Grâce à ces failles, Dietrich affrontera Dimitri en combat singulier \ /
Faut vraiment que je lise tous vos textes, parce que je comprends pas tout à vos personnages... assez uniques on va dire
Ma mission avance toujours plus ou moins, mais après mes exams je suis tombé malade donc bon, pour écrire c'est pas top.. Mais je pense qu'au rythme ou ça avance, elle sera en peut-être trois parties finalement
Oui je les avais vu, mais c'est surtout le temps qu'il faut là
Bah si tu lis dix textes par jour t'en auras fini dans un mois
Ah ça va c'est assez rapide, surtout que les textes sont tous très courts
Bah Bilbo c'est divisé par chapitre
Hello.
Bon, mon chap' avance bien sauf que j'arrive pas à trouver de bonnes musiques. Si quelqu'un peut m'aider, je lui vaudrai une fière chandelle.
http://www.youtube.com/watch?feature=endscreen&v=BY0MsE4TdBk&NR=1
Ca fait bien musique de fin
Nahtar, lis mes textes, t'en auras pas pour longtemps
Ouaip Flamme. Merci.
Moi mes personnages sont simples mais faut pas se contenter de les regarder textuellement \ /
C'est comme ça que Dimitri est quelques fois appelé "l'appatride" vu qu'il a "trahi" la France \ /
Si je faisais une uchronie, il pourrait être un maréchal d'empire \ /
Je vous sors un chap ce soir
Cool \ /
Sans issu (partie 3) :
1944, Berlin…
Hitler recula de quelques pas, livide. Franz fit craquer les os de sa nuque. Il boitait de façon imperceptible, à cause de sa cheville foulée en retombant sur le toit de la voiture, et en haletant. Son corps était couvert de sang et de coupures.
Le garde d’Hitler voulut protéger son chef mais Franz dégaina son pistolet et en vida le chargeur dans le corps du nazi.
L’agent S.S s’écroula, secoué de spasme, la poitrine fumante.
Hitler recula encore jusqu’à se trouver dos à la voiture. Le sourire de Franz s’élargit.
-Qu’est-ce que vous allez me faire ? demanda Hitler d’une voix tremblotante.
-Je ne vais pas te tuer. Par contre, je vais sans doute te prendre un ou deux membres.
-Franz ! cria Peter. Le gouvernement Américain le veut en un seul morceau !
Franz afficha une moue ennuyée en rangeant son pistolet à sa ceinture.
-Toujours là pour casser l’ambiance, lui…
-Quoi ?!
-Rien, rien. Bon, et si…
Hitler avait tiré la Pomme d’Eden de sa veste. Franz n’eut pas le temps de réagir. L’éclat doré éblouit les deux Malroy alors que le rire d’Hitler retentissait. Quand la lumière décrut, le Führer n’était plus là. Il ne restait qu’un nuage de poussière là où il s’était trouvé.
-Merde… J’avais oublié le Fragment.
Plusieurs jours plus tard, Etats-Unis…
-Un fiasco ! hurla le président Roosevelt en frappant son bureau du plat de la main. Un putain de fiasco total ! Sur toute la ligne ! Merde !
Les dix représentants de l’état-major de l’armée Américaine alignés devant leur président gardaient le silence, blêmes.
Roosevelt se leva d’un bond et, d’un revers de la main, il envoya valdinguer toutes les feuilles et les documents sur son bureau. Les fiches soigneusement empilées, rangées et classées volèrent dans toute la salle.
-On tenait Hitler ! On le tenait !
-Les Malroy le tenaient, rectifia timidement un officier.
Roosevelt fit une grimace de colère.
-Les Malroy, parlons-en ! Franz et Peter ont disparus peu après le coup d’état raté à Berlin. Nous avons uniquement retrouvé le cadavre de Lydia, une des Réincarnations, mais aucune trace d’Hitler !
-Des témoins l’ont vu se servir de la Pomme.
-Foutu chien de nazi ! Un fiasco j’ai dit ! Hitler s’est directement téléporté dans son Q.G, avec une autre Réincarnation ! Franz et Peter sont introuvables ! Le manoir des As de Pique et tout ce qu’il contenait est parti en fumée ! Le mentor Français est mort ! Et par-dessus tout, As et Pique se sont réchappés de l’attaque avec les Bottes et l’ankh, et bien sûr, ils semblent s’être évaporés de la surface de la Terre ! Merde !
Roosevelt se tourna et envoya un coup de pied rageur dans son bureau. Il gémit, se tint le bout du pied et sautillant sur place, se tourna vers ses officiers et hurla :
-Qu’est-ce que vous regardez ?! Vous n’avez pas mieux à faire ?! Au boulot !
L’état-major se dispersa sans demander son reste.
6 Août 1945, quelque part dans le monde…
As et Pique étaient tous les deux assis sur une terrasse. La nuit était belle et fraîche. Autours du petit chalet s’étendaient d’immenses plaines noires, et, au loin, une longue chaîne de montagne. Le vent soufflait.
Dans la maison, la petite télévision en noir et blanc crachait un son nasillard et les images militaires s’enchaînaient.
-Alors voila, fit Pique en buvant une gorgée de vodka à la bouteille. C’est comme ça que la guerre se termine ?
-Hitler est mort, répondit As en rotant bruyamment. Les Etats-Unis viennent d’envoyer leur bombe atomique. Le Japon capitulera dans très peu de temps. Oui, c’est terminé.
As contempla les Bottes, à ses pieds. Il ne les avait jamais enlevées. Pique, lui, conservait l’ankh autours de son cou. La partie gauche de son visage était horrible à voir. Sa chaire était brûlée profondément et son œil était calciné.
Les deux frères se sourirent et prirent leurs bouteilles entre leurs doigts.
-Santé.
Les bouteilles s’entrechoquèrent.
Pas mal, Bilbo.
Et sinon, j'étai tranquillement en train d'écrire ma mission lorsqu'il y a eu une panne de courant dans tout le secteur ; résultat : j'en étai au dernières lignes et hop ! Plus rien maintenant ! Fait chier...
Al : word + ctrl s
Moi World fait des sauvegardes automatique au bout d'un certain moment
Ctrl + s = toutes les deux phrases
Alcahe : Ca m'est arrivé une fois
Heureusement, j'avais à peine commencé à écrire