bonjours, j'ai commencer cette fic sur ACR et je vais la faire ici aussi alors j'ai 3 chapitres de fait alors je vous invites à les lires et laisser vos commentaires merci
cordialement,samuel
L’envolé d’un aigle
Chapitre 1 :
Italie
17 septembre 1769
Rome
C’était une soirée froide et triste pour certains d’entre nous. J’allais enfin partir de chez mes parents pour déménager à mon domicile à Firenze et j’allais vivre librement avec ma belle Francesca. Ma mère restait assis à la table sans rien dire tel un moine ayant porté le serment de silence j’usqu’à la fin des temps. Je pouvais voire la tristesse l’Envahir mais je ne pouvais rien faire. Je ne pouvais plus revenir en arrière alors, je me suis approcher d’elle :
-Madre andare voi bene?
-Comment pourais-je bien aller? Mon jeune bambino par vivre sa vie…
-Madre je te rendrais visite souvent ne t’inquiète pas.
-Ti amio Fabio
-Je t’aime moi aussi mère.
Et dans un geste calme je lui laisse un baiser sur la joue. Mais Mon père se pointa dans le décors et m’invita à venir le voir.
-Fabio il est temps…
-Temps de quoi père tu veux déjà que je parte?
-Mais non Fabio! Je dois te parler de ma vrai identité…
-Mais père de quoi parler-vous? Je n’y comprend rien.
-Je fais partie d’un groupe de gens donc tu as peut-être entendu parler.
-Tu fais partie des Romulus !!!!
-Mais non je ne suis pas aussi bizarre qu’eux. Fabio, je suis un assassin.
Je tombas brusquement par terre les genoux au sol, ma tête sur le parterre et les larmes aux yeux, je me rappelas que la mère de Francesca fût tuer par c’est brûte.
-Vous n’êtes que des tueur rien de plus!!!! Vous avez tué Eleonora pour rien c’était une femme exemplaire elle n’avait rien fait de mal dans sa vie et elle pensait toujours au autre avant elle!!!!
-Fabio nous n’avions pas le choix.
-Mensonge!!! Oui vous aviez le choix et vous l’avez tuer sans aucun scrupule!!
Suivit cette bref discussion, moi et Francesca partions vers Florence.
Tout la route fût un vrai supplice. Je ne faisais que penser à ma mère et celle de Francesca. Tous les dispute, tous les absences tout était de la faute de mon père. Comment un être aussi cruelle que lui peut-il exister ? Et pourtant tout ma jeunesse il a été mon héros, mon modèle. Maintenant, c’est finis. Arriver à Florence, Moi et Francesca commençons à tout placer les meubles dans la maison. Un silence absolue y régnait et je croyais que c’était le moment d’avouer à mon amours qui est mon père. Vas-t-elle fondre en larme ou me gifler ou tout simplement me laisser tomber. Je ne sais plus quoi faire !!! Alors je me prépare, je réfléchie,je m’élance ;
Chapitre 2
Voilà c’est fait. Tout est révéler a Francesca et elle fond en larme. Je me sentais mal car je savais que cette histoire la rattrapera toujours. Je lui proposai d’aller se reposer en attendant que je finisse le salon et elle accepta. Je venais de finir le salon à moitié puis j’entends cogner à la porte. Mais qui pourrais bien être là je viens d’emménager. Je me rends à la porte hésitant mais je l’ouvre…C’était Anthonio le meilleur ami de mon père Ricardo. Il avait l’air essoufflé.
-Anthonio calme toi que ce passe-t-il?
-C’est ta mère elle est en danger ! Et ton père est en France pour une mission urgent vite ont n’a pas une minute à perdre !
J’avais déjà 22 ans et je ne savais pas vraiment très bien me battre mais je me débrouillais. Mais il n’y était pas question que quelqu’un touche à ma famille. Je laissai une petite note a Francesca qui dormait bien dur et la laissa sur la table du salon puis je partis en charrette avec Anthonio. Il ne devait rien arriver à ma mère sinon je m’en serais voulu pour le reste de ma vie. Il m’aura pris 1h 30 à me rendre au domicile de ma mère pour constater qu’elle n’était pas là mais il y avait quelqu’un qui valait aussi cher à mes yeux : Francesca. C’est pour ça qu’Anthonio n’a pas pris les raccourcis pour que les autres viennent elever mio amore !! Mon père était la une dague face au coup de Francesca.
-Fabio je vois que tu es encore très naïf à ton âge.
-Si tu touches à un de ses cheveux, tu le regretteras !
-Non au contraire Fabio. Tu te rappel quand je t’ai dit que j’étais un assassin et bien c’est faux je suis un templier et ce n’est pas les assassin qui on tuer sa mère c’est nous !
-Alors les assassins y sont pour rien! Brule en enfer !
Je courrai vers lui et le frappas directement au visage il saignait mais il avait encore l’avantage sur moi. Il était armé et il était 4. J’ai continué à frapper mon père et il m’enfonça la dague dans l’épaule droite et dans un gémissement je lui dis :
-Tu ne connais pas très bien ton enfant car je suis gaucher…
Je sortis ma dague de mon bras et attaquas mon père et l’attendis directement dans la gorge. Puis avec une larme roulant sur ma peau, je m’occupai des 3 autres je repris la dague en main et essaya d’attaquer les 3 templiers en même temps mais cela est impossible, Ils sont trop bien équiper et trop agile pour que je puisse les tuer avec une simple dague. Mais je devais faire avec ce que j’avais. J’essayai une dernière fois mais le couteau brisa en deux. J’étais à leur merci. Les lances en main il me lança des insulte et au moment où il allait m’attaquer 2 des 3 templiers tombèrent par terre. Ils étaient morts. Anthonio avait tué ses deux compagnons templiers.
-Pourquoi a tu trahis les templiers ? Dis-je surpris
-Je ne suis pas un templier. Je suis un assassin. Depuis 10 ans je m’infiltre dans le clan des templiers pour pouvoir les arrêter mais maintenant c’est fini.
-Comment sa ?
-Car ton père était ma dernière cible et tu la tuer.
-Je vois. Dis-je triste
-Alors, Fabio, j’ai vu ta détermination, ta force, ton courage au combat et les assassin aurais besoin de gens noble comme toi alors, si une deuxièmes famille t’intéresse rejoint notre noble cause, joint les assassin.
J’étais surpris car c’était la première fois que l’on me complimentait et je ne savais pas du tout quoi répondre car je voulais protéger tout ce qui me restait Francesca et ma mère mais je sentais que l’on avait besoin de moi. Alors, sur un ton ferme et confiant, je lui dis :
Je veux joindre ta cause, je veux joindre…Les assassin.
Chapitre : 3
Rien est vrai tout est permis tel est notre crédos me dis Anthonio. Je sentais enfin que je fessait partit d’une famille. Francesca allait bien mais elle restait avec un gros traumatisme. Anthonio s’approchas de mon père et me disa :
-Fabio aproche je vais te montrer comment faire.
Il regardas mon père lui abaissa les paupières et récita ces paroles : Requiescat in pace. C’était la fin pour lui. Si j’aurais su que mon père était un être aussi méchant je ne m’aurais pas autant attaché à lui pourquoi a-t-il choisi le chemin le plus obscure? Ca demeurera une question sans réponses. Mais il était tard alors, moi, Anthonio et Francesca partirent vers Florence mais avant Anthonio me donnas une épée en me disant que j’en aurais surement besoin. À moins d’une heure de la maison, je vis un homme en cheval vêtu d’un habit blanche et bleu et portant un pendentif en forme de croix. Je le savais que je devais m’attendre au pire. Le templier se rapprochais et je commenças a déguener mon épée mais Anthonio m’arrêtas en me disant :
-Fabio, nous ne devons utiliser la violence que dans des situations périlleuses ou si nous n’avons pas le choix.
-Mais tu ne crois pas que la situation est déjà assée périlleuse!
-Laisse-moi faire…
Anthonio se leva et regardas le chevalier templier puis celui-ci réagissa en sortant une masse de son fourreau puis Anthonio se sentant agresser, lança une bombe a détonation sur le cheval du templier puis le chevalier sauta de sa monture et se sauva le plus loin possible de celui-ci. La bombe que mon maitre a lancé sur le cheval n’était pas fonctionnel alors, nous avons réussi à s’enfuir sans utilisé la violence.
-Fabio tu a encore énormément de choses à apprendre.
-Je suis au courant mentor.
-Vient donc au repaire près du campanile de gioto demain. Ton entrainement commenceras a 7 :00 tapant.
-D’accord maitre.
Plus personne ne nous embêtas durant tout le long du voyage j’usqu’à la maison. Sa ma fait du bien de ma reposer enfin dans mon beau lit douillet. Il était 6:00, les premiers rayons de soleil de la journée venait illuminer mes paupières et réchauffer ma poitrine. Francesca dormait près de moi mais il était temps de m’habiller et de partir. 6 :58, je cherchais désespérément l’emplacement du repaire des assassins pourtant introuvable. La place était tellement grande mais j’étais habituer j’habitais à Rome autrefois. Je cherchais dans les foules si je ne pourrais pas trouver Anthonio mais je ne trouvais personne. Désespérer, je levis ma tête puis vis un homme sauter du haut de la campanile tel un aigle majestueux quittant son nie pour partir à la découverte du monde. Il atterrit brusquement dans une botte de foin. Sur le coup, j’étais impressionner puis je me dirigeas vers l’homme qui pour moi venait de faire un exploit. Il était habiller tout en blanc puis je lui demandas :
-Eeh.. Eeh… Êtes vous un… Assassin?
-Chut ! Pas si fort tu veut que tout les templiers nous repèrent?
-Je suis désoler. Je recherche Anthonio il ma dit qu’il commencerais a faire mon entrainement aujourd’hui.
-AHHH! Tu est Fabio Anthonio nous a parler de toi rapidement. Le repaire est juste la a ta droite
-Merci beaucoup.
-Ah oui en passant, je me nomme Alexandre et bienvenue dans la confrérie.
-Grazie Alexandre
Je me dirigeas vers le repaire et entras. L’endroit était énorme! Je m’attendais à quelque petite salle avec du sang sur les murs et plein d’épée accrocher partout avec des crânes qui pendent du plafond. Mais non. L’endroit est vaste et bien décoré, un calme apaisant règne dans chaque pièce du repaire. Des assassins s’instruisent dans une bibliothèque contenant des centaines de livres, une armurerie était à la disposition de tous et une grande salle de combat était là pour les entrainements des assassins. Anthonio devrait surement m’y attendre. J’entre dans la salle mais il n’y avait personne puis j’entendis crier : Fabio. C’était Anthonio qui m’attendait devant la bibliothèque.
-Mais Anthonio je ne devais pas m’entrainer pourquoi somme nous dans la bibliothèque?
-Fabio, tu dois savoir quelque choses. Un bon assassin dois savoir se servir de son intelligence, de son sens de la stratégie et de la connaissance du terrain plus que de sa force physique.
-Alors…
-Alors, tu vas devoir me lire le code d’éthique de notre confrérie et les œuvre de 2 des meilleures assassin que le monde n’a jamais connue : Ezio Auditore Da Firenze et Altaïr Ibn-La’Ahad.
-Mais Anthonio cela me prendras des jours voir même des semaines…
-La meilleur qualité d’un assassin est la patience Fabio…
-Daccord alors, si cela peut vraiment m’aider je le ferais.
Je me mis à lire le code d’éthique car c’était le plus important. Il y avait tellement de règle et de condition que ça me donnait mal à la tête mais je n’avais pas le choix. Jours et nuit, je voyais des mots des lettres et des paragraphe dans ma tête. Je n’en pouvais plus. Après une semaine, je n’en pouvait plus de lire et de lire je voulais combattre mais mon maitre m’en empêchas toujours. Une fois le code d’éthique terminé, je me suis mis à lire l’œuvre d’Ezio et tout de suite, j’ai accroché. Le franc parlé, la sagesse dans ses paroles était impressionnantes. J’ai engloutie le livre en 2 jours et le livre d’Altaïr aussi. J’étais tellement heureux d’avoir fini les livres mais je me sentais plus sage du moins un peu. Je connaissais maintenant l’identité des deux assassins les plus fort de l’histoire de la confrérie. Je veut maintenant devenir comme eux.
Non.
??? quoi non ???
c'est du flood laisse .
En tout cas il y a du contenu . Je lirais plus tard
Le style est bien mais c'est beaucoup trop rapide
je sais ont le dit souvement ^^
Oui,c'est vrai que c'est pas mal mais vachement rapide.
Tes chapitres sont trop courts aussi.
HS: Jerry à la réponse de Rac
24, 02
Hors sujet milet
Je je sais pas.....j'accroche pas. Peut-etre que c'est trop rapide ou le fait que soit court et intensifie le sentiment de rapidité.
Je continuerai à lire .
Sinon on a un problème en commun....
L'orthographe ! \ /
Prochaine fois prend ton temps , construit bien les bases de ton histoire, et fais des chapitres plus long.
Oui,avec des chapitres mieux construits et plus long,sa peut donner quelque chose de bien.
C'est vrai
En plus apparement tu avais déjà le texte fait donc tu aurais pu essayer de l'améliorer
Et aère ton texte , sera moins pénible pour nos petits yeux de lecteurs.
Oui,c'est vrai aussi,là c'est trop compact et sa donne moins envie de lire.
Perso j'ai trouvé que l'aération était suffisante
Aprés , chacun ses gouts
Entre la description et les dialogues , c'est trop compactes.
Et sa facilite la répartition dans ses chapitres.
Quand au titre , je pense que l'envole d'un aigle ou l'envolé d'un aigle aurait été plus mieux.
Et je sais pas mais , j'en ai un peu marre de l'Italie comme cadre géographique. Mais sa n'a pas d'importance. Commence par suivre nos questions.