coco demande de ban pour lien vers contenu illicite
en plus, les rougeurs, c'était parce que soleil tapait, j'avais des coups de soleil partout
Hum non, désolé, je suis crevé j'vais dormir
Bonne soirée les gens
Oh... Bonne nuit Desolation.
noooon !!!!
bon, plus personne pour booster là ?!
Moi je veux bien booster mon caract/post
Le RPG à la sauce japonaise s’étoffe d’un nouveau titre. Ce type de jeu qui semble devenir une catégorie à part entière s’enrichi donc du second opus de Suikoden pour nous proposer l’aventure d’un jeune garçon à l’étrange destinée...
Suikoden II
Voici donc Suikoden, second du nom qui semble entrer dans la place en digne héritier de son aïeul de 97. Une fois de plus les aventures auxquelles il vous faudra participer se déroulent sur fond de guerre opposant différentes factions que la traîtrise et le mensonge n'étouffent pas pour parvenir à leurs fins. Au beau milieu de ce gigantesque conflit d'intérêt : un jeune orphelin, adopté par un vieil homme et dont le principal souci est de revoir sa ville natale. Accompagné de son meilleur ami Jowy il part donc sous la contrainte d'une attaque de la garnison où il vit à la découverte de ses origines au mépris des plus grands danger. Mais derrière ce scénario un peu mièvre, se cache en réalité une fresque beaucoup plus épique. Le jeune garçon est bien loin de se douter du périple que constituera son retour à Kyaro.
C'est donc du RPG dans la plus pure tradition des titres auxquels les japonais nous ont habitués avec des softs comme la série des Final Fantasy qui nous attend avec Suikoden 2. Fidèle au premier du nom, on y accompagne un jeune homme dans des tribulations en vue isométrique ponctuées de dialogues interminables et de combats au tour par tour. Le personnage principal enrichi son équipe d'une multitude de nouveaux venus prêts à l'aider dans sa quête au moyens de leurs pouvoirs ou de leur force. Votre héros ainsi que ses compagnons de fortune acquièrent de l'expérience au fur et à mesure de leur progression, augmentant leurs points de magie mais également leurs capacités en terme de force ou de résistance. Pour être très concrets disons que les accros de Final ne devraient pas être trop dépaysés.
Votre personnage ne demande donc qu'à apprendre de nouveaux sorts au moyen des runes et à augmenter ses caractéristiques aussi variées que la défense, la technique ou même la chance. Le tout s'avère néanmoins assez peu complexe et l'on s'y retrouve assez vite entre les commandes très intuitives et le système de statuts qui en fin de compte reste beaucoup plus abordable qu'un certain FF 7 et ses mélanges subtils de Matéria. L'ensemble est donc très agréable et ne devrait pas dégoûter le joueur par une trop grande complexité. La difficulté se veut donc progressive tout comme la force des ennemis rencontrés pour finir par des batailles rangées au tour par tour mobilisant l'Armée de la Ligue ou l'Armée Impériale. Le concept ainsi que le principe de jeu de Suikoden restent dons inchangés et on retrouvera même des personnages du premier épisode tels que Victor ou Flik.
Au chapitre de la prise en main tout va donc pour le mieux dans le meilleur des mondes à la différence de votre héros et de l'armée qu'il lui faudra dresser pour épauler son camp. Le gameplay offert par ce titre est donc tout bonnement excellent alliant les déplacements divers et variés à l'âpreté des combats qui au final permettent de nous faire progresser dans la découverte de la mystérieuse légende des 108 étoiles. Ombre à ce tableau idyllique : les dialogues interminables qui sévissent dés que l'on s'approche d'un personnage et qui ne se limitant pas à être longs sont également souvent d'une niaiserie à faire pâlir. Néanmoins, il semble que ce soit beaucoup plus le genre en lui même qu'il faille incriminer que ce jeu proprement dit. Côté graphismes, sans pour autant s'aligner sur ses petits camarades en 3D, Suikoden 2 bénéficie d'une très bonne réalisation qui ravira les fans du premier épisode en y faisant perdurer le charme désuet de personnages et de décors simplistes en vue isométrique. L'ensemble est très homogène même s'il en devient justement répétitif à certain égards. La bande son est quant à elle tout à fait soignée, proposant des thèmes musicaux variés prolongeant l'ambiance sympathique qui s'installe avec ce titre. En résumé Suikoden 2 prolonge à merveille la qualité son aîné en nous plongeant dans ce qui peut s'apparenté à une suite à part entière dans la mesure ou de nombreux points laissés en suspens y trouvent une réponse. Les amoureux du premier du nom devraient donc y trouver leur compte. La réalisation irréprochable et l'importante échelle de la quête de votre héros devraient par ailleurs lui assurer une bonne durée de vie entre vos petites mains. Au final, un très bon RPG dans la plus pure tradition japonisante pour les fans de ce genre très particulier...
Bonne nuit Désolation !
Vous dites vraiment plein de conneries ! J'aime ça
Crack1 Si, moi je suis là.
J'attends que ma mère finisse de téléphoner puis je vais finir de manger.
Pavay César ! Celui qui n'a pas lu te salue !
bon, j'arrête, on va me prendre pour un noëliste
Joli le c/c coco !
je viens de voir que j'avais eu le 1500ème post
cela complète ma collection avec le 800ème
Z2X3 > N'importe quoi. Je viens de l'écrire là... regarde je vais écrire celui de Final Fantasy X en vitesse.
Mercredi 29 mai 2002, Final Fantasy X est enfin disponible en Europe dans une édition double-DVD qui aura su se faire ardemment désirer. Les inconditionnels de RPG exultent déjà en prenant conscience des moments formidables qu'ils s'apprêtent à vivre, tandis que les fans de la série découvrent avec une certaine méfiance non moins emprunte de ravissement ce premier FF disponible sur Playstation 2. Une page de l'histoire de Squaresoft se tourne, laissant derrière elle plus d'une décennie d'efforts et de labeur dédiés à cette passion universelle qui est celle du jeu de rôle.
Final Fantasy X
Consciente de l'importance acquise au fil des ans par la série Final Fantasy, l'équipe de Square a très clairement souhaité faire de ce premier épisode PS2 un titre susceptible de franchir un nouveau cap dans le monde du RPG sur consoles. FFX est donc avant tout synonyme de bouleversements majeurs par rapport à des règles de gameplay précieusement conservées tout au long de la série. Le jeu apporte ainsi un vent de fraîcheur dont certaines composantes ne seront peut-être pas du goût de tous, ce qui n'empêche pas ce titre d'être une incontestable réussite, un voyage que l'on a plaisir à entreprendre de bout en bout, à condition d'accepter de laisser sa propre sensibilité nous guider jusqu'au terme de cette quête onirique.
L'histoire narrée dans FFX mêlera le destin de sept personnages que tout semble opposer, et qui pourtant sauront faire preuve d'une complémentarité surprenante pour mener à bien leur quête. Tous ont leur propre histoire et dissimulent un charisme qui se dévoilera peu à peu au fil du jeu tandis qu'ils évolueront vers un but commun : permettre à Yuna d'accomplir son voyage initiatique pour maîtriser l'invocation de l'ultime chimère, et sauver leur monde de l'emprise maléfique de Sin. Une quête passionnante qui implique le joueur dès les premières secondes, et dont les moments forts tout comme les instants tragiques seront illustrés par un florilège de cut-scenes et de séquences cinématiques en images de synthèse. Sur ce point, on peut dire que FFX est sujet à ce que j'appellerais le syndrôme MGS2 ; à savoir un soft qui comporte énormément de phases de jeu passives pour le joueur. Une caractéristique synonyme de lourdeur pour certains, un gage de richesse scénaristique pour d'autres...
En ce qui concerne la version PAL, les responsables de la localisation ont fait le choix discutable de conserver le doublage anglais au lieu des voix japonaises, tandis que les textes sont intégralement traduits en français. Quoi que l'on ait à lui reprocher de ce côté-là, FFX constitue tout de même le premier FF à proposer un doublage vocal, et le résultat est tout à fait appréciable. Reste que le principal reproche que l'on pourrait faire à cette version PAL est son absence d'option 60 Hz, une véritable aberration due à la négligence de personnes n'ayant visiblement pas conscience de l'envergure de ce titre. Le jeu souffre donc de grosses lacunes techniques dues au mode 50 Hz (les bandes noires envahissantes, l'image écrasée, les cut-scenes saccadées et aliasées, les animations moins fluides, etc...). C'est aussi déplorable que scandaleux, mais cela ne doit en aucun cas constituer un obstacle suffisant pour vous empêcher de découvrir ce monument du jeu vidéo.
En faisant abstraction de ces quelques handicaps, on découvre en contrepartie toute la richesse de Final Fantasy X, notamment au niveau du gameplay. Comme je l'ai dit plus haut, ce dixième opus introduit un certain nombre de changements majeurs par rapport aux précédents volets. Sans être complètement exhaustif, certains points méritent d'être détaillés ici pour mieux comprendre les implications de ces bouleversements. Le plus étonnant, sans doute, est l'absence de points et de niveau d'expérience pour les personnages. Si ces derniers évoluent au fil de leur quête, toutes les compétences qu'ils acquièrent dépendent des choix que fait le joueur dans un sous-menu appelé sphérier. Ce système, à la fois simple et efficace, permet d'upgrader les capacités de ses personnages de façon très libre, à l'aide de sphères obtenues durant les combats.
La gestion des combats, justement, se trouve considérablement renouvelée dans ce nouveau chapitre. Si l'on retrouve toujours au niveau de l'interface les commandes d'attaques, de sorts ou de techniques, on peut désormais remplacer n'importe quel personnage en jeu par un autre mieux adapté à la situation. Ce système se complète avec d'autres subtilités, comme la fenêtre d'ordre des tours, le système d'Overdrive (un coup dévastateur que l'on peut déclencher après avoir encaissé un certain nombre de coups), ou encore d'Overkill (lorsqu'une attaque provoque des points de dégâts largement supérieurs à l'endurance de la cible. Les invocations sont ici réservées à Yuna et prennent la forme de chimères qui s'obtiennent en réussissant les épreuves dans des temples, et que l'on peut contrôler en combat. Il faut alors jouer subtilement des commandes guard et stock en anticipant les attaques de l'adversaire pour tenter de provoquer plus rapidement l'Overdrive de la chimère, afin de déclencher un coup spécial dévastateur et visuellement très impressionnant.
La place manque ici pour détailler toutes les subtilités du jeu, c'est pourquoi je terminerais rapidement en disant quelques mots sur le Blitzball. Sport de prédilection de Tidus et Wakka, le Blitzball est une discipline aquatique d'une grande importance dans le jeu. En plus des matches que vous devrez jouer, vous pourrez recruter des joueurs n'importe où dans le jeu en parlant à différents personnages, et même vous entraîner à partir des points de sauvegarde. Sans être réellement passionnant, le Blitzball se traduit dans le jeu de façon assez stratégique via un système de statistiques plutôt original. Si l'on ajoute à tout cela une durée de vie particulièrement longue, une progression pleine de rebondissements, et la présence d'un DVD bonus avec des interviews, des avant-premières, des musiques, ou même des galeries de portraits, difficile de trouver un argument suffisant pour ne pas se procurer ce titre incontournable. Le jeu n'est sans doute pas parfait et les défauts de localisation gâchent forcément le plaisir, mais les inconditionnels tout comme les novices y trouveront certainement leur compte.
C'est bon j'arrête.
comme dirait Trip : https://www.jeuxvideo.com/forums/1-7848-12954493-322-0-1-0-0.htm#message_14771981
bon, d'accord, ça ne prête pas trop à la situation, mais bon
Ouais mais bon, c'est un peu de la triche niveau stats... Après, on se demande pourquoi certaines personnes ont autant de caractères dans les stats... Moi aussi je suis capable de faire du c/c en masse, mais bon... T'aurai mit un lien, ça aurait été plus juste...
Roh, c'est bon. Je m'en fous de ces Carct/post, j'avais déjà 145.00, donc ça va pas me faire monter de beaucoup, hein sur 10.000 posts...
chaud, j'ai posté plus de 100 posts aujourd'hui
Nan, c'est sûr coco, et c'est pas grave de toutes façons, mais ça peut porter à confusion et voilà quoi dès fois ça gène...
Ok, je m'excuse je le ferais plus.
Cracky > Moi j'en ai posté 110 je crois.
tandis que moi je me la joue règlo
toute façon, seul le niombre de posts est important pour moi
coco si c'est le cas, je dois bien être à 200
Oui, ça se voit Crakeuh... Au vu de la longueur et de la qualité de tes posts...