Hey bil /

Bilbonch ! Ca faisait longtemps ! /

Mort (partie 4) :

1944, France, quelques jours avant l’accident de Loyd Lykker…

-L’offensive aura lieu à seize heures, dit Loyd, penché sur une carte du manoir de l’As de Pique. Notre cible se trouvera sûrement dans sa chambre. Nous savons de source sûre qu’il est malade et qu’il ne tardera pas à s’éteindre. Il reste cloîtré chez lui du matin jusqu’au soir et ne sors dans ses jardins qu’à de rares occasions.
-Quel besoin y’a-t-il donc de le tuer ? demanda le mentor.
-Quelle question. Un As de Pique, même au bord de la mort, reste un danger prioritaire. Et nous avons le moyen d’en finir. Sept ans, mentor, sept ans que le gouvernement Américain cherche à localiser le Q.G de cette ordure. Et au moment où nous le trouvons, après tant d’année d’effort, il nous contacte de lui-même pour nous dire qu’il compte nous aider à assassiner Hitler, et qu’il va même nous envoyer sa carte maîtresse, Franz Malroy, pour nous aider. Nous sommes bénis, mentor. Dieu est avec nous, sur ce coup là.
Loyd Lykker se retourna pour éternuer. Il se pencha de nouveau sur la carte mais garda son regard fixé sur le mentor.
-En vérité, s’il y avait bien quelque chose qui nous aurait fait hésiter à passer à l’attaque, c’est Franz. Sachant que, durant l’assaut, il se trouvera en Allemagne, à des milliers de kilomètres, cela nous ôte un poids très lourd. L’As de Pique ne pourra compter que sur sa garde personnelle et ses deux fils qui seront aussi présents. Pas de quoi nous inquiéter.
-Les hommes de l’As de Pique sont entraînés.
-Mais les nôtres sont bien mieux armés.
Le mentor se gratta le menton et sourit.
-Il y a quelque chose qui m’échappe… Si vous avez localisés le manoir de l’As de Pique, qu’est-ce qui vous empêche de larguer une simple volée de missile sur les environs ? Vous aurez alors la certitude absolue que personne n’aura survécu. Même pas un Franz Malroy.
Loyd baissa les yeux et prit un air gêné.
-Eh bien…
-Tous les mêmes, hein. Vous voulez les Bottes.
-C’est vrai. Le président souhaite qu’elles soient mises en sûreté, dans une base Américaine protégée.
-Le président où le mentor Américain ?
Loyd essuya son front qui s’était couvert de sueur. Il semblait mal-à-l’aise. Le mentor Français leva les mains dans un signe de paix.
-C’est bon, c’est bon. Je ne vous demande plus rien. Vous ferez comme bon vous semble. Mais qu’est-ce que je viens faire dans cette opération, puisque je n’aurais visiblement qu’à apporter mon aide pour capturer Hitler après l’opération Walkyrie ?
-Pas exactement. Là encore, ce seront vos hommes qui iront sur le terrain, accompagnés bien sûr de quelques soldats Américains.
Le mentor ouvrit les yeux, puis, éclata de rire avant de frapper la table du poing.
-C’est une blague ?! C’est moi qui, pour vos deux opérations, enverrait mes troupes en première ligne et essuierait toutes les pertes pendant que vous ramasseriez le butin, les Bottes, l’argent, la gloire, Hitler ?! Dites-moi que c’est une plaisanterie, général !
Loyd avait reculé de quelques pas. Il avait porté discrètement la main à la crosse de son arme de service.
-Calmez-vous, s’il-vous-plait.
-Que je me calme ?! Bordel, allez-vous faire foutre ! Je ne vous donnerais pas un seul homme pour vous aider !
-Même si nous vous livrons Franz Malroy ?
Le mentor se tut.
-Quoi ?
-Il participera à l’opération pour tuer Hitler.
-Je… Je croyais que vous l’arrêteriez dès qu’il poserait un pied sur le continent Américain.
-Non, il sera sur le terrain aussi quand nous arrêterons Hitler. Son petit frère aussi. Peter.
-Qu… Qu’est-ce que vous venez de dire ?
-Peter Malroy est vivant, mentor.
Le mentor se laissa tomber sur son siège, les yeux écarquillés.
-C’est impossible. Impossible. Il a été tué lorsque le gaz Fantôme a été libéré, il y a deux ans, en haute mer. C’est impossible.
-Nous le pensions aussi. Nous nous trompions. Que je sois foudroyé si je devine comment il s’en est sorti, mais les faits sont là. Il se rendra bien en Amérique avec son frère, dans quelques jours, avant de se rendre en Allemagne, sur le terrain.
Loyd toisa le mentor.
-Si vous acceptez de collaborer avec nous, nous vous offrons Franz sur un plateau d’argent. Ainsi que Peter. Il me semble que vous avez beaucoup d’affection pour lui.
-Sortez.
-Quoi ?
-Je dois digérer ce que je viens d’entendre. Mes Assassins vous ont préparés une chambre. Vous passerez la nuit ici et demain vous disparaîtrez.
-Et pour ma proposition ?
-J’accepte.
Loyd hocha la tête d’un air satisfait.

1944, New-York, lendemain du décès de Loyd Lykker…

Franz ouvrit une petite boîte contenant de la poudre blanche. Il y porta ses narines et inspira brutalement, tout en promenant son nez sur la mixture. Très vite, il n’en resta rien. Franz referma la boîte et la jeta négligemment par terre.
-Pas mauvais. D’où elle vient ?
-Cuba, répondit le vieil officier en en prenant une dose aussi. Raffinée par nos soins, coupée avec les meilleurs produits.
-Si je savais que l’état-major Américain partait au combat avec le nez plein de cocaïne… C’est un mythe qui s’effondre. Les marines étaient drogués à Pearl Harbor ?
Le vieil homme remit son col en place, sans répondre. Franz se tourna vers un coin de la pièce.
-T’es pas d’accord avec moi, Peter ?
-La ferme, Franz.
Peter sortit de l’ombre. Les cheveux plaqués en arrière, un simple blouson de cuir sur le dos et un pistolet à la ceinture, son style vestimentaire négligé contrastait avec les uniformes stricts de Franz et des militaires qui l’entouraient.
-Bon, de quoi on parlait ? fit Franz.
-De la façon dont vous seriez infiltrés en Allemagne, en même temps que nous exfiltrerions un de nos agents doubles, là-bas, dont vous prendriez subtilement la place.
-Hum, hum, hum.
-Vous serez largués ici.
Le militaire se tourna vers un plan d’une région de l’Allemagne et pointa un lieu du doigt.
-Une quinzaine d’Assassins Français vous attendrons dans ce champs. Vous serez ensuite conduit au camp le plus proche avant de prendre une voiture pour Berlin. Peter et d’autres Assassins, dont moi, nous trouverons à l’hôtel Wondmarcht, dans la banlieue, en tant que touristes. Nous cueillerons Hitler le lendemain, quand l’attentat aura été annoncé.
Franz croisa les bras et haussa un sourcil. Puis, il sourit et hocha la tête.
-D’accord. Je vois, je vois. Même si quand vous dites « on », j’ai du mal à croire que vous ferez autre chose que de rester en sécurité, loin du champ de bataille, et donner des ordres pendant qu’on y risqueras nos vies. Et pour la garde d’Hitler, vous avez eu la confirmation qu’il aura une Réincarnation à ses côtés ?
-Pas la confirmation, mais de toutes évidence, oui. Le Faucheur se trouvera très loin, à ce moment là, donc ce ne sera pas lui.
-Merde. Ca aurait été bien.
-En revanche, nous ignorons quelle Réincarnation sera présente à Berlin à ce moment là. Une, au minimum, y séjourne tout le temps. Ils se relaient pour protéger Hitler. Les autres sont en mission. Nous travaillons encore là-dessus, mais il ne faudra pas y compter.
Un homme entra dans la pièce. Tous se turent.
Franklin D. Roosevelt, le président des Etats-Unis.
Le vieil officier se mit immédiatement au garde-à-vous. Peter se raidit. Franz bailla bruyamment. Les soldats se rangèrent en rang des deux côtés du président. Celui-ci s’approcha de Franz et lui tendit la main.
-J’avais hâte de vous rencontrer, Malroy.
-Hum…
Franz regarda la main tendue et finit par la serrer.
-J’ai des problèmes avec les hommes politiques, dit Franz. Depuis l’affaire de « l’huître et du ministre ».
Peter leva les yeux au ciel.
-S’il-te-plait, épargne-nous cette anecdote, Franz. Elle est affreusement gênante. C’est de l’histoire ancienne.
-Pas plus embarrassante que l’opération de la « Colombe tachetée », en Turquie, répliqua Franz. 17 Décembre 1932, tu t’en souviens frérot ? T’avais faillis y passer.
Peter tourna la tête de l’autre côté de la salle.
-Je préfère ne pas en parler.
Le président se racla la gorge.
-Vous vous échangerez vos souvenirs plus tard. Pour l’instant, nous avons fort à faire. Suivez-moi, Franz.

:rhamrham: j'en ai déjà connu des héros comme ça

Arrehh!! je m'était arrèter de lire à "il est toujours bourré" le reste ne me concerne aucunement heinhh!!

Les rocher... Bof, fais lui tester les cailloux, c'est mieu

Louisguilim J'espère que c'est un troll.

Bien sur Alcahe j'aurais jamais le niveau des autre
N'empêche son histoire était bien
peut-être qu'un bon écrivain pourras s'en emparer *j'espère secrètement*

Marg de quel héros tu parle

Beinh de l'Italien bourré de 30ans...

Hey ! /

Ce fucking voyage a duré 4 heures, heureusement que mon père et moi, on a fait le temps en déconnnant.

Et ouais, j'ai le Wifi ici.

Sinon, comment ça va ?

Là, je vais bouffer, je reviens.

Bien, bien, je vais commencer mon chap dans quelques minutes.

Bon, je vais tuer quelques "amis" et en humilier certains:!! A+

Et moi je vais tenter de pouvoir enfin faire une partie multi avec mes potes sur Left 4 Dead 2. Ca fait deux qu'on essaie, ça fait deux ans qu'on y arrive pas. /

Alca et Jet on vous a demandé votre avis pour vous regrouper sous le pseudo de Rokuro dans les stats?
http://jvstats.forum-stats.org/stats/1/27092/profile_r_11120.html

J'appartiens pas à [rock_n_troll] moi...

Bah il t'a regroupé sous son pseudo dans les stats juste pour être deuxième alors comme Taazers a fait avec nous pour être premier
C'est juste qu'un enfoiré

Hein ? Il s'est servi de mon compte pour être deuxième ?

Plus celui de Jet, de Bear et d'autres

Mais... Mais... C'est idiot ! Quel intérêt à part mentir ?