J'ai commencé à écrire mon anecdote sur Joachim. J'arrive juste au passage qui va introduire mon nouvel Assassin. Mais je suis légèrement sceptique, cela ne donne pas l'impression que j'avais en imaginant l'histoire. Je trouve que ça manque de souffle épique... Passons, le passage le plus important va être écrit ! Et là, j'espère être dans un meilleur état d'esprit pour le faire qu'actuellement ! C'est dur de s'y remettre !

En gros, le mec s'est pris une balle dans le dos et s'est évanoui. Néanmoins, il a été soigné et a décidé de quitter les assassins avant de déménager dans le petit village de Meratto. /

Quelle bonne idée /

En gros Alec et Jean, une nouvelle recrue, vont le rencontrer et il va se battre à leurs côtés à coup de fusil. /

ça va se finir en gun fight /

Je viens de relire ce que je viens de faire pour la mission j'ai réglé le problème de dialogue mais on se fait toujours chier quand on lit .......

lis*

Au pire je te passe CTM comme maître en attendant un potentiel retour de Jet, il devrait te faire progresser.
Déjà si le problème de dialogue est réglé c'est pas mal

Ouai j'ai arrêté le dialogue théatral maintenant c'est un comme ça :
-être ou ne pas être ... Dit un homme assis sur le coté du bar
-C'est quoi la question ?Répondit l'autre .

C'est déjà mieux

• • narrateur

¤¤ pensées
"" dialogues

Désolé pour ce retard mais là j'avais vraiment pas d'inspiration j'en ai un peu plus pour le prochain chapitre m'enfin bref, bonne lecture

Séquence 5 : entrée dans la confrérie.

Grèce, Orchomène d’Arcadie près du lac Phénée, 64 avant Jésus-Christ
3 mois plus tard.

• Il faisait nuit noire. Un homme se cache, apeuré, semblant fuir la mort. Des ombres se déplaçaient sur les murs, non loin de lui. Il se dirige vers l’agora (l’agora est le marché de la ville).

« - Boreíte na tréxete, den tha xefýgoun apó to peproméno sas. (Tu peux fuir, tu n’échapperas pas à ton destin.) »

Son poursuivant apparu soudain en face de lui. L’homme apeuré n’eut pas le temps de prononcer un mot, l’homme mystérieux dégaina une lame qui sortit d’un brassard en cuir, pour aller la planté dans sa gorge.*

- Requiescant in pace. Mors regna perducat ad deum. Ut vitarit vos infernum. (Repose en paix. Puisse la mort te conduire au royaume des dieux. Puisse-t-elle t’évité les enfers.) »

Je pris une plume et la passa sur son cou pour y récolter son sang. Je le laissais là, et je retournais à Athènes.

Deux semaines plus tard. Grèce, Athènes.

Je retrouvais Arnhold sur le port. J’utilisais mon don pour le retrouver. Une fois localiser, je me dirigeai vers lui et lui montra la plume. Il me félicita et m’invita à marcher avec lui. Nous marchions sur le port. Sur le chemin, je vis Aliénor. Arnhold l’avait aussi remarqué. Avant de me laisser partir, il m’annonça une nouvelle qui m’enchantait particulièrement. Mon oncle allait venir me rendre visite, mais je trouvais bizarre qu’il veuille accélérer mon entraînement avant son arrivé. Nous nous quittâmes sur ces mots « Nihil verum est, Omnia permittitur. » (Rien n’est vrai, tout est permis). Il disparu dans les rues bondées du port. Je me dirigeais ensuite vers Aliénor. Elle m’avait remarqué, elle se dirigeait vers moi, un grand sourire sur le visage. Elle m’embrassa non loin du coin de la bouche.

« - Brictius, cela fait deux semaine ne nous nous sommes pas vu. Où étais-tu passé ?

¤ Je n’avais pas prévu cette question¤

- Hum… Je suis parti étudier la philosophie avec un homme dans une autre ville, pour y lire d’autres écrits comme je connais déjà ceux d’Athènes, répondis-je fier de moi.

- Ah, dit elle en me regardant avec un sourire, le tueur de loups est donc philosophe.

- À mes heures perdues, oui.

- Dit moi, l’anniversaire de ta naissance approche, me dit-elle enthousiaste.

- Oui oui, effectivement. Répondis-je la tête baissée.

- Tu compte le fêté ? Après tout c’est un jour sacré pour les Romains.

- Non je… ce jour n’est pas très festif pour moi.

- Pourquoi ? Elle réfléchit et dit, ah oui, j’avais oublié, c’est ce jour là où César a…

- Oui.

- Pardonne-moi, j’avais oublié…, dit-elle coupable.
J’essaye de ne pas la faire culpabiliser.

- Ce n’est pas grave, je ne t’en veux pas."

Elle me prit dans ses bras. On se regardait, puis elle me quitta pour continuer de faire ses courses sur le marché. Je rentrai chez moi. Je pensai à elle. Arrivé chez moi, j’embrassai Agnocide avant d’aller me coucher sans manger. Je ne pouvais m’empêcher de penser à Aliénor. La nuit était longue, j’eus du mal à trouver le sommeil. Le soleil se levait, Arnhold était venu me chercher pour continuer mon entraînement. Il m’amena dans un coin isolé pour m’entraîner au combat. Un homme nous y attendait.

« - Brictius, je te présente Agapénor, tu va t’entraîner au combat rapproché avec lui, pour l’instant tu n’as pas eu l’occasion de te perfection dans ce domaine. C’est un excellent combattant.

- C’est un honneur de vous aider, dit Agapénor.

- De même, repondis-je.

- Tiens Brictius, je te prête mon glaive le temps de ton entraînement. »

Je le pris à pleine main, et me mis en position de combat.

« - Tu va d’abord t’entraîner à parer une attaque, pour cela il faudra mettre ton glaive sur le côté, de façon à bloquer l’arme de ton ennemi. »

Je lui fis un signe de la tête et l’entraînement commença. Agapénor leva son glaive au dessus de sa tête et balança son bras vers moi. Je lavai mon glaive et le mis de côté pour contrer le sien. Je tombai en arrière sous le coup, il mit son arme sous mon menton. Il sourit m’aida à me relever.

« - Tu dois te préparer à ce genre de chose, met ton pied en arrière pour te retenir.

Agapénor répéta l’action et cette fois-ci j’applique le conseil d’Arnhold en mettant mon pied en arrière pour m’en servir comme appuie. Je tombai encore. Je tournai la tête sur le côté, et je cru apercevoir Aliénor. Je me relevai et j’essayais encore une fois. Agapénor balança son bras, je tenais mon glaive à deux mains, mon pied vers l’arrière. Je senti le choc entre nos deux armes, mais je parvins à parer son attaque.

« - Très bien mon garçon. Maintenant je veux que tu le contre-attaque. Pare son coup et attaque-le avant qu’il n’ait le temps d’agir à nouveau. »

Je me préparais, Agapénor était près à m’attaquer. Il s’élança vers moi, balança son bras en avant, je parai son coup de la même manière que j’ai fais. Je le repoussais en arrière, et lui assainis un coup de toutes mes forces. Il para mon coup d’une grande facilité et me donna un coup de poing dans le ventre.

« - Il ne faut jamais repousser quelqu’un de cette manière, surtout si il est déjà expérimenté en combat rapprocher, me dit Agapénor avant de m’aider à me relever. »
Je me préparai et Agapénor fonça sur moi. Il m’assainit un coup que je pu contrer, je décide de lever ses mains au dessus de sa tête et de lui mettre un coup de pied dans le ventre pour le faire tomber. Il fit une roulade en arrière et se releva. J’attendais sa nouvelle attaque. Soudain, je cru apercevoir à nouveau Aliénor. Agapénor fonça vers moi et m’attaqua à nouveau avec son arme. Je bloquer son glaive avec facilité, je le fit glisser sur le côté avant de coller mon arme sur son ventre.

« - Impressionnant, me dit Agapénor. »

Je regardai au loin, Aliénor avait encore disparu. Agapénor me donna quelques conseils, je regardais Arnhold parler avec un homme âgé. Je le voyais seulement de dos, mais sa silhouette me fit penser à quelqu’un ainsi que sa toge qui est une toge romaine. Agapénor m’invita à rejoindre Arnhold. Je m’approchais, et l’homme se retourna. Surpris, je courra vers lui et le pris dans mes bras.

« - Mon oncle ! dis-je, le coeur empli de joie.

- Brictius, mon neveu, me dit-il en me serrant dans ses bras, laisse-moi te regarder. Tu as beaucoup grandis, tu es plus grand que moi maintenant, et je vois que tu as une carrure de jeune homme, d’un guerrier ;

- C’est grâce à l’entraînement d’Arnhold.

- Ce n’est rien, dit-il modestement, votre neveu avais déjà beaucoup de capacités que je n’avais pas à son âge.

- Mais tu as contribué à l’amélioration de ces capacités mon cher gaulois.

- J’ai fais ce que vous m’avez dit de faire Marcus Porcius.
Je vis qu’il manquer un doigt à mon oncle, me même doigt qu’Arnhold.

- C’est pour ça qu’il vous manque un doigt ? Dis-je surpris, vous m’avez toujours dit que vous avez perdu votre doigt en… bah en faite vous ne me l’avez jamais dit.

- Tu sais beaucoup de chose maintenant, Br…Brictius.
Un moment de silence.

- Tu va bientôt en connaître les raisons, nous ne pouvons attendre plus longtemps, si je suis ici, c’est pour faire de toi un membre de notre confrérie, car j’en suis le maître, à Rome bien évidemment. Ce soir, retrouve nous ici, prend ta cape, et tu mettras cette tenue.
Il fit signe à quelqu’un d’apporter la tenue.

- J’ai parlé à Agnocide, j’ai réussi à la convaincre, mais ne t’inquiète pas, nous ne partirons pas tout de suite pour Rome, tu n’es pas encore près. Rejoins-nous ici ce soir.
Agapénor insista pour me raccompagner chez moi, il voulait me donner encore quelques conseils pour les combats au glaive. Son aide me serra grandement précieuse. En rentrant, je vis Agnocide.

« - Sa y est, c’est arriver, dit-elle en sanglot. Ton oncle me l’avais dit il y a 11 années, pendant 5 années il était là, il m’aidait pour que je ne m’attache pas à toi…puis il est partit. Aujourd’hui, ce jour est arrivé…
Je décide de lui couper la parole et de la prendre dans mes bras.

- Tu es et tu resteras ma mère, je ne te quitterais pas, je suivrais ma destiné, mais je veillerais sur toi. »

Je collai mon front contre le sien. Plusieurs minutes passèrent, des larmes coulaient sur nos joues. La journée fut longue. Elle ne voulait pas m’accompagné malgré mes demandes. J’y allai donc seul. J’ai revêtis la tenue que mon oncle m’avait donné, ainsi que la cape qu’Arnhold m’avait offert. Je pris ma lame secrète et la lame de la confrérie secrète de Secundus, pour m’en débarrasser. Je passais par les ruelles et les coins sombres, le risque de me faire attaquer par des bandits ou autres criminels était grand, mais je ne les craignais pas. J’arrivai au point de rendez-vous. Mon oncle se tenait devait un feu, Arnhold et Agapénor était dans des tenues similaire à la mienne, au milieu d’autres hommes. Mon oncle me fit signe de m’approcher. Une fois devant le feu qui me séparait de mon oncle, il dit :

« - Tu n’as pas eu un entraînement adéquat, tu n’as pas eu un entraînement approfondi ni assez long, mais nous connaissons tes capacités, ce qui fait que ce soir nous allons te faire rentrer dans notre confrérie. »

Il mit une barre en fer avec un signe sur le bout dans le feu, une sorte de A.

« - Tu devras suivre plusieurs règles, tu devrais perdre ton annulaire droit, cela prouvera que tu es apte à manier l’arme de notre confrérie, la lame secrète. Tu devras respecter notre Credo : Tu ne compromettras point la confrérie, tu ne la mettras pas en danger. Tu ne seras qu’une lame dans la foule, mêle toi à elle, elle est ton principal atout. Tu ne verseras JAMAIS le sang d’un innoncent. Si l’une de ses règles n’est pas respecter, tu seras châtié. Pose ton doigt sur le socle.

Un homme approcha un socle. Mon oncle pris un glaive et marcha autour du feu en disant :

« - Cum audita fuerit vox tyranni, verum cum aliquid imponitur, .erum ne memineris. Cum es opprimens infirma, iustorum calumniis, meministi licere. Veritas extra intellectum non est nostri; potest ergo omnia sunt vera. (Quand seule la voix des tyrans se fait entendre, quand la vérité est une chose imposée, souviens-toi que rien n'est vrai. Quand les faibles se font oppresser, que les justes sont calomnier, souviens toi que tout est permis. Il n'existe aucune vérité objective en dehors de nos perceptions; par conséquent toutes choses sont vraies et possibles. ) »

A peine eut-il fini qu’il me coupa le doigt d’un coup sec. Je me redressai d’un coup mais ne montra pas mon douleur. Il prit le fer qu’il avait mis dans le feu et le colla sur le côté gauche de cou. Je ne pu m’empêcher d’hurler de douleur. Je forçai sur mes jambes pour ne pas tomber à terre.

« - Exspectata ut fraternitatem… Sicarius. ( Bienvenue dans la Confrérie… Assassin.)

Ghyt , il y a beaucoup de fautes dans ton texte ?

Ma phrase est surper mal tourné c'est plutot "Gyth , il y trop de fautes dans ton texte."

Mission pour le PGM ?

Lenski c'est injuste, je lui avait donné une note !

Un adjectif pour quelque chose qui fait peur SVP

Effrayant, traumatisant, effroyable, troublant, ect...

Merci alcahe

De rien, j'adore aider les gens.

Al : tant mieux /
Comment tu fais pour descrire une beauté indescriptible ?

CTM j'attend que tu ai corrigé le texte de ghyt pour poster le mien

Comme ça ça me laisse du temps pour le finir (c'est une anecdote, mais il y aura surement plusieurs parties parce que j'ai pas mal d'idée en tête )