Nan le mec était Bayern donc non. C'est un PNJ donc. Qui est par ailleurs fortement affaibli.

varkale: puisque tu joue l'Irak et que c'est toi le modo je voulais savoir si il était possible de jouer les rebelles Baasistes

Merci

Je quitte l'Allemagne, faute de temps, et prends Barclays, ainsi que la Famille Barclays par extension.

¤¤¤ Barclays - World Company ¤¤¤

¤ Royaume-Uni, Londres, Canary Wharf, One Churchill Place, 10 février 2014, 10:00 P.M ¤

[1] http://www.skyscrapernews.com/images/pics/681ChurchillPlace_pic5.jpg
[2] http://upload.wikimedia.org/wikipedia/en/thumb/7/7e/Barclays_logo.svg/1000px-Barclays_logo.svg.png
[3] http://www.thetimes.co.uk/tto/multimedia/archive/00379/Barclays_Jenkins_-__379628c.jpg
[4] http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/4/44/US_Reuben_Jeffrey_150.jpg
[5] http://static.guim.co.uk/sys-images/Guardian/Pix/pictures/2012/7/22/1342991485964/-Sir-Michael-Rake-010.jpg

La nuit tombait peu à peu à Londres, alors que l’imposant gratte-ciel One Churchill Place [1], siège social de la septième banque mondiale Barclays [2], s’éteignait progressivement, au fur et à mesure du départ des derniers employés qui finissaient leur travail ou bien des agents d’entretiens qui terminaient de nettoyer la tour. Néanmoins, le ciel de Londres était encore illuminé par le trente-et-unième étage du bâtiment, celui réservé à la direction. À vrai dire, il était généralement le dernier à être éteint puisque les dirigeants de la banque internationale britannique restait souvent à travailler - ou parler des actualités - pour faire prospérer la société qui allait bientôt connaître un évènement d’important.

Dans les couloirs encore éclairés, le bruit des pas de plusieurs hommes, habillés en costard cravates, résonnait dans ces allées qui semblaient parfois interminables avant de se propager vers l’étage supérieur, précédé par le bruit de l’ascenseur qui conduisait ces personnes à une pièce bien précise où étaient déjà installés depuis plusieurs minutes des membres de la Barclays. Sous les bras droit de chacun des hommes qui marchaient, d’imposantes pochettes bleues dans lesquelles des centaines de feuilles semblaient être rangées minutieusement, alors que des bouts d’intercalaires étaient visibles sur les côtés.

Cette fois, une réunion des plus importantes avait été organisée il y a plusieurs semaines déjà sur un sujet qui pourrait marquer un tournant pour Barclays, une nouvelle direction, un nouveau cap, celui de la prospérité et de l’enrichissement perpétuel dorénavant voulu par le nouveau PDG, le multimillionnaire Anthony Jenkins [3], et ce par le rachat de nombreuses entreprises rentables ou potentiellement rentables, qui pourraient rapporter gros sur le court comme sur le long terme, et ce dans une multitude de secteurs allant de la banque au pétrole en passant par l’électronique ou même encore les sociétés militaires privés.

« - Bonsoir, ladies and gentlemans, commença l’homme, assit sur son fauteuil en cuir tout au bout d’une imposante table ovale en chêne. Merci à vous d’être venus à cette réunion pourtant si tardive. Ce soir, nous allons aborder un sujet d’une importance capitale pour Barclays : le rachat de la banque …»

« - Nous avons déjà racheté plusieurs banques, monsieur, et cela n’a jamais été un sujet d’une importance capitale comme vous le dîtes, coupa Reuben Jeffrey III [4], vraisemblablement surpris par les propos du président. »

« - Ce n’étaient que des banques insignifiantes, rétorqua Rich Ricci, chef de la direction de la Barclays Investments Bank. »

« - L’acquisition du groupe Asba, première banque d’Afrique du Sud, ce n’était qu’un rachat « insignifiant » peut-être, Rich ? S’offusqua l’ancien sous-secrétaire américain sous Bush fils. »

« - Oui, comparé à notre cible, ce rachat était insignifiant ! S’exclama Sir Michael Rake [5], vice-président de Barclays et PDG du groupe de télécommunication BT. Maintenant, si vous voulez bien laisser continuer notre président, je crois qu‘il a des choses d‘intéressantes à nous communiquer. »

« - En effet, reprit Anthony. Notre cible est la banque espagnole Santander, qui, comme vous le savez, est la première banque de la zone euro, et l’une des plus grandes du monde. Une concurrente directe qui serait bien mieux comme filiale de Barclays que comme rivale. Rich, vous pouvez continuer. »

« - Bien, répondit le CEO de la BIB, en se levant et en allant près du mur où étaient projetés graphiques & données. Comme vous pouvez le voir, le groupe Santander 2 147 483 647 actions, réparties entre plusieurs dizaines d’actionnaires plus ou moins importants. Au contraire de ce que l’on pourrait penser, l’action n’est pas haute, elle est même sous-cotée … à peine cinq misérables euros. Oui messieurs, pour cinq euros, vous pouvez acheter l’une de leurs actions, à eux, le plus grand groupe financier de la zone euro. À titre comparatif, la Société Générale, douzième banque mondiale par actifs, à une action à 26,91 euros, et il faudrait onze milliards d’euros si l’on voulait posséder 51 % de son capital, en montant l’action à 30 euros. Il y a un problème, n’est-ce-pas ? Et pourquoi ne pourrions-nous donc pas profiter de cette sous cotation pour acquérir des parts du capital de Santander ? 1’095’216’660 actions seraient nécessaires pour cela, c’est-à-dire cinquante-et-un pourcent des capitaux du groupe. À huit euros l’action, soit 1,6 fois plus que l’action sur le cours de la bourse. Une dépense de 8,76 milliards de dollars pour être l’actionnaire majoritaire de la 43ème plus grande entreprise mondiale. Et on le rachète ensuite, pour le prix que nous désirons. »

« - Merci pour cet exposé Rich, continua Jenkins. Comme vous l’avez entendu, 8,76 milliards de dollars seulement seront nécessaires pour s’emparer du groupe Santander … Nos deux groupes fusionnés, nous aurions au total 150 millions de clients pour 325’200 employés répartis à travers la planète entière. Dans la quasi-totalité des pays importants tant sur le plan mondial que régional, nous aurons une filiale pour tenter de nous y développer davantage. Si deux filiales se retrouvaient dans un même pays, ces dernières seront fusionnées pour ne faire plus qu’une, car il est inutile d’avoir plusieurs sociétés filles au même endroit. »

« - Et comment comptez-vous racheter autant de parts ? demanda une autre personne présente. »

« - Nous allons lancer une OPA hostile dès demain matin à l’ouverture de la bourse, affirma Rich. L’action de Santander a brusquement chuté depuis le début de la crise, et cette hausse soudaine devrait inciter les actionnaires à massivement vendre leurs actions. De toutes façons, ces dernières ont du être largement remboursées depuis le temps, et l’action risquerait de chuter si jamais notre OPA échouait. »

« - Personne ne s’oppose à cette opération ? Interrogea le nouveau président de Barclays. Fort bien. Mesdames et messieurs, la réunion est terminée. Passez une excellente soirée et à demain soir pour le compte-rendu de la première journée, conclu-t-il en se levant de sa chaise et en rangeant ses dossiers. »

je joue l'Afrique du Sud

¤¤¤ Barclays - Gött mit uns ¤¤¤ 

¤ Royaume-Uni, Londres, Canary Wharf, One Churchill Place, 20 février 2014, 9:00 P.M ¤ 

Dix jours étaient passés depuis le début de l’offre publique d’achat de Santander par l’un des leaders mondiaux de la banque, le tricentenaire Barclays, dirigé depuis quelques semaines déjà par le descendant direct de James Barclays dont son nom fut repris par les associés-fondateurs de l’époque, Sir Benyamin Barclays, un quarantenaire qui a déjà fait ses preuves en gestion, occupant plusieurs postes à haute-fonctions au sein de l’entreprise avant d’être élu président-directeur-général par l’assemblée générale des actionnaires suite au décès de Sir David Alan Walker, à l’âge de 74 ans après un accident vasculaire-cérébral, qui avait été nommé il y a à peine un an à la tête de la société.

L’annonce du lancement de l’OPA avait créé une surprise générale dans les milieux boursiers de la planète entière, alors que de nombreux experts critiquaient vivement l’action de Barclays, affirmant que « la banque Barclays court tout droit à la faillite avec cette acquisition », une telle stupeur que l’action de la banque avait chuté de trois euros en une dizaine de jours seulement, mais le conseil d’administration ne pliait pas face aux inquiétudes et aux demandes des actionnaires de cesser immédiatement cette opération qualifiée de « folle, absurde et dangereuse » par de nombreux d’entre eux, remettant en vente leurs actions qui avaient perdues bien trop de valeur pour qu’elles soient rachetées par de quelconque investisseur.

Ledit conseil d’administration, ou plutôt les membres essentiels et nécessaires lors de ce type d’action à haut-risque, se réunissait tous les soirs depuis dix jours déjà, souvent aux alentours de neuf/dix heures, ce qui était encore le cas cette fois ; mais cette réunion était la plus importante de toute car l’offre publique d’achat de Barclays envers le groupe Santander venait officiellement de prendre fin à la fermeture des bourses occidentales dans laquelle elle était cotée : Madrid, Londres, Milan et New York. C’était, pour la banque internationale Barclays, l’heure de faire le compte-rendu de l’opération, savoir s’il s’agissait d’une victoire une d’une défaite pour ensuite passer à la seconde phase, à savoir l’intégration de Santander à Barclays.

« - Merci d’être venus une nouvelle fois à cette réunion comme depuis dix jours maintenant, et bonsoir, mesdames et messieurs ; commença Benyamin Barclays comme à son habitude. Ce soir, nous devons faire le compte-rendu de cette OPA que nous avons lancés sur Santander, après avoir suivi jour après jour son évolution. Rich, je vous prie. »

« - Comme vous devez tous vous en douter, notre opération est un franc-succès, affirma fièrement Rich Ricci. Les actionnaires se sont jetés sur notre offre comme des somaliens se jettent sur un morceau de nourriture, et nous avons atteint les cinquante-et-un pourcent du capital de Santander, après une dépense de 8,76 milliards de dollars comme initialement prévu. Juste avant la fermeture, puisque nous avions atteint notre résultat, nous avons informés la direction de Santander de notre volonté de racheter la société, et lui avons envoyé une offre.

« - Combien proposons-nous dans ladite offre ? demanda Sir John Sunderland. »

« - Quasiment rien, quelques centaines de milliers de dollars, à peine, que nous récupérerons en majorité, répondit Sir Michael Rake. Santander est obligée d’accepter notre offre, puisqu’il s’agit de l’Assemblée Générale des actionnaires de la société qui décide d’accepter l’offre ou non. Et depuis quelques heures, nous sommes l’actionnaire majoritaire de notre concurrente. »

« - L’important n’est plus de savoir si nous allons pouvoir acheter ou non Santander, puisqu’elle peut être dès à présent considérée comme notre, mais de savoir comment allons-nous relancer la banque, affirma l’Héritier des Barclays. »

« - Assurément, Sir. Le groupe Santander est en grande difficulté : mauvais investissements, des milliers de logements inoccupés, des banques de moins en moins rentables pour la banque mère, néanmoins, les filiales se portent plutôt bien et certaines sont très intéressantes, et notamment Santander Brasil, qui s’affiche à la cinquième places des banques brésiliennes en terme d’actifs, avec neuf millions de clients, expliqua Rich. Si cela semble peu comparé à la population brésilienne, il y a d’importantes capacités de développement dans la zone, et également au Chili. D’autres régions peuvent être intéressantes, comme l’Inde. Singapour et Hong Kong sont malheureusement envahies par les banques, et les filiales de Santander ne sont pas encore assez développées là-bas. Nous pourrions tenter tout de même de nous immiscer davantage dans le marché, voire racheter des banques hongkongaises directement. »

« - Et comment comptez-vous revendre tous ces logements ? Demanda un membre du conseil. Les bénéfices de Banco Santander sont de plus en plus faibles, la réglementation européenne est de plus en plus stricte sur le secteur bancaire, et le marché est déjà inondé. Et quant aux investissements … absurdes. »

« - Tout cela sera revu en temps et en heure, mais sachez dès à présent que tout a été préparé depuis longtemps déjà pour relancer la banque et améliorer ses bénéfices, assura Benyamin Barclays. Il faut se mettre à jour, ce que semblent avoir du ma à comprendre de nombreux banquiers. Cela fait mal, certes, il y aura des chômeurs en plus, mais je crois que les espagnols ne sont plus à quelques milliers de sans-emploi supplémentaires … »

« - Sir, interrompit Anthony Jenkins, la direction de Santander vient de nous répondre. L’Assemblée Générale va se tenir d’ici trois jours, au siège social. Vous y êtes bien évidemment conviés, malheureusement pour eux je crains. »

« - Parfait, finalisa le PDG. La réunion est terminée, et une fois encore, merci d’y avoir participé. À dans quatre jour, pour mon retour d’Espagne, afin de nous réunir à nouveau pour les mesures qui seront prises pour relancer Santander. »

¤¤¤ Nation Arc-en-ciel d’Afrique du Sud ¤¤¤
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Conrad Knox riche mania sud-africain était pensif, sa vie n’avait plus de sens depuis la fin de ses activités professionnelles. Cette vie de dur labeur était finie, depuis la signature de vente de son groupe Dimension Data Holdings spécialisé dans les technologies de l’information à la multinationale Nippon Telegraph and Telephone en 2010. Ses actions lui avaient permis d’acquérir la somme colossale de 6 milliards de dollars faisant de la famille Knox l’une des plus riches d’Afrique.

Mais depuis quelques temps, un nouveau défi parasitait l’esprit de Conrad, une de ses idées qui était dure à réaliser tellement elle semblait folle. Cependant ce soixantenaire voulait relever ce défi, il décida de se lancer à la conquête du pouvoir sud-africain. La campagne présidentielle qui était gagné d’avance par l’ANC allait très certainement réserver des surprises.

Salut,j'aimerais savoir si un de ces pays est libre:

-Maroc,Pays-Bas et Australie

Et aussi,qui est le MJ à qui je pourrais poser certaines questions concernant le jeu.

Reino de España

Affaires Intérieures

Le gouvernement espagnol poursuit ses réformes économiques rendues nécessaires par la grande récession mondiale. Mariano Rajoy annonce notamment une nouvelle réduction du nombre de fonctionnaires, réduction qui se produira essentiellement dans les ministères et la bureaucratie en général.

Face à la volonté indépendantiste de certaines provinces, Rajoy brandit la menace d’une modification constitutionnelle réduisant considérablement le pouvoir des gouvernements régionaux et rappelle que l’Espagne est " une et indivisible ".

Affaires Extérieures

Le Conseil Général de l’Andorre fait parvenir un communiqué officiel à Madrid indiquant sa volonté de réformer la constitution du petit état pyrénéen. Le régime des cosouverains serait abrogé, la couronne princière devenant monocéphale. En outre, le chef du gouvernement andorran, Antoni Martí, propose ladite couronne au roi d’Espagne en vertu de son sang Bourbon, Juan Carlos Ier descendant directement de Henry III de Navarre.

L’Espagne conserve un mutisme manifeste face au problème Ukrainien et aux actions russes.

Secret Défense

Une vingtaine de chars Leopard 2E se dirigent vers l’Andorre, suivis par une trentaine d’ASCOD Pizarro accompagnant quelques colonnes d’unités d’infanterie montagnarde.

Reino de España

Le comité de direction et les actionnaires du Santander Group rejettent en bloc la proposition de rachat hostile entamée par Barclays. Doté de plus de 80 milliards d’euros de capitaux propres, l’entreprise n’a aucun mal à balayer d’un revers de main cette offre de 9 milliards ultra sous-évaluée.

- " C’est à mon avis une plaisanterie " commente le responsable des activités boursières du groupe " Ou alors Barclays chercher à provoquer… Dans les deux cas, nous déplorons ce genre de comportement indigne, et rassurons nos actionnaires sur la pérennité et l’intégrité de la société. "

Naturellement, Madrid a vu d’un mauvais œil cette tentative de rachat, Santander détenant près de 30 % des emprunts souscrits en Espagne. Le gouvernement Rajoy ne se gênera pas pour mettre la main à la patte si un fleuron national subissait une nouvelle attaque sous la ceinture.

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République Française

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La France passe en 2016, l'année précédente a été marquée par de grandes réformes qui ont totalement changé la France, administrativement, militairement, économiquement, politiquement et géographiquement. La croissance a été de 1,8%, on estime qu'elle sera de 2,4% pour cette année. Le budget sera en équilibre dès que toutes les mesures prises seront appliquées et que les nouvelles lois feront effet, permettant ainsi de rembourser petit à petit la dette.

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Manuel Valls et Gilbert Collard annoncent quant à eux une revue complète de la légitime défense permettant ainsi aux policiers de faire feu avec leur arme de service si ils sont en infériorité numérique et que les agresseurs montrent des signes de violence extrême (jet de plus de deux objets dangereux, violence physique directe), et ce même s'ils essayent de fuir après leurs actes ou qu'ils visent une autre personne que les forces de l'ordre. Les policiers pourront en outre faire plus souvent usage de flash ball, tazers, matraques téléscopiques etc...sans être inquiété par la Justice.

http://s1.lemde.fr/image/2013/09/18/534x267/3479913_3_357b_lors-d-une-manifestation-de-soutien-au_cbfb7429db1009c5bb70da841c2c5b13.jpg

La propriété privé et les biens (maison, bijouterie, tabac etc...) seront également soumis à la possibilité de légitime défense, même si les braqueurs se mettent en fuite. Les propriétaires d'enseignes à risque suivront des cours obligatoires, sur une durée de 12h au total, en école de police sur le maniement des armes et la gestion d'une tentative de braquage.

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Concernant le mouvement de troupe de l'Espagne et ses revendications envers Andorre, la France mobilise la 27e Brigade d'Infanterie de Montagne, le 93e Régiment D'Artillerie de Montagne et le 7e Bataillon de Chasseurs Alpins dans les Pyrénées. Ils observeront depuis les sommets à se qu'aucune troupe étrangère ne pénètre dans Andorre. 15 Dassault Rafale sont mis en alerte afin d'intervenir en cas de demande tandis que 2 Bataillons de SAMP/T sont déployés. Un E-3 Sentry, des drones et des hélicoptères scrutent la frontière avec leurs équipements infrarouges afin de ne rien laisser passer.

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En partance de Toulon, une flotte se positionne au large de Perpignan, celle-ci se compose d'un BPC Mistral, 2 Destroyers Horizon, 2 Frégates Aquitaine, 2 Frégates Georges Leygues, 1 Frégate Légère FM400, 1 Frégate Légère LaFayette, 2 Corvettes Gowind, 2 SNA Barracuda et 1 BRS Brave. Des NH90 et Altlantique 2+ surveillent les alentours de la flotte afin d'empêcher toute intrusion ASW tandis que les E-2 Hawkeye veillent au ciel.

Du coup, mon second post n'a pas lieu d'être. J'avais oublié qu'Emperor jouait l'Espagne, désolé.

finalement je vais jouer l’Ouzbékistan, je doute que ça gêne grand monde
Juste, on est en quelle année? y a t il eu de grands changements territoriaux ou autre?

Akar Vous n’avez pas vu ma réponse à votre MP ?

Vivaelprez Normalement c’est bon, mais peacemaker62 a peut-être des plans pour cette ex-république soviétique.

Il joue la fédération de Russie je suppose

Si, je l'ai vu

République d'Inde

Le resserrement des taux d'intérêts et la baisse lente mais forcée de l'inflation est susceptible d'entraîner une hausse de la valeur de la dette publique du pays. Le gouvernement a fixé une limite à ne pas franchir de l'ordre de 70% du PIB, actuellement établie à plus de 50%. Le Premier Ministre Narendra Modi a affirmé que la dette publique allait augmenter en vue des dépenses supplémentaires à réaliser par l'Etat pour permettre à l'économie de repartir sur les clous, c'est à dire avec un minimum de 6% de croissance. En parallèle de la profonde réforme des administrations et de la simplification du mille-feuille administratif, qui s'avère lente mais permettant déjà de réaliser des économies substantielles, l'Inde a débloqué un montant de 10 milliards de dollars dans un premier processus de rénovation et de d'élargissement des infrastructures. Il comprend la construction de réseaux de transports de contournement aux abords des grandes villes et le rétablissement de la sécurité dans les liaisons de
communication physiques au travers de l'aire himalayenne. L'Inde fait bien entendu un appel aux investisseurs étrangers afin de bénéficier de l'aide de sociétés privés et de leurs compétences. Cela ne se limite pas aux réseaux de transport : cet appel à l'investissement concerne également le secteur de l'énergie, et tout autant la desserte de celle-là que la production, avec une préférence pour les centrales nucléaires et les énergies renouvelables plutôt que les centrales à charbon. Le gouvernement doit néanmoins se heurter à des refus d'expropriation qui tendent à entraver à la fois la réforme administrative que les rénovations des infrastructures.

Enfin, avec le lancement d'une OPA hostile par Barclays à l'encontre de Santander, le gouvernement indien a rappelé l'importance d'aider certaines grandes entreprises indiennes, dont le capital est assez dilué, à lutter contre ces attaques en bourse. Ainsi avec un amendement gouvernemental, calqué sur le modèle français, il sera possible au Conseil d'Administration d'une entreprise subissant une OPA hostile de distribuer des bons de souscription d'action à ses actionnaires contrebalançant la proposition du prix de rachat déposée par l'acheteur avec une augmentation du capital au final encore supérieur à la valeur de l'OPA si elle devait concerner un rachat de 100% du capital sans l'effet des BSA. L'État Indien a affirmé qu'il assurerait un soutien financier si nécessaire.

¤¤¤ Nation Arc-en-ciel d’Afrique du Sud ¤¤¤

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La situation politique était confuse en Afrique du Sud. En effet depuis trois heures, la première chaine publique du pays SABC 1 avait été prévenue par des dignitaires de l’ANC d’une hypothétique candidature de Conrad Knox à la présidentielle de 2014. Des fuites en étaient savamment orchestrées via des fuites diffusées par l’entourage du richissime afrikaner. Selon ses informations l’homme d’affaire nourrit des projets mystérieux pour son pays. Effectivement, il clama haut et fort ses grandes ambitions pour son continent adoptif qu’était l’Afrique, grâce à l’action de sa fondation pour le développement de l’Afrique. Mais voyant les résultats peu convaincants de son action, Conrad Knox décida de prendre le problème sous un nouvel angle. Ces convictions le menèrent à la réflexion que la seule et unique chose qui puisse faire bouger les lignes était le pouvoir politique. Placé entre de bonne main celui-ci pourrait changer la destiner d’une nation et des gens qui la peuple.

Grâce à ses fabuleux moyens financiers et son image de mécène invétéré, Conrad Knox se révélait être un adversaire des plus redoutable pour Jacob Zuma. Mais pour l’heure, cette information n’était fondée que sur des rumeurs. Pourtant les partisans de l’ANC n’avaient pas chômé pour lancer dès à présent une campagne des plus atroce et écœurante. Le slogan était claire « Knox égale apartheid », « Les Afrikaners en trouvé leur messie » ou encore « Knox contre les noires » un véritable délit de faciès.

Ces mêmes personnes qui prônaient il y avait de cela une vingtaine année des idéaux de tolérance, discriminaient sans commune mesure un candidat simplement pour sa couleur de peau. Mais le peuple sud-africain ne se laissa pas berné par ces vils personnages engraissés par l’argent sale de la corruption. Et dès l’annonce officielle près d’une semaine plus tard de la participation de Conrad Knox à la présidentielle, la nation arc en ciel ne se trompa pas et se déportèrent en masse vers ce candidat. Ce phénomène s’amplifia avec les actions de bienfaisance de ce milliardaire dans les townships. Près de 70 millions de dollars de sa fortune personnel furent injectés dans des projets de viabilisation de la distribution d’eau potable dans ces quartiers très défavorisés. Partout ou fleurissait ces projets d’immense panneaux publicitaire faisaient l’éloge de Conrad Knox donnant à cette homme l’image d’un bâtisseur éclairé et empathique. Toutes les classes de la société qu’elle soit blanche ou noire n’avaient plus qu’un mot en bouche celui de « La révolution Knox ».

Repubblica Italiana

Affaires intérieures :

Désormais fermement installé au pouvoir Angelino Alfano va maintenant pourvoir s'attaquer à bras le corps aux problèmes de l'Italie. Sur le plan économique les réformes engagés sous sa présidence du Conseil permettent à l'économie italienne de commencer à sortir la tête de l'eau, la croissance devrait atteindre les 1% sur cette année 2015 et le budget de l’État devrait revenir à l'équilibre pour 2018.

De plus le Gouvernement aura désormais toute latitude pour appliquer sa politique, en effet les électeurs italiens ont accordé la majorité absolue à la Démocratie Chrétienne, le parti présidentiel. Le Premier ministre Frattini est donc confirmé dans ses fonctions ainsi que son Gouvernement. Le président à donc présenté les grands axes de sa politique d'ici 2020, la politique de rigueur, d’allègement du poids de l’État sur les italiens et l'économie va donc se poursuivre. Le chef de l’État a toutefois assuré que la plupart des mesures de compétitivité avait été prises et entreront en vigueur très prochainement pour celles qui ne le sont pas encore.

Désormais l’exécutif se tourne vers la réforme du système scolaire, ainsi la loi de réforme prévoira un renforcement de l'apprentissage des savoirs fondamentaux, Italien, Histoire-Géographie et Mathématiques, tant dans le primaire que dans le secondaire afin de s'assurer la meilleur maîtrise possible de ces matières par les jeunes. L'obligation scolaire totale passe quant à elle de 16 à 14 ans âge auquel les jeunes pourront débuter une formation en alternance en tant qu'apprenti. Un vaste plan de valorisation de cette voie va être mise en place afin d'éviter qu'elle ne soit une voie de garage. Enfin l’État souhaite renforcer le lien entre les écoles et les entreprises notamment les PME, l'objectif étant de créer un lien fort en entre l'apprenti et l'entreprise et de maximiser les chances d'embauche de celui ci au terme de sa formation.

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/b/b6/Cavour_%28550%29.jpg

Sur le plan économique les signaux sont encourageants pour le Gouvernement, le moral des entreprises augmente, les PME du Nord de la Botte, moteur de l'économie nationale réinvestissent permettant de faire baisser le chômage qui s’élève à 11% au terme du premier trimestre 2015 même si les mesures de flexibilisation du marché du travail favorisent le développement d'emplois précaires. Enfin sur le plan militaire le Gouvernement commence à songer au remplacement des matériels les moins efficaces, les plus vieillissants. Les 96 chasseurs Typhoon Eurofighters devraient être tous sortit du service actif d'ici 2030-35 le temps de les remplacer. Parallèlement à cela le ministère de la Défense songerait à une annulation du programme d'achat de 90 F-35 américain par l'Italie du fait du coût astronomique du-dit chasseur, en cas d'annulation des commandes c'est la piste du Rafale français qui serait privilégiée par Rome. Toujours dans cette optique de modernisation la Marine militaire va mettre au travail ses spécialistes pour mettre au point un projet visant à améliorer sensiblement les capacités du Cavour afin d'en faire un véritable porte avion.

République Française

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Manuel Valls, au commande de la DGE et des autres agences gouvernementales, lance une grande opération en coopération avec les forces de l'ordre locales, des Préfectures de Police de toutes les Régions et de l'armée. Au total c'est presque 100 000 hommes qui seront mobilisés sur 1 semaine dans une centaine de banlieues sensibles dans toute la France. 25 000 militaires restent en réserve et sont prêt à intervenir dans les minutes suivant une demande de renfort des forces civiles.

Les Procureurs de la République ont répondus à l'appel du Garde des Sceaux et autorisent immédiatement la perquisition dans tout les appartements/immeubles/garages etc.... que les policiers et militaires jugeront nécessaire de visiter. L'opération est lancée dans la surprise la plus totale et simultanément sur tout le territoire de la République.

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http://pix.toile-libre.org/upload/original/1326203339.jpg

Le but est de fouiller toutes les cachettes potentielles pouvant abriter de la drogue, les appartements des nourrices, les appartements des récidivistes et délinquants connus des services, trouver des armes, du matériel importé de manière illégale, des immigrés illégaux, les personnes recherchées etc...D'importants moyens de reconnaissances faciales, digitales, des photos, drones, hélicoptères, engins blindés etc...sont mobilisés pour ne rater rien ni personne.

http://www.je-suis-stupide-j-ai-vote-hollande.fr/blog/wp-content/uploads/crs-place-vauban.jpg

http://cdn-lejdd.ladmedia.fr/var/lejdd/storage/images/media/images/societe/faits-divers/emeutes-grenoble/2206443-1-fre-FR/Emeutes-Grenoble.jpg

Les banlieues ne se laissent pas faire et réagissent de manière ultra agressive, des milliers de jeunes se déploient et mettent le feu à tout se qu'ils trouvent tout en lançant n'importe quoi sur tous le monde, certains utilisant des armes à feu. Néanmoins le nombre d'hommes et les nouvelles lois sur la légitime défense et protégeant les policiers en cas de dommages physiques contre les émeutiers permet aux forces de l'ordre de prendre rapidement le dessus et d'arrêter un nombre impressionnant de personnes, on dénombre plusieurs morts du côtés des délinquants mais aussi la décès de 6 policiers, 192 autres sont blessés durant les opérations.

http://www.senenews.com/wp-content/uploads/2013/05/interpellation-pilleurs-trocadero.jpg

Les prisons et cellules ne suffisent pas pour accueillir tous le monde. Certaines personnes sont envoyés dans les bases militaires où ils seront enfermés temporairement tandis que des camps provisoires en campagne dans d'anciennes prisons et autres bâtiments qui peuvent être rapidement sécurisée, les conditions de détention sont plus que discutables mais pour le moment le gouvernement, associé à la justice et aux collectivités, garde la situation sous contrôle pour le moment.

République d'Ouzbékistan

Politique:

Forme de gouvernement: République présidentielle(a tendance autoritaire)
Président: Islom Karimov( centre gauche )

Géographie
Capitale: Tachkent (2 millions 300 000 habitants)
Population: 29 559 100

Economie:
PIB:(2012) : 120 mds USD
croissance: 8.3%

Défense:
Personnel actif: 65 000 hommes
prêt au service militaire: 12 600 personnes

équipement et divisions:http://en.wikipedia.org/wiki/Armed_Force
s_of_the_Republic_of_Uzbekistan