Chapitre 3 ce soir.

Je lirais dans la foulée les deux alors

Nouveau chapitre les jeunes !

Chapitre 3 : Une autoroute au Sud-Ouest de Lincoln (Massachusetts), 24 Novembre 2024

Immédiatement mon cerveau se met à fonctionner à toutes vitesses. J’analyse la situation : des fossés des deux côtés de la route, on roule à 80 à l’heure, il se trouve à moins de 20 mètres devant. Impossible de l’éviter, et quand bien même j’essaierais ça nous enverrait dans un fossé ou on partirait en tonneau, voire les deux. Pas le choix, je garde ma direction, mais je freine quand même, non pas pour l’épargner, mais pour pouvoir descendre rapidement après. Avant que ce type soit réduit en bouillie par le fourgon, je jure de le voir lever les bras devant son visage, bien que je ne sois pas sûr en raison du soleil qui décline. Je sors du véhicule après qu’il se soit stoppé, et je constate les dégâts. Comme je le craignais, ce n’est pas un zombie, mais pire encore, il porte un uniforme du Blackwatch. Mon cœur s’affole, je commence à le fouiller, quand Emily et Seth (qu’elle vient de sortir de l’arrière) me rejoignent.
- C’est qui ce type ? Commence Seth.
- J’ai jamais vu une tenue pareille. Marc, tu sais ce que c’est ?
- Je, euh, je… Disant cela, je me retourne vers eux pour voir une silhouette corpulente derrière eux. Attention !
Il attrape Seth et le braque avec son arme. Je dégaine la mienne avant qu’il ne dise :
- N’y pense même pas connard ! Putain Nick… Tu vas payer ordure ! Je te jure que…
Avant qu’il ne termine sa phrase, j’attrape mon couteau et le lance en me baissant pour éviter son tir, et mon couteau se loge dans son œil droit. Pas très profond cependant comme il n’est pas prévu à cet effet, ce type sera borgne mais pas mort. Tant mieux, ça me permettra de l’interroger. Tandis ce qu’il hurle de douleur, j’arrache ma lame et demande à Seth si ça va. Il me répond par l’affirmative, puis je me tourne vers Emily, et la voit allongée par terre, une grosse tache rougeâtre s’étendant sur le bas de son blouson.
- Bordel non !
Nous nous précipitons vers elle, et commençons le discours habituel :
- T’inquiète pas, ça va aller, reste avec nous ok ?
Je lui fais un bandage précaire puis nous la portons rapidement dans la cabine où nous l’installons la tête sur les genoux de son frère et les jambes sur mon siège. Avant de monter, je retourne en arrière et attrape le soldat encore en train de saigner.
- Si jamais elle meurt, je te jure que tu le regretteras !
Je le traine lui et son collègue dans le fourgon et les enferme avant de remonter à l’avant, et de mettre la gomme. Seth est horrifié.
- Qu’est-ce qu’on fait putain ?!
- Calme toi, j’ai nettoyé une cabane pas très loin d’ici de ses zombies y a quelques jours, on pourra la soigner là-bas.
Nous arrivons le lendemain matin, et nous installons Emily dans la chambre à l’étage. J’enlève son bandage, désinfecte sa blessure, puis lui en met un propre. Après quoi je laisse Seth la nourrir pendant que je retourne au fourgon chercher les deux salauds. Je les emmène dans la remise où j’attache solidement le borgne à une poutre avec de la corde. Ensuite, je commence à l’interroger.
- Où est Randall ?
- Va te faire foutre !
Je plante mon couteau dans son genou et tire vers moi, lui arrachant un cri de douleur.
- Où ?!
- Pauvre taré…
Cette fois, j’enfonce mon doigt dans son œil longtemps, avant que j’estime cela suffisant.
- Tu vas répondre merde ?!
- Putain !
J’en ai marre. Je baisse son froc et attrape ses parties.
- Si tu tiens à tes couilles répond !
- Non putain, tu vas pas le faire !
Je tranche ses testicules et les lui fourre dans la gorge, baissant un peu le volume. La peur se lit dans son œil valide. Je retire ses boules et hurle :
- La prochaine fois c’est ta bite que je fous dans ton cul !
- Ok ! Ok putain ! On s’est fait surprendre par les zombies à la base au Nord. Moi et Nick on s’est tirés vite fait. Randall aussi, mais je sais pas où. Je te le jure mec ! Nick a l’itinéraire sur lui !
- Tu vois, c’était pas si dur.
Je commence à fouiller son camarade et trouve la carte, indiquant Chicago comme étape après la base. Je me tourne ensuite vers lui, serrant le couteau dans ma main.
- S’il-te-plait mec, je t’ai dit ce que tu voulais savoir… Tu peux pas me tuer !
- Non, tes blessures s’en chargeront à ma place.
Je le laisse se vider de son sang tandis ce que je rejoins Seth sur le palier de l’étage.
- Comment elle va ?
- Pas génial. Je lui ai donné à boire et à manger, maintenant faut attendre. Elle voulait te voir. Je vais monter la garde.
Il part dans le salon tandis ce que je me dirige vers la chambre.
- Ca va ?
- Ouais, t’inquiète. Mais quand elle essaie de s’assoir, elle pousse un petit cri de douleur et se rallonge immédiatement. Ok, ça va pas fort.
- Désolé pour ça, c’est ma faute.
- C’est qu’un accident. Et puis, je me suis toujours demandé ce que ça faisait de prendre une balle.
Elle essaie de rire, mais se ravise aussitôt.
- Dis Marc…
- Oui ?
- Si je dois mourir, j’aimerais bien connaitre ton histoire.
- Bon, d’accord…
« Quand j’étais gosse, ma vie était vraiment naze. Personne voulait être ami avec moi, et mes parents ne me témoignait pas plus d’amour. Le jour de mes 12 ans, ma mère m’a offert ce couteau, comme elle savait que je l’aimais bien. Le même soir, un type m’a assommé, me l’a volé et l’a utilisé pour les tuer, avant de le laisser dans ma main. Evidemment, la police m’a tout de suite accusé. Comme j’avais l’air plus vieux que je ne l’étais, j’ai volé un passeport et une carte d’identité, et je suis venu ici, la tête pleine d’idées sur ma nouvelle vie, un peu comme les immigrants de l’après-guerre. La belle connerie…
« J’ai réussi à venir en Californie, et à me trouver un appart et un job dans un magasin de vêtements. Dire que j’étais le premier de ma classe ! Les 17 années suivantes se sont résumées à un salaire de merde et les soirs dans les bars. J’ai aussi commencé à fumer le cigare. J’ai reçu des coups et appris à en donner. Le jour de mes 29 ans, en 2013, je me suis dit que ça servait à rien de continuer. Puis j’ai rencontré un ange. Elle s’appelait Lindsey, elle venait juste avec ses amis pour s’acheter des fringues, mais dès que mon regard a croisé le sien, elle a compris. Elle est venue me parler, je lui ai expliqué mon désintérêt croissant pour la vie, et elle m’a dit que chaque vie était importante. Après, elle a dit à ses amis qu’elle rentrait seule, et elle m’a ramené chez elle. Elle m’a montré qui elle était, et il se trouve qu’elle était une star du violon qui, non content d’aimer toutes les personnes qui existaient, voulait sauver de la dépression tous les gens comme moi. C’était vraiment un ange ! La perfection même !
« Au fur et à mesure, on a fini par tomber amoureux l’un de l’autre. Puis le Black Friday a eu lieu. Ce jour-là, j’ai tout fait pour la sauver, mais on est tombé sur une escouade du Blackwatch, une unité ultrasecrète de l’armée, qui avait reçu l’ordre d’éliminer toute menace potentielle. J’ai pris une balle dans l’épaule gauche, et Lindsey les a suppliés de me laisser en vie. Je voyais bien que certains hésitait, jusqu’à ce que leur chef, le Général Randall, donne l’ordre. Elle s’est écroulée devant moi, me fixant pour la dernière fois, d’un air qui semblait dire "Désolé". La rage a envahi tout mon corps, et je les ai tous descendus, sauf Randall, qui s’est enfuit malgré la balle qui lui a arraché 2 doigts. Je suis devenu exactement ce qu’elle essayait d’empêcher : un monstre. Lindsey était ma seule raison de vivre, maintenant j’en ai une autre : descendre Randall.
- C’était eux que tu pistais à Lincoln.
- Oui.
- Et qu’est-ce que tu feras une fois Randall mort ?
- Je me tuerais je suppose.
- Je vois. Elle marque une pause, puis reprend. Dis-moi Marc, si tu es devenu un monstre ce jour-là, pourquoi vouloir nous sauver moi et Seth ?
Je réfléchis pendant quelques secondes pour trouver la réponse, mais avant que je ne la dise, j’entends Seth :
- Marc ! Amène-toi !
Je descends à toute vitesse, et vois par la fenêtre une horde d’infectés. Ils ont surement été attirés par les soldats.
- Il faut qu’on se tire.
- Y a juste un problème : le fourgon est entouré de ces saloperies !
- Je sais.
- Mais alors on fait quoi ?!
- Relax, je vais trouver.

a) Tenter d’aller jusqu’au fourgon
b) Résister dans la cabane
c) Créer une diversion
d) Se cacher dans la chambre

"une escouade du Blackwatch, une unité ultrasecrète de l’armée, qui avait reçu l’ordre d’éliminer toute menace potentielle"
"Randall"
Tu voulais pas appeler Lindsey Elizabeth Greene non plus?

A part cette,hum,"petite inspiration" de prototype( ),je dirais la réponse c

Que veux-tu, inspiration...
Mais j'ai glissé une autre référence avec cette dernière.

c

C bien évidemment

J'ai enfin comblé mon retard, et je fais la critique demain.
Je vote rien pour le moment, je te dirais pourquoi.
Tu préfères que je poste ici, ou en MP ?

Fais-en donc profiter les autres.

c.

Tout d'abord, je voudrais que tu mettes de côté toute fierté, et que tu lises ce qui va suivre avec un esprit objectif. Garde en tête que j'essaye de me montrer absolument neutre et objectif, et que mon but est de t'aider le plus possible. Si ça peut tout de suite te soulager, ma critique n'est pas positive globalement.

En fait, il y a plusieurs choses qui me gênent dans ton histoire. Je vais procéder point par point.
D'abord, le style. Bon, c'est subjectif. Mais personnellement, je trouve que tu vas bien trop vite, surtout concernant le prologue, ça fait « liste de courses ». J'ai pas du tout eu une impression de fluidité, j'avais presque le sentiment d'avoir à me taper un propos haché.
Ensuite, le plus gros soucis, c'est les incohérences et les deus ex machina. Certes, un auteur a pour objectif de faire paraître réaliste et acceptable des éléments d'un univers qui ne le sont pas forcément... mais encore faut-il le faire correctement !
Ça serait un peu longs de reprendre tous les exemples, aussi je ne saurais me montrer objectif. Donc, par exemple, Seth et Emily se sont fait chier à rassembler toutes les munitions et les provisions disponibles dans leur ville, ils ont fortifiés (tu parles de barricades, et pas des petites!) leur école, et à la première horde venue de zombies, tout est foutu ? Tu ne parles absolument pas des circonstances de l'attaque, les zombies pourraient être 50, 100 ou 2000, on en sait rien. Juste avant ça, Marc déclenche un « piège sonique » (ça serait bien que tu détailles un peu, pour qu'on puisse régaler ne serait-ce que de ton imagination!) qui fait illico sortir pleins de zombies. Outre le caractère assez peu réaliste de la chose (des dizaines de zombies qui se baladent, mais pas un seul DEHORS...), j'ai été très choqué de voir débarquer Emily immédiatement. Que foutait-elle bon
sang ? Tu la fais résider dans l'école qui est à « plusieurs minutes de course » (car je crois pas qu'ils marchent!?), puis, après un espèce de portail en métal, ils font encore plusieurs centaines de mètres. Donc, logiquement, ils se trouvent à au moins un kilomètre de l'école-refuge. Ça me semble très loin, une grande distance en milieu urbain. Et Seth, aurait-il vraiment la ligne de vue suffisante pour couvrir à l'aide d'un snipe ? C'est peu probable, car il faudrait que la ville soit en forme de cuvette, et qu'il se trouve sur un des bords... sachant que tu n'as même pas décrit la morphologie urbaine, on a encore moins envie d'y croire, tu comprends ?
De plus, tu oublies qu'il snipe des zombies a UN KILOMETRE, un mec de 17 ans ne peut PAS faire ça. Seul un tireur d'élite ultra entraîné pourrait effectuer de tels cartons, car à une telle distance, non seulement il faut des compétences de bête, mais en plus il faut une arme vraiment dédiée au snipe, je doute fortement qu'il ait accès à un fusil de chasse adéquat.
Lorsque Marc débarque dans l'abri, Seth le braque avec son revolver... et Marc lui colle sa lame sous la gorge. Il est idiot ? Dans un tel cas, ça me semble le meilleur moyen de se faire descendre.

Plus tard, j'ai apprécié quelques détails sympas, comme la batterie alimentant la TV... sauf que ça part en couille à cause des incohérences : la batterie est tellement lourde qu'il peut pas la descendre en la portant, donc il la jette par la fenêtre ? Et Emily a comme par hasard un coussin sous la main pour amortir le choc ? Et la batterie, comment est-elle montée en haut d'ailleurs, si elle est trop pesante à transporter... mystère. Sans compter qu'une batterie, même de fourgon, n'est pas si lourde. Une batterie « standard », c'est-à-dire de berline pèse dans les 3-4kgs, donc même en admettant qu'une de fourgon atteigne 10 et même 15kgs, ça reste largement faisable pour un mec de 17 ans.
Autre détail qui tue : ils s'arrêtent pour récupérer la Harley, cool. Sauf que tu te vois de hisser sans rampe une Harley Davidson à bord d'un fourgon ? As-tu même réfléchis à la question ?

Le moment où Emily se fait dessouder est sympathique, et aurait été un moyen de dramatiser bien l'histoire, et même de lui donner une dynamique. Par exemple, se lancer dans une course-poursuite pour sauver Emily, en trouvant un médecin ou un hôpital par exemple. Car une unité secrète de l'armée envoyée pour nettoyer toute menace, ne va pas employer du 6mm, soit en sûr. De ce fait, tu crois qu'une quasi adolescente pas bien épaisse peu survivre, du moins aussi «bien», à un tir direct dans le bas ventre ? Non.
Ah, juste avant ça. La prochaine fois que tu seras sur une départementale, tu fermeras les yeux et tu demanderas au conducteur de choisir un élément facilement repérable sur le bord de la route, un arbre par exemple. Et quand il sera à 50m mettons, il te dira d'ouvrir les yeux, du coup, le temps que t'ouvre et que tu repères ledit élément, vous serez à 20m environ de distance. Bien sûr, le conducteur aura pris soin de se caler à 80km/h. Et tu me diras ensuite si tu as la moindre chance de faire quoi que ce soit. Un véhicule lancé à 80 ne te laisse aucune possibilité si un objet surgit à 20m devant, tu rentres dedans et c'est tout, terminé. Je suis même pas sûr que tu ais le temps de réaliser ce qui se passe. Enfin si, mais à peine.

L’histoire de Marc est sympathique, un peu extrême et atypique, mais bon, on est pas dans le monde des bisounours non plus. Un détail tout de même : ils sont vraiment pas dégourdis les gens de l’aéroport, pour pas remarquer que c’est pas sa carte d’identité et son passeport
Et le prix du billet ? Dommage de faire des erreurs comme-ça, c’est bête quoi, c’est si simple à éviter… en soit, aucune n’est « dramatique », mais à force ça plombe vraiment le récit je trouve.
De même que certaines actions qui semblent un peu sortir de nulle part : la mère lui offre un couteau (mal formulée ta phrase au passage) et bam, le soir même, il se fait carrément assommer et on le lui pique ? Seigneur, on est pas dans une chabola quand même ! On se fait pas assommer comme ça en France, surtout un jeune qui n’a pas de signes extérieurs de richesse. Bon ça encore, si tu veux inclure des péripéties rocambolesques, je dis pas non
Je passe sur Lindsey, à part que ton Marc a une de ses putains de chance
Il rencontre la fille, leurs regards se croisent et boum, elle plante ses copines pour venir le voir et lui parler de sa vie en large, en longs et en travers. Bon là encore, c’est hors du commun mais pas ridicule ou incohérent non plus, donc je passe.
En revanche, ce qui m’a fait bien plus tiquer, c’est le coup du Blackwatch : 1, je doute qu’un général se trouverait sur le terrain avec seulement une dizaine d’hommes maxi en plein chaos, mais c’est un détail. 2, pourquoi Marc se fait descendre, alors qu’il est sain ? 3, crois-moi, si des forces spéciales te prennent pour cible avec objectif de t’éliminer, ils tirent pas dans l’épaule, et les lamentations de ta chérie n’y changeront rien. 4, je veux bien croire que ton Marc soit un type endurcis aux coups à cause des bars, mais de là à dessouder une escouade entière de forces spéciales bien mieux armée en plus que lui, il n’y a qu’un pas, que personnellement je ne franchirais pas. Ah, j’oubliais : Marc a pris une balle de fusil d’assaut dans l’épaule, il fait comment pour avoir survécu à a sa blessure, et pire, pouvoir utiliser son bras ? Tu dis pas « éraflé », mais « DANS », donc pour moi il prend la bastos pile dans l’articulation, boum.

Je trouve aussi que tu ne travailles pas assez la psychologie de tes personnages, qui font un peu bizarres. Par exemple, dans le chapitre 3, Emily sourit « malicieusement » à Marc. Bon sang, le type a débarqué de nul part, c’est un putain d’inconnu qui a fait volé en éclat leur abri, leur refuge où ils avaient stocké tous leurs biens, et qu’ils s’étaient échinés à fortifier, un inconnu qui a menacé son frère et lui a même collé une baffe en pleine gueule… mais elle lui sourit comme à un ami ?
Les motivations de Marc sont étranges : il descend toute une escouade, mais celui qu’il tient pour le principal responsable de la mort de l’amour de sa vie, s’enfuit. Comment ça se fait ? Comment il a pu lui échapper ? Pourquoi tu passes totalement la scène sous silence ?

Pour finir, si je disais que je ne pouvais pas choisir cette fois, c’est parce que tu nous soumet un faux choix ! On ignore quelle est la topographie des lieux, leur équipement, et le nombre de zombies. Comment tu veux qu’on puisse judicieusement décider de la marche à suivre ? Perso, si c’est pour choisir une lettre « au jugé », parce que A semble plus badasse que B ou parce que C est plus lâche que D, pour moi c’est niet, je me contente de lire ton bouquin.

J'avais commencé la critique sur un doc word en cours (pas bien mais osef ) et j'ai oublié entre temps un passage : heureusement, ton style s'améliore sitôt le prologue passé, et s'il devient pas bandant non plus, ni même pleinement mûr, au moins il ne fait plus liste de courses. C'est positif, et tu dois encore progresser

Mon inspiration vient de prendre une grosse baffe dans la gueule. Merde, j'avais pas réalisé que je faisais autant d'erreurs ! J'ai pas assez travaillé mon intrigue en effet, voulant surtout aller vite. Mais je peux quand-même justifier quelques trucs.
J'ai pas dit que Seth et Emily se ramenaient dès le piège sonique mais 2 minutes après. On peut après imaginer qu'ils étaient pas très loin, va savoir. Mais j'ai jamais dit que Seth snipait à 1 km.
Bon, pour la batterie c'était mauvais en effet. Quant à la Harley, ben un mec suffisamment musclé peut potentiellement la soulever.
Bon, Emily n'est pas encore rétablie, rassure-toi, ils vont encore la trainer sur leur dos pendant un moment.
Le passeport, il dit qu'il a l'air plus vieux qu'il ne l'est, donc il s'est juste occupé de voler celui de quelqu'un qui lui ressemble.
Pour Lindsey, euh, ben, je faisais une référence à une personne réelle, et si tu voyais de qui je parle tu comprendrais.
Pour le Blackwatch, l'escouade du Génér

L'escouade du Général chargée de l'escorter aurait pu être attaquée et subir des pertes. Quand à l'épaule, disons que Marc a essayé d'esquiver, la scène se déroule un peu comme le début de The Last of Us. Et si tu veux une description précise de comment il les tue et la fuite du Général, je peut t'arranger ça.
M'enfin, faut que je fasse des efforts ouais.

C'est ça que je veux dire, il faut que tu sois beaucoup plus précis dans ce que tu racontes !
Perso, je m'en fous si je n'ai qu'un chapitre par semaine, du moins que tu l'as pensé, travaillé et peaufiné plusieurs fois. Ce que je veux, c'est lire une bonne histoire, sans incohérences, sans comportements stupides, etc.
Alors réécris ou pas tout depuis le début, c'est toi qui voit, mais dans tous les cas, apporte plus de soin à ton récit à partir de maintenant.
Sinon... bah je lirai plus
Je sais, c'est de la sanction de luxe

Tu crois que tu vas me manquer ?
J'déconne, ouais je vais plus travaillé la narration à l'avenir. Ben t'as foutu en l'air le chapitre de demain.

C'est mieux que de te laisser faire et que tu t'en rende compte après 3 mois et 150 pages de travail

Et tu travailles au kilomètre ?
Ou tu prévois ?

En fait, je commence par écrire la base au fil de mon imagination, puis je passe un peu de temps à l'améliorer, mettre de meilleures répliques, faire que ça soit plus facile à lire...
Mais je vais passer plus de temps sur cette partie désormais.

Je crois que je vais poster finalement ma nouvelle sur le fofo, tu m'as motivé