Chapitre 48.
Samy.
Nous fûmes réveillés (passé antérieur t'as vu mon frère ?) par l'autre enfoiré de Laborde vers huit heures du matin. Il nous convoqua tous dans la cuisine, sa putain d'arme à la main à nouveau, et nous expliqua la situation. Je cite parce que moi je parlerais pas comme ça wesh :
" Très bien, je vous ai réuni ici pour tout simplement vous annoncer que je n'ai pas encore fait mon choix, voilà. Aujourd'hui, pas un mot quand on sera face à face. Je ne veux rien, pas un regard. Ma concentration se doit d'être optimum, le premier qui viendra me perturber, il finira comme vos deux autres copains.
Bref, n'essayez pas d'agir, seule mon cerveau et ma lucidité primera sur le reste. Votre destin est entre mes mains, que ça vous plaise, ou non. Maintenant, on va rester sagement ici, dans cette salle.
Elodie et Juliette, allez faire à manger, sans discussion.
Samy et Charles-Honoré, les deux copains, nettoyez la salle de fond en comble, je voudrais manger dans le calme et le propre. "
A ce moment là, j'eus vraiment envie de me rebeller, de foutre mon point dans la gueule à Laborde, de me lever, retrousser mes manches et lui mettre la bastos de sa vie. Il tomberait dans le coma. Mais l'AK47 repoussa au fin fond de mon esprit ces idées malsaines.
Je me levai donc, en essayant de ne pas trop faire la gueule et sans le dévisager du regard, même si j'avais une envie fracassante de l'encastrer dans le mur.
Une fois un ballet en main et une brosse, la corvée pouvait commencer. Et je devais me taper le bouffon de première avec moi dans ma tâche. Au fond du réfectoire, je voyais Laborde mettre les pieds sur la table et se la jouer pépère tandis qu'on faisait le boulot, quelle saloperie ce mec.
Même si j'avais une haine profonde envers mon collègue de travail, je chuchotai à voix inaudible avec lui :
- Quelle enflure celui-là, faut qu'on réussisse à le piéger.
- Oui mais comment ? S'il y avait mon père ici, il passerait un sale quart d'heure. Pour qui se prend-il ?
Ce mec parlait vraiment comme un bourge, avait une mentalité détestable, il me fit penser un instant à mon père. Mais c'était mon seul allié dans cette bataille contre Laborde.
- A part un coup de ballet dans la tronche, je vois pas perso' wesh.
- Il y a forcément une solution, mais quoi ?
Pendant ce temps-là, en cuisine.
Juliette.
Je fusillais du regard, en même temps d'éplucher mes patates, Elodie. Cette idiote faisait de même. La tension était très palpable.
- Elodie.. Je sais qu'on est pas du tout amie, mais... Si tu veux sortir de là, on doit s'entre-aider. dis-je à voix très basse.
- Je vois pas où tu veux en venir.
- On a plusieurs options. Empoisonner le potage de Laborde, l'attaquer par derrière avec notre couteau. Je sais pas moi.. Mais je ne reste pas un jour de plus dans ce vieux chalet pourri. J'imagine que toi aussi.
- D'accord avec toi. Je crois que j'ai un plan attend..
Ainsi, cette peste allait peut-être enfin se servir de son cerveau.
Fuck yeah j'aime sa
+ bonne nuit )
Bonne Sweet
Sinon si tu pouvais jeter un oeil a ma fic (dans ma CDV) et me dire ce que t'en pense ce serait cool
Salut Noé
Bon après un problème de connection, de quelques semaines, je suis de retour ! Et ta fic est vraiment superbe ! WTF comment ca a tourné !
Haaaaaaanw Chan-mé ! Cette peste allait enfin utiliser son cerveau ! Haaaaaaaanw
Trop bonne la suite
+ Jerry de Juliette et Elodie + Samy et Charles-Honoré
trop bonne fic
SXEEEEET ... j'aime cette suite
SWEET* Fail
J'aime les suites
Sweeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeet
Ils vont sûrement réussir.
Laborde est trop confiant et puis il reste les autres profs...
Bon le foot est fini (ALLEMAGNEUHH JAHH ) Where is the sweet ?
Chapitre 49.
Samy.
Il y a des jours, comme ça, où le seul sentiment qui domine est la haine. A ce stade, ma conviction de me rebeller contre toute cette connerie était entière. Dans ma ligne de mire, Laborde, évidemment. Mais une fois débarrassé de ce dernier, je ne serai pas au bout de mes surprises, loin de là, que cela ne déplaise aux bolosses de cette classe de merde.
Mais, comme on dit, il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir mangé un truc dans le genre. Alors, avant de préparer ma vengeance à moi, la vraie, l'unique, je dois prévoir un blanc pour éliminer la concurrence actuellement présente, je veux parler du prof d'histoire.
- M'en bats les couilles j'y vais, m'élançai-en triomphe.
- Il va t'allumer, ne fais pas ça Samy. Ton ballet ne peut rien faire face à sa puissance de feu..
Pendant ce temps-là.
- Oui alors Elodie c'est quoi ton plan ?
- Non mais je déconnais hein j'ai pas d'idée moi.
- ...
Cette farce (énooorme blague) de ma malheureuse acolyte ne me fit guère sourire. J'étais plus dans la rage ultime.
Un éclair d'une demie-seconde surgit alors en moi, et j'avais fait mon choix. Je devais aller au combat, quitte à y perdre la vie, l'enfer ne devait persister.
Je pris donc une poêle tandis que l'autre bécasse me regardait, la bouche ouverte, telle une teubé, et me dit bêtement :
- Bonne chance.
Cela ne m'encouragea pas vraiment. Alors que je me dirigeais à pas de souris vers Laborde, dans son dos j'aperçus qui faisait de même, arrivant par le côté droit. Pour le moment, le psychopathe Laborde ne se doutait de rien. Pourtant, deux dangers potentiels s'approchaient de lui, motivés comme jamais.
Samy.
- J'm'en bats les steaks j'y vais wesh.
- Comme tu veux. R.I.P.
- Ca veut dire quoi ton truc en anglais wesh ?
- Rien, bonne chance.
Et ainsi je me dirigeai, lentement et prudemment vers ma proie. Sauf que ma proie était beaucoup plus forte, plus puissante et plus violente. Mais je n'en avais pas peur. Une bonne racaille n'a peur de rien.
Arrivé à 5 mètres de lui, toujours ignorant, je respirai et retins mon souffle pendant quelques secondes, le temps de m'approcher de lui et de frapper un grand coup, mon ballet en main.
Tout le monde était derrière moi, et, bizarrement, seul ce tyran était aveugle. J'aperçus également Juliette, derrière wam.
Sauf que tout à coup..
Cette suiiiiiiite !
Mais omg je veux savoir ce qui se passe
OMG cette sweet !
Sinon, tu as réussi à rendre Samy attachant,
C'est volontaire ?
Ah au fait c'est un balai pas un ballet.
Mais sinon SWEET!
Samy et Juliette vont se faire kalashniké