Mise à jour : lundi 11 octobre 2010 13h43

Wavre : il tue son père qui souffrait d'Alzheimer

Source: L'Avenir
D. Vel

WAVRE - Au cours de la nuit de dimanche à lundi, un Wavrien de 33 ans a avoué avoir étranglé son père, ne supportant plus la maladie d'Alzheimer dont il souffrait.

C'est dimanche, dans le courant de l'après-midi que la police a été alertée. Un homme de 63 ans gisait dans son lit. La victime portait juste un petit coup à la lèvre mais les policiers ont trouvé ce décès suspect.

Le fils de la victime vivait avec lui et c'est lui qui a alerté les secours. Lors de son audition, les policiers ont néanmoins eu le sentiment qu'il cachait des choses, notamment dans son emploi du temps.

Le Wavrien a fini par avouer son crime: son père souffrait d'un Alzheimer profond et refusait d'être placé dans une maison spécialisée. Son fils n'en pouvait plus et lors d'une nouvelle scène, ce week-end, il l'a étouffé avec des coussins.

Source article : Lavenir.net
Lien -_> http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=DMF20101011_036&utm_source=actu24&utm_medium=newsletter&utm_campaign=flash&utm_content=general-news#top

Année record pour les bonus à Wall Street

144 milliards de dollars (104 milliards d'euros) seront distribués en 2010 aux employés des banques et institutions financières.

Ooh purée! Un jour ça va péter! re-péter! Bref le prolo est divisé et il se fait bien en***** par tous ces spéculateurs encore boutonneux mine de rien.

Mise à jour : mercredi 13 octobre 2010 10h19

"Livreur, j’étais payé un euro brut de l’heure"

-_> http://www.lavenir.net/Assets/Images_Upload/Actu24/2010/10/13/Bernard_claes.jpg.h380.jpg.568.jpg
EDA

NAMUR - Un Namurois attaque une grosse firme pharmaceutique devant le tribunal du travail. Il dit avoir été victime d’un «traquenard social ».

La somme réclamée (4 500€) n’a pas grand-chose à voir avec les montants astronomiques brassés par les firmes pharmaceutiques. Mais peu importe, ce Namurois en fait une question de principe.

«Je lance cette action avant tout pour dénoncer un système », rappelle Bernard Claes, avant d’entrer dans la salle d’audience du tribunal du Travail de Namur.

Ce système, c’est celui qu’il a connu une dizaine de jours, en octobre 2008, alors qu’il travaillait comme livreur pour la firme pharmaceutique Alpha Répartition, dont le siège administratif est basé à Rhisnes.

«C’est une connaissance qui m’a signalé qu’il y avait un emploi vacant à Strepy. C’est lui qui m’a présenté sur place à un contremaître. J’ai commencé à travailler et on m’a dit que mon contrat suivrait », argumente-t-il, sans avocat, devant le tribunal du travail.

Son job : effectuer des tournées de livraisons de médicaments.

Surtout dans la région bruxelloise. «On devait fonctionner avec notre propre véhicule. Le tarif proposé : 0.36€ du kilomètre. Je pensais que c’était un remboursement de frais. En fait, c’était le salaire…»

Le livreur dit avoir rapidement fait ses comptes. «Une fois les frais déduits, cela représentait 13€ brut de l’heure…» Avec des journées qui démarraient à 6 heures du matin pour terminer à 19 heures, assure le plaignant. Le compte est rapidement fait : 13€ brut pour 13 heures de travail.

Voilà donc un salaire horaire d’un euro brut. Pas très gras, tout ça.

« Il y a plusieurs catégories de chauffeurs chez Alpha », continue Bernard Claes. « Les salariés, les sociétés de transport et les indépendants qui travaillent en personne physique. Moi, j’ajoute une quatrième catégorie : les STS pour les Sous-Traitants Serviles », plaisante celui qui n’est resté que dix jours dans cette société. «Je touchais 38€ par jour au chômage. Et j’aurais donc laissé tomber tout pour 13€ brut… Non, je suis vraiment tombé dans un traquenard social. »

Bernard Claes avait également dénoncé à l’époque la légèreté avec laquelle étaient traités des médicaments pourtant très sensibles.

« J’aurais pu fournir bien des coureurs cyclistes », insiste encore le Namurois. «J’aurais pu vous trouver tout ce que vous voulez et le fournir au meilleur prix…» Et le président du tribunal de lâcher, non sans humour : «Ce que vous avancez, c’est stupéfiant !»

Le débat n’est pas clos. Il reprendra le 13 décembre devant la même juridiction.

Source article : Lavenir.net
Lien -_> http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=DMF20101013_017&utm_source=lavenir&utm_medium=newsletter&utm_campaign=daily&utm_content=local-news

Gran Turismo 5 repoussé (encore)

C'est le Playstation Blog US qui l'annonce : attendu pour le 2 novembre aux États-Unis (le 3 en France), le jeu de simulation de courses est finalement repoussé à une date ultérieure, pour l'instant inconnue. On en sait à peine plus avec un vague "période des fêtes", sans doute pour signifier que Gran Turismo 5 sortira tout de même bien cette année, au cas-où vous finiriez par en douter... aucune explication n'a été avancée pour justifier ce retard, à part quelques phrases bateau du producteur du jeu du style :

«Nous voulons être sûr de créer une expérience parfaite pour le joueur, et avoir toute confiance en un jeu ambitieux qui surpassera toutes les attentes à sa sortie.»

Le gag vidéoludique le plus éculé depuis la non sortie de Duke Nukem Forever...

Simon MacCorkindale, le héros de «Manimal» est mort

http://www.20minutes.fr/article/609559/people-simon-maccorkindale-heros-manimal-mort

Carburant : Hortefeux active la cellule interministérielle de crise
Selon les informations du "Monde", Brice Hortefeux a activé le centre de coordination interministérielle de crise. Installé au ministère de l'intérieur, il est chargé de collecter et de centraliser, 24 heures sur 24, l'ensemble des informations concernant les problèmes d'approvisionnement de carburant liés au conflit des retraites.

15.10.10 - 08:45

-_> http://www.rtbf.be/info/sites/rtbf-info/files/imagecache/DetailImage/node_images/bruno_de_wever.jpg

Le professeur Bruno De Wever, frère de Bart, président de la N-VA, suggère qu'il y a peut être un avenir pour l'utilisation de l'anglais dans la politique fédérale, lit-on vendredi dans De Standaard et Het Nieuwsblad.

"On peut se demander si l'anglais ne jouera pas un rôle de 'lingua franca' à l'avenir en Belgique au niveau fédéral", explique l'historien gantois. Dans une publication du groupe de pensée "Rethinking Belgium", qui réfléchit à l'avenir du pays, Bruno De Wever veut aller à l'encontre de la conviction croissante en Flandre que la Belgique cessera d'exister un jour.

"Cela pourrait être différent si nous ouvrons la possibilité à une langue commune. Aujourd'hui, il n'y ni médias ni partis communs", ajoute-t-il.

"Mais, l'anglais comme langue vernaculaire ne s'imposera pas d'ici les dix prochaines années, une telle évolution durera longtemps".

Belga
Crédit photo : Belga - Bruno De Wever

Source article : RTBF.be

15.10.10 - 09:26

-_> http://www.rtbf.be/info/sites/rtbf-info/files/imagecache/DetailImage/node_images/photo_1287122293214-1-0.jpg

L'inquiétude montait jeudi dans l'industrie californienne du cinéma pornographique, après la découverte de la séropositivité d'un acteur, qui a poussé au moins quatre sociétés de production à suspendre leur tournages.

Hustler Video et Digital Playground ont annoncé jeudi avoir suspendu leurs tournages, au lendemain d'une annonce similaire de deux géants du secteur, Vivid Entertainment et Wicked Pictures, basées dans la vallée de San Fernando, à deux pas des studios hollywoodiens, dans la banlieue nord de Los Angeles.

La décision a été prise après qu'un acteur eut été testé séropositif à la clinique Adult Industry Medical Healthcare Foundation (AIM), dédiée au suivi médical des acteurs de l'industrie pornographique.

"Nous avons suspendu tous les tournages dans l'attente de savoir avec qui cet acteur a été en contact", a déclaré à l'AFP Samantha Lewis, la directrice de Digital Playground. "D'autres compagnies vont sans doute nous emboîter le pas", a-t-elle auguré.

Elle a précisé que l'acteur contaminé n'avait travaillé sur aucun film de Digital Playground, et a estimé qu'il était improbable qu'il ait été contaminé sur un plateau, où les dépistages sont effectués régulièrement.

"On nous dit que cela n'aurait rien à voir avec son activité dans l'industrie. Espérons que cela soit vrai et que nous n'ayons pas à nous inquiéter davantage", a-t-elle ajouté.

Les associations (re)montent au créneau

Ce cas de contamination, le premier depuis plus d'un an dans l'industrie très lucrative du cinéma pornographique, a redonné de la voix aux associations plaidant pour un contrôle plus strict du port du préservatif sur les tournages, un sujet qui a été porté devant les tribunaux de Los Angeles.

"Combien de gens vont devoir être infectés par le virus du VIH avant que le comté de Los Angeles ne fasse son travail et protège les acteurs et la santé publique ?" s'est indigné Michael Weinstein, président de la AIDS Healthcare Foundation.

La clinique Adult Industry Medical Healthcare Foundation (AIM) a pour sa part précisé qu'elle ferait tout son possible pour dépister dans les meilleurs délais les acteurs ayant été en contact avec l'acteur contaminé.

"Pour l'instant, il est impossible de savoir si le patient a été contaminé sur ou en-dehors des plateaux", a fait valoir l'AIM dans un communiqué.

"L'industrie a réagi de façon prudente et responsable, comme à chaque fois, en suspendant les tournages des comédiens ayant été en contact avec le patient", ajoute-t-elle. "Après la fin des tests, dans 10 à 14 jours, nous pourrons déterminer si d'autres personnes ont été contaminées".

Sans préservatif, salaire plus élevé ?

Samantha Lewis a affirmé que l'industrie du porno était très sûre, tout en reconnaissant qu'on ne pouvait forcer un acteur à porter un préservatif.

"Beaucoup d'acteurs préfèrent ne pas porter de préservatif pour des raisons de confort. Il est difficile de les forcer", dit-elle.

En 2004, les autorités californiennes de la santé avaient proposé des mesures pour contrôler l'industrie pornographique, parmi lesquelles l'usage obligatoire du préservatif pendant les tournages, après la découverte de plusieurs cas de séropositivité.

La nouvelle avait déclenché un vent de panique dans l'industrie, qui avait interrompu les tournages pendant 60 jours, afin de permettre à des dizaines d'acteurs de se faire dépister.

Mais plusieurs sources au sein de cette industrie avaient alors révélé que les producteurs de films pornographiques payaient davantage les acteurs qui acceptaient de jouer sans préservatif.

AFP
Crédit photo : AFP - Le Dr Sharon Mitchell, fondatrice de l'AIM, répond aux journalistes à Los Angeles, le 22 avril 2004, suite à des tests HIV positifs sur plusieurs acteurs.

Source article : RTBF.be
Lien : http://www.rtbf.be/info/societe/usa/un-acteur-seropositif-seme-linquietude-dans-lindustrie-du-porno-265306

Aujourd'hui dans le pays de fry:
La femme de ménage a vue une es souris qu'il y a chez moi (dans les murs) elle a fait un bond(la femme hein pas la souris).
C'était drôle , elle a eu peur car elle ne s'y attendait pas :lawl:

Mise à jour : mercredi 20 octobre 2010 09h30

Jean-Claude Van Damme victime d'une crise cardiaque

-_> http://www.lavenir.net/Assets/Images_Upload/Actu24/2010/10/20/JCVD_Epa.jpg.275.jpg
EDA

Jean-Claude Van Damme aurait souffert d’une crise cardiaque mineure sur le plateau de tournage de son nouveau film Weapon.

D'après le site internet twitchfilm.net, la star des arts martiaux Jean-Claude Van Damme se serait effondrée sur le plateau de tournage de son nouveau film en Nouvelle-Orléans.

Il aurait été hospitalisé brièvement et le tournage du film aurait été mis entre parenthèses pour permettre à JCVD se remettre, en Belgique, de cette urgence médicale.

L'équipe du film avait quitté la Roumanie la semaine dernière pour s'installer trois jours en Louisiane, aux Etats-Unis.

Jean-Claude Van Damme qui avait fait exploser l'audience d'RTL
dimanche soir dans une émission qui lui était consacrée vient tout juste de fêter ses 50 ans.

Source article : Lavenir.net
Lien -_> http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=DMF20101020_012&utm_source=lavenir&utm_medium=newsletter&utm_campaign=daily&utm_content=general-news&ID=193273

Mise à jour : mercredi 20 octobre 2010 19h14

Els Clottemans reconnue coupable

-_> http://www.lavenir.net/Assets/Images_Upload/Actu24/2010/10/20/els_clottemans_rep.jpg.275.jpg
Reporters

Le verdict est tombé au procès dit du "parachute saboté". Els Clottemans, qui a toujours clamé son innocence, est reconnue coupable par la cour d'assises de Tongres.

Els Clottemans, 26 ans, a été reconnue coupable vers 19h d'avoir assassiné sa rivale en amour en sabotant son parachute peu avant un saut. Les 12 membres du jury populaire ont estimé établie la culpabilité d'Els Clottemans, une institutrice qui clamait son innocence depuis le début de cette affaire.

Les jurés ont répondu "oui" à la question de sa culpabilité et également "oui" à celle portant sur la préméditation, a déclaré le président, Michel Jordens. L'accusée est restée sans réaction.

De 3 ans à perpétuité

La peine sera prononcée à l'issue d'une seconde délibération, après une nouvelle plaidoirie de la défense et un nouveau réquisitoire du parquet. Ce sera sans doute pour ce jeudi. Els Clottemans risque de trois ans de prison à la réclusion à perpétuité.

Ce mercredi matin, prenant une dernière fois la parole, l'accusée avait à nouveau nié avoir tué Els Van Doren, 38 ans, qui était membre du même club de parachutisme qu'elle et avec qui elle partageait un amant, Marcel Somers.

Lors des plaidoiries, son avocat avait réclamé son acquittement, soulignant l'absence de preuve matérielle démontrant que la jeune femme avait bel et bien sectionné les sangles du parachute d'Els Van Doren.

Pour le procureur Patrick Boyen, la culpabilité de la jeune femme, qui est apparue tour à tour distante, combative ou fragile durant le procès, ne faisait cependant aucun doute. "Els Clottemans est l'assassin d'Els Van Doren. Ce sont des faits crapuleux commis par un tueur psychopathe. Elle voulait une relation exclusive avec Somers et c'est là son mobile", avait-il lancé lors de son réquisitoire.

Rappel des faits
Le 18 novembre 2006, Els Clottemans, Els Van Doren et Marcel Somers avaient effectué un saut en commun. Mais le parachute d'Els Van Doren ne s'est jamais déployé. La mère de trois enfants, épouse d'un bijoutier de la région d'Anvers, avait fini sa chute dans un jardin, tuée sur le coup. L'enquête avait révélé qu'une semaine plus tôt, le trio avait passé une nuit dans l'appartement de Marcel Somers mais qu'Els Clottemans avait été contrainte de dormir sur un matelas dans le salon, à quelques mètres du parachute d'Els Van Doren. Les jurés ont donc considéré qu'elle en avait profité pour le saboter, afin d'écarter définitivement sa rivale.

Source article : Lavenir.net
Lien -_> http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=DMF20101020_069&utm_source=actu24&utm_medium=newsletter&utm_campaign=flash&utm_content=general-news

Aujourd'hui, je suis allé en ville avec une collègue plus jeune afin de la coacher pour l'achat de ses fringues... d'habitude monochrome noire et assez masculinisée.

Je lui ai ouvert des horizons vers certaines fringues et certaines couleurs qu'elle n'avait jamais essayées et dans lesquelles elles se trouve jolie à présent.

3615 MY LIFE

Aujourd'hui je croule sous le boulot.
C'est devenu n'importe quoi, même plus le temps de faire la sieste !

Un Parlement... sans pouvoir de décision !

Réforme des retraites : le gouvernement pourrait recourir au vote unique
LEMONDE.FR | 21.10.10

Selon des informations recueillies auprès de la majorité sénatoriale et diffusées sur Le Figaro.fr, le gouvernement "devrait recourir cet après-midi au Sénat à la procédure du vote unique sur la réforme des retraites afin de faire adopter au plus vite le projet de loi".

Le vote unique est une procédure prévue par l'article 44-3 de la Constitution, qui permet au gouvernement de demander aux assemblées de se prononcer par un seul vote sur les amendements qu'il a acceptés. Cette procédure procure un gain de temps, mais restreint la liberté d'action des parlementaires, qu'ils soient de la majorité ou de l'opposition : soit ils adoptent le texte voulu par le gouvernement avec les seuls amendements retenus par ce dernier, soit ils refusent le texte. Cela implique que la majorité préférera suivre le gouvernement même si elle estime que certains amendements voulus par l'opposition sont pertinents.

"Le vote définitif sur l'ensemble du texte [au Sénat] devrait avoir lieu vendredi en fin d'après-midi ou en début de soirée", ajoute le site du Figaro, qui précise en outre qu'il reste à la mi-journée 265 amendements, principalement de la gauche, à examiner.
Le Monde.fr

Finalement, la réforme des retraites aura été décidée par 3 hommes : Sarkozy, Fillon et Woerth.

3 hommes décident seuls de l'avenir de millions de salariés... Réfléchissez-y.

Tu sais Gan, je vais peut-être paraître pessimiste sur ce coup là mais je pense que la démocratie est un état illusoire et ce depuis un bon moment^^

L'exemple qui me vient en tête c'est Hadopi^^ Lors du premier vote, tout le monde a hurlé à la victoire, Hadopi est enterré et blabla et blabla. Y'a toujours une loi qui leur permet d'obtenir ce que EUX veulent^^

Alors oui, je remplis mes devoirs d'électrice quand ma santé ne m'appelle pas ailleurs!! mais après ... ch'ui un peu désabusée^^

Les enfants sont devenus vendeurs malgré eux de bracelets Funnybands

Communiqués de presse - Marketing
Date : 14-10-2010

-_> http://www.oivo-crioc.org/photos_documents/jeunes/funny-bands.jpg

Connaissez-vous les Funny Bands? Il s'agit de bracelets en silicone qui ont des formes différentes. On les met au poignet et dès qu'on les enlève ils retrouvent automatiquement leur forme première.

"La rentrée scolaire s'annonce FUNNY dans les cours de récréation", peut-on lire sur le site dédié à ces bracelets (1). Ces bracelets sont destinés à être collectionnés et échangés par les enfants.

Il s'agit d'un nouveau gadget à la mode après les pins's, flippo's et poggs. Pas de quoi fouetter un chat à première vue. Sauf que dans le cas qui nous occupe, les techniques marketing de cette entreprise sont choquantes d'un point de vue éthique.
Deviens un ambassadeur

Pour toucher le public cible que sont les enfants, Funnybands se sert d'ambassadeurs.
L'enfant ambassadeur va recevoir des packs avec échantillons gratuits, cartes de visite, autocollants, avec pour tâche de séduire ses petits camarades.
La technique marketing consistant à choisir des ambassadeurs permet par identification de déclencher une pulsion d’achat chez les autres enfants.

Les enfants sont donc utilisés à des fins commerciales manifestes. Cependant, et au grand regret du CRIOC, il n'existe pas de réglementation sur le marketing à destination des enfants, hormis pour quelques secteurs à l'instar du secteur bancaire où il est interdit de s'adresser directement à des enfants de moins de 12 ans.
Succès fou à l'école

Toute activité commerciale est interdite au sein des établissements scolaires. La garante de cette interdiction est la Commission du Pacte scolaire. Néanmoins, la pratique consistant à choisir un enfant qui sera chargé indirectement de faire la promotion d'un produit n'est, à ce stade, pas explicitement interdit. De plus, les nouvelles techniques de marketing, comme celle-ci, sont encore trop peu souvent prises en compte.

Elément interpellant, le site de la marque (2) n'hésite pas à montrer des photos d'enfants, portant les bracelets fièrement, prises au sein des écoles même! De plus, sur le site français de la marque , on retrouve les photos des ambassadeurs et de leur école - écoles dont les noms sont repris à côté de la photo.
Un site très lacunaire

Le site dédié à ces bracelets permet au consommateur de passer commande. Or, tout site d'e-commerce doit contenir une série d'informations obligatoires, sur le commerçant d'une part et sur les produits, d'autre part. Ici, rien de tout cela. Aucune autre information si ce n'est un numéro de téléphone et une adresse mail.

Le site est donc en infraction par rapport à la réglementation économique. C'est pourquoi le CRIOC a déposé plainte auprès du SPF Economie.
Quels contrôles ?

Ne s'agissant pas d'une publicité trompeuse, l'organe de contrôle compétent pourrait être le Jury d'Ethique Publicitaire (JEP). Il s'agit de l'organe d'autodiscipline du secteur de la publicité dont un Jury a pour mission d'examiner la conformité des messages publicitaires diffusés dans les médias avec les règles de l'éthique publicitaire.

Or, quoi de moins éthique que de manipuler des enfants pour promouvoir ses produits. Sauf que s'agissant d'une publicité hors média de masse (télévision, périodiques,..) à savoir une technique commerciale "nouvelle", elle ne rentrerait pas dans les compétences du JEP.

L'enjeu actuel de la publicité n'est plus d'être diffusé mais bien d'être présente là où elle sera le plus efficace; à savoir dans le cas présent, au poignet des enfants.

Le CRIOC insiste dès lors pour la mise en place rapide du Conseil fédéral de la publicité et des pratiques marketings. Cet organe public de recherche, d'avis et de contrôle aurait notamment pour mission d'émettre des recommandations pour rendre la publicité plus compatible avec une vision éthique de notre société.

L'absence actuelle conjointe d'un tel organe et d'une réglementation sur le marketing à destination des enfants, a pour effet de transformer de facto les enfants en panneaux publicitaires, ce que regrette le CRIOC.

A l'heure du développement durable, n'est-il pas antinomique de lancer sur le marché de tels produits en plastique ?

Cette nouvelle pratique de marketing ne concurrence-t-elle pas les promoboys et promogirls qui exercent cette activité sous couvert d'un contrat de travail ?

Cette pratique, contraire à l'éthique ne peut-elle pas s'apparenter à une forme de travail des enfants ?

Il est temps aujourd'hui pour les pouvoirs publics de règlementer strictement le marketing à destination des enfants.

(1)www.funnybands.eu
(2)www.funnybands.fr

Source article : CRIOC.be
Lien -_> http://www.crioc.be/FR/doc/communiques/all/document-5235.html?idsmenuleft=76

Après 220 millions d'unités vendues, Sony arrête le walkman

Après 30 ans de bons et loyaux services, Sony arrête la production du Walkman, son célèbre lecteur personnel de cassettes audio.

Un peu de nostalgie: pour les quadras et plus dont je fais partie, le walkman a été le premier équipement personnel permettant de se promener avec SA musique (moyennant parfois des poches bourrées de cassettes pour transporter un morceau de sa bibliothèque musicale) et aussi ...de montrer que l'on voulait s'isoler même en présence d'autres.

Avec la disparition de ce Walkman, c'est une page de vie qui se tourne. Sniff!...
http://www.zdnet.fr/blogs/media-tech/apres-220-millions-d-unites-vendues-sony-arrete-le-walkman-sniff-39755631.htm#xtor=RSS-1

Le président du Conseil régional de Languedoc-Roussillon, Georges Frêche, est décédé dimanche après-midi à Montpellier, a annoncé le journal Midi Libre sur son site Internet.
http://www.liberation.fr/politiques/01012298205-georges-freche-est-mort

Certains éclairages à LED présentent un risque pour les yeux
LEMONDE.FR avec AFP | 25.10.10 | 20h16

L'agence de sécurité sanitaire Anses recommande d'éviter l'utilisation des éclairages à diodes électroluminescentes dans les lieux fréquentés par les enfants et dans leurs jouets.

Les éclairages à LED (diodes électroluminescentes) étaient présentés jusqu'à maintenant comme la solution d'avenir, vu leur faible consommation
électrique et leur durée de vie très supérieure aux autres ampoules. Mais la première expertise sur les dangers de ces éclairages de plus en plus utilisés révèle qu'ils ne sont pas sans risque pour les yeux, notamment pour les enfants, selon l'agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses).

90 % des LED fonctionnent par un procédé qui consiste, pour obtenir une lumière blanche, à coupler une diode bleue – correspondant à des rayonnements de courtes longueurs d'onde, proches des ultraviolets – à un phosphore jaune. C'est "la technologie la plus simple et la moins coûteuse", selon Dominique Gombert, directeur de l'évaluation des risques de l'Anses. Or, cette lumière bleue présente des risques notamment pour la rétine, plus sensible à la lumière violette-bleue, les différents pigments présents dans ses cellules pouvant induire une réaction à l'origine de lésions par stress oxydatif. Ce risque photochimique "résulte généralement d'expositions peu intenses répétées sur de longues durées", sans filtre, selon l'agence.

Les enfants "sont particulièrement sensibles à ce risque, dans la mesure où leur cristallin reste en développement et ne peut assurer son rôle efficace de filtre de la lumière", dit l'Anses. Cette lumière bleue a également des effets "aggravants" sur une pathologie fréquente avec l'âge, la dégénérescence maculaire liée à l'âge (DMLA) et chez des personnes sensibles à la lumière du fait d'affections cutanées ou de traitements médicamenteux. L'alcoolisme chronique est aussi un risque.

TROIS LED SUR NEUF PRÉSENTENT UN RISQUE "MODÉRÉ"

Autre problème : la luminance des LED, ou quantité de lumière émise par unité de surface, élevée du fait du caractère ponctuel de la surface d'émission. "Ces nouveaux éclairages peuvent conduire à des intensités de lumière jusqu'à 1 000 fois plus élevées que les éclairages classiques, générant ainsi un risque d'éblouissement", selon l'agence.

"En quelques mois le nombre d'ampoules à LED accessibles en grande surface s'est multiplié de façon fulgurante", souligne Dominique Gombert. L'agence a évalué les risques de neuf types de diodes disponibles sur le marché, selon la norme existant pour les autres éclairages. Sur une échelle allant de 0 à 3 (risque élevé), elle a constaté qu'une majorité étaient sans risque ou à risque faible, mais que trois diodes présentaient un risque de niveau 2 (risque modéré), avec une durée limite d'exposition d'au mieux quelques dizaines de secondes. Or, dans les années qui viennent, "de plus en plus de LED vont apparaître dans le groupe de risque 2", estime l'agence.

PAS DE LED DANS LES LIEUX POUR ENFANTS NI DANS LES JOUETS

Certaines professions sont particulièrement à risque, comme les éclairagistes, les figurants et les techniciens des spectacles scéniques, les chirurgiens ou dentistes (et leurs patients) et les professionnels de la photothérapie. Dans l'immédiat, l'Anses recommande "d'éviter les sources de lumière (...) riche en couleur bleue dans les lieux fréquentés par les enfants", tels que maternités, crèches, ou écoles, ou dans les objets qu'ils utilisent, et met en garde contre leur présence dans les phares des voitures.

Pour le grand public, qui ne peut différencier les LED à risque des autres, l'Anses demande aux industriels de procéder rapidement à un étiquetage et de ne mettre sur le marché que des LED à moindre intensité, et sans risque.

En mars, les diodes électroluminescentes (LED), chères à l'achat mais peu gourmandes en énergie, avaient été désignées comme l'investissement le plus rentable et le plus "vert" pour l'éclairage public dans la première étude sur le sujet aux Etats-Unis, qui comparait le cycle de vie de quatre types de lampes.