira et Atton vont commencé a ce meffier de Kreia, mais ce sera pour la suite

Tu nous mets déjà l´eau à la bouche!!!!

Au moins tamene nous raconte la suite il ne fait pas comme lucasarts qui nous fait avec la fin de kotor 2 et toujours pas de 3...

Ok, vivement la suite alors.

désolé pour le retard j´étais en mission, mais je vous promet que la suite sera dés demain

Retour a Onderon :

Ainsi Den devint le seigneur Sith Darth Trayus, un homme a la fois bon et cruel, honorable avec ces amis et alliers, impitoyable avec ces ennemies et opposants. Mais aucune prise de pouvoir ne lui venait a l’esprit, et la domination des autres lui était étrangère, le nouvel homme que devint Den est simplement inclassable, un être qui gardait le contrôle de la lumière, et maîtrisait parfaitement les coté sombre de la force, une balance que peu de Jedi ont réussi a atteindre.

Kreia lui enseigna la philosophie de la Sith, elle commençait tout de fois a craindre son apprentis qui paraissait s’éloigner de son emprise, comme si son esprit lui demeurait encore plus fermer qu’auparavant, est ce que Den est réellement tomber du coté obscure ? si c’est le cas pour quoi elle a ressentis cet écho étrange au moment ou il lui a demander de lui enseigner les enseignements obscures ? Et comment ce fait il que la force en lui biens que plus puissante semblait plus sauvage et plus canalisé qu’autre fois, l’exilé ne montrait aucun signe de chute dans les ténèbres, hormis son œil gauche qui devint jaune, signe des Jedi noir, mais alors que signifiait son œil droit qui devint plus bleu et plus brillant, signe du coté le plus lumineux de la force ? Jamais elle n’avait vus un phénomène de ce genre auparavant, ni cher les Jedi, ni cher les Sith, ni même cher Revan.

Den de son coté ne prononçait aucun mot, il était froid mais serein en même temps, mais il écoutait attentivement Kreia lui inculquer des leçons de philosophies et d’histoires.

- La république a la quelle vous avez risqué votre vie durant la guerre, dit elle gravement, est en réalité née d’un génocide qui a frapper des milliers de mondes, cette république qui regroupe plusieurs planètes fut autrefois un empire diriger par un tyran nommé Xim le despote. Xim qui fus un seigneur de guerre lança une pensée qui ce transforma en philosophie : « Il y a pour les races supérieurs un droit parce qu’il y a un devoir pour elles. Elles ont le devoir de civiliser les races inférieurs » de ce tyran ont pouvait comprendre quel amour il portait pour la race humaine, et le mépris qui le rangeait des races humanoïdes qui étaient a ces yeux des êtres incapable de réfléchir ou d’avoir une pensée lumineuse. Xim avec arrogance pensait que l’intelligence des races autochtones était inférieur a celle des hommes, ils ne savent que construire des huttes et allumer un feu avec difficulté. Riens de plus riens de moins. Mais la ou le bas blesse pour ceux qui croient en cette philosophie noir, c’est que la technologie des descendants de Xim n’a riens avoir avec un esprit humain, ont apprend par exemple que les Durosiens furent les premiers a voyager parmi les étoiles alors que la race humaine mangeaient des fruits et des insectes, et même pour nous Jedi tombons de haut quand nous apprenons que l’holocron n’est pas l’apanage des Jedi, mais ce serait les Sith qui furent les premiers a utiliser ces appareilles qui peuvent refermer de nombreuses données, alors que nous Jedi utilisions encore des parchemins et des papyrus incapable de défier le temps.

- Vous voulez dire que les Jedi auraient volé la technologie des holocron aux Sith ?

- Et ils ne le reconnaissent pas ! Répondis Kreia, l’arrogance fera toujours partis de ces êtres, méfier vous de ceux qui possèdent une fois inébranlable en une constitution politique, car aucune n’est infaillible.

- Qu’en est il de la démocratie ?

- Ce que les gens ignorent c’est que même les hommes de bien ne sont pas toujours d´accord. Ils peuvent évaluer les faits, les étudier de tous les points de vue, et pourtant parvenir à des conclusions opposées. Et chaque camp peut croire, le coeur pur, que seul leur point de vue est correct. Quand cela arrive, il est facile de perdre de vue quelque chose de bien plus important que qui a raison et qui a tort. C’est ce qui ce passe dans les sénats avec les sénateurs, ils ce querelleront sur qui a raison ou tort et pendant ce temps le peuple est oublier et coure a sa perte. Un pouvoir multiple ne vaut riens, dit Kreia froidement, un seul homme doit être le chef, doit être le leader, il n’appartiens qu’a lui de prendre les bonnes décisions. Voila votre première leçon de Sith.

- Un leader qui incarne le pouvoir ! dit Den gravement, et un autre pour le chercher, ne serait ce pas le portrait de Revan et de Malak que vous me tracez ?

- A vous devoir.

- Vous étiez le mentor de Revan n’est ce pas ?

- Oui ! Admit Kreia, Revan était mon padawan et je l’ai connus comme un maître qui connaît son élève.

- D’où venait il ?

- Ce sera une question sans réponse, peut être dans la bordure extérieur, je ne sais pas.

- Comment était Revan entant qu’élève ?

- Il était le pouvoir ! répliqua Kreia le regard perdus, de son âme ont pouvaient aisément voir le Jedi qu’il ferait périr, je lui appris tout ce que je savais, et quand sa formation fut terminer il ce tourna vers d’autres maître, Arren Kae lui appris le Djem-So et le pouvoir de stase, Vendar lui appris le Soreçu et le Morichro, et Zhar Lestin lui enseigna le maniement du double sabre et le style Jer Kaï, puis il ce tourna vers d’autres cultures, il apprit des moines Falanassi comment créer des illusions, les Zeison Sha lui enseignérent les armes de jet, Les Matukai lui apprirent comment canaliser la force avec le corps, mais aussi le peuple Stemba qui lui enseignèrent la dense des eaux, une forme peu orthodoxe pour les Jedi, mais une fois qu’il a compris sa véritable nature il sut qu’il ne pouvait plus rester avec les Jedi, et qu’il allait les quitter pour toujours.

- J’en suis désolé ! dit Den doucement.

- Utilisez mon savoir pour me dépasser ! Conseille Kreia, faites preuve de force et de courage et ne laisser plus personne vous juger a nouveau, car jamais les Jedi ne pourront vous comprendre, ni vos maîtres, ni vos amis parmi eux.

- Pour quoi ?

- Parce que vous avez réussi a survivre sans la force, dit Kreia d’une vois sombre, et cela jamais ils ne le comprendront. Vous êtes maintenant un Sith, et vous êtes seul.

bravo taméne, continue comme ça!!!

bravo taméne, continue comme ça!!!

trop trop bien mais j i pense quand il va retourner au vaisseau ces amis

Sur un arbre, tenant un fusil Blaster a lunette, Lisa observait les éclaireurs envoyer par le colonel Tobin avec son viseur infrarouge, la tireuse d’élite suivait leur mouvement depuis vingt minutes. Après avoir assassiner Saquesh a Nar Shadaa l’anciens capitaine ce rendis sur Onderon pour une mission très complexe, assassiner le général Vaklu qui possède de petits contactes avec des curieux personnages qui lui donnent suffisamment de moyens pour une petite révolution contre la reine Talia, Lisa avait beau essayer d’infiltrer le milieu elle n’y est pas arriver, ce Vaklu est très protéger et le tuer ne sera pas aussi facile qu’abattre un chiens Kath.

Mais jamais elle n’aurait espéré que Den puisse revenir un jour sur Dxun, le général est sur cette lune et elle était sortie d’Onderon à la pointe des pieds pour trouver l’exilé, l’Holonet avait annoncé que l’incident spatial était une attaque de la république, la propagande est pire que l’assassinat, et si il y a une chose que Lisa déteste, c’est le mensonge. Les éclaireurs tremblaient comme des feuilles, car pour eux, Dxun est un endroit maudit, embrumé et pleine de bêtes féroces, ou seules les cris des chouettes résonnaient dans les nuits obscures.

Aussitôt un des soldats tomba foudroyer en pleine poitrine, le chef cria de ce mettre a couvert mais d’autres tires firent mouches et tuèrent le reste de l’escouade, le chef ce cacha derrière un rocher et vida tout son chargeur en tirant dans toute les directions.

- Alors ! dit une vois féminine, ont a plus de munitions ?

Soudain le regard du survivant ce vida et s’anima en même temps, il venait de sentir un canon de fusil Blaster coller sur sa tête, en ce retournant il aperçut une femme habillé d’une tenus militaire qui lui souriait avec un air impassible. Une vois glaciale l’ordonna :

- tiens toi tranquille, si tu veux vivre encore un petit moment.

Lisa s’approcha de lui et le désarma puis lui donna un beau coup de poing a la gueule pour lui signifier que c’est elle qui commande.

- Je m’appel Hesse, dit elle froidement, Lisa Hesse.

Et elle laissa tomber sur la poitrine du pauvre homme une balle en Kortosis.

- C’est ma signature ! dit elle sur le même ton glaciale, et c’est aussi ton ticket de sortie de ce monde.

- Je vous en prie. Je ne……j’ai une femme et deux gosses. Ne faites pas ça !

- Pour quoi ? demande Lisa froidement.

- Parce que je suis innocent !

- De quoi ?

- Je suis un marchand qu’ont a enrouler de force dans la milice, je ne suis pas des leurs !

- Je ne t’ai pas donné ta chance pour me montrer quel chic petit gars tu es. Répliqua Lisa avec froideur, je te donne seulement une chance pour me montrer si tu peux dire la vérité. Comprends moi, si tu étais un des leurs comme tu le dis, je me fatiguerai pas a t’expliquer tout ça, eux ils connaissent la music. Alors recommence ! Pour quoi Vaklu vous a envoyé sur Dxun ?

- Assassiner le général Den Orion !

- Sans blague ! dit Lisa avec un sourire moqueur, tu crois vraiment que des minables comme vous ont une chance d’espérer tuer un homme comme le général Orion ?

- Pas nous ! Nous ne somme que des éclaireurs, eux ils sont qu’a quelque heures de marches d’ici.

- C’est qui eux ? !

- Les seigneurs noirs.

Lisa leva les yeux et regarda dans toutes les directions, la brume ce levait et devenait épaisse, le capitaine fronça les sourcilles, ainsi la rumeur était vrais, Vaklu a bel et biens des Sith comme allier.

- Combien sont ils et qui est leur chef ?

- Nombreux mais je ne sais pas qui est leur chef, c’est la vérité je vous le jure.

- Pour quoi ils veulent tuer le général ?

- A ce qu’ont dit, le général serait le dernier Jedi encore en vie, et les Sith veulent plutôt le capturer vivant pour en faire je ne sais quoi, en échange Vaklu deviendra le prochain roi d’Onderon.

Lisa chargea son Blaster et regarda l’homme droit dans les yeux.

- Tu as vraiment une femme et deux gosses ?

- C’est la vérité.

- Il est très rare que j’épargne mes prisonniers, mais aujourd’hui je vais faire une exception, mais fais gaffe, va pas croire que c’est pour toi que je le fais, je ne tiens pas que tés gosses perdent leur père, et t’aura intérêt a garder ça pour toi, ou sinon je vous buterai toi et toute ta famille et crois moi je le ferais sans hésiter.

L’homme hocha la tête vivement, Lisa lui tourna le dos.

- Tires toi ! Ordonne-t-elle.

L’homme partis au courant et laissa Lisa échafauder son plan de bataille, ces chances de réussite sont nuls et il est probable qu’elle ce fasse tuer, mais elle ira jusqu’au bout, comme il y a cinq ans.

- Venez voir maman mes chéries ! dit elle d’une vois démoniaque, elle est de très mauvaise humeur aujourd’hui.

c´est parfais continue j´attend avec impatiente
la suite

J´adore l´humour sarcastique de Lisa...

Une Lisa parfaite!
J´attends la suite avec impatience!

mais oui j arrive lisa lol TROP BIEN tamene la suite

Les maraudeurs Sith, les guerriers les plus farouches des vestiges de l’ordre Sith, des êtres qui ont vendus leurs âmes au coté obscures, des infâmes prédateurs assoiffées de massacre et de combats, en bref de vrais machines à tuer capable de combattre une armée de soldat biens entraînés, ils avançaient lentement dans la brume de la jungle de Dxun, la nuit était d’un noir effrayant et le vent soufflait faisant trembler les feuilles des arbres, dans l’ombre Lisa observait les maraudeurs avec ces lunettes a infrarouge, la jeune femme était habillé d’une tenus de combat noir moulante des forces commandos, elle avait une grosse ceinture contenant des bombes et des détonateurs thermiques, son Blaster Carth Onasi accrocher dans sa hanche droite, et un Blaster Mandaloriens sur sa gauche, sur le dos elle avait fusil Blaster a répétition a canon scié, une arme conçus par ces soins pour la grande fête de ce soir, l’anciens capitaine en rompant décrocha son poignard denté et observa les maraudeurs qui s’arrêtaient et regardaient les cadavres des éclaireurs.

Le capitaine décrocha son détonateur et appuya sur un bouton, aussitôt une bombe explosa et tua une dizaine de maraudeurs qui volèrent dans les aires emportés par la déflagration, puis elle actionna une seconde charge et une autre bombe explosa et tua six autres. Les Sith activèrent leurs sabres lasers et regardèrent dans toutes les directions, il faisait nuit et le brouillard masquait leur vision nocturne, Lisa décrocha son fusil Blaster a répétition a canon scié et ce faufila derrière les arbres. Elle pointa son arme, visa, puis tira un rayon qui toucha un maraudeur en pleine tête, ses lascars sont peut être des machines a tuer, mais ils ne font pas le poids face a un vétéran des guerres civiles et Mandaloriennes, l’anciens capitaine changea de position et d’arme, elle décrocha son garrot en nylon et ce mit a rompre sur le sol, un maraudeur recula jusqu’aux buissons, puis Lisa bondit a une vitesse fulgurante et renferma rapidement le garrot sur la gorge du Sith et l’entraîna en silence vers les buissons tout en l’étranglant, le maraudeur ce débattis puis cessa de bouger, Lisa pour vérifier qu’il soit biens mort, planta son poignard a deux reprises sur le cœur. Lisa jeta un regard circulaire, puis changea de stratégie.

Dix sept morts au moins d’une minute, ce tueur était d’une efficacité effrayante, le chef serra son sabre et appela a lui toute la force du coté obscure pour localiser ce type, mais cette dernière lui souffla qu’il était a la fois partout et nulle part, aussitôt, un maraudeur tua son camarde d’un coup de couteau, puis éventra le deuxième, et planta sa lame denté dans l’œil du troisième, puis roula a terre et décrocha ces pistolets Blaster et tua le quatrième et le cinquième, et plongea ensuite dans les buissons et lança au passage un détonateur thermique pour le reste du groupe, une violente explosion ce fit entendre de loin et Lisa enleva le masque du maraudeur Sith, ils sont tous mort et l’opération est un succès complet, sa ruse avait marchait et vingt trois guerriers Sith sont morts.

Mais le capitaine sortis doucement son épée courte de son dos puis bloqua rapidement un coup porter par la droite, ils étaient vingt quatre, et elle ce disait biens qu’il en manquait un, cette fois le combat sera plus dure, la surprise était son seule recours pour battre les maraudeurs, mais maintenant elle aura plus de mal a combattre un seul, Lisa bloqua les charges furieuses du Sith avec difficulté, puis elle essaya de contre attaquer mais riens y fait, il était très fort dans le maniement du sabre, ce dernier réussi a blesser son bras gauche puis planta son sabre dans sa cuisse, Lisa hurla de douleur et riposta avec un vigoureux coup de poing qui lui fit reculer de quelque pas, mais il revint et lui cassa le bras d’un violent coup de genoux dans son avant bras, le capitaine tomba et gémit de douleur. Mais elle ce releva en titubant et serra les poings avec rage, les soldats du cent vingt septième ne reculent pas, elle essaya de reprendre le combat mais le Sith projeta une poussée de force qui l’envoya par terre.

Elle n’avait plus de force et le Sith s’avança vers elle en tournoyant son sabre, le capitaine avait l’épaule brisé et une blessure sérieuse a la cuisse et dans l’avant bras, le Sith leva son sabre pour le coup de grâce et ricana avec un air sadique.

- Prie ! Ordonne-t-il froidement.

- Je ne suis pas religieuse ; répliqua Lisa avec froideur. Aller vas y pourriture ! Achèves moi et qu’ont en finissent.

Le Sith leva son sabre et Lisa ferma les yeux en murmurant :

- Pour le cent vingt septième !

Le capitaine le foudroya du regard, elle affrontera sa mort les yeux ouverts sans peur et sans reproche et avec honneur, mais alors que la lame rouge s’apprêtait a lui couper la tête, un phénomène étrange se produit a cette instant, Lisa disparus et la lame fouetta le vent sans riens transpercer, le maraudeur regarda a droit et a gauche, mais en ce retournant il aperçus un homme tenant Lisa Hesse dans ces bras, comment a-t-il fait pour ce déplacer a cette vitesse foudroyante ? Et comment ce fait il qu’il n’avait pas sentis sa présence ? Et d’où sortait ce type tout d’un coup ? L’homme était habillé d’une bure de Jedi guérisseur et la force bouillonnait en lui comme une mer déchaînée. Cet homme était d’une noblesse et d’une carrure intimidante et possédait un œil bleu qui brillait d’une lueur lumineuse, et un autre œil jaune qui brûlait de mille feus, sans oublier son brassard de général accrocher dans son bras, c’était donc lui.

Lisa ouvrit les yeux et aperçus Den qui regardait le maraudeur avec froideur, elle sourit faiblement et ce blottit dans ces bars de guerrier, elle a faillis mourir et pourtant le destin lui était vraiment favorable. Et quel destin ! Être sauvé par Den sur Dxun.

L’exilé sortit son sabre bleu tout en tenant Lisa contre lui, le maraudeur fonça en criant de rage, mais le général sans bouger lança son sabre qui ce mit a tournoyer comme un boumerang, le Sith réussi a l’éviter mais le disque lumineux contrôler par la force revins par derrière et coupa l’assaillant par la taille en deux, puis partis ce poser docilement dans la main de Den qui le désactiva et le rangea dans sa ceinture, Kreia qui observait la scène depuis une colline élever hocha la tête et disparus dans les ténèbres dans la jungle de Dxun.

Den posa doucement Lisa dans l’herbe humide, mais la jeune femme restait blottis dans ces bras et trembla de plus en plus, elle a faillit mourir et cette idée la terrifiait, avait elle peur de la mort ? Elle qui l’a affronter a mainte reprise ? Essayant de lutter contre ces émotions elle explosa en sanglots, Den enleva sa cape et couvrit la jeune femme tendrement, elle frappa la poitrine de Den et ce dernier lui caressa gentiment les cheveux.

- C’est fini ! dit il doucement, sa va aller.

- J’ai eu peur, général ! Dit elle effrayer, j’ai eu peur de mourir.

- C’est normal ! dit il avec sagesse, la vie est un combat qu’ont livre pour mériter une place en ce bas monde.

- Je suppose que m’avez rendus l’appareil ! dit elle avec un faible sourire, hein général ?

- Ce ne sera jamais nécessaire capitaine, dit Den gentiment, je serais toujours la pour mes amis.

- Alors ça ne vous dérange pas que je reste blottis dans vos bras ? Dit elle avec une vois de velours.

Den éclata de rire, le capitaine ne changera jamais, séductrice et charmeuse même dans des moments comme ceux-ci.

- Pas du tout ! dit il en soulevant Lisa qui passa ces deux mains dans le cou de Den.

Den en portant Lisa dans ces bras, prit le chemins du retour a l’Ebon Hawk, pendant qu’il la portait, le capitaine le regardait avec des yeux émerveillés.

- Vous savez général ? dit elle amusé, c’est la première fois que je vous vois rire, ça vous rend plus séduisant que jamais.

- Je ne souris pas beaucoup je sais ! dit il doucement.

- Après ce qui c’est passer avec les Jedi je comprend que vous ne souriez plus, dit elle gravement, si vous voulez en parler je suis très bon publique.

- Vous êtes très gentille capitaine ! dit Den reconnaissant, mais voyez vous je suis un Jedi en exile, et j’essaye de faire de mon mieux pour regarder le monde tel qu’il est, cruel et sans pitié.

- Ils vous en virer à cause des guerres Mandaloriennes ?

- Il y a de ça ! Mais il y a autre chose et je compte biens le découvrir.

- Est il nécessaire de prendre tant de risque ?

- Je veux la vérité Lisa, dit Den gravement, et je la voudrais quoi qu’il m’en coûte.

Dans son regard, Den lut un encouragement.

- Capitaine pour quoi m’aviez vous embrasser ? demande Den d’une vois douce.

Les yeux de Lisa s’élargirent puis elle rit doucement.

- C’est biens la dernière chose à la quelle je m’attendais, je vous ai embrasser parce que j’en avais envie.

- Est-ce la seule raison ?

- Vous êtes quelqu’un de modeste, malgré vos aptitudes guerrières vous gardez la tête froide et je vous ai toujours admiré pour ça, tout les homme que je rencontre sont des idiots de la pire espéce, il y en avait un dans la passé, un soldat qui devins Jedi, c’était un chouette type, un leader née malgré son humour idiot, il m’énervait avec ces tours de séducteur débutant, mais en lui brûlait un feu semblable au votre, et vous ressemblez beaucoup dans sa gentillesse, Bastila en a craqué la première et j’étais verte de jalousie quand je les voyait combattre main dans la main.

- Vous ? dit Den surpris, jalouse de Bastila ?

- Oui ! Dit elle tristement, il avait cette façon de la regarder, de lui parler, aucun homme même mon fiancé ne m’avait jeté ce regard, un sacré regard il avait cet imbécile, j’étais aussi très furieuse quand j’ai appris que le mentor de Bastila était mon ancien général, c’en était trop, elle était entouré de tout les hommes inaccessibles, c’était par dépit que je vous ai embrasser, riens de plus.

- En tout cas ! répliqua Den, laissez moi vous dire mon très cher capitaine que votre pouvoir sur les hommes vaut toute les persuasions des Jedi.

Lisa éclata de rire et Den aussi, le général baissa la tête et murmura doucement.

- laisser moi vous dire aussi……….

- Oui ? dit elle surprise.

- laisser moi vous dire qu’aucune femme au monde ne m’a embrassé comme vous, vous ferez le bonheur de tout homme qui vous aimera et je le pense sincèrement.

Lisa resta bouche bée, cette révélation valait toute les déclarations d’amour qu’elle a entendus de sa vie, et elle en trembla comme une ado apeurée, elle ce blottis contre Den et pleura de joie.

- Merci…… dit elle doucement………mon général.

- Il n’y a pas de quoi ! Répondit l’exilé.

cool