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Sujet : [RP] L'héritage des Ombres

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chocoassassin57 chocoassassin57
MP
Niveau 10
24 février 2013 à 14:40:57

:fou: punaise j'ai pas d'inspiration :fou:

Baba-Fett Baba-Fett
MP
Niveau 10
24 février 2013 à 14:42:41

Et voilà enfin mon retour dans ce jeu RP des Assassins :) !
Voici donc l'anecdote sur Joachim qui sert à introduire mon nouvel Assassin ! Elle est en deux parties car sinon le message st trop long. Bonne lecture à tous, et j'attend la validation de pparlement avant de poster la "fiche classique" d'Assassin :) !

Paris, Décembre 1519

Debout, les bras croisés dans le dos, Joachim regardait par la fenêtre. Il portait son habit qu’il avait ramené un an plus tôt d’Ecosse. Il neigeait doucement. La butte de Montmartre commençait à devenir blanche. Joachim avait toujours aimé la neige, mais après son voyage en Scandinavie, et ce qu’il s’était passé il y a exactement un an, il n’y avait plus la même magie dans ses yeux à la vue d’un flocon. Quelle tragique nuit… Tout en regardant tomber lentement la neige, il se revoyait dans une des tours de Notre-Dame, un couteau sous la gorge, avec à côté de lui cet homme : Le Bouffon. Et puis soudain, il entendait l’explosion. Même un an plus tard, la plaie était toujours ouverte. Il poussa un soupir, puis se retourna et alla s’asseoir à son bureau.
Cela faisait seulement quelques semaines que les Assassins avaient investis leur nouveau repère. Ils n’étaient que trois à avoir survécu à la destruction de l’ancien : Joachim, et deux Assassins en mission cette nuit là. Pendant des mois, ils dormirent dans des auberges, et veillèrent sur Paris comme ils pouvaient. Certaines recrues d’autres villes avaient été envoyées les aider, ce qui leur permit de ne pas être débordés. La recherche d’un nouveau repère ne fut pas de tout repos. Toutefois, Joachim avait fini par trouver ce manoir, situé à Montmartre. L’ancien propriétaire était un homme âgé. Il venait de la faire construire, mais malheureusement pour lui, il décéda quelques mois après la fin des travaux. N’ayant pas de descendance, celui-ci fut vendu. Joachim réussit à réunir assez d’argent pour en faire l’acquisition. Le hall était un échiquier blanc et noir. Véritable petit château, deux escaliers en colimaçon permettaient de monter aux étages supérieurs où se trouvaient les dortoirs, le bureau de Joachim, ainsi qu’une multitude d’autres pièces. Les Assassins disposaient donc de nouveau d’un lieu pour vivre, et orchestrer leurs actions.
Joachim venait donc de s’asseoir dans son fauteuil. Il regardait son bureau : celui-ci était vide. Il faut dire qu’hormis les meubles du vieil homme, tous ses autres biens furent vendus ou jeter. Joachim se sentait isolé. Isolé des autres Assassins. Il repensa au repère de Rome, plein de livres, de peintures et de trophées. Il avait sans doute mieux à faire que de penser à cela, comme recruter de nouveaux Assassins, ou encore en former. Mais comment pouvait-il le faire à lui seul ?
Joachim n’était pas né Assassin : c’est en lisant qu’il en est devenu un. Il passa des semaines à Rome à étudier les livres de la bibliothèque de ses frères. Ce sont ces livres qui lui apprirent à être un Assassin. Mais les murs de son bureau étaient vides. Vides de bibliothèques.
C’est alors que ses yeux s’illuminèrent. Sa bouche s’ouvra et il chuchota quelques phrases : « Les Assassins sont des Ombres. Nous avons perdus notre Héritage. Je dois réunir l’Héritage des Ombres ! ».
Il prit des feuilles de papier et une plume. Il se mit à écrire une lettre à chacun des grands bureaux d’Assassins du monde : Rome, Londres, Madrid, Berlin, Le Caire, Constantinople, Moscou, et bien d’autres. A travers ces lettres, il demandait aux Maîtres Assassins de lui envoyer un ou plusieurs livres, des biographies, des écrits, à propos de leur propre histoire, de leurs techniques, et si possible traduits. Bref, de quoi constituer une grande bibliothèque.
Joachim mit plusieurs heures à écrire ces lettres. Pendant ce temps la neige tombait sur Montmartre, et sur Paris. Puis il se passa plusieurs semaines durant lesquelles il recruta des hommes et des femmes, afin de reconstituer la Guilde. Il leur enseignait tout ce qu’il pouvait, mais en l’absence de livre, cela était difficile. Ce n’est que début janvier 1520 qu’il reçut une première réponse. Celle-ci provenait de Londres. Il y avait de nombreux écrit sur l’histoire des Assassins londoniens et britanniques, ainsi que quelques livres issus de leur littérature. Cela était un bon début. Joachim était emplit de joie ! Il allait les ranger sur le premier étage de la bibliothèque quand il en échappa un.
Il le ramassa et l’ouvrit à la première page. Il était bien évidemment écrit en anglais. Par chance, Joachim savait lire et parler anglais. Pas de page de présentation, juste une sorte de journal. Joachim fut séduit par cette écriture. Avant même de commencer à lire les premiers mots, il referma le livre et alla s’asseoir dans son fauteuil. Puis, il ouvrit le livre, et commença à lire :
« « Le Roi Richard est mort ! Vive le Roi ! Le Roi Richard est mort ! Vive le Roi ! »
En ce 10 avril 1199, je pensais que cette nouvelle serait la chose la plus importante de ma journée. Je me trompais…
Je me nomme Henry. Je suis né à Londres en mai 1180. J’écris ces lignes bien des années plus tard. Je sens que ma vie touche à sa fin, et je désire laisser une trace de mon passage en ce monde. C’est pour cela que j’écris ce livre.
Depuis le matin, la nouvelle de la mort de Richard résonnait à chaque coin de rue. Il aurait été tué quatre jours plus tôt en France en assiégeant un château. Aussi triste que cela était, j’avais d’autres préoccupations. A l’époque, j’enchainais les petits travaux. Elevé dans un orphelinat jusqu’à l’âge de douze ans, je ne connus pas mes parents. J’étais assez discret, en marge de la société. Je venais de trouver un travail auprès d’un forgeron. J’étais chargé de livrer des commandes. C’est donc avec une dague destinée à un riche homme que je quittais l’échoppe de mon employeur, en ce 10 avril 1199.
J’étais heureux d’avoir ce travail. Quelques semaines plus tôt, je me destinais encore à être mendiant. Livrer des dagues, épées ou tout autres objets de forgeron me plaisait bien.
Je connaissais bien Londres, et en particulier ce quartier. J’avais déjà un peu de retard pour ma livraison, en partie à cause de la populace qui affluait devant les hérauts dans l’espoir d’en apprendre plus sur la mort du roi (paix à son âme). C’est donc pour gagner du temps que je décidais de prendre un raccourcit : il existait une petite ruelle entre des maisons, permettant de contourner tout un pâté entier. Quelle aurait été ma vie si je n’avais pas pris ce raccourcit… ?
J’avançais tranquillement dans la ruelle. Celle-ci faisait un virage qui tournait sur la droite. J’arrivais à la hauteur du virage, quand je vis l’évènement qui changea ma vie. Il y avait trois hommes : deux d’entre eux portaient une sorte de robe blanche avec un capuchon sur leur tête. L’autre, un habit tout ce qu’il y a de plus commun. Celui-ci était en train de se faire agresser par les hommes en blanc. Tout cela se passait tellement vite. L’un des deux sortit une lame de son bras et la planta dans le cou de l’homme, qui s’effondra au sol. Ils étaient prêts à disparaître quand l’un des deux me vit. Sans savoir pourquoi, je criai « Garde ! Garde ! Au meurtre ! ». Il se précipita sur moi et vint mettre sa main devant ma bouche. J’étais impuissant et à sa merci. Il me dit : « Arrête cela malheureux ! Tu ne sais rien sur cet homme. J’ai aidé cette ville en le tuant. ». Je voyais son visage sous sa capuche ainsi que ses yeux. Ceux-ci ne semblaient pas refléter le mal. L’autre homme en blanc avait escaladé une des maisons et se trouvait maintenant sur son toit. Il lança à l’homme qui me tenait : « Que fais-tu ?! Rejoins-moi vite ! Laisse le ! ». L’homme enleva sa main de devant ma bouche et me dit « Pars vite d’ici ». Puis, avec une rapidité incroyable, il escalada à son tour une maison et ils disparurent ensemble.
Je me retrouvais seul dans la ruelle. Pourquoi ne m’avait-il pas tué moi aussi ? Je l’avais vu tuer cet homme, et j’avais vu son visage. Mais je ne savais plus quoi faire, j’étais apeuré, désorienté. C’est alors que je me rappelai ce qu’il m’avait dit quelques secondes ou minutes plus tôt, je ne pouvais faire la différence. Je me mis à courir pour m’enfuir de la ruelle. A peine étais-je arrivé au bout qu’un garde déboucha d’où je venais ! Il cria « Halte ! Halte ! Au meurtrier ! ». Je courus aussi vite que je pouvais en sortant de la ruelle, qui débouchait dans une des rues les plus passagères de Londres. Des gardes me virent et vinrent me saisirent. Je fus arrêté. Un des gardes, très imposant et qui paraissait empoté s’approcha. Il semblait être néanmoins le chef de la garde. Il prit la parole :

- En voilà un beau jeune homme ! Pourquoi cours-tu comme ça alors que l’on a entendu quelqu’un crier au meurtre ?
- C’est moi qui ai crié au meurtre !
- Et qu’as-tu vu ?
- Un homme, vêtu de blanc. Il a sorti comme par magie une lame de son poignée et l’a planté dans l’homme de la ruelle.
- Une lame… comme par magie ?! Hahaha ! Que me racontes-tu comme sornettes ?! Mais dis-moi, c’est une belle dague que tu as là ! Elle a très bien pu poignarder cette homme… comme par magie elle aussi !
- Non c’est faux, non, no..
- Allez ferme là gamin ! Emmenez-le !

Je fus accusé du meurtre, et la dague me fut enlevée. Deux gardes me prirent par les bras et m’emmenèrent, en direction de la tour de Londres. Je me voyais déjà sous la hache du bourreau, devant une foule déchaînée réclamant ma tête. J’étais persuadé que je n’avais plus que quelques jours, voire heures à vivre. J’essayais de me débattre, mais rien à faire, les deux hommes me tenaient fermement. Je perdais tout espoir de m’échapper. Je me laissai alors traîner, résigné, désavoué, vaincu. Je levais les yeux en direction du ciel, afin de le contempler une dernière fois… c’est alors que je le vis : l’homme en blanc de la ruelle qui était venu me parler. Il avançait vers nous, d’un pas déterminé. Nous étions dans une petite rue, il y avait très peu de monde. Il se rapprochait, encore et encore jusqu’à bousculer le garde qui tenait mon bras gauche. Au même moment, le garde tenant mon bras droit fut également bousculé, mais par derrière. Je n’eus pas le temps de réagir que les deux gardes tombèrent au sol, assommés je ne sais comment. Les gens présents s’enfuirent en courant. Un des hommes vêtu de blanc me dit d’une voix grave « Suis nous. ». Je ne discutai pas et obéis.

Baba-Fett Baba-Fett
MP
Niveau 10
24 février 2013 à 14:42:53

Nous partîmes en courant, à travers les ruelles, telles des ombres. J’étais essoufflé, mais eux ne semblaient ne pas l’être. Ils étaient tellement fluides dans leurs mouvements, leur respiration ne s’entendait pas, tout comme leurs pas. Tout était si parfait…
Puis ils se mirent progressivement à marcher, toujours silencieusement et majestueusement. Nous arrivâmes dans une grande rue, calmement. Nous étions désormais anonymes au milieu de la foule. Nous nous dirigeâmes vers une taverne. Des gens étaient assis, en train de boire ou de discuter. Ce lieu ne m’inspirait pas confiance, mais je devais faire avec. Ils firent un signe de tête au tenant de la taverne qui semblait les connaître. Sans rien demander, ils m’emmenèrent dans une petite pièce à l’écart. Il y avait uniquement une table, et deux chaises. Ils fermèrent la porte. La pièce était sombre, je distinguais à peine les visages des hommes. L’un d’eux me dit de m’asseoir. J’étais tellement terrifié que j’obéis. Il fit de même. L’autre restait derrière la porte. Puis, il prit la parole :

- N’ai pas peur. Comment t’appelles-tu ?
- Henry.
- Très bien Henry. Je crois que tu mérites d’avoir des réponses…
- Des réponses ? Venant de meurtriers ?
- C’est comme ça que tu nous remercie de t’avoir sauvé ? Et puis, meurtrier n’est pas vraiment le mot qui nous qualifie le mieux. Disons, des Assassins.
- Des quoi ?
- Ce mot est encore peu connut en Europe occidentale je te l’accorde. Ecoute, Henry, ce que tu as vu dans la ruelle n’a apporté que du bien à cette ville.
- Comment peut-on apporter du bien en tuant quelqu’un ?!
- Comment t‘expliquer... Sais-tu qui était cet homme ?
- Non…
- Cet homme se nommait Jack Shepperd. Jusqu’ici, rien ne justifie notre acte. Mais cet homme faisait des… choses.
- Quelles… choses ?
- Il avait un « passe-temps ». Tu as sans doute entendu parler des meurtres des jeunes filles de quinze ans ces derniers temps ?
- Oui bien sûr.
- Et bien, l’auteur de ces meurtres était Jack Shepperd.
- Vous… vous avez tué un meurtrier ? C’est cela ?
- C’est exactement cela.
- Je… je n’y comprends rien. Pourquoi… pourquoi ne pas le dénoncer aux gardes, et comment saviez-vous que c’était lui qui tuait ces filles ?
- Le dénoncer aux gardes ? Aux mêmes gardes qui t’ont accusé de meurtre à l’aide d’une dague qui n’avait même pas de sang ? A ces gardes, qui n’ont pas essayaient de chercher la vérité concernant ce meurtre ?
- Cela ne justifie pas un meurtre !
- Dis-moi Henry, tu as une sœur ?
- Pas à ma connaissance.
- Ah je vois. Orphelinat. Très bien alors supposons que tu en ais une, et que celle-ci se fasse tué par ce monsieur Shepperd, tu aurais voulu sa mort pas vrai ?
- Oui, je dois admettre que oui.
- Cela veut dire que tu es humain ! Alors tu comprends pourquoi nous l’avons tué ! Nous sommes, une Guilde. Une Guilde qui a pour but d’apporter la liberté aux Hommes afin que le monde soit meilleur, sans les asservir. Ce « meurtre » n’est une poussière dans ce que nous faisons. Mais en éliminant cet homme, nous avons sauvé un moins une autre fille d’une mort certaine, que les gardes ne pouvaient empêcher. Il faut que tu saches qu’ils ne font pas leur rôle correctement car ils sont trop bêtes ou dirigés par des hommes avides de pouvoir, qui ne cherchent qu’à satisfaire leurs propres besoins. En ce monde, « Rien n’est vrai, Tout est permis ».
- Tu en dis un peu trop mon frère…
- N’ai crainte, je suis sûr que Henry va comprendre.
- Je… je ne comprends pas tout non. Vous voulez dire que vous apportez la paix et la liberté au monde en tuant des personnes mauvaises ?
- C’est exactement cela Henry, exactement.
- Qui êtes-vous ?
- Moi je m’appelle Jaymes, et voici Thomas. Comme je te l’ai dit, nous sommes des Assassins.
- Tu n’aurais pas dû lui dire nos noms Jaymes, tu…
- Il le fallait Thomas. Comment pourrait-il avoir confiance si nous lui cachons ces choses-là ?
- Tu n’as pas tort.
- J’ai une proposition à te faire Henry. Je peux t’offrir une toute autre vie que celle que tu as actuellement.
- Tu n’y penses pas Jaymes !? Un apprenti ? Lui ?
- Patience Thomas. Sais-tu lire et écrire Henry ?
- Non.
- Auprès de moi tu apprendras. Rejoins notre Guilde. Je t’apprendrais tout cela et à ton tour tu apporteras la paix et la liberté à cette ville.
- Je… je ne peux pas non. Je me plais à livrer mes armes. Je dois d’ailleurs aller voir mon employeur pour tout lui expliquer !
- Très bien alors tu as deux possibilités : soit tu franchis cette porte, après tout rien ne t’en empêche nous ne te voulons pas de mal. Tu retournes dans la rue, où tu es recherché par les gardes et où tu devras expliquer à ton forgeron pourquoi tu n’as pas pu livrer la dague et pourquoi tu ne l’as plus. Tu seras surement viré, et tu devras fuir le quartier pour ne pas être arrêté. Il te faudra trouver un nouveau travail ailleurs, or tu sais que c’est difficile. Soit tu me fais confiance, à moi qui t’ais dit mon nom, mon rôle et qui t’ais de ma Guilde, et tu deviens mon apprenti. Tu serviras une cause juste et noble qui existe depuis bien plus longtemps que tu ne pourrais le penser.
- (…)
- Peut-être te faut-il un peu de temps pour réfléchir… Je comprends. Voilà ce que l’on va faire : Thomas et moi allons partir. Il va rentrer chez nous, quant à moi, j’ai à faire. Je dois aller rembourser une dague à un forgeron… Nous allons te laisser ici. La porte ne sera pas fermée. Tu pourras partir à ta guise, ou attendre mon retour. Je te laisse dix minutes. Ton destin est entre tes mais.

Jaymes se leva. Thomas ouvrit la porte et ils sortirent. Il referma cette dernière, sans la crocheter. Je me trouvais seul dans cette petite pièce, sombre. Je n’avais pas vraiment le choix. On me donnait la possibilité d’abandonner ma misérable vie, d’apprendre à lire et à écrire ! Mais je ne savais que faire. Devais-je croire cet homme ? Après tout, il venait de me sauver la vie. Je me rappelai son regard dans la ruelle : aucune haine dans ses yeux, seulement de la bonté. Disait-il vrai ? J’étais comme dans un autre monde à réfléchir lorsque j’entendis des paroles. Je tendis l’oreille, c’était encore un héraut criant bêtement les mots suivants :

« Le Roi Richard est mort ! Vive le Roi ! Le Roi Richard est mort ! Vive le Roi !».

Non, cette nouvelle n’était pas la plus importante de ma journée. En ce 10 avril 1199, j’avais rencontré mon destin : j’allais devenir un Assassin. »

Joachim referma le livre. Il soupira une fois, puis se demanda pourquoi Londres lui avait envoyé ce livre sur ce Henry. Il comprit que la seule façon de le savoir, était de continuer à le lire. Il le laissa sur son bureau et sortit de la pièce. Il avait des nouvelles recrues à former…

Alcahe Alcahe
MP
Niveau 10
24 février 2013 à 14:53:16

mattracer :d) Pas mal, ton histoire m'intéresse. :bravo:

En attendant, j'ai fait la moitié de mon texte. Allez, courage, Alca'. :pf: /

[Laflamme] [Laflamme]
MP
Niveau 10
24 février 2013 à 14:53:51

Son texte va être effacé :pf:

chocoassassin57 chocoassassin57
MP
Niveau 10
24 février 2013 à 14:54:38

:gne: quel texte ?

Alcahe Alcahe
MP
Niveau 10
24 février 2013 à 14:54:40

Flamme :d) Mon texte ? :pf:

[Laflamme] [Laflamme]
MP
Niveau 10
24 février 2013 à 14:55:00

Bah voui :pf:

chocoassassin57 chocoassassin57
MP
Niveau 10
24 février 2013 à 14:56:03

Euh je comprends pas quel texte va être éffacé et pourquoi ?

Alcahe Alcahe
MP
Niveau 10
24 février 2013 à 14:56:22

choco :d) J'ai eu des problèmes à cause d'une touche sur laquelle j'appuyai par accident et qui effaçait tout ce que j'avais pas sauvegardé. :pf: /

Flamme :d) Je fais gaffe, t'inquiètes. :pf:

Lenski Lenski
MP
Niveau 10
24 février 2013 à 15:09:04
  • donne une piéce à alca*

Je parie sur le retard du texte d'une semaine au moins :pf: /

Alcahe Alcahe
MP
Niveau 10
24 février 2013 à 15:10:15

Si tu veux. :pf: /

Alcahe Alcahe
MP
Niveau 10
24 février 2013 à 15:16:55

Et au passage Lens', cette mission va se transformer en gunfight :pf: / :

Alec Alcatraz / Jean Railler / Dante Valo / ? ? Contre Templiers / Bobby Elway. :pf:

Lenski Lenski
MP
Niveau 10
24 février 2013 à 15:33:13

ça va , vu la vitesse de rechargement des armes de l'époque :noel:

Alcahe Alcahe
MP
Niveau 10
24 février 2013 à 15:35:02

Bah ce sera juste Dante qui aura un fusil, le reste se battra à l'épée. :noel: /

Putain, je meurs d'envie de transformer Meratto (le village dans mes textes) en un magnifique village à la Oakfield, pour ceux qui connaissent. :pf: /

Lenski Lenski
MP
Niveau 10
24 février 2013 à 15:49:45

Je connais pas :noel: /

Alcahe Alcahe
MP
Niveau 10
24 février 2013 à 15:55:40

Ca te dis quelque chose, Fable 2 ? Oh wait, t'es sur PS 3... :pf:

Bah c'était un gentil petit village dans le jeu où je me suis acheté une maison. Je crois bien que Oakfield a été le seul endroit dans un jeu vidéo où je suis resté debout pendant dix minutes à contempler le village. (Authentique.) :pf: /

[Laflamme] [Laflamme]
MP
Niveau 10
24 février 2013 à 15:56:23

Fable 2 :cute:

Alcahe Alcahe
MP
Niveau 10
24 février 2013 à 15:57:01

Il est dans mon top cinq des jeux que je préfère. :cute:

Lenski Lenski
MP
Niveau 10
24 février 2013 à 15:58:12

Je vois :noel:

En fait non :hap:

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