Chapitre 105 : AAAAAAAAAAAAAH !! Cette fic va bientôt passer en deuxième page.
Min Rar continua sa route quand Sakurai le rattrapa.
Sakurai : HEP ! HEP ! HEP ! Hé ! Dis-donc toi ! Tu crois t'en tirer comme ça ?
Min Rar : Oh, bonjour monsieur-tout le-temps-en-colère, tu m'as suivi ?
Sakurai : On a viré tous les personnages stupides que tu as ajouté à MON jeu, et qu'est-ce qui s'est passé ? La fille du beau-frère de la cousine de tes parents, Min Min, Créa-Main, ou Master Hand ou je ne sais jamais quel est son vrai nom, et bien il a décidé de la garder dans Smash Bros en souvenir de toi !
Min Rar : YOUPII !!
Sakurai : Non pas youpi, je ne veux aucun souvenir de toi ! J'ai tout fait pour qu'elle s'en aille ! J'ai appelé la justice, tout ça, on s'est embrouillé dans un bordel, et maintenant, je suis obligé de te convoquer car c'est la seule méthode légale pour qu'elle s'en aille, je te passe les détails !
Min Rar : Non, je ne veux pas !
Sakurai : Bon, ben, puisque c'est comme ça, je vais dire que c'est un personnage de Arms qui sera dans Smash Bros, mais je ne révèlerai pas qui ce sera, nah !
(bon, voilà, la petite pirouette de rattrapage expliquant pourquoi Min Min est dans Smash Bros alors que dans cette histoire, Sakurai ne l'aime pas, passons à la suite).
Min Rar continua sa route puis... Il n'y avait plus de route.
Min Rar : Bizarre, il n'y a plus de route.
Oui, bon, je viens de préciser, pas besoin de répéter qu'il n'y a plus de route.
Un paysan arrive.
Paysan : Oui, il n'y a plus de route, je l'ai effacée avec ma pelle car il y a toutes ces voitures qui passe à travers mon champ de blé.
Min Rar : Des voitures passe dans votre champ...
ARRÊTE AVEC LES RÉPÉTITIONS MIN RAR !!!
Paysan : Oui, il y a même un clown qui est passé par-là avec sa voiture et qui a détruit tout mon blé, et maintenant, je ne peux plus le vendre ! J'ai plus de blé ! Va falloir que j'en repousse.
Min Rar : Hein ?
Paysan : J'ai plus de blé ! J'ai plus d'argent !
Min Rar : Vous poussez de l'argent ?
Paysan : Mais... Mais non, andouille ! C'est juste que... Que... Minute... Le clown dans la voiture... C'ÉTAIT TOI !!!
Min Rar : Min Car est passé par ici ?
Min Rar continua dans courir le long du chemin là où n'y a plus de chemin.
Min Rar : MIN CAAAAAR !!! TU ES ICI ?
Paysan : TU VAS ME LE PAYER, SALE CLOWN ( !!
Le paysan invoqua un rateau dans sa main et se mit à la poursuite de Min Rar. Ce dernier était en train de courir, non pas pour fuir son assaillant comme s'est dit un vieux couple qui passait par là, mais parce qu'il était pressé de revoir son frère. La course poursuit continue à travers les champs de blé, puis dans des champs de ciboulette, Min Rar continua de courir puis percuta... Maïté !
Maïté : Ouh ! Les jeunes gens de la ville, ils sont toujours pressé.
Elle vit le paysan poursuivre Min Rar.
Paysan : Maïté ! Arrêtez-le, ils détruit mon blé !
Maïté : Aaah ! Mais c'est Germain ! Ce bon vieux cultivateur qui n'a pas encore compris que le blé, c'est dépassé ! Et bien oui, il faut faire pousser des ciboulettes ! Ce sont ces ciboulettes-là qu'on retrouve dans le bon fromage Rondelé !
Germain : Pourquoi tu dis ça, maintenant ?
Maïté : Je ne sais pas.
Germain : Je veux que ce clown paye pour ce qu'il a fait a mon champ de blé !!!
Maïté : Non, non, non ! Il ne faut surtout pas l'attaquer, ensuite, la police va venir et ils vont t'arrêter. Apprenons-lui les bonnes manières, enseignons-lui comment préparer un délicieux Rondelé !
Germain : Laisse-moi deviner, tu le recrutes, il va devenir ton assistant, il ne va rien comprendre à tes instructions, il va faire n'importe quoi, tu vas tenter de te justifier, puis ça va tourner à la catastrophe, ton champ de ciboulettes va brûler ou un truc comme ça, tu seras furieuse contre lui, tu vas le chasser puis il va reprendre tranquillement sa route comme si de rien n'était.
Hmmm... C'est vrai que j'ai vrai que j'ai un peu abusé de cette méthode. Je vais arranger pour que la suite soit un peu plus originale, mais pour l'instant, j'ai la flemme de réfléchir, alors...
À suivre...
Chapitre 106 : Oh ! J'ai envie de m'amuser un peu, autant publier la suite, même sans inspiration.
Bon alors, Min Rar travaille maintenant pour Maïté !
Maïté : Alors, mon grand, pour faire pousser un délicieuses ciboulettes, tu vas devoir planter ces graines dans le potager là-bas.
Min Rar prit les graines et les planta dans le potager. Tout se passa bien, Min Rar n'aura pas déclenché la moindre catastrophe (bon, ok, il a croqué quelques graines, mais OSEF). Le lendemain, la ciboulette commence à pousser.
Maïté : Bien, bien ! Les graines commence à pousser, mais comme toutes les plantes, elles aiment l'eau, ah ben oui ! Tiens, je t'offre l'arrosoir.
Min Rar arrosa les plantations.. Tout se passe normalement (si ce n'est que la première fois, Min Rar a directement bu l'eau dans l'arrosoir, mais encore une fois OSEF).
Puis quelques jours encore plus tard... La ciboulette est plantée ! Quoi ? J'essaie de faire un chapitre où Min Rar ne déclenche pas la moindre catastrophe pour changer, qu'est-ce que tu... OH NOOOOOOOON !!!
Maïté : Oh misère !
Min Rar : Les beaux cornichons !
Oups ! Ce n'était pas des ciboulettes qui ont été plantées, mais des cornichons... Et non, c'est n'est pas si faute si Germain, le marchand de blé, avait discrètement échangé le sac de graines de ciboulette avec celles de cornichons.
Maïté : Oh ! C'est encore un coup de ce fameux Germain ! Je vais lui faire voir ses manières, à celui-là.
Elle étendit son bras au loin... Très, très loin, celui-ci devenait élastique et atteignit la champ de blé de Germain.
Germain : Hahaha ! Maïté ! Tu t'es vendue à l'industrie en faisant pousser ta ciboulette pour le Rondelé et faussée ton image en faisant la belle mamie cuisinière à la télévision, mais moi, Germain, je suis un fermier, un vrai, un pûr, de père en fils ! Bon, j'ai 72 ans et je n'ai toujours pas de descendance, mais quel intérêt, il n'y a pas prescription pour faire un enfant chez les hommes, la ménopause, cela n'existe pas pour nous . Et pourquoi je parle tout seul comme un méchant qui explique son plan diabolique ? Et pourquoi il y a une main au bout d'un bras élastique qui s'approche de moi ?
Puis il réalise.
Germain : Une main au bout d'un bras élastique ?
Il se fâcha !
Germain : Hé ! La main ! Hors de mon champ, c'est une priopriété privée ici !
La main de Maïté s'empara de Germain qui l'attira sur tout le kilomètre qui sépare son champ de blé au potager à ciboulette de Maïté.
Maïté : Et bien, mon petit Germain, on n'a toujours pas appris les bonnes manières à ce que je vois !
Germain : Maïté ? Mais comment as-tu fait ça ?
Maïté : Je suis une illuminati !
Une lumière dorée apparu soudainement derrière Min Rar qui était debout ici en train de manger du pop corn qu'il avait volé dans le champ de maïs d'un autre fermier qui, dans la colère avait brûlé son maïs car des mouettes mangeaient ses graines. Oui, vous vous demandez pourquoi des mouettes et pas des corbeaux ? Tout simplement parce qu'ils ont peur des épouvantails, ils sont cons les corbeaux, les mouettes, elles, viennent de la plage, elles voit plus effrayant qu'un simple épouvantail, comme les personnes âgées dans les camp de naturiste. Enfin, bref, je m'égare, donc une lumière dorée apparut derrière Min Rar qui était en train de manger du pop corn. De cette lumière sorti Dumbledore.
Dumbledore : Qu'est-ce que j'ai entendu ? Tu révèles publiquement qui tu es une Illuminati ?
Maïté : Et alors ? Toi aussi tu en es un !
Dumbledore sorti sa baguette.
Dumbledore : AVADA KEDAVRA !
Un lumière verte sorti de la baugette de Dumbledore et percuta Maïté fut tuée sur le champ.
Germain : Mais... Mais... Mais...
Dumbledore : Désolé, mais comme tu es témoin, je vais devoir te tuer moi aussi ! Avada Kedavra.
Germain mourut à son tour, MAIS...
Maïté: Je ne suis pas morte.
Dumbledore : Comment ça ?
Maïté : Tu devrais pourtant le savoir, Dumbledore, je suis une Illuminati, je ne peux pas être tuée par un Avada Kedavra.
Dumbledore : Ne pense pas t'en tirer à son bon compte !
Ils commencent à se battre. Min Rar, qui n'avait plus de pop corn, jeta son gobelet au sol et alla admirer les ciboule... Euh... Cornichons qu'il avait planté, c'était magnifique. Min Rar semblait avoir enfin trouvé la voie qu'il avait toujours inconsciemment voulu suivre : et si il devenait cultivateur de ciboulettes aux cornichons ? Mais quand il aperçut des mouettes descendre du ciel et dévorer les cornichons qu'ils voulut planter depuis plusieurs jours, il semblait être dégouté et renonça à devenir cultivateur. Il décida de reprendre sa route pour retrouver son frère, Min Car, qui était visiblement passé par-là. Quand à Dumbledore et Maïté...
Maïté : Le plus grand sorcier de tous les temps, mais oui, bien sûr, quand on triche avec des pouvoirs d'Illuminatis ! (
Dumbledore : Moi au moins, je ne mets pas nôtres en danger en révélant publiquement qu'on existe ! (
Il actuellement toujours en train de se battre... Et maintenant, j'ai trop envie qu'il y ait un Death Battle en Dumbledore et Maïté...C'est fou !
À suivre...
Chapitre 107 : manie d'écrire volontairement que de la merde, je serais peut-être devenu un écrivain talentueux.
Quoi ? Tu n'as rien compris au titre du chapitre ? Lis-le en entier au lieu d'ignorer la numérotation. Bon ! Min Rar continua de suivre sa route, bien qu'il n'y ait plus de chemin depuis le champ de blé de Germain ainsi que le jardin de Maïté, rempli de cornichons, de ciboulette, et, j'avais oublié l'ingrédient principal : l'Ail de Garonne ! Finalement, après avoir passé plusieurs années à le chercher, Min Rar avait retrouvé son frère, Min Car, sur le sol, tombé de sa voiture ayant percuté un mur.
Min Rar : Frère !
Min Car : Min Rar ? C'est toi ? Tu peux m'aider s'il te plait ? Quelqu'un a mis de l'huile sur la route, ma voiture a déparé et je suis tombé, et comme je ne peux pas marcher, je suis coincé au sol.
Min Rar : Hein ?
Min Car : Grrrmmbl ... Toi remettre moi dans «Tût tût».
Min Rar: Ah ok !
Quand soudain, un robot mécanique géant tout droit sorti d'un animé surgit du sol, et à l'intérieur de la tête de celui-ci se trouvait... Stéréo, le PDG d'entreprise raciste, mysogine, esclavagiste, capitaliste, riche... Enfin, vous voyez l'image, que Min Rar avait rencontré plus tôt dans cette histoire.
Stéréo : Hahahaha ! Min Rar, cela fait combien de temps que je ne t'ai pas vu ? Précisément 1004 jours, soit 2 ans et 9 mois, ou encore, 9 chapitres ! Je suis resté un long moment en prison et j'ai perdu 16% de ma fortune à cause de toi ainsi que ces deux femmes ! Et bien tu sais quoi ? Elles sont mortes ! Je les ai poignardées puis je me suis arrangées pour que leurs corps soient abandonnés au fin fonde de l'océan pacifique, là où personne ne les reverra ! C'est maintenant ton tour ! Moi toi, je ne sais pas pourquoi, peut-être parce que tu es le personnage principal de cette histoire, j'ai l'intention d'employer les méthodes fortes !
Hé, puisque tu es là à raconter ton plan comme tout bon méchant qui se respecte, je voudrais savoir, c'est toi qui a versé de l'huile sur la route.
Stéréo : Tu as le droit de savoir, le narrateur, après tout, tu es un homme blanc cisgenre hétérosexuel riche.
Euh... Je suis pauvre !
Stéréo : Et bien en fait... Ah ! Tu es pauvre ? Bon, et bien, dans ce cas-là, je ne le dirai pas.
Pas grave, je suis le narrateur, je peux le révéler quand même.
Stéréo : Dans ce cas-là, pourquoi tu me le demandes ?
Car ce serait plus cohérent narrativement ! Enfin bref, après son arrestation, Stéréo a décidé de ressembler un maximum d'informations sur Min Rar. Il a compris que ce dernier était actuellement en train de parcourir le monde à la recherche de son frère. Il a alors versé de l'huile sur la route pour que Min Car cesse de tout le temps se déplacer et que Min Rar puisse enfin le retrouver, comme ça, Stéréo sait également où se situe notre clown préféré... Bon, ok, pas préféré, mais vous voyez ou je veux en venir (si c'est pas assez clair... Et bien relisez la phrase jusqu'à ce que vous compreniez).
Stéréo: Bref, l'important, c'est que mon plan a fonctionné ! Je suis là Min Rar, et je vais t'arrêter une bonne fois pour toutes ! Admire-moi cette merveille ! Je l'ai nommée Goldorator ! Héhé ! Bin oui ! J'ai les moyens ! Hé ! J'ai peut-être dépensé mon argent dans une villa de luxe, dans une piscine resplendissante, dans les filles les plus sexy du monde, dans ma superbe bagnole ainsi que dans l'amande que tu m'as coûté, mais je suis toujours assez riche pour qu'on me construise ce robot titanesque de 60 mètres de haut ! C'est même surprenant que tu arrives à m'entendre de là où je...
Puis... Le robot tombe en panne.
Stéréo : Hein ? Mais qu'est-ce ? Kevin ! Il y a un engrenage rouillé ! Soit un bon nègre et répare ça pour ton supérieur blanc !
Kevin ? Il s'est fait un esclave noir du nom de Kevin ?
Stéréo : Ah oui, cet esclave appartenait à un présentateur télé, il l'aidait à animer ses emissions, mais comme n'a pas voulu me le vendre, j'ai du le voler..
Les jambes du robots se brisent, celui-ci a maintenant été réduit de taille.
Stéréo : Qu'est-ce que tu fais, bamboula ?
Kevin : Je voudrais bien vous y voir ! J'ai déjà fait de la mécanique et je peux affirmer que j'ai jamais vu des engrenages aussi mal foutus !
Stéréo : Bon sang ! Les noirs sont tous des incapables ! Pourquoi j'en ai fait mon esclave ! Je...
Le robot continue de s'écrouler, il ne reste maintenant plus que la tête, désormais clouée au sol.
Stéréo : Bordel d'une sucette !
Min Rar: Hahahahahaha ! Sympa ton joujou
Bon et bien... Stéréo semble s'être planté tout seul. Cela lui apprendra à dépenser son argent dans de la mécanique marque repère.
Stéréo : Hahaha ! Pauvres fous ! J'ai pensé à tout, vous savez ?
Mais qu'est-ce ? Il balance Kevin par-dessus bord et... Des bras sortes des joues du du robot. Ils saisirent Min Car et le dépose à l'intérieur de la tête, là où se situe le cockpit de Stéréo. Puis la tête décolla du sol, un réacteur était placée sous celle-ci. La tête du robot s'envola dans le ciel tel un vaisseau spatial.
Stéréo : Changement de plan. Je ne vais pas te tuer Min Rar, à la place, je vais kidnapper ton précieux frère et je vais l'abandonner dans l'espace et tu ne le reverras jamais ! Tu le regretteras et tu souffriras toute ta vie, mwahahaha
Le vaisseau s'envola dans le ciel.
Min Rar : MIN CAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAR !
??? : Arrête de crier.
Min Rar : Hein ?
C'était Kevin, qui se remettait de ses blessures.
Kevin : John, le présentateur télé avec que je travaille d'habitude, m'en a parfois fait voir des belles, mais alors lui, il bat tous les records !
Kevin avait visiblement un compte à régler avec Stéréo, et Min Rar avait aussi ses raisons de le payer. Ils décidèrent tous les deux de former un duo et d'arrêter leur ennemi ensemble.
À suivre...
Chapitre 108 : On m'a mis au défi de mettre dans ce chapitre les mots suivants : Moustique - Guenon - Escalier
Min Rar et Kevin poursuivait Stéréo qui était en train de voler dans la tête/vaisseau de son robot en retenant Min Car en otage. Le duo se retrouva au pied de nombreux escaliers.
Min Rar : Wow ! J'ai jamais vu autant d'escalier de ma vie !
Pendant ce temps, dans le vaisseau...
Stéréo : J'ai l'impression de piloter le vaisseau du Dr. Robotnik.
Il aperçut plus bas Min Rar et Kevin qui le poursuivait.
Stéréo : Hein ? Ils m'ont déjà rattrapé ? Ah non ! Hors de question que je sois déjà vaincu, c'est que je suis un méchant sérieux, pas celui qui soit vaincu au bout du deuxième chapitre !
Il appuie sur l'un des boutons de son appareil, relâchant du vaisseau un robot guenon qui atterrit au sommet des escaliers.
Kevin : Qu'est-ce que c'est que ça ?
Robot Guenon : 0100000101100011011010000110010101110110011001010111101000101101011011010110111101101001001011000010000001101010011001010010000001101110011001010010000001110000011001010111010101111000001000000111001101110101011100000111000001101111011100100111010001100101011100100010000001100011011001010111001100100000011010000110010101101101011011010111001001101111011010010110010001100101011100110010000000100001
Le robot guenon sauta au sommet d'escaliers et commença à jeter des tonneaux sur les marches.
Kevin : Ah ok ! D'accord !
Il commença à courir et à sauter par dessus les tonneaux.
DI-LING ! 100 pts !
Min Rar, lui, se prenait tous les tonneaux et n'arriva pas à grimper les marches.
Kevin : Attends ! Prends ça !
Il lui balança un marteau. Min Rar le saisit et commença à casser les tonneaux. Excité, il commencer à grimper les marches à toute vitesse, dépassa Kevin et se retrouva rapidement au sommet où était le robot guenon et lui donna un coup de marteau à la tête, ce qui n'avait aucun effet. Il tenta sur bras, rien à faire, au postérieur ?
Robot Guenon : 01001101011001010111001001100011011010010010110000100000011011010110010101110011001000000110100001100101011011010110111101110010011100100110111101101001011001000110010101110011001000000111011001101111011011100111010000100000011011010110100101100101011101010111100000100000011011010110000101101001011011100111010001100101011011100110000101101110011101000010000000100001
Rien à faire. Puis, un moustique apparu.
Moustique : Bzziiiiiit !
Il piqua le robot guenon
Robot guenon : 01001111011101010111000001110011
Et le robot tomba en pièces.
Kevin : OK ! Parfait ! On va pouvoir continuer.
Le duo continua la poursuite. Et moi, j'ai utilisé les trois mots.
À suivre...
Chapitre 109 : Je suis en train de gouter des Ricola «Citron Vert Thé Vert», c'est pas terrible !
Le malicieux Stéréo a pu atteindre beaucoup d'avance par rapport à Min Rar et Kevin, mais cela restait tout de même un être humain, et commença à avoir faim.
Stéréo : Mon dieu ! Quelle faim ! Et j'ai laissé mon repas dans mon coffre-fort !
Il arriva à Grandville-les-Moteurs, la ville la plus peuplée du secteur. Il gara son vaisseau dans un coin et attacha Min Car sous le sous son siège, sorti de la voiture, réalise que Min Car pouvait faire du bruit et alerter les gens, donc il pris du chloroforme et endormit Min Car avant d'aller à boulangerie prendre un petit casse-route pour la croute... Euh... Casse-croute pour la route !
Stéréo : Bonjour, je désirerais commander un pain au chocolat, s'il vous plait !
Boulanger : On dit chocolatine, ici !
Stéréo : ...
Stéréo invoqua un pistolet dans sa main et tira une balle dans le front du boulanger.
Stéréo : Paysan, va !
Il alla dans une autre boulangerie quelques rues plus loin.
Boulangère : Bonjour, monsieur, que désirez-vous ?
Stéréo : Femme ! Donne-moi un pain au chocolat ! Maintenant !
Boulangère : Non mais dites-donc, on est plus au XIXème siècle, vous savez ? Grossier bonhomme !
Stéréo : C'est comme ça que tu parles à un homme ?
Il tira une balle dans le front de la boulangère. Puis il alla dans une autre boulangerie plus loin, mais...
Boulanger : Désolé, mon fournisseur est récemment décédé, je n'ai plus le moindre blé pour mes pains pour l'instant, mais en attendant, vous pouvez toujours acheter un de mes délicieux pots de cornichons.
Stéréo : Tu te fous de ma gueule ?
Il tira une balle dans le front du boulanger, il chercha une quatrième boulangerie, mais cela faisait déjà un quart d'heure qu'il était ici, le clown et le noir allait probablement le rattraper. Il retourna dans son vaisseau et repris sa route, peut-être que la prochaine ville aura une boulangerie qui ne soit pas dirigée par des péquenots, des femmes ou des traites à leur fonctions. Min Rar et Kevin arrièrent peu après dans la ville.
Kevin : Grandville-les-Moteurs, c'est la plus grande ville du coin, il a du s'arrêter un moment ici. Interrogeons les habitants si il n'ont pas vu un homme riche piloter la tête d'un robot géant.
Min Rar : Hein ?
Kevin : «Toi poser questions aux gens sur homme qu'on poursuit» !
Min Rar : Aaaah ! OK !
Min Rar alla interroger les habitants de la ville mais à cause de son cerveau peu évolué, il eu quelques soucis de mémoire.
Min Rar : «Toi poser question aux gens car...» «Toi poser question aux gens sur...».. Ah oui ! «Toi poser questions aux gens sur où trouver GATÔ !»
Il alla interroger un passant dans la rue.
Min Rar : Bonjour, je voudrais savoir où trouver des GATÔ !
Passant : Il y a une boulangerie à quelques rues d'ici, mais elle est fermée car il y a eu un meurtre il y a quelques minutes, vous devrez plutôt aller voir... Mais une minute... Les boulangers sont actuellement en train de mourir les uns après les autres... Il me demande où trouver la prochaine boulangerie ! AAAAAAAAH ! JE L'AI TROUVÉ !
Il sorti son portable.
Passant : «911-17 !» Allô, la police ? Venez vite dans au 34, Avenue Marilyn Manson ! J'ai trouvé le meurtrier de boulangers, c'est un homme déguisé en clown !!!
Police : Gardez votre calme, on arrive dans 40 minutes !
Kevin, qui était en train d'interroger d'autres passants entendit les cris et vint vers Min Rar.
Kevin : Qu'est-ce que tu as fait ?
Min Rar : Je lui ai demandé où trouve les GATÔ !
Passant : AAAAAH !!! IL A UN COMPLICE ! UN BLACK !!!
Police : Comment ? Il a un complice noir ? On arrive de suite !
Une minute plus tard, 4 voitures de polices encerclèrent Min Rar et Kevin.
Police: Plus un geste, vous êtes cernés !
Une autre minute plus tard, il se sont retrouvés au commissariat puis mis en détention dans une cellule.
Kevin : Mais... Mais puisque je vous dit que nous sommes innocents ! Menez au moins une enquête avant de nous enfermer !
Garde : Tais-toi où on te met dans la cellule de Killer Billy, et crois-moi que ce n'est pas un tendre.
Kevin laissa tomba et alla s’assoir sur le banc de la cellule.
Kevin : Génial ! Nous sommes en détention pour meurtre de trois boulangers ! Et pendant ce temps, Stéréo, il doit être content car nous sommes en d'état dans l'arrêter.
Pendant ce temps.
Stéréo : Comment ça vous fermez les boulangeries en raison des meurtres qui se sont déroulé cet après-midi dans Grandville-les-Moteurs ? Mais nous ne sommes pas à Grandville-les-Moteurs !
Boulangère : Peut-être, mais moi, je ne veux pas prendre le risque de recevoir une balle dans le front !
À suivre...
Vivement la suite.
Chapitre 110 : On demande la suite ? Et bien la voilà.
Kevin : Dites, vous allez nous garder combien de temps dans cette cellule ?
Garde : Le temps qu'on analyse vos papiers, qu'on contacte le tribunal, qu'on continue de chercher des indices, que la presse soit au courant, que...
Kevin : Combien de temps ?
Garde : Très longtemps, vous ressortirez pas avant au moins 2 - 3 mois... AU GRAND MINIMUM !
Kevin : Mais c'est que je suis assistant à un jeu télévisé ! Vous connaissez le grand quiz qu'ils diffusent sur la 27 de 18h30 à 19h30, présenté par John ? Je suis son assistant.
Garde : Il n'a qu'à se trouver un nouvel assistant, de toutes façons, cette émission est nulle, je suis même sûr qu'elle est truquée.
Kevin : C'est ça, vous n'avez jamais vu l'émission ! Je suis même sur que vous ignorez qu'on fait un pierre-feuille-ciseaux en cas d'égalité à la fin.
Garde : Oui, je le sais très bien, et alors ?
Kevin : On se fait une partie ? Si je gagne, vous me libérez !
Garde : Tu me prends pour un idiot ? Je ne vais pas te la rendre ta liberté. Et qu'est-ce que j'ai à y gagner.
Kevin : Si tu gagne, te révèle comment fonctionne la triche dans notre émission... Si il y en a une. Si JE gagne, tu me files les clés de la cellule.
Garde : Je ne vois pas en quoi les clés de la cellule pourraient vous servir, mais j'accepte.
Ah ! Pardon, pardon, c'est moi, le narrateur, je suis en retard ! Ils en sont où ? «Kevin : Dites, vous allez nous garder... Blablabla...»... Ah oui ! La partie de pierre-feuille-ciseaux. Et bien, ils commencent à jouer.
Kevin et le garde : Pierre... Feuille... Ciseaux !
Le garde joue les ciseaux, Kevin prend volontairement une demi-seconde de retard pour voir le geste de son adversaire et jouer la pierre avant qu'il ne se rende qu'il vient de tricher.
Garde : Et zut ! J'ai perdu ! Bon ben tiens, voilà les clés.
Il les donna à Kevin qui ouvrit la porte de la cellule et profita de la pause café de la police pour aller récupérer son portefeuille laissé sur l'un des bureaux.
Kevin : Tu viens, Min Rar ? On s'en va ! MIN RAR ! Oh et puis zut, je pourrai très bien me débrouiller sans lui de toutes façons.
Il sortit du poste de police. 10 minutes plus tard, après la pause café, les policiers reprirent leur travail. L'un d'entre eux remarqua que la porte de la cellule était ouverte.
Policier : GARDE !!
Le garde s'approcha.
Garde : Oui ?
Policier : Pourquoi la porte de la cellule est-elle ouverte ? Où est passé le prisonnier noir ?
Garde : Je ne sais pas, moi, il a ouvert la porte de la cellule je-ne-sais-comment alors que je l'avais fermée à clé.
Policier : Et vous n'avez rien fait ?
Garde : Ben non, j'étais sous la confusion, j'étais trop ailleurs pour m'occuper du prisonnier qui s'évade.
Policier : Votre salaire va prendre cher... Au moins, encore heureux que le clown ne se soit pas... Mais qu'est-ce qu'il fait ? Pourquoi il a sa tête collée contre le mur ?
Garde : On dirait qu'il tente de renifler l'odeur du mur...
Policier : Ridicule ! Ce n'est pas en prison qu'il faut l'enfermer, mais dans un asile.
Le policier alla ailleurs en grognant.
Policier : Incompétents... Tout des... Oooh, mais une minute !
Il aperçut sur son bureau un paquet de mouchoir.
Policier : Il appartenait au prisonnier noir, cela pourrait être un indice, et son complice, celui qui renifle les murs, pourrait... Oooooh !
Il alla dans la cellule de Min Rar.
Policier : Hé ! Le clown, renifle.
Min Rar : Oh ? C'est quoi ?
Policier : Sens l'odeur de ce paquet et dit nous d'où elle vient.
Min Rar renifla l'odeur du paquet de mouchoirs et commença à suivre l'odeur avec son flaire.
Policier : Parfait ! Thierry ! Prêtez-moi la laisse de votre chien décédé ! Je crois qu'elle va pouvoir de nouveau servir.
Min Rar fut mis en laisse et renifla la piste de Kevin. En parlant de Kevin, , celui-ci venait de sortir de la ville et passait par un champ de fleurs afin de semer les policiers qui allaient probablement emprunter la route.
Kevin : Oh non... °atchoum° Du pollen ! Je savais que c'était une mauvaise idée de passer °atchoum° par-là ! Faut que je me mouche.
Il fouilla dans ses poches et remarqua qu'il avait oublié son paquet de mouchoirs.
Kevin : Oh non ! J'ai du les oublier au commissariat. Le temps que j'arrive à la prochaine ville... Bon tant pis je... °atchoum°, non, il FAUT que je retourne là-bas et que récupère ce paquet... De toutes façons, je n'ai plus d'argent à cause de ce stupide Stéréo. J'espère °atchoum° que je ne me ferais pas surprendre.
Il fit demi-tour en prenant un autre chemin afin de ne pas croiser des policiers qui seraient éventuellement parti sa poursuite. Quelques minutes plus tard, la police passa par-là.
Policier : Aha ! Il pratique clown ! Grâce à lui, on sait maintenant que notre prisonnier est passé par ce champ de fleurs..
Min Rar ne traversa pas le champ de fleurs et fit demi-tour.
Policier : ... Mais qu'est-ce qu'il... Où il va ? Ne me dites pas que ce clown est allergique au pollen.
Au même moment...
Kevin : Me revoilà dans les bureaux du commissariat. Où est passé mon paquet de mouchoirs ? Non ? Il n'est pas là ? J'aurais juré que je l'avais oublié sur le bureau. Ah ! C'est sûrement Min Rar qui l'a.
Il retourna dans la cellule, mais il n'y avait personne.
Kevin : Il n'est pas là ? Ils doivent sûrement être en train de l'interroger sur mon évasion ! Zut ! Tant pis, je vais devoir me débrouiller sans paquet.
Au même moment, à l'extérieur.
Policier : Hahaha ! Notre clown se déplace rapidement, nous sommes toujours sur la piste et l'odeur doit être fraiche ! Notre fugitif ne doit pas être loin !
Il aperçut que Min Rar l'avait ramené au commissariat.
Policier : Attends... On est revenu au point de départ ? Pfff... Ce clown ferait un très mauvais chien policier. .
Il ouvrit la porte d'entrée du commissariat. Au même instant, à l'intérieur.
Kevin : Un bruit de poignée ? Oh oh... !
À suivre...
Chapitre 111 : Cela ne dérange personne si je fais de Kevin le personnage principal le temps de quelques chapitres ? Non ? Merci bien !
Le personnage principal provisoire n'eut le temps de se cacher que la porte s'ouvrir. La personne qui entra dans la pièce était avait un homme blond avec des cheveux si longs qu'on le prendrait pour une femme si il n'avait pas une barbe mal rasée. Il portait une chemise blanche complètement sale et tachetée, un pantalon aux couleurs voyantes et était pieds nus. Mais le plus marquant, c'était son odeur, non seulement il sentait le tabac, mais on pouvait deviner qu'il ne s'était pas lavé depuis plusieurs mois.
Kevin : Wooow... Cela existe encore aujourd'hui, les hippies ?
Hippie : Woh putain, mec ! J'ai cru que t'étais un keuf ! Tu foutu une de ces frousses !
Kevin : Euh... Qui êtes-vous ?
Hippie : Mon nom est Jeff !!!
Kevin : Et... Que faites-vous ici ?
Jeff : J'sais pas, je fumais de l'herbe et j'ai eu envie de balancer un cocktail molotov et après... Ah non, un policier m'a vu fumer puis après... Euh... Qu'est-ce qui s'est passé ? Ah oui ! Il m'a dit que c'était pas bien, et comme ça m'a pas plu, je crois que j'ai lancé un coktail molotov sur le poste de police... Enfin, je crois... Je me souviens de rien...
Kevin : Vous vous êtes éva...
Jeff : Hé ! Tu ne vas pas me dénoncer aux flics, j'espère ? Pas question que tu leur dise que j'ai joué à pierre-feuille-ciseaux pour sortir de ma cellule !
Kevin : Moi ? Pas du tout !
Jeff : T'as intérêt, mec ! Car je n'aboie pas, mais je mords, et je mords très fort, hein ?
Kevin : Euh... OK ! OK !
Kevin se sentait mieux, ce n'était pas un policier, il ne s'est pas encore fait attraper. En revanche, la vue de cet homme le dégoutait et il était nauséabond ! Il ouvrit la porte la plus près de lui et la referma aussitôt derrière lui. La nouvelle pièce un couloir diagonal avec un escalier d'une centaines de marches ayant en son sommet une grande porte dorée. Ce n'était pas le chemin de la sortie, mais Kevin ne fit pas demi-tour, le seul moyen d'accéder à cette pièce était de passer par le bureau où il a rencontré Jeff, et avec son odeur, la police est peut-être déjà en route pour le capturer. Autant rester caché dans ce couloir le temps que l'autre hippie soit arrêté. Mais il n'est pas impossible que la police que celui-ci dise à la police par où il est passé. Il pris la décision de franchir la porte dorée au sommet de l'escalier, en espérant qu'il y ait une fenêtre ou un accès aux toits afin qu'il puisse s'échapper. Il grimpa les marches, mais arrivé à mi-chemin...
??? : WAAAAAAAAH !!!
5 ninjas noirs descendirent du plafond.
Ninja 1 : Je suis Ninjambon, le premier ninja !
Ninja 2 : Je suis Ninjatendo, le deuxième ninja !
Ninja 3 : Je suis Léninja, le troisième ninja !
Ninja 4 : Je suis Tortue Ninja Géniale, le quatrième ninja !
Ninja 5 : Je suis Nicolas Ian Nathan James Alexandre, le cinquième ninja !
Kevin : Euh... Que font des ninjas ici ?
Ninjatendo : Tu ne sais pas qui nous sommes ? Les policiers alertent toujours les gens qui viennent ici de notre présence. Tu es donc un évadé qui s'est perdu !
Léninja : Alors comme ça on tente d'aller dans la salle du boss, fautif imprudent ? Il va falloir nous affronter !
Nicolas Ian Nathan James Alexandre : Tu ne pourras jamais nous battre, tu ne peux pas connaitre notre point faible.
Tortue Ninja Géniale : Ouais, on ne te dira pas que «23 est numéro 1» !
Le premier ninja trancha les têtes des deux derniers collègues qui ont parlé.
Nijambon : Idiots ! Il sait comment nous vaincre maintenant !
Kevin réfléchit un moment. «23 est numéro 1». Les Tortue Ninja Génial et Nicolas Ian Nathan James Alexandre, qui sont respectivement les ninjas n°4 et 5 sont morts, il ne reste plus que les n°1,2 et 3... C'est ça ! «23 est numéro 1 = 2 - 3 - 1.».
Kevin : En effet... J'ai compris !
Il assomma d'un coup de poing Ninjatendo, le deuxième Ninja, puis Léninja, le troisième et enfin Ninjambon, le premier. Ils étaient à présent tous en état de nuire. La prochaine salle est donc celle du boss, autrement dit, le chef du poste. Il ne voulut pas son montrer hostile, mais au cas où le chef serait couvert de préjugés ou savait qui il était, il pris l'un des sabres et le cacha dans son dos. Il franchit les dernières marches et ouvrit la porte. Le boss était là, assis derrière son bureau, sur son ordinateur en train de regarder une vidéo
Voix féminine provenant de la vidéo : KYAAAAA !! YAMETE KUDASAI ONII-CHAN !! Mmm... Han... Haaan... Aaaah !
Kevin (pensée) : Ooooh ! Je voudrais bien voir ce qu'il regarde.
Le boss aperçut Kevin et pris panique.
Boss de la police : AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !!!
Il sorti son pistolet et tira sur Kevin qui esquiva la balle de justesse, derrière lui se trouvait.
Jeff : Hé mec ! Il y a un clown qui n'arrête pas de me renif- UGH !
Kevin se retourna et aperçut le corps du hippie, ne bougeant plus, au sol, et juste à côté de lui, Min Rar en train de le renifler.
Min Rar : Mmm... Cela me rappelle trop l'odeur de mon lit
??? : Haha ! Tu pensais pouvoir nous échapper ?
Kevin leva les yeux, il aperçut un policier qui tenait la laisse qui était autour du coup de Min Rar.
Policier : Tu savais qu'on s'était servi du flair de ton compagnon de cellule et tu as essayé de nous tromper en te servant de l'odeur de cet hippie afin de camoufler la tienne.
Kevin : Euh... Absolument pas.
Boss de la police : Je peux savoir ce qui se passe ici ?
Policier : Le black qui vous voyez ici est un prisonnier qui vient de s'échapper.
Kevin : On m'a enfermé à tort et je suis allé voir votre chef pour tout expliquer.
Policier : Et pourquoi tu nous l'a pas demandé ? Hein ? Et pourquoi les ninjas sont assommés ?
Kevin : Ils savaient que je m'étais évadé de ma cellule et ils ont essayé de m'attaquer, j'ai agi en légitime défense.
Policier : Et pourquoi tu as un sabre dans ton dos sous tes habits ? Il n'est pas si bien caché que tu ne le penses.
Boss de la police : Ce black est venu pour me tuer ? J'ai eu le bon réflexe en essayant de lui tirer dessus, putain !
Kevin : Mais... Non, absolument pas ! C'est que vos hommes sont complètement fou, je voulais prendre des précautions au cas où vous seriez tout aussi...
Boss de la police : Et discrimination envers la police ! Trop, c'est trop ! Enfermez-le !
Le policier s'approcha de Kevin.
Kevin : Min Rar ! Fait quelque chose ! Déclenche une catastrophe qui nous sortirait de ce pétrin !
Min Rar : Boubouloububip !
Le policier assoma Kevin et l'enferma dans un cachot situé sous le commissariat.
À suivre...
Chapitre 112 : Une journée que Kevin n'est pas prêt d'oublier.
Kevin se réveilla le lendemain matin à 6 heures. Il était dans un cachot tout sombre et humide, derrière de vieux barreaux rouillés, la seule lumière provenait d'une ampoule qui devait être changée. On pouvait distinguer dans la cellule qu'un vieux banc en bois humide. Le jeune homme regarda à travers les barreaux en espérant trouver quelque chose qui pourrait à s'évader, il y avait un garde, visiblement dégouté de devoir monter la garde dans un endroit aussi misérable.
Kevin : Euh... Bonjour ?
Garde : Bonjour.
Kevin : Tu as l'air gentil. Tu n'aimes pas être ici.
Garde : Non.
Kevin : Je suis où ? En prison ?
Garde : Toujours au commissariat.
Kevin : Vraiment ? J'ai l'impression d'être ailleurs.
Garde : Vous êtes dans le sous-sol.
Kevin : Je suis ici pour combien de temps ?
Garde : Je ne sais pas.
Pas très bavard. Bah, ce n'est pas important. Le jeune homme était déjà sorti d'une cellule la veille, il pouvait refaire la même chose aujourd'hui.
Kevin : Hé ! Cela te dit si on joue à pierre-feuille-ciseaux ?
Garde : Quels sont les prix ?
Kevin : Si je gagne, tu me donnes les clés de la cellule. Si tu gagnes, je te révèle qui je suis, je ne suis pas n'importe qui, tu sais ?
Garde : Bon, très bien.
Ils commencèrent à jouer.
Kevin et le garde : Pierre... Feuille... Ciseaux !
Le garde joue la pierre. Kevin pris une demi-seconde pour jouer la feuille.
Garde : Héé ! Tu triches ! On recommence.
Kevin : D'accord...
Zut ! La technique marchait pas avec lui. Il allait devoir jouer une nouvelle fois légitiment.
Kevin et le garde : Pierre... Feuille... Ciseaux !
Kevin joua les ciseaux, le garde joua de nouveau la pierre.
Garde : J'ai gagné !
Kevin : Je ne m'attendais pas à ce que tu fasses deux fois le même geste.
Garde : Alors, qui tu es ?
Kevin : Tu vois John ? Le fameux présentateur qui diffuse le grand quiz sur la 27, qui fait parfois de la télé-réalité sans jamais mettre un terme à ses saisons en raison de catastrophes ou qui prévoit d'organiser un grand tournoi dans la ville de Troupomait d'ici septembre ? Et bien je suis Kevin, son assistant.
Garde : Ah...
Kevin : Quoi ? C'est tout ?
Garde : Ouais...
Kevin : On ne rejoue pas à pierre-feuille-ciseaux ?
Garde : Demain.
Kevin : Ah bon ? Comme tu voudras.
Bon, il ne restait plus qu'à attendre le lendemain. Mais c'est qu'il est très tôt dans la journée. Attendre une journée entière dans une cellule sans pouvoir faire quoi que ce soit, c'est long... Environ une heure et demi plus tard, on ouvrit la porte de la cave.
Policier : Je viens chercher le prisonnier, notre chef voudrait l'interroger au sujet de l'attentat d'hier.
Garde : Très bien.
Il ouvrit la cellule. Kevin eu les menottes aux mains et fut entrainé hors de la cave. Bien qu'il était toujours prisonnier, rejoindre le du rez-de-chaussée lui fit un bien fou, voir ces bureaux un mal rangés mais, mais propres lui semblait bien plus confortable que cette cave et il faisait moins humide.
Policier au loin : Pfff... Je ne suis pas du matin, moi !
Policière au loin : Moi non plus, et il faut que je retrouve de toute urgence les numéros de la famille riche à la sortie de la ville, il y a eu un cambriolage chez eux hier soir.
Les personnes qui étaient au loin ça allait, elles ne remarquaient pas Kevin, par contre, celles qui le voyaient fronçaient les sourcils rien qu'en le voyant.
??? : Je prendrais bien un noir.
Kevin : HEIN ? Qui c'est qui... ?
Il aperçut un policier près d'une machine à café, suite aux évènements récents, Kevin avait cru qu'on faisait encore de la discrimination envers sa couleur de peau, mais c'était juste quelqu'un qui voulait prendre un café.
Policier voulant prendre un café : Alors... 50.. 80... 1 euro ! Voulez-vous du sucre ! Non, noir ! Intense, du vrai, comme boit l'autre procureur avec le masque sur le visage ! Pompompompom... ♩:-) ... Hein ? La machine tombe en panne maintenant ? Et mon café alors ?!
Un peu plus tard, Kevin arriva dans le bureau du chef de la police.
Boss de la police : Ah ! Le voilà ! Laissez-nous, voulez-vous !
Le policier sorti de la pièce laissant Kevin seul avec le chef.
Boss de la police : Alors ? Que signifie tout cela ! D'après ce que j'ai pu comprendre, on tue 3 boulangers, on t'arrête, puis tu t'évades, tu libères le prisonnier hippie pour brouiller les pistes et tu viens dans mon bureau pour venir me tuer ! Quelles sont tes motivations ?
Kevin ouvra la bouche.
Boss de la police : PARLE !!!
Kevin : Je suis arrivé dans cette ville hier, vous avez peut-être vu un homme piloter un vaisseau dans le ciel.
Boss de la police : J'ai rien vu, n'invente pas d'excuses !
Kevin : Je poursuivais quelqu'un, mais j'avais perdu sa piste, j'ai demandé au clown qui m'accompagne d'interroger les passants, je ne sas pas ce qu'il a dit, mais on a été accusé d'avoir assassiné des boulangers. On nous a arrêté, mais j'ai réussi à m'évader, mais j'avais oublié un paquet de mouchoirs ici.
Boss de la police : Tu es revenu ici pour chercher un paquet de mouchoirs ? T'es idiot ou quoi ?
Kevin : Je ne l'ai pas retrouvé et j'ai eu vos hommes à mes trousses, j'ai pris la fuite en passant la première porte que j'ai trouvé et je me suis retrouvé par hasard dans votre bureau.
Boss de la police : T'es sûr que t'as rien oublié ?
Kevin : Ah ! Le sabre ? Comme je l'ai dit, ils m'ont attaqué et vos hommes sont... Ils ont leur tempérant, de peur à ce que vous soyez comme eux...
Oups... Il avait mal choisi ses mots, le boss de la police avait l'air encore plus furieux.
Boss de la police : Je crois que tu me caches la vérité ! Tu finiras bien par parler ! Et je vais employer les méthodes fortes.
Le boss de la police remonta ses manches et frappa Kevin à coups de poing, on pouvait entendre le carnage depuis le couloir menant au bureau. Le policier qui escortait Kevin entendit les bruits.
Policier : Haha ! Il a du comprendre à qui il a du avoir affaire.
Pendant ce temps, dans le bureau, Kevin avait assommé le boss de la police.
Kevin : On voit qu'il n'a jamais appris à se battre, celui-là ! Bon ! Comment je sors ? Le commissariat doit être bien plus plein qu'hier à cette heure-ci. Je dois... Oh non...
Il n'y avait qu'une seule issue, prendre la fenêtre qui était derrière le bureau. Il l'emprunta, mais il trebucha, passa par-dessus le muret, tomba du deuxième étage et s'écrasa lamentablement sur le sol.
À suivre... Oups ! Pardon, c'est vrai, Kevin a beau être le personnage principal de ce chapitre, n'oublions pas que le véritable personnage principal, c'est Min Rar et il fut qu'il apparaisse au moins dans chaque chapitre (si on ne compte pas les 4 premiers). Alors, Min Rar, lui, fut ramené dans la même cellule que la veille en train d'admirer tout ce qui l'entourait.
Min Rar : Oooh ! Il est le bo le lavabo.
Garde : Arrête de sourire, ça m'énerve les prisonniers qui sont heureux.
À suivre...
Chapitre 113 : Hein ? Quoi ? Il y a eu un chapitre 112 ?
Kevin se réveilla de nouveau dans sa cellule, il a du être recapturé après avoir chuté du deuxième étage du commissariat. Ce fut assez surprenant qu'il ne ne fut pas blessé après une telle chute. Mais c'était quand même étrange, il avait l'impression qu'il ne s'était pas déroulé une seule seconde entre le moment où il s'est écrasé et le celui où il s'est réveillé, pas la moindre impression d'avoir eu un instant de non conscience. Il aperçut le garde de tout à l'heure, qui avait toujours l'air aussi dégouté de son poste.
Kevin : Hé toi ! Quel est ton nom ?
Garde : Marc.
Kevin : Marc ! Cela te dit qu'on fasse notre partie de pierre-feuille-ciseaux maintenant, c'est que je perds patience.
Marc : Et qu'est-ce que je gagne ?
Kevin : Ben tu sais, si tu gagnes, je te révèle qui je suis... Ah ben, c'est vrai, je te l'ai déjà dit.
Marc : Ah bon, je m'en souviens pas.
Kevin : Hein ? Tu as déjà oublié ? Ben, si tu gagnes, te rappelle que je suis, et si tu gagnes, tu donnes la clé de la cellule.
Marc : D'accord.
Kevin : Parfait ! Allons-y.
Kevin et Marc : Pierre... Feuille... Ciseaux !
Kevin joua les ciseaux et Marc la pierre.
Kevin : Hein ? Encore ? Bon, j'ai compris ton petit jeu ! On recommence ?
Marc : Révèle d’abord qui tu es.
Kevin : Ben tu sais, je suis l'assistant de John, le présentateur télé, le quiz, la télé-réalité, le tournoi prévu pour septembre, tout ça ! Bon, on rejoue ?
Marc : Demain.
Kevin : Je finirai bien par gagner tôt ou tard de toutes façons.
Kevin était un peu paniqué, sa situation était pire, la dernière fois, était seulement soupçonné d'avoir commis un crime, mais cette fois-ci, il a assommé le chef de la police, c'est sûr, la punition allait être des plus terribles. Il s'allongea sur le banc en bois humide en pensant à un éventuel nouveau plan d'évasion. Au bout d'un moment, la porte du sous-sol s'ouvrit.
Policier : Je viens chercher le prisonnier, notre chef voudrait l'interroger au sujet de l'attentat d'hier.
Marc : Très bien.
Alors là, elle est bien bonne, le chef est très bien conscient de ce que Kevin a pu faire... Mais c'est bizarre, il eu l'impression de déjà vu. Marc ouvrit la porte de la cellule et le policier lui passa les menottes... Non... Cela devrait être des menottes de rechange, il avait cassé les siennes avant de frapper le chef de la police. Il l'entraina hors du sous-sol. Arrivé au rez-de-chaussée...
Policier au loin : Pfff... Je ne suis pas du matin, moi !
Policière au loin : Moi non plus, et il faut que je retrouve de toute urgence les numéros de la famille riche à la sortie de la ville, il y a eu un cambriolage chez eux hier soir.
Impossible ! Cela ne pouvait pas être ça ! Kevin commençait à avoir une idée de ce qui lui arrivait, mais non, c'est impossible !
??? : Je prendrais bien un noir.
Il était en train de revivre la même journée ! Là, il devrait mettre dans la machine à café 50 centimes... 80 centimes... 1 euro !
Policier voulant prendre un café : Pompompompom... ♩:-) ... Hein ? La machine tombe en panne maintenant ? Et mon café alors ?!
Exactement comme prévu. Kevin ne comprenait pas comment il s'était retrouvé dans cette situation, mais cela jouait en sa faveur, du moins, pour le moment. Puis, dans le bureau.
Boss de la police : Ah ! Le voilà ! Laissez-nous, voulez-vous ?
Le policier sortit.
Boss de la police : Alors ? Que signifie tout cela ! D'après ce que j'ai pu comprendre, on tue 3 boulangers, on t'arrête, puis tu t'évades, tu libères le prisonnier hippie pour brouiller les pistes et tu viens dans mon bureau pour venir me tuer ! Quelles sont tes motivations ?
Kevin ouvrit la bouche, et sans surprise, avant même qu'il ne puisse parler...
Boss de la police : PARLE !!!
Kevin : Pourquoi faire ? De toutes façons, vous ne me croirez pas !
Boss de la police : On tente de gagner du temps pour s'inventer des excuses ? Très amusant, mais je ne te cache pas que ta sentence ne sera pas des plus douces.
Kevin : Cela m'importe peu pour l'instant. Tout ce que je veux savoir, si c'est Min Rar va bien.
Boss de la police : C'est MOI qui pose les questions ! Quand à ton copain, il est toujours dans la même cellule qu'hier.
Kevin : Parfait ! Si vous permettez, j'irai le rejoindre.
Kevin se leva de sa chaise.
Boss : Hé ! Où crois-tu aller ? Ne me dis pas que tu veux retourner dans ton ancienne cellule ? Le confort de celle-ci te manque, hein ? Pas de chance pour toi, j'ai l'intention de te laisser pourrir dans ta cave !
Kevin : Ouais, Marc pourra toujours apprécier ma compagnie.
Boss de la police : Hein ? Le petit nouveau qui a à peine 18 ans ? Laisse-moi rire ! Il ne va pas... Hé ! Où est-ce que tu vas ? Reviens ici de suite ou je tire !
Kevin : Je n'ai plus rien à vous dire, et nous n'avez pas le droit de me tirer dessus, nous ne sommes pas aux USA.
Kevin sorti du bureau et se pris une balle dans le crâne. Une seconde plus tard, il était dans sa cellule.
Kevin : Noooon ! Impossible !
Il alla voir Marc.
Kevin : Hé ! Il est quelle heure ?
Marc : 6 heures du matin.
Kevin : On joue à pierre-feuille-ciseaux ? Tu gagnes, je te révèle qui je suis. Si je gagne, tu me donnes les clés de la cellule.
Marc : D'accord.
Kevin et Marc : Pierre... Feuille... Ciseaux !
Kevin joua la feuille et Marc la pierre.
Kevin : Haha ! Trop prévisible !
Marc : T'es trop confiant, tu as du tricher ! On recommence.
Kevin : OK !
Kevin et Marc : Pierre... Feuille... Ciseaux !
Kevin joua de nouveau la feuille et Marc la pierre.
Marc : Je m'attendais pas à ce que tu devines que je joues deux fois la pierre.
Kevin : Par ici la clé.
Marc : Bon ben, tiens.
Kevin pu sortir de la cellule sans que Marc ne disent quoi que ce soi.
Marc (pensée) : Il va falloir que prenne l'habitude de jouer la feuille plus vite pour qu'il ne me soupçonne pas de triche.
Le jeune homme était maintenant au rez-de-chaussée. Les bureaux étaient quasiment vides, seulement quelques policiers qui font le service de nuit. Ce n'était pas encore les heures d'ouverture officielles. Il alla rejoindre la cellule de Min Rar.
Min Rar : °roooonfle° Ooooh... Porcinet... °roooonfle° Ooooh ! Arrête Porcinet.
Kevin : Min Rar... Min Rar ?
Min Rar: WAAAAAAAAAAAAAH !!!
Le clown se réveilla en sursaut et son cri alerta les quelques policiers qui trainait par-là.
Policier : ALERTE ! UN PRISONNIER S'EST ÉVADÉ !
Policer : C'EST UN BLACK ! TIREZ SANS RÉFLÉCHIR !
Kevin se prit plein de balles et se retrouva dans sa cellule.
Kevin : Hé ! Pierre-feuille-ciseaux ?
Marc : OK !
Kevin joua la feuille et Marc la pierre. Kevin pu sortir et rejoindre le rez-de-chaussée !
Kevin : Hahaha ! Je suis invincible !!
À suivre...
Chapitre 114 : Le jour sans fin de la marmotte, partie 1.
Min Rar : Oooh ! Il est le bo le lavabo.
Garde : Arrête de sourire, ça m'énerve les prisonniers qui sont heureux.
Le plafond de la cellule de Min Rar s'écroula, Kevin, qui était à l'étage du dessus, descendit.
Kevin : Ne t'inquiète pas Min Rar, je vais te sortir de là !
Il fit la courte échelle au clown qui grimpa à l'étage supérieur. Il partit... Et ne revint pas.
Kevin : Et... Et moi alors ?
Garde : Alors, on tente d'aider son complice à s'évader et on finit par être enfermé à sa place, quelle ironie !
Kevin : Et je suppose qu'il se fera capturer une nouvelle fois. C'est la 5ème fois que je tente de le sauver auourd'hui, et ça encore loupé ! Bon, je crois que je vais devoir dire les mots qui fâchent : «vous êtes littéralement un fils de pute, vous soutenez les Nazis et vous voulez de l'argent dans le bureau de votre chef tous les mat-
PAN ! Kevin se prit une balle dans la tête et se réveilla dans sa cellule.
Kevin : C'est fou ! Je n'arrive pas à libérer ce clown, malgré toutes mes tentatives, je n'arrive pas à franchir la première étape à franchir avant de repartir à la poursuite de Stéréo... Mais minute... Qu'est-ce qui m'en empêcherait ? Je peux très bien partir à sa poursuite tout seul.
Ayant déjà vécu la même journée plusieurs fois, Kevin avait appris à sortir du commissariat sans se faire prendre. Il commença à interroger des gens dans la rue.
Kevin : Excusez-moi, auriez-vous vu une tête de robot voler dans le ciel ?
Passant : No sé !
Kevin : Évidemment, il fallait que je tombe sur un étranger. Ah ! Monsieur ! Vous auriez vu une tête de robot voler dans le ciel ?
Passant : No sé !
Kevin : Noooooon ! Ne me dis pas que...
Il interrogea une passant quelques rues plus loin.
Passante : No sé !
Et une autre.
Passante : No sé !
Et un autre.
Passant : No sé !
Kevin : Mais c'est quoi ça ? Une malédiction ?
Passant : Il est allé à No Sé !
Kevin : Hein ?
Passant : La ville de No Sé ! Vous savez, au nord d'ici par-delà les collines ! On a vu un vaisseau y aller.
Kevin : VOUS N'AURIEZ PAS PU LE PRÉCISER PLUS TÔT ??
Kevin alla à No Sé, mais à pied, la ville est assez loin, il y arriva seulement le lendemain à 5 heures 59.
Kevin : M'y voilà enfin ! Je suis enfin...
6 heures ! Il se retrouva subitement dans sa cellule.
Kevin : Et merde ! J'y étais ! Bon, voyons le côté positif, au moins, je n'y pas besoin de mourir dans d'atroces souffrances pour recommencer la journée !
Il y retourna en volant une voiture, mais arrivé à là-bas, une barrière invisible l'empêcha d'entrer dans la ville.
Vieux sage : Je sens une aura autour de toi, ô compagnon de l'Élu ! Tu es victime d'une malédiction qui te refait revivre en boucle la même journée encore et encore la même journée. Seuls ceux qui ne sont pas victimes d'une malédiction peuvent entrer dans cette ville. Reviens quand tout sera revenu à la normale.
Kevin : Et comment je reviens à la normale , en faisant une bonne action ?
Vieux sage : Une bonne action, en effet, mais une bonne action précise. À toi de la découvrir.
Kevin fut téléporté dans sa cellule, 6 heures.
Kevin : Alors comme ça, je ne sortirai pas de la boucle tant que je n'aurais pas fait une certaine bonne action ? Non, je ne vais pas faire ça maintenant, je vais d'abord profiter un peu de ma «malédiction»
À suivre...
Chapitre 115 : Le jour sans fin de la marmotte, partie 2.
Un jour normal, à la banque...
Guichetière : Vous voulez ouvrir un compte dans un notre banque ?
Client : Exact !
Guichetière : Bien, je vous laisse patienter dans notre salle d'attente.
Le client alla dans la salle d'attente. Kevin juste à côté de l'entré.
Kevin (pensée) : Ah ! Le voilà, laissons-le entrer en premier, sinon, il va faire exprès de s’assoir loin de moi. Il s'installe près de la plante... Je m'installe à côté de lui. Il regarde sa montre, là, il y a la dame riche de 60 ans qui...
Dame riche de 60 ans : Elle est bien belle votre montre, jeune homme.
Client : Oh ! C'est un héritage de mon grand-père, vous voulez la voir ?
Kevin (pensée) : Il se penche pour montrer à la dame, son portefeuille déborde de sa poche... Attention, la vieille me regarde... Je m'approche... Oulà, c'est vrai, il y a quelqu'un qui passe devant la porte... C'est bon, personne ne me regarde, je prends le portefeuille... Et maintenant, j'appuie sur l'alarme incendie.
Alarme : DRIIIIIIIIIIING !!!
Tout le monde dans la banque (sauf Kevin) : AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !!
Kevin sorti tranquillement de la banque, le porte-feuille en main.
Kevin : Bon, ce n'est pas encore le coffre-fort, mais c'est déjà la première étape de franchie. Combien il y a là-dedans ? Juste une billet de 20 ? Si j'avais su !
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Les gens se promènent tranquillement dans la rue, tout va bien, puis, les gens furent surpris et dégoutés : Kevin était sur le trottoir en train de faire du moonwalk à poil.
Passants : Oh quelle horreur !
Passants : C'est qui ce fou ?
Mère : Aaaah ! Ne regarde pas ! Ne regarde pas !
Enfant : Maman, regarde, le monsieur tout noir, il marche à l'envers.
Kevin (pensée) : Toute ma vie, j'ai eu envie de faire ça.
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Boss de la police : Alors ? Que signifie tout cela ! D'après ce que j'ai pu comprendre, on tue 3 boulangers, on t'arrête, puis tu t'évades, tu libères le prisonnier hippie pour brouiller les pistes et tu viens dans mon bureau pour venir me tuer ! Quelles sont tes motivations ? PARLE !!!
Kevin : Mon nom est Kevin. J'ai 29 ans. Ma maison se situe la section ouest de Nantes, là où je suppose que se situent toutes les maisons, et je ne suis pas marié. Je travaille en tant qu'assistant pour les émissions animé par John, le présentateur télé le plus célèbre de la 27 et je rentre chez moi au plus tard à 20 heures. Je ne bois pas, mais je fume occasionnellement. Je suis dans mon lit à 23 heures et je m'assure de dormir 8 heures, peu importe les circonstances. Après avoir bu un verre de lait et fait 20 minutes d'exercice avant d'aller me coucher, je n'ai aucun problème à m'endormir avant le matin. Tel les riches privilégiés, je ressens aucun stress, ni aucune fatigue le matin. J'essaie de dire que même si je suis quelqu'un d'actif qui cherche de l'action, il m'arrive parfois d'avoir envie d'avoir une vie tranquille, sans le moindre ennemi ou le désir de gagner ou de perdre (c'est pour cela que je suis toujours assistant et jamais participant), cela pourrait m'empêcher de dormir tranquillement la nuit. C'est comme ça que j’interagis avec la société et je sais ce qui peut m'apporter le bonheur. Et si je dois me battre, je ne me laisserai pas faire pas qui que ce soit.
Boss de la police : Toi, tu parles trop naturellement ! Je ne sais pas à quoi tu fais référence, mais tu doit sûrement reprendre un discours que tu as entendu quelque part et tu fiches de moi.
Kevin : De toutes façons, cela n'a pas la moindre importance, vu que je suis actuellement en mode «Bite the dust»
Boss de la police : Mais il fait référence à quoi, lui ?
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Alors qu'il venait d'être reversé par une voiture, Kevin se changea les idées en discutant avec le garde.
Kevin : Hé ! Marc ! Tu dois te demander comment je connais ton nom, pas vrai ? Je vis la même malédiction que Bill Murray !
Marc : Ah bon ?
Kevin : Ouais, et je vais te le prouver en faisant un pierre-feuille-ciseaux.
Marc : D'accord.
Kevin & Marc : Pierre-feuille-ciseaux !
Kevin joua la feuille et Marc la pierre.
Marc : M'ouais, juste de la chance.
Kevin : Attends, à 7h30, le garde va venir et dire «Je viens chercher le prisonnier, notre chef voudrait l'interroger au sujet de l'attentat d'hier.».
Marc : Je le retiendrai.
Kevin : D'accord.
Il tourna en rond dans sa cellule, ne sachant pas quoi faire.
Kevin : Tiens, tu savais que ce cachot est seulement réservé au pires criminels ? C'est ici qu'on a enfermé le célèbre Philippe Odep, aussi connu sous le nom de «Phil le trancheur» car il tranchait la gorge de ses victimes après les avoir violés. Il aurait même réussi à tuer tout ceux qui étaient présent à son procès, excepté un garde la sécurité qui du l'abattre d'une balle dans le front.
Marc : Charmant.
Le garde arriva.
Garde : Je viens chercher le prisonnier, notre chef voudrait l'interroger au sujet de l'attentat d'hier.
Kevin : Alors ?
Marc : Pas mal.
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Le téléphone de Stéréo sonna.
Stéréo : Oui allô ?
??? : Je sais où tu habites... Je connais ton nom... Rends-toi sur la plus haute colline qui sépare No Sé de Grandville-les-Moteurs... Et ne tente pas de rester dans la ville comme tu le prévois, où j'enverrai mes hommes t'assassiner.
Stéréo raccrocha.
Stéréo : Je ne peux rester dans cette ville, ni me rendre sur la colline, je vais prendre la fuite par l'est.
Plus tard, il pris sorti de la ville et pris la route vers l'est, mais Kevin était là, armé d'un bazooka.
Stéréo : Kevin ? Tu m'as rattrapé ? Mais comment ?
Kevin : Hasta la vista... Baby !
BOUM ! Il tira sur Stéréo qui explosa.
Kevin : Haaaa... Cette journée va être réinitialisée et il va revenir à la vie, mais qu'est-ce que ça fait du bien
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Kevin est sur le toit du poste de police. Les policiers, au niveau du sol, l'encerclaient en pointant leurs pistolets vers lui.
Kevin : C'est terminé les flics ! Il n'y a rien à faire, je vous domine ! J'ai l'avantage sur vous ! J'ai le sol élevé !
Boss de la police : IS THAT A JOJO REFERENCE?!
Policier : Hein ?
Boss de la police : Je suis sûr que ce qu'il dit vient de Jojo's Bizarre Adventure... Et vous, ne restez pas là ! Tirez-lui dessus !
Les policiers tirèrent sur Kevin. L'un des belles lui transperça le cou. Il se réveilla dans sa cellule.
Kevin : Cela valait le coup !
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9 personnes étaient attachées attachées en forme de triangle autour d'un lampadaire.
Personne : Au secours !
Personne : Sortez-nous de là !
Au loin, on apercevait Min Rar. Et derrière lui, Kevin.
Kevin : Allez... Je vise bien...
Il poussa le corps de Min Rar qui commença à rouler à toute vitesse sur le sol.
Min Rar : Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
Personnes : AAAAAAAAAAAAAAAH !!
Au contact de Min Rar, tout le monde tomba à terre, y compris le lampadaire auxquels il étaient attachés.
Kevin : YES !! STRIKE ! Ce que je peux m'amuser !
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Un jour, Kevin n'avait plus trop d'idées de ce qu'il pouvait faire. Il avait énormément exploité le système de la boucle temporelle pour faire plein de trucs sans subir la moindre conséquence (je n'ai montré que quelques exemples), mais maintenant qu'il a tout fait, et maintenant ?
Kevin : Euh... Il faudrait que je fasse une bonne action... Mais quelle bonne action ?
Marc : Vous parlez tout seul ?
Kevin : Toi, ne me critique pas ou je révèle à tout le monde que tu aimes manger des verres de terre.
À suivre...
Chapitre 116 : La bonne action.
Un soir, après s'être échappé de prison, avoir pris clandestinement un train et tout un tas de trucs pour retourner chez lui, Kevin était dans son salon, il l'avait quitté il y avait seulement une semaine, mais de son point de vue, cela faisait plusieurs mois. Il se demanda quelle bonne action il pouvait faire. Il aperçut sur la table son portable, il l'avait laissé ici parce que Stéréo était venu jusqu'à sa maison pour le kidnapper. Il pu constater un appel loupé de John, le présentateur dont il est l'assistant. Il décrocha.
Téléphone : Vous avez 1 nouveau message le 10 juillet à 10h05. Allô Kevin ? C'est John ? Te te souviens de notre dernière télé-réalité ? Celle où il y a l'autre latino manipulateur et la bonne femme en rose qui se font fait tabasser puis humiliés par les autres candidats au moment leur élimination ? Et bien il y a le studio de la 27 qui me menace de me renvoyer pour avoir diffusé une scène aussi violente sur leur chaine ! Je dois payer une amende de 15.000 euros ! Tu pourrais me les refiler, s'il te plait ? Et ne tente pas de tirer au flanc, si je suis renvoyé, tu l'es aussi !
Être renvoyé du studio télé ? Pourquoi pas ! Après tout, Kevin n'a jamais voulu devenir assistant pour un présentateur corrompu, menteur, égoïste, privilégié et manipulateur. Il rêverait de retourner dans l'armée. Ce n'est pas à lui de rembourser John, il a entièrement mérité son amende, mais bon, c'est peut-être la bonne action à faire pour sortir de la boucle. Le lendemain, il récupéra les 15.000 euros avec l'aide d'un ticket gagnant et le donna à John.
John : Merci beaucoup Kevin, on peut toujours compter sur toi.
Kevin : De rien.
John : Bon, il va falloir que je commence le tournoi de septembre ! Je t'appellerai dès que j'aurai besoin de toi.
Il laissa Kevin seul. Ce dernier trouva ça un peu étrange : il le laisse seul, comme ça ? Normalement, il lui demandait toujours d'accomplir une corvée. Il tenta de suivre John de loin, il était dans une dans salle de repos, en compagnie d'autres présentateurs comme lui, près d'une machine à café.
John : Oui, il y a cru ! Il m'a donné les 15.000 euros ! Comme si notre chaine allait me faire une amende alors que l'élimination de ces deux idiots fut le moment le plus satisfaisant de toute l'émission ! Record d'audimat de l'année ! Succès critique ! 18 millions de vues sur youtube et un ratio like-dislike de 92% ! Ils sont devenus parmi les personnalités les plus détestées, il y a de quoi rendre un politicien vert de jalousie ! Et t'as Kevin, il pense que le public n'a pas aimé ça, hahaha !
Il... S'était servi de lui ? Kevin voulu bien frapper John, mais il venait de faire quelque chose de bien : il a tenté d'aider son collègue à sortir d'une situation embarrassante, même si elle était fausse. Si ça se trouve, il n'étais maintenant plus dans la boucle temporelle. Il ne fit rien, ayant peur des conséquences. Quand il se réveilla le lendemain matin dans sa cellule, il compris qu'il était toujours dans la boucle et alla aux studios donner un violent coup de poing sur son nez pour se venger. Bien évidemment, ce n'était pas ça qui allait le sortir de là, quand un matin...
Kevin et Marc : Pierre-feuille-ciseaux !
Kevin, perdu dans ses pensées, ne fit pas attention à ce qu'il faisait.
Marc : Pierre ! Tu ne fais rien ? Dans ce cas, on considère que j'ai gagné.
Il ne put sortir plus tôt que prévu. Le policier vint alors le chercher.
Policier : Je viens chercher le prisonnier, notre chef voudrait l'interroger au sujet de l'attentat d'hier.
Marc : Très bien.
Il traina Kevin hors de sa cellule pour l'emmener voir le boss de la police. Il traversa de nouveau les couloirs pour entendre les mêmes mots.
Policier au loin : Pfff... Je ne suis pas du matin, moi !
Kevin (pensée) : Ben t'avais qu'à ne pas faire la fête la veille, Charlie.
Policière au loin : Moi non plus, et il faut que je retrouve de toute urgence les numéros de la famille riche à la sortie de la ville, il y a eu un cambriolage chez eux hier soir.
Kevin (pensée) : Quand à toi, Clarisse, tu ne le retrouveras jamais ton voleur, quand tu essaies de demander d'avoir des nouvelles, tu tombes sur le répondeur et tu laisses tomber comme si de rien n'était.
Il réalisa... Soudainement... Retrouver un voleur... C'est une bonne action, ça !
Kevin : Hé ! Si vous voulez, je peux vous aider à le retrouver le voleur !
Policier : TAIS-TOI !!
Clarisse : Qu'est-ce qu'il me veut, celui-là ?
Policier : C'est rien, c'est un fou qui a tenté d'assassiner notre chef ! N'y prenez pas attention.
Bon, cela n'a pas marché, en plus, son image devant le patron a été rabaissée. Il ne voulait plus l'écouter. Il retenta alors le lendemain. Il évita de s'adresser aux agents de police sur le chemin.
Boss de la police : Alors ? Que signifie tout cela ! D'après ce que j'ai pu comprendre, on tue 3 boulangers, on t'arrête, puis tu t'évades, tu libères le prisonnier hippie pour brouiller les pistes et tu viens dans mon bureau pour venir me tuer ! Quelles sont tes motivations ? PARLE !!!
Kevin : Je suis désolé pour ce qui s'est passé la veille. Je reconnais mes torts. J'ai assassiné les 3 boulangers et j'ai essayé de m'évader et libérant le prisonnier hippie et je m'en suis pris à votre vie. Mais cette nuit, j'ai réalisé l'ampleur de mes actes, je suis tombé bien bas. J'ai honte de moi. Je voudrais me rattraper, je suis prêt à rattraper de par mes actions ! Je suis prêt à vous servir pour votre prochaine enquête.
Boss de la police : Ha ! C'est bien beau ! Tu crois que c'est la première fois que j'ai affaire à un voyou qui tente de s'en tirer en essayant de rester poli et à me cirer les pompes ? On ne me la fait pas ! QU'ON LE RAMÈNE DANS SA CELLULE !
Kevin : Bon, inutile d'attendre la fin de la journée...
Il sauta par la fenêtre, s'écrasa au sol et se réveilla dans sa cellule. Puisque la police ne veut rien savoir, il va tenter de l'arrêter lui-même et tout seul. Il fit la partie de pierre-feuille-ciseaux dès son réveil, libéra Min Rar de sa cellule aussi vite qu'il pouvait et se rendit le plus tôt possible à la résidence de la famille riche. En revanche, malgré les mois passés à revivre la même journée, il ne leur avait encore jamais rendu visite, il savait seulement où était situé la villa. Une fois arrivés sur les lieux, il donna alors des instructions.
Kevin : Alors, Min Rar tu vas voir voisins et demander aide aux voisins.
Min Rar : Hein ?
Kevin : Faire comme sur dessin moi avoir donné. Et si objet noir fait de la musique, appuie sur bouton vert pour moi te parler de loin.
Min Rar : D'accord
Min Rar alla interroger les voisins. Quand à Kevin, il alla sonner au portail de la résidence des riches, mais il n'y eu aucune réponse.
Kevin : Et bien alors ?
Il continua de sonner, toujours rien. Pourtant, il y avait une voiture luxueuse de l'autre côté du portail, ils étaient forcément chez eux. Après, peut-être que c'est parce qu'il est arrivé assez tôt le matin. Il attendit que le soleil brille un peu plus avant de sonner... Toujours rien ! Kevin continua d'attendre et commença à contempler la maison. Il remarqua alors un détail : toutes les fenêtres avaient un volet fermé, sauf une à l'étage, qui était grande ouverte, et sachant qu'il y a eu un cambriolage la nuit précédente, il n'y a aucun doute : quelqu'un s'est infiltré par ici ! Ni une, ni deux, le jeune homme pris de l'élan et tenta de passer par-dessus le portail. Les deux premiers essais furent des échecs, mais le troisième fut réussi. Maintenant dans le jardin, il alla à la porte d'entrée. Il sonna, toujours aucune réponse. Tant pis, il allait devoir entrer comme le voleur. Il rassembla divers objets dans le jardin pour se faire une petite tour et atteindre la fenêtre ouverte à l'étage. Il se retrouva dans une chambre. Elle était en pagaille, le cambrioleur avait visiblement tout dérobé. Il parcourut l'étage, mais il ne trouva personne. Il descendit au rez-de-chaussée, c'était désert. Il alla dans le salon et aperçut sur le sol... Un corps sans vie.
Kevin : Oh mon...
Il se tut instantanément, de peur à être repéré. Il s'empara du premier objet qui lui venait sous la main pour se protéger et s'approcha du corps. C'était une femme riche tenant dans sa main un portable cassé, le voleur a du entendre l'appel et a réduit sa victime au silence. Kevin continua d'inspecter le salon, il y avait le corps du mari, mais également celui de leur fille, du majordome et même celui du gardien de la villa. Une vraie boucherie. Il continua d'explorer la maison sur ses gardes quand il aperçut la porte grande ouverte. Elle menait à la cave. Kevin hésita à entrer. Mais il fallait qu'il ait toutes les pistes pour retrouver le cambrioleur, et puis il ne court aucun risque, si jamais il meurt, il se réveilla dans le cachot du poste de police, alors pourquoi avoir peur ? Il entra dans la cave. Il aperçut un interrupteur à l'entrée. Il alluma puis aperçut soudainement un homme effrayant en bas.
Kevin : AAAAAAAAAAAH !!!
Homme mystérieux : Tiens, tiens... Je ne m'étais donc pas trompé... On a bien donc bien plusieurs fois sonné au portail et à la porte ?
Kevin : Vous... Vous êtes le voleur ? Vous n'êtes pas parti ?
Homme mystérieux : Comment t'es au courant de ça ? T'es un flic ? T'en as pourtant pas la tête, mais dans ce cas.
Il sorti un pistolet de sa poche plus vite que son ombre.
Homme mystérieux : Combien sont-ils ? Est-ce qu'ils sont postés aux sorties de la ville pour me cerner ?
Kevin : N... Oui, ils sont déjà là ! Rendez-vous, ou on va vous abattre !
Homme mystérieux : Certainement pas !
Il tira une balle dans la main de Kevin qui hurla de douleur.
Homme mystérieux : Tiens, tiens, tiens... Comme c'est étrange... Aucune intervention ? Tu m'aurais donc menti, hein ? Je n'aime pas quand on me ment... Je vais t'accorder la punition que tu mérites, parole de «Phil le trancheur».
À suivre...
Chapitre 117 : Le dernier chapitre où Kevin est le personnage principal. J'espère que vous ne vous êtes pas plus attaché à lui qu'à Min Rar.
Kevin : Phil le Trancheur ? Impossible ! Vous étiez pourtant mort d'une balle dans la tête à votre procès ! Comment ça se fait que je vous retrouve dans la cave de cette villa ?
Phil : Ooooh ! Le procès ? C'est bien simple, j'avais tout bêtement une protection sur le front ! Elle ressemblait à de la peau et personne n'a vu la différence. J'avais peut-être abattu tout le monde dans la salle, mais ça, c'était juste pour mon plaisir personnel, je savais d'avance que je ne pouvais pas m'échapper malgré cela alors que la sécurité allait entrer en vitesse en entendant les coups de feu, c'est pour cela que j'ai fait semblant de me mourir pour pouvoir m'évader... Et par la même occasion, lever tous soupons sur moi si un crime est commis, vu que je suis considéré comme étant déjà mort, héhéhé
Kevin : Attendez, une minute... Vous avez une protection sur le front, vous avez prévu de vous évader en vous faisant passer pour mort, et comme par hasard, c'est dans le front qu'on vous vise, pas ailleurs ! Et comme par hasard, la seule personne que vous n'avez pas abattu avant que les renforts n'arrivent, c'est un garde de la sécurité ! C'était un complice ?
Phil : Ooooh ! Bien vu ! Tu n'es flic, mais tu ferais bon détective ! Ouais, et bien, tu vas rire, mais quand il ne s'occupe pas de la sécurité du tribunal, il garde une vieille cellule pouilleuse cachée sous le commissariat ! Il est tellement jeune et je-m'en-foutiste qu'il est très facile à corrompre. Un peu d'argent et il a accepté de devenir complice sans même se demander pourquoi.
Alors comme ça Marc, le gardien de la cellule, a aidé ce meurtrier à s'échapper. Kevin a l'intention de lui donner une petite leçon si jamais il ne réussit pas sa bonne action à la fin de la journée.
Phil : Mais assez parlé de moi, qui es-tu ?
Kevin : Et bien, mon nom est Kevin. J'ai 29 ans. Ma maison se situe la section ouest de Nantes, là où-
Phil : Tais-toi ! Tu m’ennuie déjà ! Et on parle déjà trop ! J'ai déjà trouvé comment te torturer !
Kevin : Ah ouais ? Tu as entendu parlé du meurtre de 3 boulangers récemment ?
Phil : Non... Et les autres assassin me dégoutent ! Ils volent mon travail !
Kevin : Booooon ! Dans ce cas-là, au lieu de te parler de Stéréo, je vais parler de John ! Tu connais John, qui fait des quizz et des télé-réalités sur la 27 ? Et bien, je suis son assistant !
Phil : Aaaaah... Je le connais ! Il a du t'en faire voir de toutes les couleurs... En effet, tu as du connaitre de nombreuses souffrances, tu ne dois pas être si facile à torturer que ça... Mais ne t'inquiète pas, je connais les formes de torture les plus extrêmes.
Kevin : Quoi ? Du waterboarding ? La cellule froide ? Pfeuh ! Vas-y ! J'ai tout enduré, moi !
Phil : Je vais... Te faire jouer à Dragon's Lair sur NES !!!
Kevin : AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !!!
L'assassin alluma la télévision. Et mis de force la manette dans les mains de Kevin.
Kevin : Un émulateur ! Je veux un émulateur !
Phil : Quoi ? Tu veux jouer avec les saves-states ? Petit joueur !
La mort ! Si Phil le tue, Kevin va pouvoir s'enfuir de ce cauchemar et s'éveiller dans sa cellule.
Kevin : Tant pis ! Achève moi tout de suite !
Phil : Je ne crois pas à l'enfer. Pour moi, la douleur n'existe pas de l'autre côté de la mort, alors... Joue !
C'était catastrophique ! Kevin sait que ça ne va durer que quelques heures, qu'il ne reste pas de perdre la vie, que cette journée sera réinitialisée, mais il garde tout de même des souvenirs de ses précédentes journées, et jouer à Dragon's Lair sur NES lui offrira une telle forme de souffrance qu'il en sera traumatisé à vie et que rien ne l'aidera à s'en remettre. Il commença le jeu et mourut dès le premier écran par un pont menant à un château qui s'écroule sous ses pieds.
Phil : Ooooh ! Plus que quatre vies !
Kevin pris ensuite ses précautions, quand un dragon sorti des douves lui fit perdre une autre vie.
Phil : Plus que trois vies...
Kevin tua le dragon et entra dans le château puis se fit tuer par un prisonnier qui balança un caillou.
Phil : Deux vies.
Kevin tenta d'éviter tant bien que mal les cailloux, mais les contrôles étaient juste infâmes !
Phil : Dernière chaaaance !
Il évita de justesse les cailloux, mais se fait tuer par un serpent qui sorti du mur.
Kevin : C'est bon... C'est fini ?
Phil : Hein ? Mais pas du tout... Au contraire, tu vas devoir recommencer du début !
Kevin : Quoi ? Encore le dragon sur le pont fragile ? Oh noooon !!
Il tenta tant bien que mal de continuer, Phil rigolait diaboliquement... Quand on sonna.
Phil : OH ! Cela doit être... Nooon ! Sûrement pas les flics. On va tranquillement attendre que nos invités perdent patience. Quand à toi, continue de jouer !
Kevin tenta tant bien que mal de vaincre une nouvelle fois le dragon dans les douves, quand on entendit un bruit de porte qui se fit défoncer.
Phil: Merde ! C'était vraiment les flics ! Et à cause de toi, j'ai complètement oublié de finir de creuser le tunnel !
Phil s'enfonça plus loin dans la cave vers le tunnel qu'il avait creusé, quand on entendit un voix.
??? : Bonjour !
C'était Min Rar ! Il a du finir d'interroger le voisinage et a du enter dans la maison rejoindre Kevin. Il tenta de l'attirer.
Kevin : ET MOI ALORS ?! JE SUIS ÉGALEMENT RECHERCHÉ PAR LA POLICE, HEIN !!
Phil (au loin) : C'est ton problème !
Les bruits de pas se faisaient plus forts, Min Rar a du trouver la porte de la cave, il n'arriva pas à l'ouvrir, le meurtrier a du la fermer à clé. Min Rar continua de frapper, quand il casse accidentellement la porte !
Kevin : Ah ! Tu arrives au bon moment ! Toi pouvoir éteindre jeu pour télé, s'il te plait ?
Min Rar descendit dans la cave et éteint la NES avec Dragon's Lair.
Kevin : LIBRE !!
Il se leva de sa chaise et fonça dans le tunnel que creusait Phil le Trancheur.
Phil : Encore un peu et je serais hors de la ville, loin des flics qui patrouillent pour me retrouver !
Kevin : C'est fini Phil ! T'es coincé !
Phil tourna les talons, Kevin était juste là avec Min Rar juste derrière.
Phil : Mais qu'est-ce que... Mais comment as-tu pu finir Dragon's Lair aussi rapidement ? Et c'est qui ce clown ?
Kevin : Lui ? C'est Min Rar, et j'ai appris un joli tour avec lui.
Phil : Ah ouais ?
Kevin : OUAIS !
Il se plaça derrière Min Rar poussa Min Rar. Son corps roula à toute vitesse vers le meurtrier.
Min Rar : OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIII !!!
Le tunnel étant trop étroit, Phil n'avait aucun moyen de s'échapper.
Phil : Si, le narrateur ! Je peux le faire, avec mes bras, je peux toujours le ralen- OUMPF !!
Le ralentir ? Non désolé, Min Rar allait trop vite pour ça. Phil fut assommé.
Kevin : Et maintenant ! Au commissariat !
Ils purent retourner au poste de police sans le moindre de souci. Quand Phil avait repris connaissance en cours de route, celui-ci était trop blessé pour pouvoir fuir. Quand il arrivèrent sur les lieux, l’accueil fut...
Policiers : LE NOIR QUI A VOULU TUER LE BOSS ET LE CLOWN ! ILS SONT LÀ !! ILS ONT UN OTAGE
Ils pointèrent leurs armes sur Kevin et Min Rar (surtout Kevin), quand il remarquèrent quelque chose.
Policier : Une minute... Mais cet homme...
Autre policier : C'est pas Phil le Trancheur ? L'assassin qu'on a enfermé dans le cachot sous le poste ? Je pensais qu'on l'avait abbatu.
Kevin : Je l'ai trouvé dans la villa des riches, c'est lui qui a commis le vol, arraché le câble téléphonique et... Assassiné les habitants.
Policier : On te croit, tu sais ?
Phil : Il ment ! Je ne suis pas Phil ! Vous ne croyez pourtant jamais les noirs !
Policier : Oui mais toi, Phil, t'es qu'un sac à merde ! Tu es pire que les noirs !!
Quelques policiers prirent leurs matraques et lui tapèrent dessus avant de le remettre dans sa cellule souterraine avant même que le boss n'arrivent et demande ce qui se passe.
Boss de la police : Hmm... Finalement, t'es pas si mauvais que je ne le croyais ! J'ai du me tromper à ton sujet. T'es trop bon pour ce que t'es. Tu es sûr que tu n'es pas couvert de charbon ?
Kevin : Euh... Si c'est de la couleur de ma peau dont vous parlez, euh... Non.
Boss de la police : Et bien dans ce cas, tu dois avoir de la famille qui ne vient pas d'Afrique, toi ! C'est certain !
Kevin : Au lieu de faire de la discrimination amicale, je pourrais pas aller dans le cachot ?
Boss de la police : Tu n'es plus notre prisonnier, hein ? Tu peux partir !
Kevin : C'est juste pour une petite affaire.
Boss de la police : Dans ce cas, comme tu veux, tant que tu libères pas l'assassin.
Kevin : Merci !
Il descendit dans la cellule sous la cave. Phil ne bougeait plus, entre Min Rar et les coups de matraque, il ne s'en remettra pas avant un bon moment. Quand à Marc...
Kevin : Hé ! Toi ! Tu aurais aidé cet homme à s'évader lors de son procès, pas vrai ?
Marc : Oui, et ?
Kevin : Et bien je voudrais bien qu'on joue une dernière fois à pierre-feuille-ciseaux !
Il leva sa main.
Kevin : Pierre !
Il donna un coup de poing à Marc.
Kevin : Feuille !
Puis une gifle.
Kevin : Ciseaux !
Ainsi que son index et son majeur dans les yeux.
Marc : AÏE ! Pas gentil !
Kevin : La prochaine fois, tu réfléchiras à deux fois avant d'aider des criminels à être libérés !
Il quitta le commissariat avec Min Rar et profita de la prime pour réserver une chambre d’hôtel pour la nuit. Cette nuit là, Kevin fit un rêve étrange. Il était dans le vide, c'était tout noir, quand un vit une silhouette transparente devant lui.. Il lui semblait familière. Habits sales, air défoncé... Ce n'était pas... Nooon ! Le hippie ?
Jeff : Coucou, Kevin ! Tu te souviens de moi ? On s'était rencontré dans le commissariat !
Kevin : Ah oui, c'était hier... Enfin, pour toi, moi, cela fait des mois.
Jeff : Oui, je sais. C'est moi qui t'ai enfermé dans la boucle temporelle.
Kevin : Hein ? Mais pourquoi ? Comment ?
Jeff : Dès que je t'ai vu, j'ai su que tu avais bon fond, mais que tu ne l'exprimais pas assez, alors je t'ai lancé cette malédiction. Elle a bien marché dans le film avec Bill Murray. Quand à mes pouvoirs, j'ai déjà pris de l'herbe provenant d'une planète en dehors du système solaire, le grand gourou a dit qu'ils offraient de grands pouvoirs une fois morts, et je suis content d'apprendre que c'était vrai.
Kevin : Eeeeuuuh... OK...
Jeff : Mais quoi qu'il en soit, j'ai vu tout ce que tu as fait, Kevin, je suis fier de toi ! Tu as fait d'énormes progrès, pour la peine, je vais lever la malédiction.
Kevin : Q... Quoi ? Vraiment ? Mais... Alors...
Jeff : Oui, tu es libre, le cycle normal de ta vie reprend. Adieu...
Kevin se réveilla brutalement. Il était... Dans une chambre d'hôtel, sur un lit confortable, Min Rar dormant sur le sol comme un vulgaire chien. Et l'heure sur la pendule... 8 heures du matin ! Il était sorti de la boucle temporelle.
Kevin : Mais... Mais... Si ce n'était pas un rêve, alors... CET HIPPIE M'A VU FAIRE DU MOONWALK À POIL DANS LA RUE !!!
À suivre...
Chapitre 118 : La course poursuite continue.
Kevin est sorti de la boucle temporelle et il était maintenant à l'hôtel avec Min Rar. Après ce retard de deux jours (plusieurs mois pour Kevin), ils repartirent à la poursuite de Stéréo, mais avant qu'il ne quitte l'hôtel, Kevin se rappela qu'il a déjà pu tuer Stéréo lors de l'une des boucles temporelles. Peut-être qu'il suffirait de refaire le coup ici. Il prit son téléphone et appela son ennmi.
Stéréo : Oui allô ?
Kevin : Je sais où tu habites... Je connais ton nom... Rends-toi sur la plus haute colline qui sépare No Sé de Grandville-les-Moteurs... Et ne tente pas de rester dans la ville comme tu le prévois, où j'enverrai mes hommes t'assassiner.
Stéréo : Co... Comment saviez-vous que j'étais à No Sé hier ?
Kevin : Oh ! Tu as déjà quitté la ville ? Ne pense pas m'échapper, je suis omnipotent !
Stéréo : Omnipotent ? Tu sais donc où je suis ?
Kevin : Tu fuis vers le nord, n'est-ce pas ?
Stéréo : Perdu ! Je fuis vers l'est... OH MERDE !
Il raccroche aussitôt.
Kevin : Bon sang ! Il va nous échapper ! Min Rar ! On part !
Min Rar était toujours en train de dormir sur le sol. Kevin lui donna un coup de pied au nez le levant de force. Ils partent pour No Sé. Arrivés sur les lieux...
Kevin : Bon, Stéréo dit qu'il partait vers l'est, mais il est possible qu'il ait dit ça pour brouiller sa piste. Alors, voilà le le plan : je vais au nord, et toi, tu vas à l'est. Si on ne le trouve nulle part, c'est qu'il est resté dans la ville, ça ne peut pas être l'ouest, l'océan n'est pas loin et nous venons du sud.
Min Rar : Hein ?
Kevin : Tu vois mon doigt, tu vois où il pointe, va dans cette direction et ne fais pas demi-tour.
Min Rar : Hein ? Et Min Car ?
Kevin : Justement, je... Mais qu'est-ce qu'il ?
Min Rar a subitement cessé d'écouter Kevin et il part interroger les passants.
Min Rar : Bonjour ! Vous avez vu une tête de robot voler dans le ciel ?
Passant : Bien sûr ! Elle partait vers l'est.
Autre passant : Oui, on l'a tous vue !
Kevin resta sidéré. Au lieu d'avoir un plan élaboré, il suffisait tout bêtement d'interroger les passants, chose simple à laquelle même une personne aussi bête que Min Rar a pu penser.
Kevin : Nooooooooon ! Je... Depuis quand il est plus intelligent que moi, lui ?
Il se sentit très stupide. Les deux héros partirent vers l'est... Puis ils firent demi-tour pour voler une voiture, parce que bon, suivre la tête d'un robot qui vole dans le ciel, c'est plus facile à rattraper en voiture qu'à la marche.
Kevin : JE FONCE ! GAZ GAZ GAZ !!!!
Il conduit super rapidement et un agent de la circulation les aperçut. Il tapa dans les mains, la voiture s'arrêta instantanément.
Kevin : Hein ? Mais comment il fait ça, lui ?
C'est la fic de Min Rar ! C'est pas parce que l'histoire est plus sérieuse et que la qualité d'écriture a augmentée que la logique doit régner.
Agent de circulation : Papiers s'il vous plait !
Kevin : Désolé, j'ai pas mon permis de conduire.
Kevin tapa dans les mains, la voiture reparti.
Min Rar : Attendez !
Il sauta de la voiture et fonça vers l'agent de circulation.
Min Rar: Tenez, voici mes papiers !
L'agent inspecta... Min Rar avait en effet son permis de conduire.
Agent de la circulation : En effet, vous avez votre permis.
Il tapa deux fois dans les mains, la voiture de Kevin recula.
Kevin : Héééééééééééééé !!!
Elle s'arrêta devant Min Rar et l'agent.
Agent de la circulation : Monsieur, il va falloir laisser le siège de conducteur à ce jeune gros homme ! Désolé, mais c'est la loi.
Kevin : Très bien...
Min Rar pris la place du conducteur et conduit... à son rythme.
Min Rar : It's fun to stay at the MOIIIIII J'AIME CHIER ! It's fun to stay at the MOIIIIII J'AIME CHIER ! ♪
Kevin : Hé, attends... Depuis quand tu as ton permis ?
Min Rar : Cadeau de Min Car, il a son permis depuis sa naissance et lui on a offert plein de permis en cadeau !
Kevin : Il a eu son permis dès la naissance ?
Min Rar : Oui, il a toujours vécu dans sa voiture et il ne peut pas se déplacer sans.
Kevin : OH ! Mais attends... Mais je te connais ! Tu étais avec ton frère lors de la dernière saison de télé-réalité, il y a fut victime d'un incident et tu as préféré rester avec lui au lieu de continuer la compétition ! Je savais bien que tu me disais quelque chose. Et bien, j'ai une nouvelle à t'annoncer : on a prévu un tournoi à Troupomait pour septembre, une fois qu'on sera débarrassés de Stéréo, toi et ton frère, vous participerez, qu'en dis-tu ?
Min Rar : OUIIIIIIII !!!
Kevin : Héhé ! J'en parlerai à John.
La voiture arriva à la prochaine ville à l'est : une ville tout à fait banale, on va la nommer... Euh... Aronile ? Une ville normal, si ce n'est l'ancienne forteresse abandonnée sur une colline non loin de celle-ci.
Kevin : Nous y voilà ! Stéréo doit se cacher dans cette forteresse ! Tu es prêt Min Rar ? C'est la dernière ligne droite !
À suivre...
Chapitre 119 : La forteresse abandonné (et peut-être maudite)
Min Rar et Kevin entrèrent dans le château sur la colline. Le hall était tout sombre, les rideaux rouges étaient déchirés et les lanternes trainaient sur le sol.
Min Rar : Charmant endroit !
Kevin : Merci d'avoir mis ce smiley pour comprendre que ce n'était pas du sarcasme (non, pas celui-ci, celui-là, le précédant)
C'était tout sombre, tout sinistre ! Ça fait peur ! Très très peur ! OOooooooouuuuuuuh !
Au bout du hall, il y avait des escaliers. Au bout des escaliers, une porte, derrière la porte, des escaliers en colimaçon. En haut des escaliers en colimaçon, une autre porte, derrière cette porte, trois couloirs, et une lampe en forme de flèche verte indiquait le couloir de droite. Au fond du couloir de droite, une grande salle avec plein de portes, dont une qui était en plein milieu de la pièce et qui ne menait à nulle part, et un autre, encore plus grande avec le portrait d'une couronne dessus. Les deux «héros» l'empruntèrent et se retrouvèrent dans la salle du trône. Une mystérieuse figure était assis dessus.
Kevin : Stéréo ! Te voilà enfin.
Stéréo leva de son trône et s'avança vers Min Rar et Kevin. Sauf que ce n'était pas Stéréo, c'était...
Daisy : I AM DAISY !!!!!!
Kevin : WT- AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !!!!!
La princesse Daisy sauta sur les épaules de Kevin et donna des coups de têtes contre la sienne.
Daisy : WAAAAAAAAAAHAAAAAAAAAAAAAAA !!!!
Min Rar : HAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHA rire:
Kevin : AU SECOURS !!!! MIN RAR !!! FAIT QUELQUE CHOSE !!!!
Il tenta de jeter la princesse par terre, mais rien à faire il courra dans tous les sens et pris pris plein de murs. Kevin se fit mal, mais la princesse, rien, cela lui faisait plaisir de le voir se faire mal de partout.
Daisy : YAAAY !!! NICE !!!!!
Pendant ce temps, dans la ville en bas de la colline, dans un bar.
Barman : Encore un verre ? Vous êtes tombé si bas ?
Stéréo : Oui. Il y a quelques années, j'étais PDG et à cause de deux garces et d'un clown, je me suis retrouvé en prison, j'ai tout perdu, quand je suis sorti, j'ai d'abord était capturé par un drôle de bonhomme qui m'a enfermé dans une machine m'emmenant dans un monde rêves. Finalement, la police est passée par-là et m'a sorti de là avec toutes les autres personnes qui étaient enfermées avec moi, pour j'ai trouvé le frère du clown et je l'ai kidnappé pour me venger. Ah ! Et je me suis trouvé un nouvel esclave.
Barman : Le frère du clown, je suppose que c'est celui que vous avez caché dans les toilettes du bar, mais l'esclave ?
Stéréo : Il s'est évadé et il est parti à ma poursuite. Mais ce n'est rien, c'est qu'un nègre. Bon ! Il arrive ce nouveau verre, oui ou non ? Ce n'est pas parce que je ne suis plus riche que je n'ai pas droit à mes privilèges !
Barman : Voilà, voilà ! (pensée) Connard !
Pendant ce temps, dans la forteresse...
Kevin : JE N'Y ARRIVE PAS !!!
Min Rar, lui, ignora complètement Kevin et parti se promener dans le château admirer le paysage. Il aperçut une belle armure du moyen-âge. Il lui donna un coup de pied dedans car il eu l'envie de donner un coup de de pied dedans, elle et de celle-ci tomba un bâton de dynamite.
Min Rar : Ooooh ! Que c'est joli ! Il faut que je m'ont ça à mon copain.
Il pris le bâton de dynamite, l'alluma et alla le montrer à Kevin qui se débattait pour se libérer de Daisy.
Min Rar : Hé ! Regarde ça.
Kevin : Je ne vois rien, elle me brouille la vue, cette folle.
Le princesse Daisy aperçut le bâton de dynamite.
Daisy : WOUAAAAAAAAAAAAAAH !!! OH NO !!!!!
Elle descendit des épaules de Kevin et courut dans tous les sens en hurlant comme une demeurée (attends... Pourquoi «comme une demeurée» ? C'EST une demeurée !)
Kevin : Qu'est-ce que ? MIN RAR ! C'EST UN BÂTON DE DYNAMITE !!
Min Rar : Un quoi ?
BOUM !! La bâton explosa, Daisy, qui courrait dans tous les sens sans regarder où elle allait fut la seul victime de l'explosion qui l'envoya vers d'autres cieux avant de laisser derrière elle une petite étoile.
Daisy : NOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOooooooooooooooooooooooo...
Kevin : Bon, il semblerait bien que nous ayons fait erreur. Stéréo n'était pas ici. En même temps... C'était un peu trop cliché le coup du méchant qui part se cacher dans la forteresse au sommet d'une colline, non ?
Ils sortirent du château et entrèrent dans la ville.
Kevin : Bon, maintenant, il on va de nouveau interroger les gens.
Min Rar : D'accord.
Il interrogea les gens.
Gens : Si j'ai vu une tête voler de robot voler dans le ciel ? Non.
Il retourna voir Kevin.
Kevin : Non, laisse, j'ai compris comment fonctionnent les gens ici. Retrouve-le et demande lui si il a vu une tête de robot géante tout court.
Il entendit un cri au loin.
Daisy : HI I'M DAISY !!!!!!!!! WOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOH !!!
Kevin : ENCORE ELLE ? Mais... Mais...
Elle fonça vers Kevin puis... Se mis sous les jambes de Kevin.
Kevin : Attends... Elle fait ça ICI ? Devant tout le monde ?
Il constata qu'il n'y avait personne dans la rue.
Kevin : OK... Vas-y.
Elle enleva son pantalon, puis, au moment où la partie de plaisir allait commencer.
Kevin : WAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !!! Elle m'a mordu les... Aaaaaaaaah... Au secours... :peur2:
Il se mit en PLS sur le sol et commença à pleurer de douleurs.
Daisy : OH YEAH !!!!!!!
Pendant ce temps...
Gens : Oui, au bar de Robert.
Min Rar : OK !
Il alla au bar de Roberty (non, ne me demandez pas comment il sait où ça se situe, c'est pas une fic sérieuse, j'ai droit au simplicités scénaristiques.)
Stéréo : Et puis là °HIPS !° J'ai tiré sur le boulanger, puis °HIPS !° Je... Hein ? Mais...
Stéréo, qui était complètement soul, redevint aussitôt sobre.
Stéréo : Min Rar... Ainsi donc tu m'as retrouvé ! Et très bien, il est temps qu'on en finisse ! C'est bizarre, je ne vois pas Kevin. Je suppose qu'il est mort en court de route.
Min Rar : Il joue avec une princesse.
Stéréo : Ah bon... Si ça l'amuse ! Hem hem ! C'est l'heure du combat final ! Jamais tu ne retrouveras Min Rar !
Min Rar : SI !
Stéréo : ...
Min Rar :
Stéréo : Normalement, tu devrais dire «Si», suivi d'un rire maléfique. Tu es le méchant de l'histoire.
Euh... Non, c'est toi le méchant de l'histoire.
Stéréo : Moi ? Le méchant ? Mais c'est qui l'auteur ? Une femme noire trans lesbienne d'origine asiatique handicapée musulmane-juive pauvre ?
Une homme blanc hétéro... Après, je ne sais pas être agnostique, c'est mal... Et je ne suis pas très riche.
Stéréo : AH ! T'es pas riche ? Je m'en doutais ! Tu es bien quelqu'un de maléfique.
Oh... Misère... Autant que je mette fin au chapitre avant que cette conversation ne parte en eau de boudin !
À suivre...
Chapitre 120 : Oh ! Le nombre de soleils dans le jeu dont est basé ce forum... Euh d'ailleurs... C'est quoi le rapport entre Mario Sunshine et cette fic si on exclue les quelques chapitres où Min Rar est sur l'île Delfino ?
Stéréo est en face à face contre Min Rar.
Stéréo : Il est temps pour moi de sortir mon arme secrète.
Il fouilla dans sa poche, Min Rar l'ignora complètement, ouvrit la porte des toilettes, il retrouva Min Car enfermé dedans. Min Rar usa de ses pouvoirs télékinétiques pour soulever son frère pour l'emmena à l'extérieur du bar.
Stéréo : Bon sang ! Où est-ce que j'ai rangé mon pistolet... Hé mais... Mais héééééééé ! T'as complètement ignoré le combat final ! C'est pas juste !
Il tenta de rattraper Min Rar, mais quand il ouvrit la porte du bar pour en sortir, il se pris le corps de la princesse Daisy en pleine face et tomba par terre.
Daisy : AAAAAAAAAAAAAAAAAH !!! °BOUM°
Stéréo : C'est quoi ce... ?
Daisy : HI I'M DAISY !!!!
Elle pris une tasse à café qui trainait sur une table et la brisa sur le crane de Stéréo.
La personne qui voulait boire son café : Héééé !!! Mon café ! Va falloir m'en commander un autre !
Stéréo : Héééé !!! Ma tête ! Va falloir que tu payes les frais !
Barman : Héééé ! Ma tasse ! Va falloir me la rembourser !
Pendant ce temps, à l'extérieur.
Kevin : Encore heureux que j'ai pu me débarasser de cette folle !
Min Rar : Coucou !
Kevin : Coucou Min Rar, je... Oh ! T'as sauvé ton frère ?
Min Rar : Oui, on peut participer au tournoi à Troupomait maintenant ?
Kevin : Bon d'accord.
Min Rar : Youpi !!!
Puis, un tournoi plus tard.
Min Rar : Et zut, on a pas gagné le tournoi ?
Min Car : Bah, tant pis, mais qui aurait cru que Ronald McDonald était en réalité...
Il se fait de nouveau kidnapper par Stéréo.
Stéréo : Franchement, bravo l'auteur ! Tu sais que le tournoi devait se dérouler en septembre, alors tu as écrit un chapitre où il y participe pendant le mois de septembre, mais je n'ai pas dit mon dernier mot !
Il prit la fuite, Min Rar doit de nouveau poursuivre Stéréo pour retrouver son frère... Et Kevin, qui fait parti des organisateurs du tournoi, est trop occupé pour l'accompagner ! Quelle merde !
À suivre... (cela faisait longtemps que je n'ai pas fait de chapitre aussi court)
Chapitre 121 : Scènes de ménage.
À peine Min Rar avait pu sauver son frère Min Car de Stéréo, celui-ci s'est déjà refait kidnapper. Min Rar le chercha partout.
Min Rar: Min Car ? Min Caaaaar ?
Alors qu'il le cherchait au pif en ville, il rencontra sur sa route un homme avec un aspirateur qui poursuivait les voitures.
Homme avec aspirateur : Hééé ! C'est quoi cette horreur qui sort de ton pot d'échappement ? Tu ne vois pas que tu pollues complètement la ville ??? Et toi, là-bas ! Tu crois que moi, Daniel, je ne t'ai pas vu ?
Il aspira toute fumée qu'il pouvait voir, et comme il ne l'expliquera jamais, je précise qu'il se sert de son aspirateur dans le but d'aspirer toute pollution sur la planète et purifier l'atmosphère. Daniel aperçut alors Min Rar.
Daniel : Ohlàlà ! Toi le gros clown ! Tu es couvert de pollution, de morceaux de gâteau et de covid ! Il faut que je nettoie ça ?
Min Rar : Hein ???
Daniel passa l'aspirateur sur Min Rar, enlevant toutes les saletés sur son corps, y compris aussi les particules qui le rendait stupide. Il était maintenant devenu plus intelligent.
Min Rar : Je me sens... Plus intelligent !
Ouais, je viens de le dire, gros malin.
Daniel : Plait-il ?
Min Rar : Excusez-moi, monsieur, mais pourrais-je emprunter votre aspirateur ? Mon instinct me dit que je vais en avoir besoin pour la suite des évènements.
Daniel : Euh... Je ne crois pas ! Il reste des grains de poussière polluées ainsi que quelques particules de connerie sur vous. Vous ne désirez pas d'abord que je les aspire ?
Min Rar n'écouta pas Daniel et lui piqua son aspirateur.
Daniel : Héééé !! Voleur ! Rends-moi ça !!!
Min Rar alluma l'aspirateur et se mit à aspirer tout ce qu'il pouvait voir : feuilles mortes, gaz hilarant lancé par on-ne-sait-qui, un immeuble, et voire même la montre en or de Daniel.
Daniel : Mais en plus, il a réussi à aspirer ma montre alors que je suis plusieurs mètres derrière lui à le rattraper ? Mais c'est un danger ce type !!
Au moins, l'avantage de cet aspirateur, ce qu'il continuait d'aspirer toute la pollution de la ville (en même temps, y'en a partout). D'autres personnes aperçurent Min Rar faire joujou avec son aspirateur.
Éboueurs, femmes de ménage,Luigi et un redneck : IL VOLE NOTRE TRAVAIL !!!
Daniel n'était maintenant plus le seul à la poursuite de Min Rar.
Min Rar : Attends... Mais pourquoi je joue avec cet aspirateur alors que je suis devenu plus intelligent moi ?
Il fit demi-tour et rendit à Daniel son aspirateur.
Daniel : Ah ! Merci ! Je préfère ça !
Daniel voulu faire demi-tour, mais finalement...
Daniel : Non mais tu sais quoi ? Rien ne me dit que tu ne vas pas recommencer ! C'est pour cela que...
Il mit son aspirateur à fond.
Daniel : Je vais t'aspirer ! Ta présence même est néfaste pour notre planète !!
Il voulut aspirer Min Rar, mais celui-ci étant trop gros, l'aspirateur explosa.
Aspirateur : BOOOOOUUUUM !!
L'explosion mit Daniel et les autres poursuivants KO. Seul Min Rar s'en sorti vivant, mais tout la pollution et aux trucs aspirés s'étaient maintenant échappés, y compris les particules de connerie qui rendaient Min Rar stupide.
Min Rar : OUGLOUGBADGAGADADOU !
L'aspirateur se répara de lui-même car pourquoi pas. Min Rar, impressionné par cette machine devine, décida de l'emporter avec lui pour faire joujou avec, et seulement faire joujou avec. Il repris sa route, accompagné de son nouvel ami high-tech.
À suivre...
Chapitre 122 : Le chapitre précédant n'était pas improvisé mais celui-ci le sera pour le coup.
Min Rar fit joujou avec son aspirateur et aspira quelques insectes qui passait par-là, mais on s'en fout royalement, tout ce qu'on veut, c'est de l'action. Et bien en voilà de l'action : Daniel, qui a été mit KO par Min Rar dans l'épisode précédant, s'est alors remis à se poursuite, prêt à récupérer son aspirateur chéri qui lui manquait tant.
Daniel : Voleur ! Tu vas me rendre mon aspirateur, maintenant ! Il n'y a pas de "mais" et tu te tais !
Daniel sorti son aspirateur de secours, destiné à aspirer son autre aspirateur au cas où quelqu'un essaierait de voler son premier.
Min Rar : Héé !! Mon ami ! Mon ami s'envole ! Noooooon
Min Rar serra son aspirateur de ses mains et l'alluma. Il put alors aspirer l'aspirateur d'aspirateur de Daniel.
Daniel : NOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON !!! MON ASPIRATEUR DE SECOURS !!! OK, alors toi Min Rar (ne me demande pas comment je connais ton nom), tu vas me le payer !!!
Il s'approcha d'un pas ferme de Min Rar. Celui-ci, effrayé, se changea en arbre, non pas pour se cacher de Daniel, mais pour se cacher d'un énorme dragon rouge faisant la taille d'une gratte-ciel de 40 étages.
Daniel : Hein ? Mais qu'est-ce que... AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !!!!
Daniel eu tellement peur qu'il se téléporta aux Maldives le temps que le dragon s'en aille. Le dragon, quand à lui, cracha du feu et brûla l'arbre qu'était devenu Min Rar.
Arbre Min Rar : ...
Euh... Traducteur, s'il vous plait.
Arbre Min Rar : Ouille ! Ça brûle.
Bon ouais, c'était tellement prévisible qu'en réalité, cela ne valait même pas la peine qu'on traduise. C'est ça le souci de l'improvisation, on a pas tout le temps l'inspiration pour quelque chose d'original. D'ailleurs, autant que je finisse ce chapitre et que je passe à autre chose... Oh ! Attendez ! Je sais ce qui va se passer. Alors tout d'abord un nuage de pluie s'approche de Min Rar et éteignit le feu.
Arbre Min Rar : Aaaaaah... Ça va mieux.
Puis sorti des racines de l'arbre des énormes rayons laser qui mirent KO le dragon qui tomba au sol (je ne peux pas me permettre de tuer le dragon, j'ai un ami fan de dragon qui en a marre qu'ils se fassent toujours tuer). Finalement, Min Rar pu redevenir humain, non sans d'abord se changer en sole complètement par accident.
Min Rar : OK ! On repart.
Et il reprit une nouvelle fois sa route pour retrouver Min Car, bien qu'il n'avait aucune idée de quel côté Stéréo avait pu partir. Et avec Daniel qui était revenu des Maldives maintenant que le dragon est vaincu, les choses n'allaient pas être simple. Ben oui, Stéréo est poursuivi par Min Rar, lui-même poursuivi par Daniel ! Quelle galère ! Et c'est bon, je ne sais plus quoi improviser, si ce n'est que...
Min Rar : Tralalalala !
Une trappe qui n'existait pas une seconde auparavant s'ouvrit sous les pieds de Min Rar, qui tomba dans un trou, puis la trappe cessa d'exister.
Min Rar : Ouaaaaaaaaaaaaaaaah !!!
Où est-ce que Min Rar a atterit ? Dans un tunnel. Mais pour savoir ce qu'il y a dans ce tunnel, il va falloir que j'ai un peu plus d'inspiration et de motivation que ça.
À suivre...
Chapitre 123 : La caverne.
Min Rar est tombé dans un trou et atterrit dans une caverne, tout comme le dit le titre de ce chapitre. Il ne savait pas où il allait, mais fort heureusement, il arrivait à voir malgré l’obscurité. Rien de spécial, si ce n'était une chauve-souris qui passait par-dessus lui. Elle semblait anodine, mais en fait...
Brigand : Ha ! Alors comme ça, notre chauve=souris envoyée en éclaireuse ne s'était pas trompée ! Il y a bien un intrus qui aurait trouvé notre planque secrète !
... Min Rar s'était retrouvé dans la caverne de non pas 39, mais 41 voleurs.
Brigand : On va t'emmener à notre chef, pas un mot, ok ?
Malgré le voyage remplies de quelques péripéties, en particulier les difficultés à maintenir Min Rar attaché à la corde à cause de ses rondeurs, ils arrivèrent finalement devant le chef des brigands voleurs qui dans sa baignoire en train de prendre sa douche.
Chef des brigands : Qu'est que c'est ? Vous ne voyez pas que je suis occupé ?
Brigand : Chef ! Cette personne a trouvé notre cachette secrète, qu'est-ce qu'on fait de lui ?
Chef des brigands : À votre avis ? Abattez-le ! Que voulez-vous qu'on fasse d'autre ?
Et c'est ainsi que Min Rar mourrut.
FIN
Ah wait, il avait mangé un champignon 1-up lors de son passage en Japonitalie dans l'un des très très vieux chapitres, du coup, il peut revenir à la vie comme si de rien n'était.
Brigand : Il est revenu à la vie.
Chef des brigands : Tuez-le une deuxième fois.
Et Min Rar mourut... Sauf qu'il avait volé un autre champi 1-up et il a pu le manger en cours de route. Il revient une nouvelle fois à la vie.
Chef des brigands : Bon, ça suffit, laissez-moi faire !
Le chef des brigands sorti de sa baignoire, en oubliant d'apporter une serviette, c'est pas bien puis voulut étrangler Min Rar, mais ce dernier retourna la baignoire et alla se cacher dessus.
Brigand : Aaaah !! Il a mis de l'eau partout sur le sol rocheux de cette caverne.
Autre brigand : Arrête de parler de façon littéraire, c'est pas toi le narrateur.
Et nous les narrateurs, on déteste quand les personnages cassent le quatrième mur comme ça. Bref ! Le chef des brigands voulut soulever la baignoire pour la remettre normalement, mais elle est trop lourde. Tant pis, il décida de faire un trou dans celle-ci avec l'aide d'un tire-bouchon... C'est alors qu'il se pris plein d'eau sur le visage.
Chef des brigands : Bloubloubloubloublboub !!
Il s'écarta du jet d'eau, celui-ci avait la forme d'une hélice. La baignoire s'envole.
Brigand : Il se sert du pommeau de douche pour former une hélice !!
Chef des brigands : Merci Captain Obivous !
La baignoire s'envoler et passa à travers le niveau de la surface. Min Rar est enfin sorti de cette caverne et était maintenant à l'abri des voleurs et pouvait reprendre sa route. Et avant que je ne commence, j'avais seulement idée de cette baignoire hélicoptère, ne vous plaignez pas si cet épisode fut court. D'ailleurs, il me fut assez long à écrire car j'ai souvent eu des messages Discord qui m'interrompait.
À suivre...