capitaincrochet
Et si c´était toi qui disparaissais pendant 2 mois, le site irait tout droit à la faillite
La chute du prix du mollusque serait à craindre
Une accalmie soudaine verrait le jour
Une lueur d´espoir pour l´espèce humaine
Que de bonne chose nous aurions, suite a sa disparition
au faite lieutenant crochet
Lieutenant ?? !!!
retire-ça tout de suite
Au fait,
à vous Deuxième classe Crochet !
laisse tomber crochet ils sont jaloux
Tais toi le légionnaire ou je t´envoie mon armée d´irréductibles gaulois !
Lesquels ? Depardieu et Clavier ? Quand tu veux!
horatius Posté le 24 avril 2006 à 10:12:49
"Attention Vieuchnok : Paté + Poulpe = Petit batonnet de crabe..."
N´importe quoi... mais ça me fait rire.
Bonne journée. Je reviendrai demain parce que je sens qu´aujourd´hui je vais déraper...^^
A+
Y a du verglas sur la canebière ?
je voulais juste tous vous remerciez (pendant que j´y pense) pour le superbe moment que vous m´avez fait passé sur le talc de Vieuchnok...
J´en pleure encore
Mon talc ?? ???
ben oui mais en l´occurence tu peux vraiment en être fier
comme d´hab quoi
Elvire aux yeux baissés - Henri de Régnier
Quand le désir d´amour écarte ses genoux
Et que son bras plié jusqu´à sa bouche attire,
Tout à l´heure si clairs, si baissés et si doux,
On ne reconnaît plus les chastes yeux d´Elvire.
Eux qui s´attendrissaient aux roses du jardin
Et cherchaient une étoile à travers le feuillage,
Leur étrange regard est devenu soudain
Plus sombre que la nuit et plus noir que l´orage.
Toute Elvire à l´amour prend une autre beauté;
D´un souffle plus ardent s´enfle sa gorge dure,
Et son visage implore avec félicité
La caresse trop longue et le plaisir qui dure...
C´est en vain qu´à sa jambe elle a fait, sur sa peau,
Monter le bas soyeux et que la cuisse ajuste,
Et qu´elle a, ce matin, avec un soin nouveau,
Paré son jeune corps délicat et robuste.
La robe, le jupon, le linge, le lacet,
Ni la boucle ne l´ont cependant garantie
Contre ce feu subtil, langoureux et secret
Qui la dresse lascive et l´étend alanguie.
Elvire! il a fallu, pleine de déraison,
Qu´au grand jour, à travers la ville qui vous guette,
Peureuse, vous vinssiez obéir au frisson
Qui brûlait sourdement votre chair inquiète;
Il a fallu laisser tomber de votre corps
le corset au long busc et la souple chemise
Et montrer à des yeux, impurs en leurs transports,
Vos yeux d´esclave heureuse, accablée et soumise.
Car, sous le rude joug de l´amour souverain,
vous n´êtes plus l´Elvire enfantine et pudique
Qui souriait naïve aux roses du jardin
Et qui cherchait l´étoile au ciel mélancolique.
Maintenant le désir écarte vos genoux,
Mais quand, grave, contente, apaisée et vêtue,
Vous ne serez plus là, vous rappellerez-vous
Mystérieusement l´heure où vous étiez nue?
Non! Dans votre jardin, doux à vos pas lassés,
où, parmi le feuillage, une étoile palpite,
De nouveau, vous serez Elvire aux yeux baissés
Que dispense l´oubli du soin d´être hypocrite.
@ pelusse !
ma poupoule
Avec toute cette grippe aviaire qui nous entoure, je te trouve bien un peu léger de m´appeler "ma poupoule"...
Sur ce...
J´EMMERRRRRRRRRRRRRRRDE LES JOURNALISTES !! !!!
Trois poils du cul crasseux et sales
Servaient de cord´à son violon
On avait décoré la salle
Avec des peaux d´morpions.
Du foutre de pucelle
Brûlait dans Quinquets
Et la mèr´ maquerelle
Distribuait des tickets
Criait
Entrez ! Entrez ! Entrez !
C´est ici le bal du cul du con
Des pin´s et des roupettes
C´est ici le bal du cul du con
Des pin´s aux fesses, et des roustons.
bye:
ma poupoule
c´est un poeme tres fin que tu nous ponds là
et comme j´aime bien qu´il y est une continuité ....
voici un poeme sur ...
La jeune poule et le vieux renard
de Jean-Pierre Claris de FLORIAN recueil : Fables
Une poulette jeune et sans expérience,
En trottant, cloquetant, grattant,
Se trouva, je ne sais comment,
Fort loin du poulailler, berceau de son enfance.
Elle s´en aperçut qu´il était déjà tard.
Comme elle y retournait, voici qu´un vieux renard
A ses yeux troublés se présente.
La pauvre poulette tremblante
Recommanda son âme à Dieu.
Mais le renard, s´approchant d´elle,
Lui dit : hélas ! Mademoiselle,
Votre frayeur m´étonne peu ;
C´est la faute de mes confrères,
Gens de sac et de corde, infâmes ravisseurs,
Dont les appétits sanguinaires
Ont rempli la terre d´horreurs.
Je ne puis les changer, mais du moins je travaille
A préserver par mes conseils
L´innocente et faible volaille
Des attentats de mes pareils.
Je ne me trouve heureux qu´en me rendant utile ;
Et j´allais de ce pas jusques dans votre asile
Pour avertir vos soeurs qu´il court un mauvais bruit,
C´est qu´un certain renard méchant autant qu´habile
Doit vous attaquer cette nuit.
Je viens veiller pour vous. La crédule innocente
Vers le poulailler le conduit :
A peine est-il dans ce réduit,
Qu´il tue, étrangle, égorge, et sa griffe sanglante
Entasse les mourants sur la terre étendus,
Comme fit Diomède au quartier de Rhésus.
Il croqua tout, grandes, petites,
Coqs, poulets et chapons ; tout périt sous ses dents.
La pire espèce de méchants
Est celle des vieux hypocrites.
quelle belle fin
Il est visiblement retombé dans ses errements habituels.
Il nous avait déja posté tout le repertoire pendant une journée entière.
http://www.abbe-priape.com/chansons/bal.htm