Vous voulez que je post ma CP maintenant ou pas ?

Oui vas y

Au fait, je crois qu'il y a une erreur là:

"-C'est le voisin qui me l'a apporter,il savait que tu aimais toute ses vieilleries et ces bidules alors il me l'a donner. Son fils aussi adorait l'informatique avant.

-Pourquoi “ a une époque” ? demandais-je intrigué "

Stazz Les avis divergent, c'est normal
Et oui, cette expression existe.. Me semble-t-il

Ok ça arrive dans 2 minutes

Lady dit moi l'erreur

ah oui je vois c'est une erreur d'étourderie

J'ai une flemme immense de lire ta CP KANNIBALE.

C'est pourtant ton job bistou, alors go

bistouflix_83

De 1 il va falloir.

De 2 tu te motives car la mienne arrive bientôt.

Très ... bientôt

Je tiens à préciser que tout ce que vous allez lire ici est inspiré directement de faits réels, les noms, les lieux n'ont pas été inventés

Avez-vous peur de la mer ?

Non attendez, je reformule ma question :
Avez-vous peur de la mort ?

Journal de bord /Mary Celeste\ : 2 Octobre 1872 :

Cela fait maintenant 3 jours que nous avons quitté l’île de Santa Maria. Nous sommes perdus. C’est la première fois que ça m’arrive. J’ai quand même ma femme, ma fille, et sept hommes avec moi, je ne peux me permettre de les retenir sur cette mer, que je trouve… de plus en plus sombre.

Journal de bord /Mary Celeste\ : 12 Octobre 1872 :

On en a marre. Nous n’avons plus de vivres à bord. Nous sommes obligés de pêcher. Mais nous ne pêchons que des poissons morts, et pourris par le temps, infestés de bactéries ! Ce n’est pas possible… Où sommes-nous ? Je ne reconnais pas là l’Atlantique !

Journal de bord /Mary Celeste\ : ? Novembre 1872 :

Je n’en peux plus, pourquoi sommes nous pas encore mort ? Qu’avons-nous fait ? Pourquoi Dieu nous fait-il subir tel châtiment ? Qu’avons-nous mérité ?
Il n’y plus de poissons dans l’eau. Il n’y a que des morts… Cela fait maintenant 16 jours que je n’ai pas vu la lumière du soleil. Il fait nuit tout le temps…
Lorsque nous essayons de fuir cette vie par la mer, les morts nous en dissuadent.
Ils sont là. Ils nagent. Des vrais fantômes…des vrais poissons…des vrais monstres.

Journal de bord /Mary Celeste\ : ? ? 1872 :

Ma fille… ils l’ont prises… VENEZ ME CHERCHER ! JE N’EN PEUX PLUS ! JE NE PEUX PLUS DORMIR ILS SONT PRESENTS SUR LE NAVIRE A PRESENT !!!
S’il vous plaît… prenez moi… je veux que tout cela cesse…

Le Mary Celeste fut retrouvé dans l’océan Atlantique, le 5 décembre 1872, naviguant sous voilure réduite, sans personne à bord. L’équipage du bateau qui le retrouva, le Dei Gratia, commandé par le capitaine Morehouse, n’aurait trouvé aucune indication sur le livre de bord concernant les jours qui précédaient. Les dernières lignes situaient le navire à une centaine de milles des Açores (185 kilomètres) et étaient datées du 24 novembre. Toutefois, l’ardoise du navire indiquait qu’ils avaient atteint l’île de Santa Maria, le 25. Par contre, les instruments de navigation (loch, sextant, instructions maritimes…) manquaient à bord et une certaine quantité d’eau avait été embarquée dans les fonds. Des réserves de nourriture pour six mois étaient à bord. Seuls manquaient les deux canots, mais un avait été détruit à New York pendant le chargement de la cargaison et faute de temps n’avait pas été remplacé. Tout laissait penser à un abandon trop hâtif par son équipage (canot et instruments de navigation manquants) d’un navire apparemment en difficulté.
http://fr.academic.ru/pictures/frwiki/77/Mary_Celeste_as_Amazon_in_1861.jpg

Les lignes de journal de bord datant entre le 2 Octobre 1872 et 3 Décembre 1872 que vous venez de lire, viennent juste d’être retrouver.

Journal de bord /J.C. Cousins\ : 6 Octobre 1883 :

Nous venons de désappareillé le bateau. Nous nous dirigeons à l’embouchure de la Columbia. Tout va bien à bord.

Journal de bord /J.C. Cousins\ : 6 Octobre 1883 (soir) :

On a vu des choses bizarres ce soir. Je sais que ça se fait pas mais je mets ça a part du reste de la journée. C’est tellement…beau. On voit des sortes de lueurs dans l’eau. C’est magnifique. C’est si harmonieux…on ne sait pas ce que c’est…comme si des fantômes dansaient.
On va manger, je crois que le repas est prêt, je sens l’odeur. Je vais quand même repasser sur le pont pour voir si les lueurs si trouvent encore, et puis… il me semble avoir entendu quelqu’un crier.

La goélette J. C. Cousins était un luxueux yacht de 49 tonnes, long de 20 mètres, construit à San-Francisco en 1863. Après divers emplois, le navire avait été acheté pour être utilisé comme bateau-pilote à Astoria (Oregon), à l'embouchure de la Columbia. Le soir du 6 octobre 1883, la goélette avait appareillé vers l'est d'Astoria pour aller prendre son poste en mer, afin de pouvoir guider les navires devant éviter les bancs de sable à l'embouchure du fleuve. Son équipage de quatre marins fraîchement recrutés, sans fauteur de troubles connu, était sous le commandement du capitaine Joshua Zeiber. Une fois parvenu au milieu de la rivière, le capitaine avait noté dans le livre de bord, outre sa position et l'heure, que « tout allait bien à bord ».
Le lendemain matin, 7 octobre 1883, il faisait un temps clair et un vent léger. Très tôt le navire avait été observé virant à trois miles au large, en direction de Clatstop Spit, près d'Ilwaco, dans l'État de Washington. Brusquement, vers 13 heures, suite à un changement de vent, le navire a brusquement pivoté sur lui-même et s'est dirigé, toutes voiles dehors, droit sur la côte, pour finalement s'échouer brutalement sur un banc de sable. Les témoins se sont immédiatement précipité à son secours et ont découvert, une fois montés à bord, une situation incompréhensible : le navire avait été manifestement abandonné avec précipitation. Il y restait un repas intact servi sur la table du carré et, dans la cuisine, des pommes de terres cuisaient dans une casserole, sur une cuisinière encore chaude. Dans le poste d'équipage, tous les effets des marins étaient proprement pendus. Il n'y avait pas la moindre trace de lutte ou de désordre. Dans la cabine du capitaine un revolver Colt était rangé avec ses six balles de calibre .45 dans le barillet. Le canot du bord était arrimé à son poste et, sur le pont près du grand mât, une caisse contenant une pile de bouées de sauvetage en liège était intacte. Aucun corps n'a été repêché et, à terre ou en mer, il n'y avait la moindre trace de l'équipage. Une commission d'enquête a exploré en vain toutes les hypothèses possibles mais le mystère n'a jamais été éclairci.
http://img15.hostingpics.net/pics/283662Smallschooner.jpg

Les lignes de journal de bord datant du 6 Octobre 1883 au soir que vous venez de lire, viennent juste d’être retrouver.

Journal de bord /Carroll A. Deering\ : 28 Août 1920 :

Je ne me sens pas très bien. J’ai un mauvais pressentiment. J’ai vu des choses hier soir. Je me sentais mal alors je suis allé sur le pont pour prendre l’air. J’ai vu des choses. J’ai vu la mort.

Journal de bord /Carroll A. Deering\ : 2 Septembre 1920 :

Ici le capitaine WB Wormell. Je me charge du remplacement du capitaine William H. Merritt, qui est tombé malade, laissé hors du port de Lewes, Delaware , avec son fils. Tout a l’air de bien se passer à bord.

Journal de bord /Carroll A. Deering\ : 8 Septembre 1920 :

La cargaison a été livré avec succès. Je dois dire que l’équipage manque quand même de sérieux, seul Herbert Bates, l’ingénieur, est digne de confiance à mon goût.

Journal de bord /Carroll A. Deering\ : 2 Décembre 1920 :

Nous venons de quitter Rio. Mate McLellan, qui est mon premier compagnon, commence sérieusement à m’énerver.

Journal de bord /Carroll A. Deering\ : 9 Décembre 1920 :

Nous nous sommes arrêter a Barbade pour l’approvisionnement. Je pense lever les voiles dans 1 moins.

Journal de bord /Carroll A. Deering\ : 21 Décembre 1920 :

McLellan arrête pas de me critiquer. Il était encore ivre ce soir, il a dit dans le Café Continental : «Je vais faire le capitaine avant d'arriver à Norfolk, je le ferai». Je crois que je vais me plaindre de lui.

Journal de bord /Carroll A. Deering\ : 26 Décembre 1920 :

McLellan a été arrêter, enfin.

Journal de bord /Carroll A. Deering\ : 8 Janvier 1921 :

J’ai pardonné à McLellan. Il avait des problèmes d’alcools. Je pense qu’il ne recommencera plus. J’ai un peu discuté avec lui, ces quelques jours seul ont l’air de l’avoir changé, enfin j’espère.

| bistouflix_83  -  aujourd’hui à 15:51
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| J'ai une flemme immense de lire ta CP KANNIBALE.

merci ça fais plaisir

Zombie sinon attends la fin, car il reste des participants, après tu fais comme tu veux j'interdis rien.

Journal de bord /Carroll A. Deering\ : 9 Janvier 1921 :

Nous mettons les voiles pour Hampton Roads, je pense que ça va bien se passer.

Journal de bord /Carroll A. Deering\ : 12 Janvier 1921 :

On a repêcher une bouteille contenant un message a la mer. Enfin, on pensait que c’était un message. C’était en réalité une sorte de peinture faite sur un papier très ancien.

Journal de bord /Carroll A. Deering\ : 15 Janvier 1921 :

J’ai fait des recherches parmi mes vieux livres sur la mythologie présents à bord. Il me semble que c’est la barque de Charon ici représenté sur la peinture. J’ai un mauvais pressentiment, je n’aime pas ça, repêcher par hasard la peinture du bateau des enfers lorsque l’on est sur un navire au milieu de l’océan ce n’ai pas bon signe. J’ai donc brûlé la peinture. Puis j’ai fais une prière envers le seigneur. Je pense que ça va bien se passer après ça.

Journal de bord /Caroll A. Deering\ : 19 Janvier 1921 :

Aujourd’hui on a croisé des canots de sauvetage, des gens étaient a bord. Ils avaient l’air si…calme. Ils nous ont juste regardés sans rien dire. Pourquoi ne nous ont-ils pas demandé de l’aide ? Le temps qu’on s’active pour les faire monter à bord, ils avaient disparu. Sans que personne ne s’en aperçoive.
Avant qu’ils ne disparaissent, sur les canots, il me semble avoir lu « Mary Celeste ». Je ferais mon rapport une fois arrivé à Hampton Roads.

Journal de bord /Carroll A. Deering\ : 23 Janvier 1921 :

Un homme a la mer. Un roux, assez mince. Il a un accent étranger. Il est en état de choc. Il ne nous parle pas. On lui a quand même sauvé la vie ! Il nous a juste dit son nom : Joshua Zeiber.
Décidemment, le voyage est mouvementé.

Journal de bord /Carroll A. Deering\ : 25 Janvier 1921 :

Nous sommes perdus, je ne reconnais rien. Je ne sais pas où on est. McLellan recommence a me faire des reproches, accompagnés de tout l’équipage. Et Joshua est de plus en plus bizarres, il passe ses nuits sur la mouture à regarder l’eau. Je lui ai déjà dit que la mouture est un endroit interdit, on ne doit pas y aller. Mais je ne peux plus rien y faire.

Journal de bord /Carroll A. Deering\ : 26 Janvier 1921 :

Ils ne me font plus confiance. Je me suis enfermé. Je crois que leur instinct de survie a pris le dessus sur leur conscience. Non…ils sont fous, je crois qu’ils sont fous. Ils veulent me tuer, ils pensent que je porte malheur au navire. Je ne sais pas si je vais revoir la terre ferme…

Journal de bord /Carroll A. Deering\ : 27 Janvier 1921 :

Nous avons destitué WB Wormell de ces fonctions. Je suis Charles B. McLellan et je suis le nouveau capitaine de navire. Depuis que j’ai pris le commandement, tout se passe mieux. Les hommes sont plus confiants, plus sereins. Il y a juste Joshua qui n’a pas changé, il passe ses jours et ses nuits sur la mouture. Il ne mange pas. Je ne sais pas comment il fait pour être encore en vie.

Journal de bord /Carroll A. Deering\ : 28 Janvier 1921 :

Un phare ! Nous voyons un phare ! Je reconnais ce phare ! On est en Caroline du Nord, dieu soit loué !

Cela ne s’est pas passer comme prévu…nous nous sommes approchés du phare…quand nous entendîmes un bruit sourd sur la mouture. C’était Joshua qui était tombé en arrière. Il avait les yeux…écarquillés. Comme si il avait vu le diable. Nous nous avançâmes sur la mouture pour observer l’eau, ce qu’il y avait vu. Rien. Nous nous retournâmes mais Joshua n’était plus là. Après quelques minutes d’incompréhension, je l’aperçus enfin. Il était au phare. Il parlait au gardien. Comment avait-il fait pour se retrouver là-bas ? Nous voulûmes amarrer mais nous avions plus d’ancres !
Vu l’impossibilité d’amarrer au port, nous décidâmes de longer la côte pour trouver une plage où échoué. Tanpis pour Joshua… qui était-ce ? Etait-ce seulement une illusion après tout ces jours sans rien voir sur l’océan ? Non…impossible, je l’ai touché de mes propres mains…
Il faisait noir. On ne voyait pas grand-chose. Je pris alors la décision de garder la position jusqu’au levé du soleil.

Journal de bord /Carroll A. Deering\ : 29 Janvier 1921 :

Le pire est arriver. Ce matin, lorsque les premières lueurs du soleil apparurent, il y eu d’abord un épais brouillard, puis quand il fut dissipé, la côté avait disparu. Nous sommes sous le choc. Nous ne savons plus quoi faire. Nous allons essayer d’aller vers l’Est, la côte ne doit pas être loin, je pense que si on a dérivé, on pas dû dérivé de beaucoup…

Journal de bord /Carroll A. Deering\ : 30 janvier 1921 :

On a eu une nuit horrible. On entendait des chants. Est-ce les sirènes ? Existent-elles vraiment ? Je ne pense pas. C’est autre chose. Quelque chose de plus…terrifiant.
Même les chats sont perturbés. Je sais que je n’étais pas autorisé d’emmener mes chats à bord mais je l’ai fait quand même. Cela n’a plus d’importance, je me fous de l’écrire ici. Je ne sais même pas si on retrouvera la côte un jour.
Une nouvelle nuit se prépare. Rien de spécial ne s’est passé cette nuit. Nous sommes encore et toujours seul sur cette mer horriblement calme. Je vais rester en cuisine, je vais aider les cuisiniers à préparer le repas pour demain, ça m’occupera.

Je suis sortis des cuisines, c’est horribles, il y a des morts partout dans l’eau ! Que se passe-t-il ? Où sommes-nous ? Est-ce l’enfer ?! QUE SE PASSE-T-IL ?!

Journal de bord /Carroll A. Deering\ : 31 Janvier 1921 :

Nous avons quitté le bateau. Je suis actuellement dans un des deux canots de sauvetage. Ils sont montés dans le navire. Ils ont escaladé la coque. Les morts. Ils étaient sur le pont avec nous…tout le monde pleure…c’est horrible…nous sommes en enfer. Nous avons été obligés de fuir…
Quand l’on se penche ils sont là, sous l’eau…à nager…
Nous ne sommes plus dans le monde réel…ce n’est pas possible…c’est un cauchemar.

Journal de bord /Carroll A. Deering\ : ? Février 1921 :

Il fait nuit…il fait tout le temps nuit...la nuit…la nuit…la nuit. Lampe à pétrole. Synonyme de lumière…dans cette nuit sombre…nuit infini, océan infini, terreur infini. L’infiniment grand, l’infiniment petit, ainsi lié. Océan infiniment grand, vies infiniment petites. Contraire si flagrant, si terrifiant, mais invisible sous le soleil. La lune est la pour nous le rappeler. Nuit… peur… morts. Le temps passe, mais il ne passe pas. Calme. Nuit calme. Mer calme. Contraire des émotions. Explosion a l’intérieur, caresse à l’extérieur. Lumière gracieuse a la surface. Lumière disgracieuse sous l’eau. Lumières si proches mais si loin. Peur si loin mais si proche. A l’aide.

Journal de bord /Carroll A. Deering\ : ? Février 1921 :

Nous avons trouvé une planche de bois en train de flotter. Nous l’avons pêché. Dessus, il y avait graver : « Στύξ ». Je ne sais pas ce que c’est…

Journal de bord /Carroll A. Deering\ : ? Février 1921 :

Nous avons perdu de vue le second canot de sauvetage. Il était pourtant derrière nous. Je suis fatigué…

Journal de bord /Carroll A. Deering\ : ? Février 1921 :

Il est la. Il est sur le canot. J’ai compris. Il m’emmène. Il m’a choisi. Je suis chanceux. Je vais trouver enfin le repos. C’est la fin…

Journal de bord /Carroll A. Deering\ : ? Février 1921 :

Ο ωκεανός είναι μόνο μια γέφυρα. Ο ωκεανός είναι μόνο το σκοτάδι. Η ακτή είναι μια ψευδαίσθηση.

Le Carroll A. Deering été repéré pour la dernière fois par le Cape Lookout, phare en Caroline du Nord le 28 Janvier 1921, lorsque le navire a salué le phare. Le gardien du phare, le capitaine Jacobson, a rapporté qu'un homme mince avec des cheveux roux et un accent étranger lui a dit que le navire avait perdu ses ancres. Jacobson a pris note de cela, mais sa radio était sortie, donc il a été incapable de le signaler. Il a remarqué que l'équipe semblait être "autour de la mouture" sur le pont avant du navire, une zone où ils n'étaient généralement pas autorisés.
Le schooner à cinq mâts Carroll A. Deering a été retrouvé le 31 janvier 1921 échoué toutes voiles dehors sur des hauts-fonds au large du cap Hatteras, sur la côte est des États-Unis. Un repas était en préparation mais, à l'exception de deux chats, il n'y avait plus âme qui vive à bord. La plupart des effets personnels avaient disparu et divers indices laissaient à penser que son commandant, le capitaine Willis Wormell, avait été remplacé avant le naufrage. On ne retrouva aucune trace des membres de l'équipage et le mystère ne fut jamais éclairci.

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Les lignes de journal de bord datant entre le 28 Août 1920 et ? Février 1872 que vous venez de lire, viennent juste d’être retrouver.

Comme les précédentes…je viens de toutes les retrouvés.

Journal de bord /Frontier Triumph\ 1er Novembre 2013 :

Nous venons de pêcher une bouteille contenant des messages. Ce sont des journaux de bord appartenant à 3 navires différent. Tout cela me trouble…
J’ai besoin de prendre l’air. J’écris ces lignes actuellement sur le pont. Je ne sais pas quoi penser de tous ces journaux de bord que je viens de lire… Cela m’effraie…
Attendez, il me semble voir des personnes nager dans l’eau…

L’Océan est immense.
Je les vois qui dansent…
L’Océan est si sombre.
Les côtes ne sont qu’illusions.
Impossible de faire un pont.
L’Océan EST le pont.

Merde j'ai compé ses 10 pages de words ... on se tait.

Chaud arrêtez les pavé là.

Kanni J'ai commencé à lire

J'y go a toute.

Plus que 4 heures avant la fin du concours.

Wtf zombie mais t'es un Dieu de l'écriture en fait

T'es sûr de pas vouloir participer avec?

T'as kiffé ou pas ?

Zombie J'ai tout lut et c'est vraiment excellent

mais ce sont des vrais témoignages que tu as receuillis et romancés ou tu as vraiment tout écrit toi même ?