Vegeto.
vegeto j´ai la flemme de tout lire maintenant
vegeto j´adore ce texte! Tu peux poster y´a pas de problème. Même si c´est un peu familier...
Alber no problem, je passe les fautes, j´en ai ma claque de corriger, alors poste
vegeto j´adore ce texte! Tu peux poster y´a pas de problème. Même si c´est un peu familier...
C´est la raison pour laquelle j´ai adoré cette fic
Mais c´est une étudiante de 16 ans qui fait son journal,c´est normal que ce ne soit pas comme si c´était un roman roman^^
Je poste ce soir,quand je serai sur l´ordi sur lequel ma fic est(et sur lequel il y a MSN)
Ok merci Jedi.
De rien.
Pas de nouvelles fics en vue ?
Faut croire.
scuser davoir fait mon boulet et de lavoir poster sans reflechir mais regarder qd meme!
C´est ok pour moi.Orthographe correcte,grammaire et donjugaison pareille
Ok ouais sa daitplus dune semaine que je lai poster -.-
et jattends toujour la reponse de jedi ...
Excusez-moi pour le retard
Alors...
Orthographe : correcte avec toutefois quelques erreurs
Conjugaison : correcte pour les mêmes raisons
Grammaire : quasi parfaite
C´est
/!\ ANNONCE /!\
Pendant les périodes de cours, je n´ai pas souvent accès à l´ordi (emploi du temps pourri, j´y peux rien). Donc, pour tous ceux qui souhaitent poster une fic et si je ne réponds pas tout de suite, attendez le week-end de la semaine suivante (ex : vous demandez un mercredi, attendez le week-end en huit). Si je ne suis toujours pas là et si vegeto333 a donné son accord, vous pouvez poster.
Ma fic c´est:Harry Potter et la légende de Griffondor
Chap 1:Un étrange cadeau d´anniversaire
Toutes les lumières étaient éteintes, toutes seuf une, celle du 4, priver drive. On aurait pu croire que c´était la lumière d´une lampe, hé bien non. Le garçon qui vivait ici s´appellait Harry Potter, et il faut que vous sachiez que c´était un sorcier. Cette lumière venait de sa baguette magique. Il faisait ses devoirs sous ses couvertures trouées, car il ne pouvait les faire en plein jour, son oncle désapprouvant complètement, car, bien sur, c´était lié à la sorcellerie.Il y avait les matières telles que: Arithmancie, Runes, étude des moldus qu´il n´étidiait pas, Sortilège, Métamorphose, Défence contre les Forces du Mal, Divination, Histoire de la magie et Potion, la matière qu´il détestait le plus. Enfin, ce n´était pas la matière qu´il détestait, mais le professeur Rogue,, celui qui l´enseignait. Non, ils ne se détestaient pas, ils se haïssaient" cordialement".Ils car Rogue lui rendait son mépris. Harry haïssait Rogue autant que son père. Il finit son devoir de Métamorphose, ferma son livre et alla regarder à la fenêtre. Juste à temps, car trois hiboux s´apprétaient à frapper à la fenêtre, et si l´oncle Vernon l´entendait, la fenêtre serait sûrement condamnée, comme en deuxième année. Harry n´avait pas oublié comment Dobby, l´elfe de maison, avait failli le tuer à force de vouloir le sauver- s´il était mort les Dursleys auraient étés enchantés. Le premier était Hedwige, sa chouette, le deuxième Errol,, le hibou de son ami Ron, et le troisième était un gibou de l´école, avec sa lettre habituelle, plus une lettre de Hagrid, le garde- chasse de Poudlard. Mais il remarqua une lettre où, rien que sur l´enveloppe, il reconnut l´écriture fine et penchée de son directeur, Albus Dumbledore. Il commença par la lettre que tenait Hedwige, et qui venait sûrement d´Hermione. Il ne s´était pas trompé:
"Salut Harry!
Joyeux anniversaire! J´espère que tu vas bien. Moi sa va. Ron et moi t´attendons avec impatience, mais heureusement on se voit bientôt. Ron te précisera. Dit-moi, tu pense que ce sera qui, le nouveau prof de Défense contre les Forces du Mal? Ron ne m´a pas répondu.
Amitié,
Hermione."
La lettre d´Hermione lui fit très plaisir, mais il décida de répondre quand il aurait ouvert tout son courrier. Quand il prit le paquet, il s´apperçut qu´il était lourd:
<<Sûrement un livre, se dit-il>> Il ouvrit Il paquet pendant qu´Hedwige retournait dans sa cage. Ce n´était pas un livre, mais il ne s´attendait pas à ça...
Vous en pensez quoi? Je prie pour qu´elle soit bien lol
désolé, c´est hibou, pas gibou
mets le chapitre 1 en entier, c´est plus facile pour juger !! !
Oui,mets le chapitre I complet
bon, voila comme demandé, je poste mon chapitre 1 sur ma fiction...
chapitre 1 : le secret de Rogue.
Le ciel était sombre, Mars était très éclairé et une brume froide mouillait l’atmosphère.
L’impasse du tisseur était à peine illuminé par de faibles lampadaires intimidés par un épais brouillard, et la haute cheminé d’ usine désaffecté réduisait la lumière de la lune, sur une maison, ou une faible lueur filtrait à travers la vitre crasseuse.
Quelqu´un était assis sur un siège. Un homme au teint pâle et cireux caché par deux rideaux de cheveux gras, il méditait. Severus Rogue sembla ignorer les cris qui venaient de l’intérieur d’une porte basse.
Il se leva alors, et ouvrit :
Un jeune homme aux cheveux blond et à la mine grisâtre sortit alors en trombe.
_Impero, dit la voie de Rogue. Retourne dans ta chambre !
Drago Malefoy s’exécuta, il n’opposa aucune résistance et descendit l’escalier.
Rogue évita soigneusement de se regarder dans la glace qui se tenait au dessus de la porte, et retourna s’asseoir.
Il remit alors les mains sur son front pour se tenir la tête et réfléchit encore, pendant plus de dix minutes. Alors, Rogue se releva et entra dans une petite pièce, part la porte située au fond de la salle. Là, il tira un rideau qui cachait le mur…
Il y avait un cadre, un cadre qui abritait quelqu’un qui dormait, ou du moins, qui semblait dormir. Une voie s’éleva alors de ce cadre aux bords rouge :
_ Que me vaut le plaisir de ta visite Severus ? s’exclama la voie.
_ Monsieur, dites moi, je vous en pris, dites moi ce qu’il faut que je fasse. Pourquoi avez-vous tant tus à ce que je…à ce que je vous…
_ Tu a fait ce qu’il fallait répondit Dumbledore. Je suis au courant pour Drago, il t’as surpris en train de communiquer avec moi, pour le compte, j’en suis persuadé, de Voldemort. Hélas, je crains qu’il faudra le gardait chez toi aussi longtemps qu’il le faudra Severus.
En ce qui concerne mon cas, reprit il, je savais que le moment arriverait…Je crois qu’il…qu’il est temps pour toi de que tu sache pourquoi il a fallut que tu accomplisse cette tâche horriblement difficile.
L’ancien directeur reprit alors : Tu t’es sans doute rendu compte que le professeur Trelawney me rendait souvent visite pour la raison qu’elle disait soi disant, qu’il fallait améliore son poste ou bien, renvoyer Firenze. Or il se trouve que le professeur Trelawney m’enseignait… Eh oui, même moi il me manque certaines bases à certains « niveaux » de magie…La divination est un art difficile à apprendre si l’on n’a pas les prédisposition naturelle, or il faut dire que je me débrouillait bien. C’est alors qu’il me sembla qu’elle était rentrée dans une espèce de transe.
_ Mais…
_ Oui, elle allait révéler quelque chose : une nouvelle prophétie. Deux dans la même semaine si mes souvenirs terrestres sont bon, mais celle la était adresser à moi, non pas à Voldemort.
Elle disait ceci : « Le temps est venu pour le plus grand sorcier de tout les temps, celui qui aime…, celui qui croit…, de laisser sa place à son plus fidèle, de le quitter, de le laisser s’occuper des tâches restantes afin que le seigneur des ténèbres puisse être à nouveau mortel. ».
Un long silence s’installa, puis Rogue reprit :
_ Mais pourquoi est ce que vous n’avez pas laisser un des mangemorts s’occuper de vous tuer à ce moment, pourquoi est ce qu c’est moi qui …
_ Parce que, répondit Dumbledore, c’était le seul et unique moyen de prouver véritablement aux mangemorts que tu étais dans leur camp… Une occasion unique, que tu as réussit à saisir malgré le poids, et je te l’accorde, de cette lourde tâche.
_ Je comprends, répondit Severus Rogue. Une dernière chose monsieur ; que vais-je faire si un mangemort rentre chez moi et découvre que je tiens Malefoy ; est ce que je devrais dire à Malefoy que… que je m’oppose au seigneur des ténèbres, devrais je lui laisser le choix… Est-ce que je dois arrêter de le soumettre à l’imperium ?
_ Il faut que tu sache, que comme toi, Malefoy peut revenir du bon coté… Aide le !
_ Mais si…
_ convainc le ! Tu peux y arriver Severus…
_ Très bien monsieur…Bonne nuit monsieur…
Il remit alors les rideaux en place, et monta à l’étage.
A des kilomètres de là, un jeune sorcier nommée Harry Potter respirait lourdement au 4 Privet Drive.
salut les gars
comme promis j´ai commencé une nouvelle fic, j´ai changé quelques trucs, le titre par exemple, parce que l´on pourrait s´attendre à n´avoir que "ça"
je poste le 1er chapitre, pour voir, mais ce n´est pas forcément le définitif
Harry Potter Et Le Sanctuaire Du Survivant
(Ceci n´est pas une parodie, c´est juste plus porté sur LA CHOSE)
(Il n´y aura pas de « scène » à tous les chapitres, je vais essayer d´en mettre mais pas trop non plus)
(pendant la sixième année de Harry)
Chapitre 1 : Prise en compte
Un berceau. Un cimetière. Un voile. Trois éléments dont rêvait Harry Potter depuis quelques jours. Mais à ceux-là venaient s´ajouter une silhouette, apparemment féminine, de taille moyenne. Harry se réveillait toujours à ce moment-là. Il était âgé de 15 ans, presque 16. Ses cheveux noirs de jais lui venaient de son père, comme la plupart de ses traits physiques, mais ses yeux, d´un vert émeraude, appartenaient à sa mère. Il en était très fier d´ailleurs. Depuis qu´il était revenu chez les Dursley, au début de l´été, il s´était enfermé dans sa chambre, morose et mélancolique. Son air était grâve, plus mûr aussi. Il avait quelque peu grandi. Dûs au Quidditch, des muscles parcouraient son corps. Mais en y regardant de plus près, même ce sport éprouvant ne pouvait en donner autant. La perte de Sirius Black l´avait profondément marqué, et son esprit, ainsi que son corps, avaient mal, ou inversement, bien réagi. Ce qui lui donnait un air de jeune homme à l´air triste et colérique, grand et froid, et dont le physique avait considérablement changé. Ses yeux habituellement chaleureux et rieurs étaient devenus glaciaux, plus sombres. Harry s´était refermé sur lui-même.
Des coups frappés à la fenêtre ne le firent, de prime abord, pas réagir, mais devant l´insistance des hiboux, il se leva et leur ouvrit. Les trois hiboux s´engoufrèrent dans la chambre, virevoltant. L´un deux était Hedwige, sa chouette blanche comme neige, qu´il avait envoyé chez Hermione durant ce laps de temps, un autre était un hibou de l´école Poudlard, et le plus petit était Coq, le hibou de son meilleur ami. Ils portaient tous les trois un paquet. Harry les en libéra, et celui de l´école repartit sans attendre. Harry décacheta la première lettre, sans entrain, de sa chouette, et vit une lettre d´ Hermione Granger, sa meilleure amie. Elle disait :
Cher Harry,
Je te souhaite un bon anniversaire. Je t´offre ce livre sur les magies défensive et offensive, je pense que cela pourrait t´interresser. Ne sois pas trop triste par la mort de Sirius, tu sais bien qu´il ne l´aurait pas voulu. Essaye de passer de bonnes vacances, ou du moins pas trop mauvaises. Ron te dira sûrement dans sa lettre qu´il viendra te chercher bientôt, c´est ce qu´il m´a dit.
A plus tard, Hermione.
Harry ne se sentait pas beaucoup mieux après la lecture de la lettre, mais le cadeau de son amie lui fit, un semblant, plaisir. Il s´attaqua à la lettre de Ron.
Salut Harry,
J´espère que tu vas bien, et je te souhaite un bon anniversaire. Le cadeau que Coq a réussi à transporter est celui de toute la famille. Nous espérons tous que cela va te faire plaisir. Autre nouvelle, tu vas pouvoir venir demain normalement, alors prépares-toi, mon père sera là vers dix heures.
A demain, Ron.
Harry ne savait trop s´il devait être heureux de revoir ses amis, ou alors s´il devait se rembrunir de ne plus avoir la possibilité d´être seul et tranquille. « De toute façon je ne compte pas rester longtemps avec eux, ils n´auront qu´à me laisser dans ma chambre » pensa t-il. Il regarda le cadeau, et cela le rembrunit davantage, au lieu de lui faire chaud au coeur. Un vif d´or, comme celui de son père, se trouvait dans une étoffe rouge. Harry se renfrogna, se disant que sans Voldemort, c´est son père qui lui aurait offert ce cadeau. Tout, exclusivement tout, depuis le décès précipité de Sirius, lui faisait penser à la vie qu´il aurait pu avoir sans le Lord noir. Ses parents seraient en vie, son parrain également, et tous les quatre, avec Rémus Lupin, vivraient comme n´importe quelle famille, heureux. Mais son destin avait pris un chemin différent, celui choisi par une Prophétie.
Harry prit ensuite les trois lettres que le hibou de Poudlard avait apporté. L´une d´entre elle venait de Dumbledore :
Cher Harry,
Je te souhaite un joyeux anniversaire, malgré les évènements récents. J´espère que tu me pardonneras ma faute, je suis désolé de t´avoir caché des choses, mais tu sais que c´est pour ton bien. Mon cadeau vient tout droit de ma bibliothèque personnelle, c´est un livre relatant exclusivement de tous les sortilèges créés depuis l´époque des quatre Fondateurs. Fais-en bon usage.
Mes salutations, Albus Dumbledore.
Harry prit ensuite le deuxième lettre, celle qui lui annonçait que le Poudlard Express partirait de la gare King´s Cross, quai 9 ¾, à onze heures le premier septembre. Un petit mot griffonné à la va-vite s´était glissé dedans :
Bon anniversaire mon grand, je te confierai quelque chose de spécial plus tard pour tes seize ans.
Hagrid.
Il développa enfin la dernière lettre. Etonné, il vit que celle-ci venait de la dernière personne vivante de sa « famille », les Dursley n´entrant pas dans cette catégorie.
Cher Harry,
Je te souhaite à mon tour un bon anniversaire. Je me souviens quand, avec Sirius, nous venions chez les Potter, et nous te bercions par moments. Mon cadeau est aussi celui de Sirius, c´est lui qui a eu l´idée. C´est un livre sur la façon de devenir Animagus, du moins la nôtre, qu´ils ont utilisé pour m´aider.
Bonne chance, Lunard.
Harry en avait, pour la première fois depuis longtemps les larmes aux yeux. Harry remarqua quelques larmes sechées par endroits. Puis il repensa justement à Sirius, et il comprit : c´était très dur pour Rémus Lupin également. Harry se fit la promesse d´aider à son tour le dernier Maraudeur. Il regarda le livre en question, et se mit à le lire immédiatement après avoir donné à Coq et Hedwige de la nourriture. Il le lut d´une traite, et connaissait à présent toute la théorie. Il lut également le livre d´Hermione et celui de Dumbledore, et au final, il n´avais pas dormi ne serait-ce qu´une minute, puisqu´il était déjà presque l´heure de partir. Néanmoins, Harry se senti mieux, car il connaissait maintenant de nombreux sorts d´attaque et de défense, du moins la théorie. De toute façon, il dormait tellement peu d´habitude, qu´il ne vit pas grande différence. Il prépara rapidement ses bagages, vu le peu d´affaires lui appartenant, et descendit au rez-d-chaussée. Les Dursley étaient attablés, prenant le petit-déjeuner, et regardant la télévision. Ils ne firent, comme toujours, pas vraiment attention à lui, sauf la tante Pétunia qui lui répliqua :
-Alors, tu t´es enfin décidé à descendre.
-Oui, répondit-il, pour vous dire que je pars d´ici, et l´on ne se reverra que l´année prochaine, quelqu´un va venir me chercher dans...cinq minutes.
-Enfin, bon débarra, s´exclama l´oncle Vernon à travers le son de la télé.
Des coups à la porte lui indiquèrent que les membres de l´Ordre censés l´emmener étaient arrivés. Il alla nonchalamment ouvrir la porte d´entrée. Il y trouva Mr Wealsey, comme prévu, ainsi que Diggle, Kingsley, et Maugrey.
-Bonjour Harry, lui souhaita Mr Weasley.
-Bonjour.
-Tes affaires sont prêtes ? Demanda Maugrey.
-Oui, on peut y aller.
-Dans ce cas, va leur dire au revoir.
-Ce ne sera pas la peine.
Devant le regard triste de son protégé, Arthur Weasley n´insista pas. Harry prit le bras de celui-ci, comme demandé, et attendit son arrivée au Terrier. Mais ils n´étaient aucunement chez les Weasley, mais au 12 Square Grimmaurd. Harry ressentit un élan de tristesse plus grand en lui. Ils entrèrent après les recommandations de l´Ordre, et Harry fut assalli de cheveux bruns. Il comprit que c´était Hermione, mais ne bougea pas. Elle finit pas le relacher puis Mrs Weasley prit sa place en s´exclamant :
-Oh mon chéri. Tu es tout maigre, ils ne t´ont pas donné à manger ou quoi ? Allez viens, je vais te préparer quelque chose.
-Non merci Mrs Weasley. Je n´ai pas faim. Je vais monter dans ma chambre.
-Harry, gémit Hermione.
Tonks et Rémus Lupin arrivèrent de la cuisine. Ce dernier et Harry se fixèrent un petit moment, avant de le voir se jeter dans ses bras et commencer à lacher quelques larmes. Tout le monde était attendrit devant cette scène. Ils savaient tous que la perte de Sirius était pire pour eux deux que pour les autres.