mass DDB si l'auteur le fait pas
http://www.pixule.com/230419039950_votre-avis-sur-lauteur.html
j'ai pas de couilles
Je suce la bite de SnottyPlatypus, ma mere, elle, se fait.enfourcher par ce Dieu.
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Empreintes de pas[modifier | modifier le code]
Probable empreinte de pas d'un Tyrannosaurus retrouvée au Nouveau-Mexique.
Deux différentes empreintes de pas fossilisées ont été proposées comme appartenant à Tyrannosaurus rex. La première a été découverte au Philmont Scout Ranch dans l'État du Nouveau-Mexique, en 1983, par le géologue américain Charles Pillmore. On pensait initialement qu'elle appartenait à un hadrosauridé ou « dinosaure à bec de canard » mais l'examen attentif de l'empreinte de pas révéla d'une part un large talon inconnu chez les ornithopodes et d'autre part les restes de ce qui aurait pu être un hallux, quatrième orteil en forme d'ergot. Cette empreinte fut décrite comme appartenant à l'ichnotaxon Tyrannosauripus pillmorei en 1994 par en:Martin Lockley et Adrian Hunt, qui suggéraient qu'elle pouvait avoir été faite par un Tyrannosaurus rex, ce qui en ferait la première empreinte de pas connue de l'espèce. La trace est imprimée dans ce qui fut autrefois de la boue provenant d'une terre humide végétale. Elle mesure 83 cm de longueur sur 71 cm de largeur109.
Une seconde empreinte de pas qui pourrait avoir été faite par un Tyrannosaurus fut découverte dans la formation de Hell Creek dans le Montana en 2007 par le paléontologue britannique Phil Manning. Cette seconde trace de 76 cm de long est plus petite que celle décrite par Lockley et Hunt. Qu'elle appartienne à un Tyrannosaurus n'est pas certain, bien que Tyrannosaurus et Nanotyrannus sont les deux seuls grands théropodes qui ont été retrouvés à Hell Creek. Des études plus approfondies, comparant notamment cette trace à celle du Nouveau-Mexique, sont prévues110.
Alimentation[modifier | modifier le code]
Le débat concernant le comportement charognard ou prédateur du Tyrannosaurus est aussi vieux que celui sur sa locomotion.
En 1917, Lambe étudie un squelette de Gorgosaurus, une espèce proche de Tyrannosaurus, et conclut que le Tyrannosaurus était un pur charognard car les dents du Gorgosaurus ne montraient aucune trace d'usure111. Cet argument n'est plus considéré comme valide depuis que l'on sait que les théropodes remplacent leurs dents rapidement.
Depuis la première découverte de Tyrannosaurus, la plupart des scientifiques ont la certitude qu'il est un prédateur, bien que tout comme de nombreux prédateurs modernes, il aurait pu aussi voler la prise d'un autre prédateur ou être parfois charognard si l'occasion se présentait112.
Jack Horner est le principal défenseur de la théorie du tyrannosaure charognard51,113,114. Il a présenté plusieurs arguments défendant cette hypothèse :
Les bras du tyrannosaure sont courts comparés à ceux des prédateurs connus. Selon Horner, les bras sont trop courts pour avoir la force nécessaire pour maintenir une proie115.
Les tyrannosaures avaient de grands bulbes et nerfs olfactifs par rapport à la taille de leur cerveau. Cela suppose qu'ils possédaient un odorat bien développé qui aurait pu leur permettre de repérer des carcasses à de grandes distances comme les vautours modernes. Des recherches faites sur les bulbes olfactifs de vingt et un dinosaures démontrent que c'est le tyrannosaure qui avait l'odorat le plus développé116.
Les dents du tyrannosaure pouvaient broyer les os, et donc extraire des carcasses, généralement les parties les moins nutritives, autant de nourriture (la moelle osseuse) que possible. Karen Chin et son équipe ont trouvé des fragments d'os dans des coprolithes (excréments fossilisés) attribués à des tyrannosaures, mais ils indiquent que les dents du tyrannosaure n'étaient pas adaptées pour broyer systématiquement des os comme le font les hyènes pour extraire la moelle117.
Comme les proies potentielles du Tyrannosaurus pouvaient se déplacer rapidement, les preuves qu'il ne pouvait pas courir vite démontrent qu'il était un charognard113,118. D'un autre côté, des analyses récentes démontrent que le Tyrannosaurus bien que plus lent que certains prédateurs terrestres modernes pouvait être assez rapide pour chasser de grands hadrosaures et des cératopsiens97,107.
Les orbites du tyrannosaure regardent vers l'avant, permettant une vision binoculaire stéréoscopique avantageant les prédateurs.
D'autres preuves suggèrent un comportement de prédateur. Les orbites du tyrannosaure étaient placées vers l'avant, lui donnant ainsi une vision binoculaire ce qui lui permettait d'évaluer les distances, bien mieux que les faucons modernes. Horner note aussi une amélioration importante de la vision binoculaire tout au long de l'évolution des tyrannosauridés, avançant qu'il n'était pas évident que la sélection naturelle favorise cette caractéristique si les tyrannosaures avaient été de purs charognards, pour qui une vision stéréoscopique n'aurait pas été un atout20,21. Chez les animaux modernes, la vision binoculaire est principalement retrouvée chez les prédateurs119.
Selon certains scientifiques, si le Tyrannosaurus était un pur charognard, un autre dinosaure devait être le superprédateur du Crétacé supérieur amérasien. Les autres tyrannosauridés partageant les caractéristiques de Tyrannosaurus, seuls les petits dromæosauridés auraient le potentiel pour être ce superprédateur. Les proies en haut de
les polios qui continuent a poster apres 3 pages
Rofl les batards.
Salut
Il lit jusqu'à cette page hein .
dédi a thelbilix
MereDeLAuteur Voir le profil de MereDeLAuteur
Posté le 21 avril 2014 à 17:16:53 Avertir un administrateur
les polios qui continuent a poster apres 3 pages
"Je lis les 5 premieres pages du topics par vocaroo"
"les 5 premières", pas "les 3 premières".
A LA FIN DE LA PAGE 5 JE LIS PLUS ! LES moderateurs ON JUSQUA 17:30 POUR POSTER
" Le coup de foudre est une hypnose : je suis fasciné par une image (…) L’épisode hypnotique, dit-on, est ordinainairement précédé d’un état crépusculaire : le sujet est en quelque sorte vide, disponible, offert sans le savoir au rapt qui va le surprendre. "
Roland Barthes. Fragments d’un discours amoureux
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" je ne tombe jamais amoureux, que je ne l’aie désiré, la vacance que j’accomplis en moi (…) n’est rien que ce temps, plus ou moins long, où je cherche des yeux, autour de moi, sans en avoir l’air, qui aimer. "
Roland Barthes. Fragments d’un discours amoureux
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" Il y a un leurre du temps amoureux ( ce leurre s’appelle : roman d’amour ). Je crois ( avec tout le monde ) que le fait amoureux est un " épisode ", doté d’un commencement ( le coup de foudre ) et d’une fin ( suicide, abandon, désaffection, retraite, couvent, voyage, etc. ). Cependant la scène initiale au cours de laquelle j’ai été ravi, je ne fais que la reconstituer : c’est un après coup. "
Roland Barthes. Fragments d’un discours amoureux
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" Je reconstruis une image traumatique, que je vis au présent, mais que je conjugue ( que je parle ) au passé : " je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue. Un trouble s’éleva dans mon âme éperdue " : le coup de foudre se dit toujours au passé simple : car il est à la fois passé ( reconstruit ) et simple ( ponctuel ) : c’est, si l’on peut dire : un immédiat antérieur. "
Roland Barthes. Fragments d’un discours amoureux
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" Bien que le discours amoureux ne soit qu’une poussière de figures qui s’agitent selon un ordre imprévisible à la manière des courses d’une mouche dans une chambre, je puis assigner à l’amour, du moins rétrospectivement, imaginairement, un devenir réglé : c’est par ce fantasme historique que parfois j’en fais : une aventure. "
Roland Barthes. Fragments d’un discours amoureux
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" La course amoureuse paraît alors suivre trois étapes ( ou trois actes ) : c’est d’abord, instantanée, la capture ( je suis ravi par une image ) ; vient alors une suite de rencontres ( rendez-vous, téléphones, lettres, petits voyages ), au cours desquelles j’ " explore " avec ivresse la perfection de l’être aimé, c’est-à-dire l’adéquation inespérée d’un objet à mon désir : c’est la douceur du commencement, le temps propre de l’idylle…."
Roland Barthes. Fragments d’un discours amoureux
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…" Ce temps heureux prend son identité ( sa clôture ) de ce qu’il s’oppose ( du moins dans le souvenir ) à la " suite " : " la suite ", c’est la longue traînée de souffrances, blessures, angoisses, détresses, ressentiments, désespoirs, embarras et pièges dont je deviens la proie, vivant alors sans cesse sous la menace d’une déchéance qui frapperait à la fois l’autre, moi-même et la rencontre prestigieuse qui nous a d’abord découverts l’un à l’autre. "
Roland Barthes. Fragments d’un discours amoureux
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" Il est des amoureux qui ne se suicident pas : de ce " tunnel " qui suit la rencontre amoureuse, il est possible que je sorte : je revois le jours, soit que je réussisse à donner à l’amour malheureux une issue dialectique ( gardant l’amour, mais me débarrassant de l’hypnose ), soit qu’abandonnant cet-amour-là, je me remette en course, cherchant à réitérer, avec d’autres, la rencontre dont je garde l’éblouissement : car elle est de l’ordre du " premier plaisir " et je n’ai de cesse qu’elle ne revienne : j’affirme l’affirmation, je recommence, sans répéter. "
Roland Barthes. Fragments d’un discours amoureux
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" Dans la rencontre, je m’émerveille de ce que j’ai trouvé quelqu’un qui, par touches successives et à chaque fois réussies, sans défaillance, achève le tableau de mon fantasme ; je suis comme un joueur dont la chance ne se dément pas et lui fait mettre la main sur le petit morceau qui vient du premier coup compléter le puzzle de son désir. "
Fragments d’un discours amoureux
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" C’est une découverte progressive ( et comme une vérification ) des affinités, complicités et intimités que je vais pouvoir entretenir éternellement ( à ce que je pense ) avec un autre, en passe de devenir, dès lors, " mon autre " "
Roland Barthes. Fragments d’un discours amoureux
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" A chaque instant de la rencontre, je découvre dans l’autre un autre moi-même : vous aimez ceci ? Tiens, moi aussi ! Vous n’aimez pas ça ? Moi non plus ! "
Roland Barthes. Fragments d’un discours amoureux
FIN
Le Prince [VEGETA, bien plus qu'un simple Saiyan
It's over 9000
Zombotroll a un bien plus gros penis que moi
Les sciences grecques tentèrent de comprendre le monde et de l'expliquer
les philosophes Parménide, Platon, et Aristote avaient intégré l'idée d'une Terre sphérique, mais ils la voyaient au centre de l'Univers physique, alors que l'école de Milet se représentait la Terre plate ;
Ératosthène tenta de réaliser des calculs précis, notamment la mesure de la circonférence d'un méridien terrestre ;
Aristarque de Samos est le premier à envisager un modèle de système planétaire héliocentré. Cette découverte ne fut alors pas suivie3, pour des raisons philosophiques surtout parce qu'une telle cosmologie est en désaccord avec la conception géocentrée du monde qui était retenue par de grands philosophes comme Parménide, Platon, et Aristote. Il calcule aussi la distance Terre-Lune pour laquelle il trouve une valeur discutée, mais qui se situe en tout état de cause dans un ordre de grandeur acceptable4, ainsi qu'une distance Terre-Soleil5. ;
Hipparque poursuit ce travail : il recalcule, selon des méthodes nouvelles, la distance Terre-Soleil ainsi que la distance Terre-Lune (pour laquelle il retient la valeur de 67 1/3 rayons terrestres, contre 60,2 en réalité6), recense 1 500 étoiles[réf. nécessaire], retrouve approximativement la période de précession des équinoxes, qui était déjà connue des Babyloniens.[réf. nécessaire]
Ptolémée poursuit le travail d'Hipparque. Son Almageste sera la référence astronomique essentielle pendant treize siècles.
L'Univers selon le système de Ptolémée, vu par Andreas Cellarius en 1660-1661.
Ces connaissances du monde grec perdureront et influenceront les sciences arabes après l'effondrement de l'Empire romain d'Occident. Elles resteront présentes en Orient (particulièrement, avec des hauts et des bas, à Byzance7), même si Cosmas d'Alexandrie tente, sans succès, de restaurer le modèle d'un monde plat.
La Renaissance porte à son apogée cette représentation du monde, grâce aux explorations et aux grandes découvertes qui eurent lieu du xiiie au xvie siècles, à partir de systèmes géographiques et cosmologiques très élaborés (projection de Mercator).
La révolution copernicienne bouleverse cette cosmologie en trois étapes :
Copernic redécouvre l'héliocentrisme. Toutefois, cette redécouverte n'est que partiellement révolutionnaire : en effet, Copernic reste attaché aux sphères transparentes du modèle d'Aristote (pourtant délaissé par Ptolémée) censées soutenir les planètes et leur imprimer leur mouvement ; il présente son système comme un simple artifice destiné à simplifier les calculs.
Le dominicain Giordano Bruno défend la réalité du modèle héliocentrique et l'étend à toutes les étoiles, ouvrant la dimension de l'Univers physique à l'infini. Il sera brulé au bûcher en tant qu'hérétique non pour des raisons scientifiques, mais religieuses.
Kepler, Galilée et Newton posent les bases fondamentales de la mécanique à partir du mouvement des planètes, grâce à leurs études respectivement du mouvement elliptique des planètes autour du Soleil, l'affinement des observations astronomiques avec la définition du mouvement uniformément accéléré, et la formalisation mathématique de la force de gravité. L'Univers, toutefois, reste confiné dans le système solaire.
Des modèles physiques tels que la sphère armillaire ou l'astrolabe ont été élaborés. Ils permettent d'enseigner et de calculer la position des astres dans le ciel visible. Aujourd'hui encore, la carte du ciel mobile aide les astronomes amateurs à se repérer dans le ciel, c'est une ré-incarnation de l'astrolabe.
Les observations du décalage vers le rouge des rayonnements électromagnétiques en provenance d'autres galaxies suggèrent que celles-ci s'éloignent de notre galaxie, à une vitesse radiale d'éloignement proportionnelle à ce décalage (effet Doppler).
En étudiant les galaxies proches, Edwin Hubble s'est aperçu que la vitesse d'éloignement d'une galaxie était proportionnelle à sa distance par rapport à l'observateur (loi de Hubble) ; une telle loi est explicable par un Univers visible en expansion.
Bien que la constante de Hubble ait été révisée par le passé dans d'importantes proportions (dans un rapport de 10 à 1), la loi de Hubble a été extrapolée aux galaxies éloignées, pour lesquelles la distance ne peut être calculée au moyen de la parallaxe ; cette loi est ainsi utilisée pour déterminer la distance des galaxies les plus éloignées.
En extrapolant l'expansion de l'Univers dans le passé, on arrive à une époque où celui-ci a dû être beaucoup plus chaud et beaucoup plus dense qu'aujourd'hui. C'est le modèle du Big Bang , conçu par Georges Lemaître prêtre catholique belge, qui est un ingrédient essentiel du modèle standard de la cosmologie actuel et possède aujourd'hui un grand nombre de confirmations expérimentales[réf. nécessaire]. La description du début de l'histoire de l'Univers par ce modèle ne commence cependant qu'après qu'il fût sorti d'une période appelée ère de Planck durant laquelle l'échelle d'énergie de l'Univers était si grande que le modèle standard n'est pas en mesure de décrire les phénomènes quantiques qui s'y sont déroulés. Durant cette époque, seule une théorie de la gravitation quantique pourrait expliquer le comportement microscopique de la matière sous l'influence importante de la gravité. Mais les physiciens ne disposent pas encore (en 2013) d'une telle théorie. Pour des raisons de cohérence avec les observations, après l'ère de Planck le modèle du Big Bang privilégie aujourd'hui l'existence d'une phase d'inflation cosmique très brève mais durant laquelle l'Univers aurait grandi de façon extrêmement rapide. C'est suite à cette phase que l'essentiel des particules de l'Univers auraient été créées avec une haute température, enclenchant un grand nombre de processus importants8 qui ont finalement abouti à l'émission d'une grande quantité de lumière, appelé fond diffus cosmologique, qui peut être aujourd'hui observé avec une grande précision par toute une série d'instruments (ballons-sondes, sondes spatiales).
C'est l'observation de ce rayonnement fossile micro-onde, remarquablement uniforme dans toutes les directions qui constitue aujourd'hui l'élément capital qui assoit le modèle du Big Bang comme description correcte de l'Univers dans son passé lointain. De nombreux éléments du modèles restent encore à déterminer (par exemple le modèle décrivant la phase d'inflation), mais il y a aujourd'hui consensus de la communauté scientifique autour du modèle du Big Bang.
Dans le cadre du modèle ΛCDM, les contraintes issues des observations de la sonde WMAP9 sur les paramètres cosmologiques indiquent une valeur la plus probable pour l'âge de l'Univers à environ 13,82 milliards d'années10 avec une incertitude de 0,02 milliard d'années, ce qui est en accord avec les données indépendantes issues de l'observation des amas globulaires11 ainsi que celle des naines blanches12. Cet âge a été confirmé en 2013 par les observations du satellite Planck.
À ce jour, aucune donnée scientifique ne permet de dire si l'Univers est fini ou infini. Certains théoriciens penchent pour un Univers infini, d'autres pour un Univers fini mais non borné. Un exemple d'Univers fini et non borné serait l'espace se refermant sur lui-même. Si on partait tout droit dans cet Univers, après un trajet, très long certes, il serait possible de repasser à proximité de son point de départ.
Les articles populaires et professionnels de recherche en cosmologie emploient souvent le terme « Univers » dans le sens d'« Univers observable »[réf. nécessaire]. L'être humain vit au centre de l'Univers observable, ce qui est en contradiction apparente avec le principe de Copernic qui dit que l'Univers est plus ou moins uniforme et ne possède aucun centre en particulier. Le paradoxe se résout simplement en tenant compte du fait que la lumière se déplace à la même vitesse dans toutes les directions et que sa vitesse n'est pas infinie : regarder au loin revient à regarder un événement décalé dans le passé du temps qu'il a fallu à la lumière pour parcourir la distance séparant l'observateur du phénomène observé. Or il ne nous est pas possible de voir de phénomène issu d'avant le Big Bang. Ainsi, les limites de l'Univers observable correspondent au lieu le plus lointain de l'Univers pour lesquelles la lumière a mis moins de 13,7 milliards d'années à parvenir à l'observateur, ce qui le place immanquablement au centre de son Univers observable. On appelle « horizon cosmologique » la première lumière émise par le Big Bang il y a 13,7 milliards d'années.
On estime que le diamètre de cet Univers observable est de 100 milliards d'années lumière13. Celui-ci contient environ 7×1022 étoiles, répandues dans environ 1011 galaxies, elles-mêmes organisées en amas et superamas de galaxies13. Mais le nombre de galaxies pourrait être encore plus grand, selon le champ profond observé avec le télescope spatial Hubble.
Il est cependant possible que l’Univers observable ne soit qu'une infime partie d’un Univers réel beaucoup plus grand.
La définition de l'Univers choisie par cet article (« ensemble de tout ce qui existe ») soulève par ailleurs différents problèmes. Tout d'abord, il ne peut pas posséder de « bord » au sens intuitif du terme. En effet, l'existence de bord impliquerait l'existence d'un extérieur à l'Univers. Or par définition l'Univers est l'ensemble de tout ce qui existe, il ne peut donc rien exister à l'extérieur. Toutefois cela ne signifie pas que l'Univers est infini, il peut être fini sans avoir de « bord », sans avoir en fait d'extérieur. Cela soulève une autre interrogation : que signifie pour l'Univers d'être en expansion s'il n'a ni bord ni extérieur ?
L'Univers a-t-il trois, six, dix dimensions ou plus ?
La théorie des cordes prédit qu'espace et matière sont consubstantiels.
MAINTENANT 3 MODO DOIVENT POSTER
Cay fini + Roland Barthes ça me rappelle mes cours
Allez les modos postez je m'emmerde moi ! hap:
Mec t'en a pour 1000 ans de lecture
Une bonne heure je pense !