des familles. ..

Petit up + sweet je viens de me faire toute ta fic en une semaine et.............putain comme c etait bien!!!!! +1 grand grand fan

Petit up plus sweet! Je viens de me taper toute ta fic en une semaine et...........PUTAIN comme c était bien, continue comme ça.+1 grand grand fan

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Merde dsl quad posts

Bien joué

LA SWEET

Sweet

http://www.instant-gamingg.com/fr/igr927744/?igr=927744

Sweet bordel!

La suite (oui enfin je sais )

-LÂCHER VOTRE ARME, TOUT DE SUITE! Cria le policier au mégaphone.

-Désolé gamin, c'était la seule solution, si on le faisait pas on était mort... Affirme mon oncle.

-Bah, a quoi bon... Soupirai-je, tout est fini pour nous de toute façon...

-Je n'en suis pas si sur, me dit Tonton Louis.

Devant nous, Mélanie finit par lâcher son arme de son bras tremblant, fondit en larmes avant de s'écrouler elle même a genoux.

-LES MAINS AU DESSUS DE LA TÊTE!

Mélanie s'execute, et nous fîmes de même. Les policiers se ruent alors vers la jeune fille avant de la plaquer au sol et de la menotter. Dans la cohue je pus tout de même distinguer des "Encore toi?" Encore elle?!" "Jamais tu t'arrêteras toi!" et mon oncle me souffle alors son idée:

-On peut encore s'en sortir. C'est fini cette fois. On dit que cette fille et sa bande ont enlevés ta mère sous nos yeux et que nous l'avons poursuivis jusqu'ici car impossible pour nous d'appeler la police. Elle aurai fait ça a cause d'un coup d'un soir foireux, auquel tu t'es tiré en douce le lendemain, comme tu sais si bien faire, qu'elle n'a pas digéré. C'est ok pour toi?

-C'est tout ce que je t'inspire? Ironisai-je, un simple bourreau des coeurs ayant fait une fuite banale...

-La ferme. C'est ok pour toi?

-Ok ok très bien, répondis-je peu confiant.

-Si on arrive a bien jouer et qu'on dit exactement la même chose, ça passe...

-Ou ça casse... Mais, une femme n'est-elle pas toujours une victime devant la justice, devant les "méchants hommes"?

-Pas si cette gamine a un passé de délinquance mineure, elles ou ses frères, et qu'elle vient d'un milieu de merde... Beaucoup de choses peuvent jouer en notre faveur... Enfin, on verra bien...

-Tu risques un séjour en taule sur un "on verra bien", dis-je tandis que je ris jaune, t'es un grand malade Tonton...

-Tais toi, l'un d'eux arrive.

-C'est fini, nous dit l'un des policiers, tout va bien messieurs?

Alors que ses collègues étaient en train d'embarquer Mélanie qui était entrer en crise de nerfs aussi énorme qu'inattendue dans les bras des policiers, l'un d'eux, jeune, la trentaine passée, vint nous voir pour nous rassurer, nous demander des nouvelles de notre état et aussi pour nous poser des questions. Car même si on ne l'était pas, c'était nous les victimes pour le moment. et malgré tout, nous sommes peut-être coupables aussi a leurs yeux, ce qui est vrai, ce que fait de nous des suspects potentiels.

Mais pour l'heure, rien, juste les victimes d'une fille devenue folle a lier. D'autant plus que Romaric n'est plus...

-Rom...

-Oui moi aussi tu sais, me dit l'oncle Louis, je voudrais être triste pour lui, ou bien le haïr car j'aurai pu... Mais je ne peux pas... Je ne peux rien...

Je l'avais presque oublier. Mon frère est mort, ça y est. Que dire? Que penser? Même mort, il me laisse dans l'incertitude. Le détester? Je ne peux pas. L'aimer et être désolé de son décès? Encore moins. Le fait qu'il soit mort ne fait pas de lui un ange...

-Je vais prendre vos identités a tout les deux...

-Louis Guignard, blablabla...

-Gael Bellamy, dis-je juste après lui.

Inutile de mentir et de donner de fausses informations, Mélanie les révèlera de toute façon. Cela nous enfoncerez encore plus.

Je stoppe maintenant car je dois m'absenter quelques instants

T'AIME CA LE SUSPENS ET LA FIN SUR LA LONGUEUR HEIN???!

Suite:

-Regardez! S'exclama l'un des policiers, il y a un homme a terre!

Ils se précipitèrent alors vers le corps de Romaric.

-Il est mort, constata l'un d'eux, un gros moustachu en notant quelques choses sur son carnet.

-Et cette femme est encore consciente, dit un autre. Appelez une équipe médicale!

Finalement, je l'ai attendu toute ma vie, mais je hais ce jour: Aujourd'hui, j'ai dix-huit ans, c'est bel est bien vrai. Mais ça ne se passe pas du tout comme je l'aurais imaginé...

-Vous allez nous suivre au commissariat, nous annonce le jeune flic, nous avez besoin de vous... Vous nous expliquerez par ailleurs d'ou viennent toutes vos blessures?

J'avais oublié ce détail qui enlevait quelques peu notre crédibilité: Nos coquards et nos traces de sang sur le visage quoique nettoyé ainsi que sur les vêtements.

-Et Monsieur Faustère? Demandai-je discrètement a mon oncle.

-Il va bien, je l'ai vu sortir de la maison d'Axel, presque en même temps que nous, chuchote mon oncle pour ne pas se faire entendre, il s'en sortira, je le connais, on se retrouvera plus tard. Aie Confiance.(Koukou Kaa de mowgli )

-D'accord.

QUELQUES JOURS PLUS TARD....

Tout était enfin fini. Tonton Louis, ma mère et moi étions tous sortis (presque) indemnes de ce merdier, et la version de l'histoire de Tonton était passé presque crème, grâce a nos trois témoignages combinés et au fait que mon frère soit décédé. Mélanie a été arrêté et les flics l'ont estimés mentalement instable, ce qui a été prouvé. D'ailleurs, personne n'a cru son histoire a elle, trop invraisemblable. Elle avait remanié la réalité car trop de choses lui faisait tort dans l'histoire. Ce qui a joué en notre faveur. Ils étaient temps de disparaitre tant qu'il en est encore temps.

Nous avons fait l'objet d'une nouvelle aux infos télévisés de la région, seulement nos noms ont été changé et nos visages floutés. Personne ne savait donc qui ont été, et ce qu'on avait vécu. Même après avoir vu cela, un pincement de culpabilité me toucha en plein coeur.

-Non, me dis-je en gigotant, c'est arrivé et l'on y peux rien malgré tout, c'était elle ou moi...

-Moi aussi je me sens un peu coupable, me dit l'oncle Louis, mais tu l'as dit. C'était elle ou nous...

-Putain... J'suis vraiment une ordure...

Nous avions organisés aussi les obsèques de Romaric, toujours dans l'incertitude. La mort de mon frère me faisait du mal, mais j'étais aussi content qu'il ne puisse plus rien faire contre nous, plus aucun mal pour notre famille et le reste des gens. Puis, une chose me vint direct a l'esprit. Au fond, la réponse a toujours été la, devant mes yeux:

Mon frère est mort il y a des années. Il s'est détruit peu a peu après la mort de notre père. Je pleure le garçon qu'il était, pas celui qu'il est devenu.

Tout comme moi. Ma vie et les problèmes avaient empirer jusqu'a ce qu'ils m'échappent. Une fois l'embrouille avec Axel Roy et Mélanie terminé, je me dis: "Et maintenant?"

Impossible de savoir qui a gagné entre Maxime Bondart et Axel Roy. D'ailleurs, plus aucune nouvelle des frères de Ben, ce qui n'est pas un mal.

Plus de nouvelles non plus de la part de la petite bande de Tina, Solène, Marie, Claire, Tarek, Weng, Martin, Fergus et Dimi, impossible de savoir ce qu'ils devenaient, et eux ne savaient pas ce qu'il en était de moi. Je pense d'ailleurs que la plupart s'en fout désormais. Tout le monde était rentré chez soi, bien au chaud. Claire ne sait pas ce qui est arrivé a Romaric, et tant mieux. Elle qui s'était fait manipuler par lui, a fini par l'oublier.

Tout comme Tarek qui avait décidé de couper les ponts et de ne plus entendre parler de Mélanie. Et il avait bien raison au fond, qui sait...

Mais j'envoie malgré tout un sms a Dimi pour le remercier de son intervention.

"Merci de m'avoir aidé malgré tout, même si c'était chaud nous deux au début, sache que tu es un véritable ami. Merci Dimi, et bonne continuation"

"Derien, c'était a moi de te remercier, après ce que t'as fais pour moi. Que vas-tu faire maintenant?"

"J'en sais rien, mais tu seras mieux sans moi je pense. Au revoir".

Et ce fut tout. J'ai fais mes adieux a Dimi que je ne risque pas de revoir de sitôt. Alors que je m'apprêtais a appeler Tina, c'est finalement elle qui m'appela en premier:

-Gael??? Comment tu vas?? J'ai plus de nouvelles de toi depuis longtemps...

-Je sais, la rassurai-je, je m'en suis sorti finalement. Comme toujours...

-Je voulais juste savoir... T'es ou? Et qu'est ce que tu vas faire?

-Je compte aller a la gare, celle de chez moi. C'est tout...

-Tu reviens quand au lycée? C'est un peu vide sans toi, ça se ressent...

-Non, c'est mieux sans moi...

-Pourquoi tu dis ça?

-Avec mes idées, ma philosophie de vie qui est au final très stupide, et les choses dont je suis peu fier que j'ai faites, je pense que je détruit tout ce que je touche, j'en ai marre. J'ai foutu la merde partout ou je suis allé. C'en ai trop pour moi...

-Tu as les exams a la fin de l'année, me rappelle-t-elle.

-Au point ou j'en suis... Je m'en fous... Dis-je tristement.

-Non tu peux pas dire ça...

Je pouvais entendre sa tristesse par le son de sa voix. Elle est jolie même quand elle est triste...

-C'est fini tes problèmes! Tu les as surmontés. Tu peux encore revenir, repartir, tu peux tout reprendre a zéro malgré tout...

-Peut-être, mais pas de cette manière.

-Mais tu vas me manquer connard! s'exclame-t-elle. Tu peux pas t'en aller comme ça!

-Moi non plus j'aurais bien voulu ne pas m'en aller, répondis-je. Mais la j'ai pas vraiment le choix.

-Et tu veux t'en aller ou?

-J'en sais rien. Je trouvera la réponse sur la route certainement...

-Alors y'a pas d'options?

-Non.

-J'suis désolée qu'on en soit arriver la...

-Et moi donc.

-...

-T'as toujours été ma meilleure amie, depuis que je te connais, annonçai-je, j'ai eu le coup de foudre amical pour toi. Peut-être plus même, j'ai appris a aimer ta personnalité, même si j'ai pas voulu l'admettre. Tu me fascinais.

-Gael...

-Aujourd'hui je suis sur de trois choses: J'ai merdé. J'ai tout foutu en l'air. Et aussi... Je sais que vous vous en tirerais tous mieux sans moi. Et aussi... Je t'aime.

Je ne lui laissa même pas le temps de répondre que je raccrocha mon téléphone, non sans émotion. La boule dans la gorge se forma. J'ai les boules de quitter Tina ainsi. Si seulement...
Valise a la main, je me dirigea vers cette fameuse gare, bientôt rejoint par ma mère et mon oncle.

Après les bonjours et les politesses de famille, ma mère intervint:

-Alors... On s'en va vraiment?

-Oui, Axel Roy pourrai revenir, mieux vaut qu'aucun d'entre nous ne reviennent jamais dans cette ville. JAMAIS.

-ça ne me manquerai pas, dit l'oncle Louis en grattant sa fine barbe. Moi je vais retourner dans ma maison, et reprendre ma routine...

-J'ai trouvé une maison assez loin d'ici, annonce ma mère, j'ai fais ça le plus discrètement possible, les camions déménageurs viennent demain. Mieux vaut laisser tous ça derrière nous...

-Il faudra, dis-je simplement, et on y arrivera.

Nos conversations furent coupés par l'annonce de la dame SNCF (Tou ta tala )

-Le train Ter XXXX en direction de XXXX va arriver en gare.

-Alors ça y est, c'est la, dis-je ému. C'est la qu'on se sépare...

-On dirai bien, dit mon oncle avec les larmes aux yeux.

Ma mère ne dit rien et me sers dans ses bras. Après hésitation, je lui rend son étreinte qui dure environ vingt secondes.

-Au revoir mon fils, dit-elle simplement. Se reverra-t-on?

-Peut-être, dis-je, peut-être...

-Fais attention a toi, me dit mon oncle.

-Au revoir Maman, et au revoir Tonton, et merci d'avoir était la, dis-je avant de le serrer a son tour dans mes bras.

Puis il se défit de l'étreinte quelques instants plus tard:

-Tu vas rater ton train bouffon.

Il a raison. Je fais un dernier signe de tête a ma mère et mon oncle et part vers le quai, sans me retourner. Bien que l'envi ne me manque pas, une voix dans ma tête me dit: te retourne pas Gael, te retourne pas" ça ne ferai qu'empirer, c'est vrai...
Je monte dans le train, qui part je ne sais ou. Ou je vais? Je n'en sais rien. Ce que je vais faire? Je n'en sais rien non plus.
La tête pensive, j'espère trouver des réponses a ces questions sur ma route, et une nouvelle chance de refaire ma vie. Moi qui est tout détruit... Y compris moi même... Je pars sans grand regret de tous ça ni vraiment comment j'allais m'y prendre pour la suite... Suite très incertaine...

Car au fond, je dois juste tenter de me reconstruire. Au fil du temps, j'ai juste réussi a me détruire... Voila pourquoi aujourd'hui, je ne sais même pas ou je vais, et pas question de me souvenir d'ou je viens. Je dois l'occulter...

Une chose que j'ai appris, c'est que tout détruire parce que l'on souffre ne mène a rien... Seulement a plus de souffrances... je l'a appris a mes dépens...

Et qu'il ne faut jamais regarder en arrière. Continuer d'avancer même si l'on ne sait pas ou l'on va. Jamais regarder le passé. Jamais.

FIN :fête:

Je proteste contre cette fin + la fin est mon VDD

+ y'aura même pas un epilogue ou un HS ?

Nooooooo tas pas le droit !!!!!!!!!!!!!!!!!! Cest vraiment la fin? ((( et Tina ???????

Espèce de méchant
Cette fin de fic marque un tournant

Putin cette fin non ...
Je m'attendais pas à ce que ça se finisse comme ça

La fin m'a laissé neutre sa fait un peu cliché le type qui se barre en train, j'ose pas dire que je suis déçu mais hon gg a l'auteur quand meme, c'est rare qu'un truc ecrit fasse ressentir des trucs comme sa jerry et eu les larmes aux yeux devant cette fic.
MerCi l'auteur
S'quand que tu reprend ta fic saveurs de l'été ?

Je ferais un petit point sur cette fic un peu plus tard, quand j'aurais le temps d'écrire un pavé
Même moi j'arrive pas a croire que c'est fini

Poubelatornade Bonne question je crois que je vais la réécrire entièrement