Docom, si un con pouvait voler à la vitesse de la lumière il serait chef d´escadrille.
Non ?
Le roi des cons, c´est ce que tu sous-entends Mojo ?
On parle de moi ?
Euh... tu cours vite Vieuchnok ?
Aussi vite que la lumière !
ma journée va commencer,
et le soleil est levé,
je reveille mon chat,
il dort comme un nouveau né,
et le rideau sur mon PC est tombé...
Bye bye forumeurs endiablés,
les chocolats glacés...glacés...
je craque il est temps de revenir à une activité normale...
Bon WE @ tous
La vache à mille francs :
Paroles: Jean Poiret / Musique: Jacques Brel
Au premier temps de la vache,
Toute seule dans son pré, elle est là,
Au premier temps de la vache,
Y a l´éleveur, y a la bête et y a moi,
Et ma faim qui bat la mesure,
La mesure de mon estomac,
Et ma faim qui bat la mesure,
Mesure aussi mes fins de mois.
Une vache à mille francs,
Comme ce serait charmant,
Comme ce serait charmant
Et beaucoup plus tentant
Qu´un´ vache à deux mille francs,
Une vache à mille francs.
Une vache à mille francs,
F´rait l´filet à cent francs,
L´rumsteack à soixante francs,
Le gîte à quarante francs,
L´aloyau à trente francs,
La culotte à vingt francs.
Un´ culotte à vingt francs,
F´rait la côte à quinze francs,
La poitrine à douze francs,
La bavette à dix francs,
Le collier à huit francs,
Le jarret à quatre francs.
Un jarret à quatre francs,
Ce s´rait intéressant
Et plus avantageux
Pour faire un pot-au-feu
Qu´un jarret à mille francs,
Un jarret à quatre francs...
Au deuxième temps de la vache,
C´est à peine si je l´aperçois,
Au deuxième temps de la vache,
Y a du monde entre la bête et moi.
Il y a l´tueur qui passe la mesure,
L´transporteur qui lui emboîte le pas,
Pendant qu´Fontanet nous assure
Que la viande de la vache ne monte pas.
Une vache à mille francs,
En quittant l´Morbihan,
Devient chemin faisant
Comme par enchant´ment
Un´ vache à cinq mille francs
En arrivant au Mans.
Un´ vache à cinq mille francs,
On ne sait pas comment,
Augment´ de vingt pour cent
En traversant Le Mans,
Et d´vient par conséquent
Un´ vache à six mille francs.
Un´ vache à six mille francs,
C´est bougrement tentant,
C´est bougrement tentant
Pour les gens d´Orléans
D´en faire innocemment
Un´ vache à dix mille francs.
Une vache à dix mille,
En sortant de la ville,
Pris´ dans un tourbillon
Devient à Arpajon
Par un calcul habile
Une vache à vingt mille,
Cent mille à Montlhéry,
Deux cents à Juvisy,
Trois cent mille à Orly,
Arrivant à Paris,
À la Port´ d´Italie
La vach´ n´a plus de prix.
La vache est aux Gobelins
Multipliée par vingt,
Par deux cent cinquante deux
Au carr´four Richelieu,
Et par huit cent dix sept
En sortant d´La Villette...
Au dernier temps de la vache,
En rôti, sur l´étal, elle est là,
Au dernier temps de la vache,
Y a un monde entre sa viande et moi.
Et l´Etat, qui prend des mesures,
L´Etat qui mesure notre émoi,
Et l´Etat qui prend des mesures,
Fait monter un peu plus chaque mois.
De la vache à cent francs,
On en mangeait autant,
Autant qu´on en voulait,
Et plus qu´il ne fallait,
À midi, au dîner,
Et dans l´café au lait.
D´la vache à cinq cent francs,
C´est déjà plus gênant,
Quand on mange en moyenne
Dix kilos par semaine,
Pour avoir mon content
Je privais les enfants.
De la vache à mille francs,
De la vache à mille francs,
Il vaut mieux carrément
Se gaver d´ortolans,
Et s´offrir des homards
Tartinés de caviar.
D´la vache à deux mille francs,
Ça s´ra pour l´jour de l´an,
On la mangera truffée,
Sur un grand canapé,
On gardera l´foie gras
Pour les autr´s jours du mois.
D´la vache à cinq mille francs,
Ça d´viendra un placement,
Avec mes lingots d´or,
Dans mon grand coffre fort,
J´entass´rai les rumsteacks
Et les coupons d´beefsteack.
D´la vache à cinq mille francs,
Ça d´vient décourageant,
C´est pas qu´on soit méchant,
Mais un beau jour, pourtant,
Il faudra bien qu´on sache
Qu´on n´peut plus suivr´ la vache !
Ave à tous et bonne soirée
PS : Vous savez qu´il existe deux types d´OVNI ?
L´OVNI Tender
L´OVNI True...
Enfin le printemps !
Le printemps est arrivé, sors de ta maison
Le printemps est arrivé, la belle saison !
L´amour et la joie sont revenus chez toi
Vive la vie et vive le vent, vive les filles en tablier blanc !
Vive la vie et vive le vent et vive le printemps !
Dépêche-toi, dépêche-toi, ne perds pas de temps
Taille ton arbre et sème ton champ, gagne ton pain blanc
L´hirondelle et la fauvette, c´est la forêt qui me l´a dit
L´hirondelle et la fauvette, ont déjà fait leur nid
Y a le printemps qui te réveille, t´as le bonjour du printemps {x2}
Y a le printemps qui t´ensoleille, oh, le coquin de printemps {x2}
Le printemps nous a donné le joli lilas
Le printemps nous a donné du rire en éclats
Et plein de bonheur pour nous chauffer le cœur
Vive la vie et vive le vent, vive les filles en tablier blanc !
Vive la vie et vive le vent et vive le printemps
Dépêche-toi, dépêche-toi, ne perds pas de temps
Donne ta sève et donne ton sang pour faire un enfant
L´hirondelle et la fauvette, c´est la forêt qui me l´a dit
L´hirondelle et la fauvette, ont déjà des petits.
Y a le printemps qui te réveille, t´as le bonjour du printemps {x2}
Y a le printemps qui t´ensoleille, oh, le coquin de printemps {x2}
Y a le printemps qui te réveille, t´as le bonjour du printemps
source ?
Fuguain.????
Bah oui mais je déconnais C´est le fameux "source ?" qu´on balance lorsque quelqu´un annonce une info, en l´occurrence ici "c´est le printemps !"
Je ne retape pas les paroles par contre
Michel Fugain
& Le Big Bazar
Le printemps
Paroles: Maurice Vidalin. Musique: Michel Fugain, Georges Blaness 1976
© 1976 - Editions Le Minotaure
Source: Mon calendrier
==> Doc
Comme je te comprends. J´y ai mis les pieds une ou deux fois, sur ce forum, où tout le monde est plus mauvais que Duhamel en pensant être meilleur ... et c´est vrai que le nerf de ce forum, c´est l´ineffable "source?" !! !
==> Poulpinou
Bonne soirée les Loulous
- Serge Gainsbourg / En relisant ta lettre -
En relisant ta lettre je m´aperçois
que l´orthographe et toi, ça fait deux
C´est toi que j´aime
Ne prend qu´un M
Par-dessus tout
Ne me dis point
Il en manque un
Que tu t´en fous
Je t´en supplie
Point sur le i
Fais-moi confiance
Je suis l´esclave
Sans accent grave
Des apparences
C´est ridicule
C majuscule
C´était si bien
Tout ça m´affecte
Ça c´est correct
Au plus haut point
Si tu renonces
Comme ça s´prononce
À m´écouter
Avec la vie
Comme ça s´écrit
J´en finirai
Pour me garder
Ne prends qu´un D
Tant de rancune
T´as pas de cœur
Y a pas d´erreur
Là y´en a une
J´en nourrirai
N´est pas français
N´comprends-tu pas ?
Ça s´ra ta faute
Là y´en a pas
Moi j´te signale
Que gardénal
Ne prend pas d´E
Mais n´en prend qu´un
Cachet au moins
N´en prend pas deux
Ça t´calmera
Et tu verras
Tout r´tombe à l´eau
L´cafard, les pleurs
les peines de cœur
O E dans l´O
mesdames et messieurs, je vous la souhaite bien bonne, et à la revoyure!!!
Nous n´irons plus au bois - Théodore de Banville
Nous n´irons plus au bois, les lauriers sont coupés.
Les Amours des bassins, les Naïades en groupe
Voient reluire au soleil en cristaux découpés
Les flots silencieux qui coulaient de leur coupe.
Les lauriers sont coupés, et le cerf aux abois
Tressaille au son du cor ; nous n´irons plus au bois,
Où des enfants joueurs riait la folle troupe
Parmi les lys d´argent aux pleurs du ciel trempés ;
Voici l´herbe qu´on fauche et les lauriers qu´on coupe.
Nous n´irons plus au bois, les lauriers sont coupés.