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Pseudo supprimé
Niveau 10
09 janvier 2008 à 09:38:24

les conditions de fond, Ganda, les conditions DE FOND !

abannir abannir
MP
Niveau 10
09 janvier 2008 à 09:41:17

´toute manière, il va pas aller vivre à l´étranger, le sarko, donc c´est à sa mairie

de plus, que lui dise que c´est sérieux avec carla, c´est une chose... mais j´attends que ELLE le dise

Pseudo supprimé
Niveau 10
09 janvier 2008 à 09:42:51

Ca n´a rien à voir, tu peux te marier à l´étranger si le coeur te chante, Aba... et continuer à vivre en France. J´ai lu qu´au Sénégal le mariage peut être célébré sans ban entre français.

"Bien que n’étant pas conformes à la réglementation française, les mariages célébrés sans publication de bans peuvent être transcrits sur les registres français."

Pseudo supprimé
Niveau 10
09 janvier 2008 à 09:44:09

En tout cas, en Belgique, cela ne pose pas de problème, je connais des gens qui se sont mariés à l´étranger sur un coup de tête et ont ensuite officialisé après coup auprès des autorités belges à leur retour !

xenaphia xenaphia
MP
Niveau 10
09 janvier 2008 à 10:13:30

oui enfin ce que j´en dis moi c´est ce que j´ai entendu au journal il y a quelques semaines de ça :o))

quant au fait qu´il se marie ou pas qu´est ce que j´en ai à faire franchement
ça ne me regarde en rien c´est sa vie privée et ça ne concerne que lui et sa dulcinée
mais évidemment la presse aime bien ce genre de truc ça peut faire des scoops et des audimats et j´en passe :sarcastic:
et puis comme ça pendant que les journalistes "objectifs" braquent les caméras sur ses histoires de couple et de pseudo mariage tout le reste passe comme une fleur parce que personne n´est au courant comme :cool:
très pratique quand même ^^

Ganryu Ganryu
MP
Niveau 17
09 janvier 2008 à 13:17:48

Sauf que... Sarko ne peut pas célébrer son mariage au mois de février...

Pourquoi? 10 points.

Ganryu Ganryu
MP
Niveau 17
09 janvier 2008 à 13:21:57

Au temps pour moi, je pensais au délai de "viduité"...

...mais comme le Droit français est avant tout phallocrate, je me suis avancé un peu vite. ^^

Ganryu Ganryu
MP
Niveau 17
09 janvier 2008 à 16:25:03

"Je souhaite que le cahier des charges de la télévision publique soit revu, profondément, et que l´on réfléchisse à la suppression totale de la publicité sur les chaînes publiques", a déclaré Nicolas Sarkozy, mardi 8 janvier, lors de sa conférence de presse. Même si l´on n´en connaît ni le calendrier ni les détails, l´annonce a fait l´effet d´une bombe. Elle a surpris tout le monde, de Matignon aux marchés financiers en passant par les chaînes...

A la fermeture des marchés financiers, le cours de TF1 - contrôlée par le groupe présidé par Martin Bouygues, proche de M. Sarkozy - avait grimpé de 9,94 %, et celui de M6 de 4,49 %. L´effet d´aubaine de cette éventuelle réforme pour les deux chaînes privées n´a échappé à personne. Elles récupéreraient, dans ce cas, une bonne part des recettes publicitaires engrangées par France Télévisions - 760 millions d´euros en 2007.

Le Monde.fr, ce jour.

Pseudo supprimé
Niveau 10
10 janvier 2008 à 14:26:08

La vision de G. W. Bush de la situation au Moyen-Orient
http://www.lesoir.be/mediastore/_2008/janvier/du_1_au_10/_10_kroll.jpg

:o))

abannir abannir
MP
Niveau 10
15 janvier 2008 à 09:46:02

Sarkozy et Bruni se seraient épousés à l’Elysée

QUOTIDIEN : mardi 15 janvier 2008

"
Avec Carla Bruni, «c’est du sérieux», avait concédé mardi, lors de sa conférence de presse, un Nicolas Sarkozy peu loquace sur l’avenir de sa relation avec l’ex-mannequin italien: «S’il y a mariage […], il y a de fortes chances que vous l’appreniez quand ce sera déjà fait !» avait même parié le divorcé de fraîche date. Hier, le site Internet de l’Est Républicain assurait que Sarkozy et Bruni «se seraient mariés». Au conditionnel donc. Les noces auraient été célébrées jeudi soir à l’Elysée dans l’intimité, «selon une source proche d’un témoin ayant assisté à leur union», expliquait le site. L’Elysée n’a fait hier «aucun commentaire». Sarkozy, en déplacement au Qatar, s’est laconiquement «interrogé sur le serieux de la presse»… La mère de Carla Bruni a affirmé ne pas être au courant: «Je ne sais rien, je viens juste de voir Carla et elle ne m’a parlé de rien. C’est possible, tout est possible.» Le jour de la conférence de presse, toutes les rédactions avaient bruissé d’une rumeur de célébration à la mairie du XVIe. S’il a eu lieu, ce mariage express - les amants se fréquentent depuis moins de deux mois - devrait faciliter la vie des fonctionnaires du ministère indien chargés d’organiser la visite officielle du Président le 24 janvier. Car, ont-ils fait valoir auprès de l’Elysée, au pays des Maharadjahs, «une petite amie n’est pas considérée comme la femme ou l’épouse d’un chef d’Etat et donc ne peut recevoir les mêmes égards».
"

encore une fois, les journaux étrangers ne mettent pas de conditionnel quand les français sont (soit disant) réservés

Pseudo supprimé
Niveau 10
15 janvier 2008 à 12:26:29

La Fédération internationale d´athlétisme (IAAF) a dévoilé le 14 janvier 2008 les conclusions d´un rapport commandé au professeur allemand Peter Brüggemann, de l´Université du Sport à Cologne. Selon ce rapport, les fines prothèses en fibre de carbone utilisées par Pistorius procurent au Sud-Africain un avantage sur les athlètes valides.

Le conseil de l´IAAF a décidé que Pistorius ne devait pas être autorisé à courir aux Jeux de Pékin ni dans les autres compétitions organisées par la Fédération internationale.

http://www.nellicoomangames.nl/abc/data/0Oscar%20Pistorius.jpg

Ganryu Ganryu
MP
Niveau 17
15 janvier 2008 à 12:56:14

C´est stupide. Lors des 10 ans de JV, on m´a pourtant autorisé à participer au tournois PES. :(

(Merci à Nayru d´ailleurs pour la PS3. ^^)

Ganryu Ganryu
MP
Niveau 17
15 janvier 2008 à 13:09:47

Pour bien comprendre les enjeux du "global change"...

Marc Bied-Charreton, géographe
Demain, combien de terres stériles ?

LE MONDE | 12.01.08

Le Monde > Agroéconomiste et géographe, vous êtes président du Comité scientifique français sur la désertification (CSFD). Ce processus gagne du terrain à un rythme alarmant. Si rien ne vient l´enrayer, quel pourcentage des terres émergées sera touché dans vingt ans ?

MB > Les Nations unies estiment qu´un tiers des terres émergées est menacé. Aujourd´hui, 500 à 600 millions de personnes en subissent les conséquences. Ils seront deux à trois milliards à l´avenir, si rien ne change.

Le Monde > Sur quelles tendances s´appuient ces prévisions ?

MB > La menace vient à la fois de l´augmentation de la population mondiale - nous allons passer de six à huit milliards d´individus -, de l´absence d´adaptation des systèmes d´agriculture et d´élevage, et des risques liés aux changements climatiques. Selon les prévisions du Groupe intergouvernemental d´experts pour le climat (GIEC), notre siècle sera marqué par des épisodes climatiques extrêmes. Les sécheresses seront plus fréquentes et plus longues.

Le Monde > A quoi ressembleront les zones touchées par la désertification ?

MB > Il faut préciser d´emblée que la désertification, ce n´est pas une progression naturelle des déserts. C´est un phénomène qui se produit souvent - mais pas toujours - sur les marges des déserts, ce qui fait que l´on dit improprement que le désert "avance".

On considère qu´une terre est désertifiée quand il ne reste que 10 % ou 15 % de végétation sur le sol. Il n´y a plus d´arbres ni d´arbustes. Il reste environ une touffe d´herbe par mètre carré. Le reste, c´est du sable et des cailloux.
En fait, la désertification consiste en une perte progressive de la fertilité des sols. Ses causes sont à la fois naturelles et humaines. Le manque d´eau entraîne une baisse de la productivité des terres. Mais les activités humaines ont une grande part de responsabilité dans le phénomène, car les pratiques agricoles et d´élevage trop intensives ou inadaptées épuisent également les sols.

Le Monde > Quelles régions du monde sont menacées ?

MB > Une centaine de pays sont concernés, sur tous les continents. L´Afrique l´est au premier chef. Le continent asiatique également. Toutes les franges du désert australien subissent elles aussi un déficit en eau depuis quelques années.

Le continent américain et l´Europe ne sont pas épargnés : le phénomène menace un bon tiers de l´Espagne, Chypre, une partie de la Sardaigne, de la Sicile, et de la Grèce.

Le Monde > Quelles seront les conséquences sur l´environnement ?

MB > Quand la végétation disparaît, le sol perd sa capacité de rétention de l´eau. Le ruissellement emporte la terre. Il n´y a plus de graines dans les sols. Toute vie disparaît. La résilience de l´écosystème, c´est-à-dire sa capacité à revenir à l´état initial, ne cesse de diminuer. C´est un cercle vicieux.

Les conséquences seront également planétaires. Une forte désertification aboutira à la mise en suspension dans l´atmosphère de millions de tonnes d´aérosols. Les dépôts de terre entraînés par l´érosion envahiront les égouts des villes et perturberont le régime de crue des fleuves. Le phénomène aggravera aussi le réchauffement climatique, car la capacité de stockage du carbone atmosphérique diminuera.

Le Monde > Quel sera le sort des populations qui vivent sur ces terres ?

MB > Quand la fertilité des sols et leur capacité à retenir l´eau diminuent, les rendements agricoles baissent. Donc la ration alimentaire quotidienne baisse et le revenu baisse, qu´il provienne des surplus de l´agriculture vivrière ou de la culture de plantes commerciales. On observe dès aujourd´hui une chute des rendements en sorgho et en coton.

Pour compenser cette tendance, les paysans augmentent les superficies cultivées. Ils résolvent leur problème pour une année, mais ils réintroduisent le cycle de la désertification sur de nouvelles terres. Quand les déplacements locaux ne suffisent plus à faire vivre les familles, on envoie des gens vers les villes pour trouver du travail et envoyer de l´argent. Les bidonvilles gonflent.

Le Monde > La désertification peut-elle aboutir à des mouvements migratoires ?

MB > Ils ont déjà commencé, notamment de l´Afrique subsaharienne vers le Maghreb et l´Europe. Cela conduit à des drames, et ce n´est pas une solution d´avenir. La solution, c´est que les villageois se développent dans leur village. Si l´on suit la tendance dessinée par le dernier rapport du GIEC, et si les techniques agricoles ne changent pas, on risque d´aboutir à des crises sociales terribles. Il y aura des bagarres pour la terre et des bagarres pour l´eau au sein de pays et entre pays. En désespoir de cause, les gens bougeront beaucoup plus.

Le Monde > La progression de ce processus est-elle inéluctable ?

MB > Non. Il faut améliorer la gestion de l´eau et les techniques agricoles. C´est simple et assez peu coûteux. On peut empêcher l´eau de partir, grâce à de petits murets de pierre, à des diguettes, à de petites retenues. Il faut aménager les pentes pour stopper l´érosion, faire des trous dans lesquels on met du compost et où l´on plante un arbre, tous les 3 ou 5 mètres.

Le Monde > C´est aussi simple que cela ?

MB > Même avec peu d´eau, quand la végétation commence à recoloniser le sol, on stoppe la spirale négative. Au bout de trois ou quatre ans, le sol est enrichi en matière organique, et on peut envisager de réimplanter une agriculture. Il n´y a pas besoin de grands aménagements. Il faut juste un peu d´engrais. Avec de bonnes pratiques, les rendements peuvent doubler ou tripler. Cela a déjà été fait sur des milliers d´hectares, c´est reproductible.

Le Monde > Quel pourrait être l´apport des plantes génétiquement modifiées ?

MB > Je ne suis pas contre a priori, mais ce n´est pas un remède miracle. La génétique traditionnelle progresse dans la sélection de semences adaptées au manque d´eau. De toute façon, les paysans de ces zones ne sont pas solvables. Mieux vaut améliorer les variétés locales, et garder la technique traditionnelle, qui consiste à prélever 15 % de sa récolte comme semences pour l´année suivante.

Le Monde > Pourquoi les techniques élémentaires que vous décrivez ne progressent-elles pas ?

MB > Il faut investir de 300 à 400 dollars par hectare et par an, pendant trois ou quatre ans. Les paysans n´ont pas cet argent. Ensuite, toute la difficulté vient du différé du retour sur l´investissement. Pendant les quelques années consacrées à la restauration des sols, il faudrait donner à manger aux gens, et même les payer. Ce message est très difficile à faire passer. Les gouvernements des pays concernés ont d´autres priorités. Les masses rurales sont ignorées, c´est la peur de l´émeute urbaine qui domine.

Le Monde > La communauté internationale agit-elle ?

MB > L´aide publique au développement va en priorité aux infrastructures et à la santé. C´est plus visible. En plus, l´aide internationale va plutôt aux grands projets, alors que ce type de programme demande d´allouer de petits montants. Il s´agit pourtant de restaurer un bien public mondial. C´est assez désespérant, on dirait que personne ne se rend compte de la gravité de la menace.

Il faut faire comprendre que la protection de l´environnement, ce n´est pas seulement la limitation des gaz à effet de serre, ou la protection de la biodiversité, mais aussi une agriculture, une foresterie et un élevage plus productifs et aussi protecteurs de l´environnement.

Propos recueillis par Gaëlle Dupont
Article paru dans l´édition du 13.01.08.

Ganryu Ganryu
MP
Niveau 17
18 janvier 2008 à 15:19:33

Des malades arrêtent de se soigner pour dénoncer les franchises

LE MONDE | 18.01.08

Il a choisi ce mode radical d'action car, "à notre époque, il faut faire des choses un peu provocantes si on veut se faire entendre". Bruno-Pascal Chevalier, 45 ans, travailleur social et malade du sida, a entamé "une grève des soins" pour protester contre l'instauration des franchises médicales et l'augmentation des déremboursements de médicaments.

Affirmant agir au nom de "toutes les personnes exclues du système de santé", M. Chevalier ne prend plus son traitement depuis fin septembre 2007 mais n'a rendu publique son action qu'après l'entrée en vigueur des franchises, le 1er janvier. Jeudi 17 janvier, l'Association française des diabétiques a fait savoir qu'un patient traité à l'insuline avait lui aussi cessé son traitement, mettant dorénavant "sa vie en jeu". Un insuffisant rénal a fait part de la même initiative.

Depuis le début de l'année, les assurés sociaux ne sont plus remboursés de 50 centimes d'euros par boîte de médicament et acte paramédical, et de 2 euros par transport sanitaire, dans la limite d'un plafond de 50 euros par an. Ces franchises, qui s'appliquent notamment aux malades en affection longue durée (ALD), s'ajoutent au forfait d'1euro sur le remboursement des consultations médicales, instauré en 2004, et aux 18 euros sur les interventions hospitalières dépassant 91 euros.

Un "collectif national contre les franchises médicales et pour l'accès aux soins pour tous", a été mis en place à l'automne 2007, réunissant partis de gauche et associations de patients, et soutenant une pétition de plus de 86 000 signatures. C'est "pour aller plus loin" que l'action symbolique du collectif, qui lui a apporté son soutien, que M. Chevalier, responsable du centre communal d'action sociale de Morsang-sur-Orge (Essonne), ancien militant d'Act-Up et d'Aides, a décidé d'entamer sa grève de soins. Affirmant "être fatigué, mais pas à l'article de la mort", il dissuade les personnes qui le contactent sur son blog (www.grevedesoins.fr) de l'imiter.

Le 3 janvier, il écrivait à Nicolas Sarkozy, pour demander "l'abrogation de cette loi injuste". "Avec la franchise médicale, chacun de nous se sent responsable voire coupable d'être malade, et, par cette faute, nous allons devoir payer pour l'accès à ce droit fondamental qu'est celui de la santé", écrivait-il.

Dans sa réponse, datée du 14 janvier, le chef de l'Etat justifie les franchises, en affirmant que, "lorsque la situation de l'assurance-maladie est dégradée, les nouveaux besoins en matière de santé supposent de nouveaux financements". Rappelant que les franchises devraient permettre de mieux prendre en charge les malades d'Alzheimer, du cancer ou en soins palliatifs, il affirme qu'elle ne prive nullement de soins "les plus vulnérables", puisque les bénéficiaires de la couverture maladie universelle, les enfants et les femmes enceintes en sont exonérés, "soit 15 millions de personnes".

M. Sarkozy estime par ailleurs que le plafonnement des franchises, équivalent à 4 euros par mois, "est une somme modique". "Toutes les objections faites à ce dispositif me semblent occulter cette réalité", écrit-il.

Au passage, le président de la République énonce une contre-vérité. Il affirme que "les franchises sont assurables par les organismes complémentaires dans le cadre des contrats responsables, ce qui offre un niveau de protection supplémentaire". Or la loi 2008 de finances de la Sécurité sociale exclut le remboursement des franchises dans le cadre des "contrats responsables", qui représentent la quasi-totalité de l'offre des mutuelles et des complémentaires santé.

Le principe de ces contrats, instaurés en 2004, est de ne pas rembourser les forfaits et franchises, afin de responsabiliser les patients dans leur consommation de soins, tout en n'augmentant pas le coût des cotisations. Selon la Mutualité française, si elles devaient être prises en charge par les complémentaires santé, les franchises impliqueraient une hausse de 15 % à 20 % des contrats.

Cécile Prieur

xenaphia xenaphia
MP
Niveau 10
19 janvier 2008 à 11:18:50

La réforme du contrat de travail, un tournant dans le dialogue social ?
Ilana Moryoussef - samedi 19 janvier 2008, 07:02

Après cinq mois de négociations patronat et syndicats viennent de se mettre d’accord sur un nouveau contrat de travail, un pas vers la « flexisécurité » à la française. Objectif : moins de procédures, plus d’emplois, plus de sécurité. Autre chantier, l’avenir des 35H : quels aménagements possibles, peuvent-ils contribuer à la hausse du pouvoir d’achat, comment augmenter le recours aux heures supplémentaires ?

Pour en parler ce dimanche sur France 3, Ilana Moryoussef pour France Info, Christine Ockrent et Jean-Michel Blier pour France 3 ont invité :

Xavier Bertrand, Ministre du travail, des relations sociales et de la solidarité

Cathy Kopp , négociatrice du MEDEF , DGRH groupe ACCOR

Maryse Dumas, Secrétaire confédérale de la CGT

Michel Godet, Economiste Professeur de prospective industrielle au Conservatoire national des arts et métiers.

Marcel Grignard Négociateur CFDT

Inès Minin , Présidente de la JOC (Jeunesse ouvrière chrétienne) (Dans le public )

Source : France Info

xenaphia xenaphia
MP
Niveau 10
19 janvier 2008 à 11:19:49

L'accord sur le contrat de travail avalisé par quatre syndicats
Par Jean-Baptiste Vey - le 17.01.08 à 18h25

PARIS (Reuters) - Avalisé par quatre syndicats représentatifs sur cinq, l'accord sur le contrat de travail et la sécurisation des parcours professionnels doit désormais être transcrit dans une loi que les responsables syndicaux souhaitent fidèle au texte négocié avec le patronat.

Après Force ouvrière, la CFTC et la CFE-CGC, la CFDT a annoncé jeudi qu'elle signerait le texte qui instaure notamment un nouveau mode de rupture des contrats et la conservation de certains droits pour un salarié perdant son emploi.

La délégation CGT a annoncé de son côté qu'elle recommanderait à ses instances de ne pas signer le texte qu'elle juge déséquilibré au détriment des salariés.

Les quatre syndicats doivent signer l'accord lundi ou mardi prochain puis rencontrer le ministre du Travail, Xavier Bertrand, dans le courant de la semaine pour discuter de la transcription du texte dans la loi.

"On souhaite qu'il respecte à la lettre les engagements qu'on vient de signer", a dit à la presse François Chérèque, secrétaire général de la CFDT.

"L'esprit de la loi sur le dialogue social engage totalement le gouvernement et le parlement de reprendre dans la loi les éléments d'un accord majoritaire tel qu'il est signé", a-t-il ajouté.

Jean-Claude Mailly, secrétaire général de Force ouvrière, a averti qu'il serait "très attentif à la manière dont sera transposé" l'accord.

Xavier Bertrand a donné des gages aux syndicats en déclarant mercredi que "si les partenaires sociaux ont trouvé un accord et si on les respecte et qu'on leur fait confiance, cet accord bien évidemment on ne le casse pas et on ne le change pas".

Le président Nicolas Sarkozy a salué jeudi un accord "équilibré".

"Le projet de loi que j'ai demandé au gouvernement d'élaborer reprendra le contenu de l'accord", a-t-il ajouté, souhaitant "son adoption aussi rapidement que possible".

Le texte doit être présenté au Parlement après les élections municipales de mars et voté avant l'été.

Alors que le gouvernement menaçait de légiférer si les partenaires sociaux ne parvenaient pas à finaliser un texte, la signature annoncée représente une victoire politique pour les syndicats.

"On a fait la démonstration aux politiques, au gouvernement, que lorsque les partenaires sociaux font ensemble un bon diagnostic sur une situation problématique, on arrive en commun à trouver des solutions positives pour les salariés et pour les entreprises", a dit François Chérèque.

Source : Le Monde

xenaphia xenaphia
MP
Niveau 10
19 janvier 2008 à 11:21:00

Nouveau code du travail : Une refonte qui fait couler de l'encre...

Le Nouveau Code du Travail devait être publié en mars dernier. Or les amendements proposés n'ont cessé de retarder les débats.

Le Sénat a adopté en première lecture le projet de loi de refonte du code du travail.
L'Assemblée Nationale, devait, elle, examiner le texte mercredi 5 décembre. Or le quorum n'ayant pas été atteint (présence d'au moins 50% des députés), la suite des débats ne s'en trouve pas moins reportée à la semaine prochaine!

Verrons nous enfin l'aboutissement des travaux ?

Pourquoi une refonte du code du travail ?

Le but premier de cette réforme est de clarifier le code du travail, et le rendre plus accessible.

Par ailleurs, une nouvelle numérotation à 4 chiffres permettra d'insérer plus facilement des articles supplémentaires.
Les règles de droit du travail doivent-elles être modifiées ?

NON, le nouveau code du travail, ne doit pas apporter de modification aux règles de droit en la matière.

La recodification s'opère en droit constant. Cela signifie que les recodificateurs ne sont pas autorisés à modifier les règles de droit, ni à créer de droits ou obligations supplémentaires que ce soit à l'égard de l'employeur, qu'à l'égard du salarié. Ils ne sont pas non plus autorisés à modifier le sens des textes, ni d'intégrer ou de modifier de la jurisprudence.
Ce qui doit changer :

* Suppression des renvois inutiles (exemple : les règles en matière de licenciement économique ne devraient désormais être contenues que dans un seul livre, et non plus dans 3 livres différents).
* Rectification de mots obsolètes : on parle aujourd'hui de « préavis » et non plus de « délai-congé »
* Suppression du code du travail de certaines règles relatives au droit rural, ou maritime par exemple. (les règles existent toujours mais seront transférées dans les codes respectifs)

Entre polémiques et scepticisme

Certains syndicats dénoncent une modification du fond du droit aux dépens des salariés, un éclatement du code qui conduirait à affaiblir, voire supprimer certains droits de salariés, et une déclassification de certains articles qui passent de la partie législative du code à la partie réglementaire.

Quant à la Présidente du Medef, Laurence Parisot, elle reste sceptique quant au résultat de ce projet : « Je ne suis pas sûre que cette réforme soit réussie » a -t-elle déclaré.

Nous attendons avec impatience le texte final...

Par Anne-Laure MICHAUD, Juriste d'Audivox Editions

Source : infotravail.com

Pseudo supprimé
Niveau 10
19 janvier 2008 à 11:21:43

Euh tu floodes, Lydie ? :rire:

xenaphia xenaphia
MP
Niveau 10
19 janvier 2008 à 11:39:23

non :gni:
j'ai pas voulu tout mettre dans le même déjà parce que c'est pas la même chose fondamentalement même si ça concerne la réforme du contrat de travail :nah:

xenaphia xenaphia
MP
Niveau 10
19 janvier 2008 à 11:40:55

euh y a un "déjà" en trop dans ma phrase et il manque poste au début :hum:
pas bien réveillée moi :honte:

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