Korn, je me vois bien expliquer tendrement à mon fils, quand il aura 9-10 ans :
"Ecoute, tu as un petit copain, il s'appelle Simon. Mais euh... tu sais, il est mort. On l'a mis dans un train à bétail pour le faire crever de faim et l'incinérer à Buchenwald..."
Sarkozy est un grand malade...
non mais sérieux, l'info du jour c'est qu'Abrasio et moi on fête nos 1000 jours
Cette histoire de parainnage + le coup du suivi des "enfants délinquants" de 3 ans, nous montre bien que Sarkozy ne connait STRICTEMENT QUE DALLE au domaine de l'éducation et de la psychologie de l'enfant.
gan ben c'est ce que je dis, cette mesure fait parler d'elle et donc nous fait oublier d'autres choses plus importantes
de plus t'as tjrs un ou 2 c** qui vont se la jouer "moralité bien pensante" et qui vont cautionner
genre "Mais on doit faire un devoir de souvenir"
Je suis allé au mémorial Yad Vashem. J'avais 18 ans à l'époque.
http://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9morial_de_Yad_Vashem
La salle des enfants m'a beaucoup marqué. J'y pense encore, 18 ans après...
Comment ne pas songer que le projet sarkozien peut plonger des enfants de cm2 dans un trouble psychologique profond? (Sentiment de culpabilité, incompréhension du phénomène de barbarie... etc.)
et après etre traumatisé , la constitution changera et on aura le droit d'avoir une arme et ensuite ...ben , columbine, chicago et littlton seront notre lot quotidien
j'ai mal a mon pays
tataye Posté le 15 février 2008 à 09:20:09 non mais sérieux, l'info du jour c'est qu'Abrasio et moi on fête nos 1000 jours
c'est un peu lopette 1000 jours quand même...
d'ac avec toi Korn , les blacks et les rebeu sont la partie visible de l'iceberg raciste en France , mais faut pas gratter beaucoup pour ressortir les vieux démons.
Sarko , n'a pour seul but que de déstabiliser ce pays dans le seul but de se l'approprier
ce sui me fait marrer, c'es tque ca ressemble plus a un projet de déculpabilisation que de souvenir
histoire se donner bonne conscience quoi
nan mais franchement vous croyait pas qu'a 10 ans on a autrechose a penser ?
Ne pas oublier les victimes du commerce de l'esclavage pour les CE1...
A Bordeaux... ville enrichie par le commerce triangulaire.
Korn, c'est avant tout du commerce électoral. C'est ça qui est flippant et gerbant.
quand va t on comprendre que les francais d'autre fois ne sont plsu ceux d'aujourd'hui?
on a rien a se reprocher
C'est un peu paradoxal non , pour un mec qui refuse le repentir dû aux peuples colonisés par le passé...
Doumix Posté le 15 février 2008 à 09:42:25 C'est un peu paradoxal non , pour un mec qui refuse le repentir dû aux peuples colonisés par le passé...
c'est pas une première pour un prersonnage politique
Certes Korn , mais là , on a affaire à un mégalomane psychopathe
bah, rien que pendant sa campagne , on le savait deja non?
moi il me rappeler vaguement un certain dictateur , avec sa verve et sa facon de se mettre tt le monde dans la poche
Doumix Posté le 15 février 2008 à 09:42:25 C'est un peu paradoxal non , pour un mec qui refuse le repentir dû aux peuples colonisés par le passé...
Tiens, je ne m'étais même pas rendu compte de cette évidence. Je vieillis.
Merci doumix.
Un satellite espion américain en perdition pourrait percuter la Terre prochainement
LEMONDE.FR avec AFP et AP Mis à jour le 15.02.08
Un satellite espion américain lancé par le National Reconnaissance Office, une des seize agences de renseignement américain, en charge des satellites espions, est sur le point de s'écraser sur Terre. Reste à savoir où et quand. La chute, prévue entre la fin de mois de février et le début du mois de mars, suscite des inquiétudes sur une possible pollution de l'atmosphère, renforcées par l'épais mystère ayant toujours entouré ce programme depuis sa conception.
Le Pentagone a confirmé, dimanche 27 janvier, qu'un satellite était en train de quitter son orbite."Le département de la défense suit actuellement la situation", a indiqué le lieutenant-colonel Karen Finn. Elle a refusé de commenter l'éventuelle présence de substances toxiques à bord, évoquée par la presse américaine. Elle n'a pas non plus confirmé le type du satellite. Les autorités américaines n'ont fourni aucune estimation sur la date projetée de l'entrée du satellite dans les hautes couches de l'atmosphère.
QUEL TYPE DE PROPULSION ?
Pour répondre aux besoins militaires, les satellites espions sont amenés à de fréquentes corrections d'orbite. Cette exigence implique de disposer de réserves d'énergie plus importantes que la plupart des autres engins qui sillonnent l'espace au-dessus de la Terre. L'hydrazine, une substance chimique hautement toxique, est le carburant de choix pour les moteurs de satellites "classiques". Cette substance irritante attaque le système nerveux central et peut être mortelle à forte dose. L'Institut national de l'environnement industriel et des risques (Ineris) note dans un rapport qu'elle se dégrade rapidement sous l'effet de la chaleur et des rayons ultra-violets.
Le nucléaire est une autre option utilisée pour la propulsion des satellites, avec des piles fonctionnant au plutonium ou à l'uranium enrichi. Cette technologie est normalement utilisée pour des sondes amenées à s'éloigner de la Terre, alors que les satellites espions sont positionnés en orbite basse, afin de capter un maximum de détails. Le recours au nucléaire permettrait d'augmenter la manœuvrabilité et de prolonger la durée de vie d'un satellite espion, ce qui ne pas un mince argument au vu du coût très élevé de ce type d'équipement.
LA TAILLE D'UN BUS
Le New York Times indique que les spécialistes estiment qu'il s'agirait d'un satellite espion fabriqué par Lockheed Martin et lancé depuis la base de Vandenberg, en décembre 2006. Après avoir atteint son orbite, les contrôleurs au sol en auraient perdu le contrôle. "Il n'est pas nécessairement mort, mais il est sourd", indique au quotidien new-yorkais Jonathan McDowell, un astronome du Harvard-Smithsonian Center for Astrophysics qui analyse les programmes spatiaux.
Pour tenter de couper court aux spéculation, le porte-parole du Conseil national de sécurité de la Maison Blanche, Gordon Johndroe, a indiqué, samedi, que les agences gouvernementales concernées surveillent la situation. "De nombreux satellites dans le passé ont quitté leur orbite et sont tombés sans dommages. Nous étudions les différentes options pour atténuer tout dommage possible que pourrait causer ce satellite.'' Ce responsable n'a pas précisé si l'une de ces options pourrait consister à envoyer un missile pour détruire le satellite. Un responsable gouvernemental a souligné que le Congrès américain et les gouvernements des autres pays étaient régulièrement tenus informés de la situation.
John E. Pike, le directeur du site Globalsecurity.org, explique au New York Times que si le satellite en question est bien un satellite espion, il est peu probable qu'il contienne des matières nucléaires. M. Pike a exclu l'hypothèse d'un tir de missile pour détruire l'engin, mettant en avant le risque que d'éventuels débris de l'appareil n'entrent dans l'atmosphère et viennent percuter la Terre. Selon lui, le satellite espion pèserait environ neuf tonnes et aurait la taille d'un petit bus. L'expert a précisé que l'appareil contenait du béryllium, un métal léger utilisé dans la construction aérospatiale, assez toxique, et pouvant déclencher d'importants troubles respiratoires.
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Il pleut des satellites
En janvier, 1978, un satellite espion russe (Cosmos 954), mû par un réacteur nucléaire, s'était écrasé dans les immensités désertiques du Grand Nord canadien. Un de ses successeurs, Cosmos 1402, s'était désintégré dans l'atmosphère en février 1983 au-dessus de l'océan Indien, mais des traces de son plutonium avaient été détectées jusque que dans la neige tombée sur l'Arkansas.
En 1979, la station spatiale Skylab, un engin de 78 tonnes abandonné par la NASA, avait quitté son orbite. Ses débris étaient tombés dans l'océan Indien et sur une région reculée de l'ouest de l'Australie, sans causer de dégâts importants.
En 2002, un satellite scientifique de plus de trois tonnes s'était désintégré en pénétrant dans l'atmosphère terrestre, et ses débris étaient tombés sur le golfe Arabo-Persique, à plusieurs milliers de kilomètres de la zone anticipée de leur chute.
(avec AFP et AP)
A votre avis, pourquoi le Pentagone se donne tant de mal pour détruire ce "petit" satellite?
Miko ne paye plus les non-grévistes
T. D.
14/02/2008 | Mise à jour : 06:58 |
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Après un mois de grève, la direction suspend les salaires de 295 employés.
Le conflit social qui oppose la direction de l'usine de crème glacée MIKO et les syndicats a pris une nouvelle tournure. La direction de l'usine située à Saint-Dizier en Haute-Marne a décidé mardi de ne plus verser les salaires des employés de production, dont une partie seulement est en grève depuis un mois. «Nous n'avons plus d'autre issue. Les lignes de production sont bloquées depuis un mois. Nous ne pouvons plus fournir de travail. L'entreprise a perdu 1 million d'euros depuis le début de la grève», justifie la direction.
«Atteinte au droit de grève»
Les syndicats avaient été avertis lors d'un comité d'entreprise vendredi qu'une telle décision serait prise si la production ne reprenait pas mardi. Depuis deux jours, l'ensemble des employés de production, qui représentent 60% des 493 salariés du site, sont donc privés de paie, alors qu'une partie participe au blocage. Les syndicats n'ont pas tardé à réagir dénonçant «une atteinte au droit de grève». «Ne plus payer les non-grévistes revient à les dresser contre les grévistes», souligne un syndicaliste.
La direction précise qu'elle a organisé pas moins de 15 réunions avec les représentants du personnel. «Des avancées avaient été obtenues et notamment le fait qu'en plus des indemnités de départ, nous nous sommes engagés sur une proposition minimale de deux offres d'emploi par salariés dans la région de Saint-Dizier», souligne la direction de l'entreprise.
Cette usine, propriété du groupe anglo-néerlandais Unilever, doit faire l'objet d'un plan social affectant 250 salariés, soit environ 50% des effectifs de l'usine. Trois des huit lignes de production seront fermées pour augmenter la productivité du site par ailleurs bénéficiaire. «Ces bénéfices sont fragiles. En 2007, l'usine a dégagé 2,2 millions d'euros de résultats auxquels il faut soustraire 1,8 million d'investissement», souligne la direction de l'usine.
Tout devient possible.
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Je suis partout et nulle part à la fois.
Jean-François d'André, délégué syndical central CFDT pour L'Oréal SA
"Nous n'en pouvons plus d'être des laissés-pour-compte de la progression des bénéfices de L'Oréal"
LEMONDE.FR | 18.02.08
Les salariés de L'Oréal sont en grève, lundi 18 février, pour la première fois depuis leur mobilisation contre la loi sur les 35 heures en 2000. Quelles sont vos revendications ?
Jean-François d'André : L'ensemble des syndicats présents chez L'Oréal groupe et L'Oréal SA souhaite un rattrapage du pouvoir d'achat pour la totalité des salariés. Parallèlement, nous souhaitons l'ouverture de véritables négociations pour une augmentation de 9 % des salaires représentant un rattrapage de la fin des augmentations générales décidée en 2003 par la direction générale. Depuis, toute la politique salariale est basée sur les rémunérations individuelles et nous obtenons des fins de non-recevoir à chaque demande d'augmentation générale visant à maintenir le pouvoir d'achat des salariés. La grève du 18 février précède la journée de négociation annuelle obligatoire sur les salaires qui doit avoir lieu le 19 février, qui ne donne lieu à aucune négocation réelle depuis 2003.
Votre direction met en avant 20,7 % d'augmentation de la rémunération globale en cinq ans et se dit fière de sa "politique sociale avantageuse". Qu'en dites-vous ?
Ceci nous laisse pantois. Nous contestons le chiffre avancé par le groupe d'une augmentation moyenne des salaires de 4,6 % en 2007. Les employés n'auraient jamais débrayé s'ils avaient réellement constaté une augmentation moyenne de 4,6 % de leur salaire. Sur notre site de production (Aulnay-la-Barbière), les augmentations sont en moyenne de 2 %.
Est-ce-que ce débrayage est à lier au contexte de grogne générale concernant le pouvoir d'achat ?
C'est indissociable, mais c'est également une réalité "l'oréalienne". Les salariés ont vu leurs conditions de travail se dégrader durant les trois dernières années : à Aulnay-la-Barbière, la productivité industrielle s'est accrue de 22 %, alors que les effectifs ont chuté. Nous étions 425 en 2003 et nous sommes 350 actuellement, pour un volume de production plus important. La modification de l'organisation du travail par la direction est mal vécue par les salariés. La souffrance au travail s'est accrue notamment du fait de l'installation de nouvelles lignes de production plus rapides et plus productives qui augmentent les troubles musculo-squelettiques. Le stress, induit par la pression à la productivité de la direction, s'est associé au sentiment d'être laissés pour compte. Nous n'en pouvons plus d'être des laissés-pour-compte de la progression des bénéfices de notre société, dont nous sommes pourtant fiers.
Propos recueillis par Marion Wagner