Y´a trop de sexe dans la fic mais si vous aimez ca ... Mais quoi c´est vrai !! ! Vu la quantite de sperme qui est dans le vagin de hermione, ils vont avoir 999 999 999 999 999 999 999 999 999 bebes et puis c;est tout.
On voit que tu connais rien aux filles Trunks!
super ton histoire je vien de la lire et ben j´ai adoré elle est super et j´ai déja lu le 6 alor c´est chouette de lire un autre harry potter 6 sincèrement je te dit chapeau tu invente bien j´adore et en + c´est amusant car je suis fan d´Harry potter et j´attend le 7 avec impassiance et la sa mocupe car je te le redit c´est géniale tu a un don!!!!!!
Moi je trouve ca super qu´il ait du sexe,c´est vrai quoi ca change du combat et des paroles.
slt !
je suis vraiment désolé de ne pas être revenu depuis si longtemps, et ce n´est pa excusable du tout je le sait, mais j´ai eut beaucoup de problèmes et je n´avais pas la tête à me connecté.
je vous posterais bientôt une suite, et je vous l´ai déjà dit : même si je m´absente longtemps, je ne laisserais pas tomber cette fic et ceux qui aime la lire avant qu´elle ne soit fini. Bon, je file continuer l´histoire !
bizoux à tous et merci dene pas avoir laisser couler le topic !
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bon, je sais que ma suite est pas longue mais j´en mettrai une plus longue plus tard dans la journée.
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Hermione regarda un instant le jeune homme qui se trouvait devant elle, leva son épée et Harry se prépara au choc de l’acier.
Soudain, le décors changea de nouveau et il se retrouva dans sur un chemin de terre mol. Autour de lui se trouvaient des champs et du bétail. Harry regarda tout autour de lui et se demanda où étaient passé le désert, Hermione et les orcs, les trolls, les Elfes et les nains. Ils avaient tous disparus, volatilisés dans l’air, laissant place à ces champs et ces bêtes. Le jeune homme regarda le ciel, il était bleu et sans nuage, le soleil était déjà haut, et la nuit allait donc bientôt tomber. Il regarda plus attentivement devant lui, essayant de percevoir le bout du chemin, et en déplaçant son regard de quelques centimètres sur la droite, il vit, dans le lointain, plus petit que jamais, le village.
-Eh ben ! murmura Harry. J’ai du chemin à faire !
Le jeune homme regarda plus attentivement les champs et compta les animaux.
Il dénombra quatorze vaches, douze moutons, dix brebis, quatre taureaux, six chèvres, huit béliers et trois chevaux. Quelque chose dérangeait Harry dans ces chevaux. Il y en avait un noir ébène avec des yeux bleus très clair –les yeux de la mort pensa Harry –, un brun avec la crinière et la queue noir et des yeux violets – les yeux d’un ennemis pensa Harry en repensant à un orc qu’il avait vu –, et un blanc comme la neige avec des yeux rouge sang – les yeux de Voldemort, pensa Harry avec rage. Pourtant, ce n’était pas les yeux de ces chevaux qui dérangeaient le jeune homme, mais plutôt leur nombre.
Il y avait quatre taureaux, six chèvres, huit béliers, dix brebis, douze moutons, quatorze vaches et trois chevaux. Tous les animaux étaient en nombre pair sauf les chevaux.
Harry réfléchit un instant puis se dit q’il y avait trois possibilités : premièrement, cela voulait dire qu’il pouvait prendre l’un des trois chevaux pour équilibrer les troupeaux, deuxièmement, cela signifiait que dès qu’il continuerait son chemin, un membre de chaque troupeau lui foncerait dessus pour le tuer, sauf chez les chevaux, troisièmement, cela ne signifiait rien du tout et c’est lui qui se faisait des idées.
Pour vérifier sa deuxième hypothèse, Harry avança doucement d’abord puis plus vite jusqu’à l’enclos des chevaux. Les animaux ne bougèrent pas. Les vaches continuèrent de brouter l’herbe, l’un des taureaux s’approchait d’une vache mais c’était tout. Rien d’anormal en vu à part les yeux de chaque animal. Chacun d’entre eux, leurs yeux prirent des teintes violacées ou orangé.
Harry, toujours méfiant, ce dit qu’il pouvait exclure la deuxième hypothèse et la remplacer par une autre : il devait prendre l’un des chevaux, et s’enfuir au galop pour échappé au troupeau qui le courserait.
C’était peut être un peu échevelé, mais le changement de couleur des yeux des animaux lui en avait donné la certitude.
Alors qu’il commençait à s’approcher des chevaux, tout en réfléchissant au quel prendre, une voix retentit dans les airs, une voix douce et mélodieuse. Il crut tout d’abord à un piège, mais il reconnu la voix d’Hermione, de plus, elle ne venait pas du village, mais de Harry même. Hermione chantait une mélodie qu’il aimait particulièrement, un mélodie des Bizzar’s Sister’s. C’était un slow qu’ils avaient dansé dans la vie qu’il n’avait pas encore vécu, lors de ses vingt ans. Harry se laissa bercé par la mélodie quelques instants, puis la voix se tue et Harry revint à lui. Il regarda les chevaux, perdu dans ses pensées, puis en voyant la lumière baisser à vu d’œil, il se dit que rester là à rêvasser devant des enclos remplis d’animaux capable de l’éventré d’un coup de corne n’en résulterait rien de bon. Il regarda donc les chevaux attentivement, ne sachant lequel prendre. Jamais il ne prendrait le cheval blanc, car, il en était certain, Voldemort pouvait le contrôler. Il regarda donc les deux autres. Il ne voulait pas non plus d’un cheval qui l’amènerait directement dans la gueule de l’ennemi, car il en était certain, ce cheval était mauvais. Il laissa donc le brun et regarda le noir.
Bien que ce fut vers se cheval que se tourna son choix, il lui faisait peur. Il n’y prit pas garde et cependant, et évita le regard sans pupille de l’animal. Il enjamba l’enclos et s’approcha doucement de l’animal. Cependant, il devait passer devant les deux autres chevaux et ils ne lui disait rien de bon. Il sortit sa baguette et avança de quelques pas. Quand il arriva au niveau du cheval brun, celui-ci hua et lui envoya un cou de sabot dans les côtes. Les deux autres ne bougèrent pas d’un pouce, observant scène avec intérêt. Harry leva sa baguette mais déjà le cheval lui fonçait dessus et il roula sur le sol pour ne pas se faire piétiner. Il se releva aussi vite que possible et dirigea sa baguette sur l’animal qui fonçait au grand galop dans sa direction.
aller continuse je veu pas tenbéter car je me doutte que tu a otre chose a faire mais stp écrit la suite c´est tro bien
ouais,enfin une suite
tu pourras me l´envoyer jusqu´a cette suite à
superratchet@hotmail.com s´il te plaît??
et moi envoi la moi à RV_pic@hotmail.com
youpiee enfin la suite tant attendue ouai elle est bien le coup de la menagerie de la ferme etait bien trouver mdr
Salut je viens de terminer de lire ta suite et elle est super ! Voldeharry revient tard mais revient en force ! J´suis content de te revoir et j´espere que tu vas rester sur Jv.com longtemps, tres longtemps ! Encore Bravo ! Bye
vegeto333 Posté le 18 février 2006 à 16:18:49
ouais,enfin une suite
tu pourras me l´envoyer jusqu´a cette suite à
superratchet@hotmail.com s´il te plaît??
Quand je dis:"tu pourras me l´envoyer jusqu´a cette suite à
superratchet@hotmail.com s´il te plaît?? "
,je parle de toute ta fic
vraiment super ta fic ! la suite stp !! !!!
Est-ce que ca remourrait déjà??
VOLDEHARRY EST REVENUE AVEC UNE SUITE! YOUPI! Remarque, tu serais revenue sans rien que y´en aurait quelques uns qi seraient pas contents!
Vegeto c´est pas fini le pessimisme ?
Il commence à peine^^
VOLDEHARRY EST REVENUE AVEC UNE SUITE! YOUPI! Remarque, tu serais revenue sans rien que y´en aurait quelques uns qi seraient pas contents!
Vegeto c´est pas fini le pessimisme ?
Et je parie que tu en aurais fais partie^^
Comment t´as deviné!
vegeto333 Posté le 22 février 2006 à 15:46:21
Il commence à peine^^
Super
salut !
bon, merci pour vos com, je vous posterais une suite dans l´après midi ! a très bientot !
slt, bon, je sais que la suite est courte, mais je ne peux pas faire plus aujpurd´hui, désolé. Samedi prochain je vous met une suite, et j´essayerait de la faire plus longue. ++
Harry brandit sa baguette droit sur l’animal qui se rapprochait dangereusement et cria presque le sortilège :
-IMPEDIMENTA !
Aussi tôt le cheval s’immobilisa, bloquer par le sort d’entrave. Harry massa un peu ses côtes douloureuses, puis regarda le deuxième cheval devant lequel il devait passer, le blanc. Harry sentit une petite bouffée de peur monter en lui. Décidément, il avait vraiment l’impression que se cheval le haïssait. Mais il n’avait pas le temps de s’attarder, la nuit tombait déjà et il était certain que pour lui, il n’en résulterait rien de bon. Il avança de quelques pas, ne quittant pas le cheval blanc des yeux et commença à passer doucement devant lui, la baguette prête. Mais le cheval ne fit que passer, et ne fit pas attention à Harry, du moins, il ne se rua pas sur lui car ses yeux ne cessaient de le suivre dans chacun de ses mouvements. Harry, qui ne quitta pas le cheval blanc des yeux, entendit un bruit. Un bruit de sabots qui martelaient le sol. Avant que le jeune homme pusse dire quoi que ce fut, le cheval noir lui fonça dessus et sous le choque Harry se retrouva par il ne savait quel miracle sur le dos de l’animal. Il étai à l’envers, la tête du cheval dans le dos, mais il était saint et sauf. Harry du se coucher sur la croupe du cheval et s’accrocher à sa queue pour ne pas tomber quand l’animal bondit au dessus de la barrière. Quand il fut de nouveau à terre, il vit devant lui (derrière le cheval), tous les animaux des pâturages foncer sur eux, écumant d’il ne savait quel rage, les naseaux écarté, mais le plus étrange, c’était qu’ils étaient devenus des animaux morts, des insectes rampant se trouvaient sur leurs corps déchiqueter, et leur boyaux se répandait sur le sol derrière eux. Harry eut un mouvement de recule, et se cogna contre quelque chose de dure sur l’encolure de son cheval. Il tourna la tête vers l’animal et il vit que lui aussi était mort, un Inferi animal. Harry remarqua alors que ses pieds baignaient dans des organes et que des vers rampaient sur ses mains. Harry parvint à faire demi tour sur le dos de son cheval et prit la crinière de l’animal entre ses mains, espérant de toutes ses force que ce voyage ce terminerait bientôt. Mais, alors qu’il entourait ses mains dans la crinière véreuse de l’animal, un horrible bruit de succion se fit entendre, rendant Harry des plus malades. Entre ses doigts se tenait un morceaux de peaux désincarner pourvu de poile de crinière. N’y tenant plus Harry vomit sur le côté tout le contenu de son estomac, et tenta de descendre du dos du cheval, mais la bête tourna vers lui sa tête d’où sortaient des vers de ses yeux, sa tête en putréfaction, et alors, de sa gueule, sortit des sons que Harry eu beaucoup de mal à faire parvenir dans son cerveau. Ces sons avaient les intonations de la voix de Hagrid :
-Allons Harry, reste tranquille, calme toi, c’est le chemin le plus rapide…
Harry ferma les yeux, enroula ses bras autour de l’encolure de l’animal et ne prit pas garde au sang tiède qui ne cessait de se déverser en flot continu sur ses mains et se bras.
Mrs Pomfrech et Dumbledore regardèrent ensemble Harry allonger dans le lit de l’infirmerie. Hagrid était partit chercher quelques feuilles d’Erable et un Botruc. Mrs Pomfrech pourrait alors concocter un petit filtre pour que Harry ne fasse plus de cauchemars.
Quand Hagrid revint, Mrs Pomfrech se dépêcha de préparer le remède, déjà Harry s’agitait et gémissait. Quand elle revint, la potion dans la main, Dumbledore releva Harry et Hagrid lui fit boire doucement, à petites gorgées, tout le contenu du gobelet. Quand Harry eut finit, Dumbledore s’apprêta à le remettre dans une position couché quand le jeune homme eut des haut le cœurs, et sans prévenir, Harry vomit par-dessus le lit, puis, il se débattit avec force, essayant de descendre. Hagrid prit Harry par les épaules et lui dit à l’oreille :
- Allons Harry, reste tranquille, calme toi, c’est le chemin le plus rapide…
Le temps passa pour ce qui sembla être une semaine à Harry, Pourtant, il n’avait jamais faim, et il faisait toujours nuit. Sa course effrénée et les odeurs nauséabondes de pourriture le rendaient malade, toute fois, le se retenait de vomir. Quand enfin le soleil commença à se lever. Harry regarda l’animal. Il était redevenu un cheval ordinaire à sa près qu’il avait des yeux bleu ciel et sans pupille. Le jeune homme se retourna et vit que le troupeau s’était arrêté et recommençait à brouter l’herbe tranquillement comme si rien ne s’était passé. Harry soupira et regarda devant lui. Enfin, il voyait le village, il était à moins de cent mètres devant lui. Un immense château qu’il n’avait pas vu au paravent surplombait le village et des murailles protégeaient son entrée.