blucassidy bien, mais on a parfois l´impression que tu fais des vers uniquement pour rimer...
et puis la dernière strophe, tu arrêtes tes vers en plein milieu de phrase, ce qui n´est pas très joli. sur ce, voilà, et bien
Merci Hipop de ton commentaire que je transmettrai à Blucassidy à sa demande
Homme de sourire, visage de rire,
Débarbouille tes lèvres,
Pour enfin tout lui dire.
Enlève l’apparat de pauvre con mièvre,
Dont se nourrit et s’amuse
Cet arc en ciel éteint jouant ta muse.
Et crie !
Un mot, puis deux,
Claque ta langue serpentine,
Crachant une missive horrifique,
Peuplé de larmes publique,
De trahison câline,
Qu’on fait de toi un creux,
Putride et aigrie…
Dors maintenant…
Innocent coupable du crime
D’amour trop encombrant.
Non… tu n’osas point
En vouloir à cette sublime,
L’amour souille encore tes mains…
De souvenir à chevaux pivotants,
Du Chihiro envoûtant,
Au rose couloir, mime
De milles baisers.
Début à peine fané
Switchant du sourire,
Aux larmes, goût lune.
Poupée suicidaire qui s’allume,
Maquillons bien vite, pour peu de temps,
Un sourire devant mon vide…
J´aime bien le poème de blucassidy, juste je trouve dommage certaines rimes qui reviennent. (je pense au "volé" par exemple, qui aurait pu être plus varié) Mais peut-être est-ce un effet de style !
Enfin, j´aime bien :]
Celui de call him hero est très différent, j´adore la manière d´utiliser des mots assez improbables. J´aime bcp les consonnances et l´esthétique du poème. Par contre, saisir le message du poème en est rendu difficile. (je vais d´ailleurs de ce pas le relire plus attentivement )
La compréhension du poème ne le rend que plus agréable
Même si je ne comprends pas toutes les subtilités, je pense, j´aime bcp :]
Je trouve que ce n´est pas une si mauvaise idée de couper des vers, c´est d´ailleurs une figure de style assez répandue.
Et qui plus est, peut être utile non seulement pour faire rimer, mais surtout pour accentuer le point de vue. (enfin bon...)
Au fait, j´y pense (je sais, spabien le flood), vous pensez quoi, les gens fréquentant depuis longtemps ce topic, de nous donner la poésie (l´unique, il ne s´agit absolument pas de faire un classement) qui vous a le plus plu, que ce soit dans l´émotion, ou dans la force, ou dans la justesse.
Histoire que les petits noobs comme moi puissent lire des poésies qui ont touché des gens. (évidemment, je demande pas de relire le topic et d´en relire les poésies et de juger la meilleure, mais plutôt celle qui revient à l´esprit des personnes, tout en sachant que personne je pense n´a lu toutes les poésis (du moins pas dans le même état de réceptivité), également que les plus récentes sont plus fraiches dans l´esprit. Donc cela n´aurait qu´une valeur distrayante, pas informative)
Jade j´ai lu toutes les poésies de ce topic et j´ai essayé le plus possible de donner un commentaire pour chacune...
Y en a plusieurs que j´ai aimées, certaines que j´ai pas totalement comprises, mais on écrit d´abord pour soi je pense, pour libérer une émotion, provoquer ou encore faire réfléchir ou encore simplement parce qu´on en a envie... je trouve que chacune a un charme particulier...
D´tte façon, je sais que la paresse est un vilain défaut
Enfin, je voulais juste la poésie qui quand on dit "celle que tu as préférée" a fait tilt dans ton esprit.
Enfin, j´ai un peu parcouru le topic de tte manière, si je me sens l´envie de lire une tite poésie, je viendrai ici ^^
y a le topics traditionnel du 25-35 aussi que tu devrais aller voir fleur, il est un peu plus mort, mais chargé de tradition, et de convivialité^^
Je connais pas les traditions du 25-35 moi
Topics confidence secret aveux poèmes..
L´enfant.
Une fillette, esseulée, que lui est-il arrivé ? Larmoyante, que lui a-t-on arraché ?
Un orage, et tout est bouleversé, son chemin a attiré la foudre. Elle vivra dans la peur de la lumière. Eclair, lumière, flamme… lame… reflet d’une lame. Lame de couteau, cette destinée est-elle à choisir ? Non…
Etre hybride, épave agonisante parcourue de soubresauts.
Fondations ? Sûrement, mais… Quelle stabilité face à tant d’incompréhension ? Que restera-t-il alors que le modèle est tronqué dès l’aube ?
Un ensemble branlant, des faiblesses et des forces… Quoi de plus naturel ? NON ! Déplacées, futiles, illogiques…
Vulnérabilité à fleur de peau, quelle autre direction possible ?
Des larmes perlent sur son visage mais… Mais stop ! Plus qu’une lueur dans le regard. Une lueur de profondeur, certes non. Rien qu’un éclair pour ceux qui désirent l’apercevoir.
Grandir, grandir… mûrir… pourrir ?
Jeune fille, trop jeune fille, vis ta vie, plus tard, tu comprendras… ou non… plus tard, tu saisiras plutôt, juste de quoi creuser un trou d’incertitudes.
Culpabilité…
Où est la vérité ? Dans cette tentative de disculpation ou d’apitoiement ? D’apitoiement de qui ? de toi-même sur toi, petite fille ? Ou des autres ?
Malhonnête stratagème ou tristesse évidente ?
Dominos dont on tente de faire tomber le premier pour que la chute des autres provoque un grand fracas ? Inexcusable.
Culpabilité…
De toute façon, qui pour entendre, ou plutôt qui pour répondre ? Ou encore, qui pour s’y atteler ?
Combien d’enfants se meurent pour un unique ? Combien !! !!
Petite enfant, honnête. Jeune fille, manipulatrice.
Mais qu’importe aujourd’hui, les vagues l’ont emporté, ce petit corps glacé…
A qui restent les cauchemars ? A qui les larmes ? A qui les cicatrices béantes ?
Exception ? Ou fut-ce le cas de tous, rassemblés, unis dans ce grand moment d’incertitude ? Se retrouvant tous dans les yeux humides du voisin. Alors, une vague te submergeait, te laissant aller à tes sentiments.. Tu t’intégrais alors au récital de sanglots, au rythme approximatif mais au cœur ouvert et donné.
Pour tirer cette question au clair, j’espère que tous ne sont pas comme toi, couarde. Couardise, pudeur ? Ou encore secret, pour susciter des questions ?
Qui serais tu, toi, pour la juger ? Elle reste humaine, elle ! Elle l’assume, avec ses déceptions, ses hontes aussi. Tu n’as même pas à lui pardonner, elle n’a rien à se reprocher… quoique… tentative encore humain de disculpation ?
Elle verra ce qu’il en est dans quelques dizaines d’années. Si tu n’es plus, son silence se perdra à tout jamais, si tu es, elle plaidera les contradictions… contradictions que tu as, toi, amenées !
Tu lui as pourri la vie, à cette fillette, puisse-t-elle te pourrir la mort.
She loved you so much.
Merci.
puis-je en essyer un ?
une petite déclaration ça vous dit ?
M´entend-tu ? je te dédie ce poëmes
Rien que pour te dire que je t´aime,
Ressent-tu le souffle d´or que mon dégage mon coeur ?
A chaque pas de toi, j´ai peur,
Pour la simple raison,
Que ton coeur fait naître cette saison,
Si douce est ta peau,
Moi, je ne peux t´exprimer que par des mots,
L´amour qui me traverse,
A chaque sons de ta voix, mon coeur se perce,
Chaques pas qui te rapprochent de moi,
Font de moi,
Un être oisif et muet de timidité,
Me comparent à toi, je me sens humilié,
Par ta beauté,
Ainsi que ta bonté,
l´amour me ferais décrocher une étoile,
en tissant une toile,
D´amour, que je poserais sur ton visage,
Telle sera le paysage,
Quand tu me pointera du doigt,
Je ne serais que plus triste des Oies,
Leur plumage d´une blancheur, n´égale rien n´à tes lèvres,
Si parfaite, et si douce, dont je ne peux m´apprcher, je me sens comme un lièvre,
Poursuivi par le chasseur,
Le chasseur, c´est ton amour et le lièvre, ma peur,
Maintenant je n´ai plus rine à te dire,
Aucun mots, ne peuvent qualifiés la ligne de Mire,
Qu´étale mon coeur... Pour toi, Mon amour .
---- Voilà, c´étaitune declaration d´amour pour toi, ma douce, mon Soleil, et je n´aurais rien à dire si vous vous moquez....
en tous cas je prévien que ce poëme vien juste de naïtre car c´est moi qui l´ai inventé !
Encore une soirée morne, une nuit sans fin
Où je vais me torturer l´esprit jusqu´au petit matin
La solitude pèse vraiment lourd
Quand sont partis les joyeux troubadours
Mon coeur est rempli de tristesse
Je me sens comme une âme en détresse
Pourtant aucun cri ne s´échappe de ma bouche
Mais cette personne qui a meurtri mon coeur a fait mouche
Perdue dans mes sombres pensées
Dans la noirceur de mon intimité
Je pleure toutes les larmes de mon corps
Si je pouvais, je pleurerai jusqu´à la mort
jenepourraistedire
cequienmoiestlepire
peutetrelefaitque...jerespire
ouquejenesacheecrire
maisjesaisquetuvaslire
etensuitememaudire
maismoiçamefaisrire
pouss, il faut que tu pousse un peu les mots ! pour les espacer car sinon on a du mal...